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CLARITYNE® sirop

loratadine

FORMES et PRÉSENTATIONS

Sirop à 1 mg/ml (limpide, incolore à jaune pâle) :  Flacons de 60 ml et de 120 ml, avec cuillère-mesure de 5 ml et bouchon inviolable de sécurité enfant.


  • COMPOSITION

     p c mes
    Loratadine (DCI) 
    5 mg
    Excipients : propylèneglycol (E 1520), glycérol (E 422), acide citrique monohydraté, benzoate de sodium (E 211), saccharose, arôme artificiel de pêche, eau purifiée.
  • Teneur en saccharose : 3 g/c mes.


    INDICATIONS

    Traitement symptomatique de la rhinite allergique et de l’urticaire chronique idiopathique.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Adulte et enfant de plus de 12 ans :
    10 mg une fois par jour, soit 10 ml (2 cuillères-mesure) de sirop une fois par jour. Le sirop peut être pris indifféremment par rapport aux repas.
    Enfant de 2 à 12 ans :
    • Poids corporel de plus de 30 kg : 10 ml (10 mg) une fois par jour, soit 2 cuillères-mesure de sirop une fois par jour.
    • Poids corporel de moins de 30 kg : 5 ml (5 mg) une fois par jour, soit 1 cuillère-mesure de sirop une fois par jour.
    L’efficacité et l’innocuité de Clarityne n’ont pas été établies chez les enfants de moins de 2 ans.
    Insuffisant hépatique sévère :
    La dose initiale devra être diminuée en raison d’un risque de clairance réduite de la loratadine. Une dose initiale de 10 mg tous les deux jours est recommandée pour l’adulte et l’enfant de plus de 30 kg ; pour l’enfant de 30 kg ou moins, une dose de 5 ml (5 mg) tous les 2 jours est recommandée.
    Sujet âgé ou insuffisant rénal :
    Aucun ajustement de la posologie n’est nécessaire.

    CONTRE-INDICATIONS

    Hypersensibilité à la loratadine ou à l’un des excipients du médicament.

  • MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    Clarityne doit être utilisé avec précaution chez l’insuffisant hépatique sévère (cf Posologie et Mode d’administration).
  • Ce médicament contient du saccharose (cf Composition). Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou un déficit en sucrase/isomaltase.
  • Tenir compte, dans la ration journalière, de la teneur en saccharose, notamment chez les patients diabétiques (cf Composition).
  • L’administration de Clarityne doit être interrompue au moins 48 heures avant de pratiquer des tests cutanés pour le diagnostic de l’allergie car les antihistaminiques peuvent inhiber ou réduire la réponse cutanée.

  • INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses :
    Des études de performances psychomotrices n’ont pas mis en évidence de potentialisation des effets de Clarityne lors de l’administration simultanée d’alcool.
  • Le risque d’interactions avec les inhibiteurs des cytochromes CYP3A4 ou CYP2D6 entraînant une augmentation des concentrations plasmatiques de loratadine peut majorer le risque de survenue d’effets indésirables (cf Pharmacocinétique).

  • FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

    Les études animales n’ont pas révélé d’effet tératogène de la loratadine. L’innocuité de la loratadine pendant la grossesse n’a pas été établie. En conséquence, l’utilisation de Clarityne pendant la grossesse n’est pas recommandée.
  • La loratadine est excrétée dans le lait maternel. En conséquence, l’administration de loratadine durant l’allaitement n’est pas recommandée.

  • CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Lors des études cliniques évaluant l’aptitude à conduire des véhicules, aucun effet délétère n’a été observé chez les patients recevant de la loratadine. Cependant, les patients doivent être informés que très rarement chez certaines personnes il a été décrit une somnolence qui pourrait affecter leur capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    Lors des études cliniques menées dans la population pédiatrique, chez des enfants âgés de 2 à 12 ans, les effets indésirables fréquents rapportés avec une plus grande fréquence que sous placebo étaient céphalées (2,7 %), nervosité (2,3 %) et fatigue (1 %).
  • Lors des études cliniques menées chez les adultes et adolescents dans les indications rhinite allergique et urticaire chronique idiopathique, à la dose recommandée de 10 mg, les effets indésirables avec la loratadine ont été rapportés chez 2 % de patients de plus que ceux traités par placebo. Les effets indésirables le plus fréquemment rapportés avec une plus grande fréquence que sous placebo étaient somnolence (1,2 %), céphalées (0,6 %), augmentation de l’appétit (0,5 %) et insomnie (0,1 %).
  • Les autres effets indésirables très rarement rapportés depuis la commercialisation sont :
    • Affections du système immunitaire : anaphylaxie.
    • Affections du système nerveux : vertiges.
    • Affections cardiaques : tachycardie, palpitations.
    • Affections gastro-intestinales : nausées, bouche sèche, gastrite.
    • Affections hépatobiliaires : troubles des fonctions hépatiques.
    • Affections de la peau et du tissu sous-cutané : rash, alopécie.
    • Troubles généraux et anomalies au site d’administration : fatigue.

    SURDOSAGE

    Le surdosage en loratadine augmente la survenue de symptômes anticholinergiques. Somnolence, tachycardie et céphalées ont été rapportées lors de surdosages.
  • En cas de surdosage, traitement symptomatique et maintien des fonctions vitales sont préconisés. Du charbon activé en suspension dans l’eau peut éventuellement être administré. Un lavage gastrique peut être envisagé. La loratadine n’est pas éliminée par hémodialyse et on ne sait pas si la dialyse péritonéale permet de l’éliminer. Le patient doit rester sous surveillance médicale après le traitement d’urgence.

  • PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : antihistaminiques à usage systémique (code ATC : R06AX13).

    La loratadine, principe actif de Clarityne, est un antihistaminique tricyclique agissant sélectivement sur les récepteurs H1 périphériques.

    La loratadine n’exerce pas d’effet sédatif ou anticholinergique significatif dans la majeure partie de la population lorsqu’elle est utilisée à la dose recommandée.

    Lors de traitement au long cours, il n’a pas été observé de modifications cliniquement significatives des fonctions vitales, des paramètres biologiques, de l’examen clinique ou des tracés électrocardiographiques.

    La loratadine n’a pas d’action significative au niveau des récepteurs H2. Elle n’inhibe pas la capture de la noradrénaline et n’a pratiquement aucune influence sur les fonctions cardiovasculaires ou sur l’activité pacemaker intrinsèque.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Après administration par voie orale, la loratadine est rapidement et bien absorbée et subit un important effet de premier passage hépatique, par métabolisation essentielle par les CYP3A4 et CYP2D6. Le principal métabolite, la desloratadine, est pharmacologiquement actif et responsable en grande partie de l’effet clinique. Les concentrations plasmatiques maximales de loratadine et de desloratadine sont respectivement atteintes (Tmax) entre 1-1,5 heure et 1,5-3,7 heures après l’administration.

    Au cours d’études cliniques contrôlées, une augmentation des concentrations plasmatiques de loratadine a été rapportée lors de l’administration simultanée de kétoconazole, d’érythromycine ou de cimétidine, mais sans conséquence clinique significative (ni modification des tracés ECG).

    La liaison de la loratadine aux protéines circulantes est intense (97 % à 99 %), alors que celle du métabolite est plus modérée (73 % à 76 %).

    Chez les volontaires sains, les demi-vies de distribution de la loratadine et de son métabolite actif sont d’environ 1 et 2 heures respectivement. La demi-vie principale d’élimination chez les sujets volontaires sains était de 8,4 heures (fourchette de 3 à 20 heures) pour la loratadine et de 28 heures (fourchette de 8,8 à 92 heures) pour le principal métabolite actif.

    Approximativement 40 % de la dose est excrétée dans les urines et 42 % dans les fèces sur une période de 10 jours et principalement sous forme de métabolites conjugués. Approximativement 27 % de la dose est éliminée dans les urines pendant les 24 premières heures. Moins de 1 % de la substance active est excrétée sous la forme active inchangée loratadine ou desloratadine.

    La biodisponibilité de la loratadine et de son métabolite actif est dose-dépendante.

    Le profil pharmacocinétique de la loratadine et de ses métabolites est comparable chez les volontaires sains adultes et âgés.

    L’ingestion concomitante de nourriture peut entraîner un léger retard à l’absorption de la loratadine sans conséquence sur l’effet clinique.

    Chez les patients ayant une insuffisance rénale chronique, l’ASC et les pics des concentrations plasmatiques (Cmax) de la loratadine et de son métabolite ont été plus élevés que l’ASC et les pics plasmatiques (Cmax) observés chez les patients ayant une fonction rénale normale. Les demi-vies moyennes d’élimination de la loratadine et de son métabolite n’étaient pas significativement différentes de celles observées chez les sujets normaux. L’hémodialyse n’a pas d’effet sur la pharmacocinétique de la loratadine et de son métabolite actif chez les patients ayant une insuffisance rénale chronique.

    Chez des patients présentant une atteinte hépatique chronique d’origine éthylique, l’ASC et les pics de concentration plasmatiques (Cmax) de la loratadine observés ont été doublés alors que le profil pharmacocinétique du métabolite actif n’était pas significativement modifié par rapport à celui des patients ayant une fonction hépatique normale. Les demi-vies d’élimination de la loratadine et de son métabolite étaient, respectivement, de 24 heures et de 37 heures, et elles augmentaient parallèlement à la sévérité de l’atteinte hépatique.

    La loratadine et son métabolite actif sont excrétés dans le lait maternel chez les femmes allaitant.


    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Les données précliniques ne révèlent pas de risque spécifique pour l’homme au vu des études conventionnelles de sécurité, de pharmacologie, de toxicité en doses réitérées, de génotoxicité ou de carcinogenèse.

    L’étude des fonctions de reproduction n’ont révélé aucun effet tératogène chez l’animal. Cependant, des parturitions prolongées et une réduction de la viabilité de la progéniture ont été observées chez les rats exposés à des taux plasmatiques (ASC) 10 fois supérieurs à ceux atteints avec les doses utilisées en clinique.


    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    24 mois.

    Après la première ouverture, le sirop est stable pendant 1 mois.

    Ne pas congeler. Conserver le flacon dans l’emballage extérieur d’origine à l’abri de la lumière.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE II
    AMM3400933560454 (1992, RCP rév 18.03.2010) 60 ml.
    3400933560515 (1996, RCP rév 18.03.2010) 120 ml.
      
    Prix :2.36 euros (flacon de 60 ml).
    3.87 euros (flacon de 120 ml).
    Remb Séc soc à 30 %. Collect.


    SCHERING-PLOUGH
    34, av Léonard-de-Vinci. 92400 Courbevoie
    Standard : Tél : 01 80 46 40 00
    Info médic : Tél : 01 80 46 40 40
    Pharmacovigilance : Tél : 01 80 46 46 46

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