triptoréline
Poudre et solvant pour suspension injectable IM, forme à libération prolongée sur 28 jours : Flacon de poudre et ampoule de solvant de 2 ml + seringue et 2 aiguilles.
Poudre : | p dose injectée |
Triptoréline (DCI) pamoate exprimé en triptoréline
| 3 mg* |
Excipients : polymère DL lactide-coglycolide, mannitol, carmellose sodique, polysorbate 80.
Solvant : mannitol, eau ppi.
* Compte tenu des caractéristiques de la forme pharmaceutique, chaque flacon contient une quantité de pamoate de triptoréline correspondant à 4,3 mg de triptoréline.
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Cancer de la prostate :
- Traitement du cancer de la prostate localement avancé ou métastatique.
- Un effet favorable du médicament est d’autant plus net et plus fréquent que le patient n’a pas reçu auparavant un autre traitement hormonal.
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Puberté précoce :
- Avant 8 ans chez la fille, avant 10 ans chez le garçon.
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Endométriose à localisation génitale et extragénitale (du stade I au stade IV) :
- La durée du traitement est limitée à 6 mois (cf Effets indésirables).
- Il n’est pas souhaitable d’entreprendre une seconde cure par la triptoréline ou par un autre analogue de la GnRH.
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Infécondité féminine :
- Traitement complémentaire, en association avec les gonadotrophines (hMG, FSH, hCG), au cours d’une induction de l’ovulation en vue d’une fécondation in vitro suivie d’un transfert d’embryon (Fivete).
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Traitement préopératoire des fibromes utérins :
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- associés à une anémie (avec un taux d’hémoglobine inférieur ou égal à 8 g/dl) ;
- dans le cas où une réduction de la taille du fibrome est nécessaire pour faciliter ou modifier la technique opératoire : chirurgie endoscopique, chirurgie transvaginale.
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- La durée du traitement est limitée à 3 mois.
- Coût du traitement journalier : 4,81 euro(s).
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION
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Cancer de la prostate :
- Deux schémas thérapeutiques peuvent être utilisés :
- une injection sous-cutanée quotidienne de Décapeptyl 0,1 mg à libération immédiate pendant 7 jours, puis une injection intramusculaire de Décapeptyl LP 3 mg le 8e jour et répétée toutes les 4 semaines ;
- ou d’emblée, une injection intramusculaire de Décapeptyl LP 3 mg qui sera renouvelée toutes les 4 semaines.
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Puberté précoce :
- Une injection intramusculaire de 50 µg/kg toutes les 4 semaines.
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Endométriose :
- Voie intramusculaire uniquement, après préparation soigneuse de l’injection, réalisée sans perte de liquide (suivre de façon précise les instructions fournies par la notice présente dans chaque boîte).
- Le traitement doit être débuté dans les 5 premiers jours du cycle.
- Rythme des injections : l’injection de Décapeptyl LP 3 mg doit être renouvelée toutes les 4 semaines.
- Durée du traitement : elle est fonction de la gravité initiale de l’endométriose et de l’évolution sous traitement de ses manifestations cliniques (fonctionnelles et anatomiques). En principe, elle est de 4 mois au moins et de 6 mois au maximum. Il n’est pas souhaitable d’entreprendre une deuxième cure par la triptoréline ou par les autres analogues de la GnRH.
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Infécondité féminine :
- Le schéma thérapeutique habituel est basé sur l’injection intramusculaire d’un flacon de Décapeptyl LP 3 mg à partir du 2e jour du cycle. L’association aux gonadotrophines débute après l’obtention de la désensibilisation hypophysaire (taux des estrogènes plasmatiques inférieur à 50 pg/ml), en général une quinzaine de jours après l’injection de Décapeptyl LP 3 mg.
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Traitement préopératoire des fibromes utérins :
- Voie intramusculaire uniquement.
- Le traitement doit débuter dans les 5 premiers jours du cycle.
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- Rythme des injections : l’injection de Décapeptyl LP 3 mg doit être renouvelée toutes les 4 semaines.
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- La durée du traitement est limitée à 3 mois.
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- NB : il est important que l’injection de la forme à libération prolongée soit pratiquée rigoureusement selon les instructions de la notice. Toute injection défectueuse, conduisant à la perte d’une quantité de la suspension supérieure à celle qui reste normalement dans le dispositif utilisé pour l’injection, doit être signalée.
Hypersensibilité à la GnRH aux analogues de la GnRH, ou à l’un des excipients.
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI
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Chez l’homme :
- Cancer de la prostate :
- Mises en garde lors de l’initiation du traitement :
Des cas isolés d’aggravation, le plus souvent transitoire, des symptômes cliniques (douleurs osseuses en particulier) ont été rapportés lors de la mise en route du traitement.
- Ils justifient une surveillance médicale particulièrement attentive durant les premières semaines du traitement, notamment chez les patients porteurs d’une obstruction des voies excrétrices et chez les malades présentant des métastases vertébrales (cf Effets indésirables).
- Pour la même raison, la mise en route du traitement chez les sujets présentant des signes prémonitoires de compression médullaire doit être soigneusement pesée.
Une élévation transitoire des phosphatases acides en début de traitement peut être observée.
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- Précautions d’emploi :
Il peut être utile de vérifier périodiquement, avec une méthode sensible, la testostéronémie qui ne doit pas être supérieure à 1 ng/ml.
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Chez la femme :
- Il est indispensable de vérifier avant toute prescription de Décapeptyl LP 3 mg l’absence de grossesse.
- Infécondité féminine :
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- Mises en garde :
L’augmentation du recrutement folliculaire induit par l’injection de triptoréline, lorsqu’il est associé aux gonadotrophines, peut être importante chez certaines patientes prédisposées, et en particulier en cas d’ovaires polykystiques. La réponse ovarienne à l’association triptoréline-gonadotrophines peut varier avec les mêmes doses d’une patiente à l’autre et, dans certains cas, d’un cycle à l’autre pour une même patiente.
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- Précautions d’emploi :
L’induction de l’ovulation ne doit être réalisée que sous étroite surveillance médicale avec contrôles biologiques et cliniques stricts et réguliers : dosages rapides des oestrogènes plasmatiques, échographies (cf Effets indésirables).
- En cas de réponse ovarienne excessive, il est recommandé d’interrompre le cycle de stimulation en cessant les injections de gonadotrophines.
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- Endométriose et traitement préopératoire des fibromes utérins :
- Précautions d’emploi :
L’administration régulière, toutes les quatre semaines, d’un flacon de Décapeptyl LP 3 mg, entraîne constamment une aménorrhée hypogonadotrophique.
- La survenue de métrorragies au cours du traitement, en dehors du premier mois, est anormale ; elle doit conduire à la vérification du taux d’oestradiol plasmatique et, s’il est inférieur à 50 pg/ml, il faut rechercher d’éventuelles lésions organiques associées. Après l’arrêt du traitement, la fonction ovarienne reprend et l’ovulation survient 58 jours en moyenne après la dernière injection, et les premières règles 70 jours en moyenne. Par conséquent, il est nécessaire de prévoir une contraception dans les 15 jours qui suivent l’arrêt du traitement, soit 1 mois et demi après l’injection.
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Grossesse :
- Chez l’animal, les études effectuées n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
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- En clinique, l’utilisation par mégarde d’analogues de la GnRH, sur des effectifs limités de grossesses exposées, n’a révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour vérifier les conséquences d’une exposition en cours de grossesse.
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Allaitement :
En l’absence de données concernant le passage de ce médicament dans le lait et les effets éventuels sur l’enfant nourri au sein, ce médicament ne devra pas être utilisé en cas d’allaitement.
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Chez l’homme :
- Mise en route du traitement (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) :
- Une exacerbation des symptômes urinaires, des douleurs osseuses d’origine métastatique ou des symptômes relatifs à une compression médullaire par métastase vertébrale sont parfois observés lors de l’augmentation initiale et transitoire du taux plasmatique de la testostérone en début de traitement. Ces symptômes disparaissent en 1 à 2 semaines.
- En cours de traitement :
- Les effets indésirables le plus fréquemment rapportés (bouffées de chaleur, diminution de la libido, impuissance) sont liés à l’abaissement des taux plasmatiques de la testostérone, conséquence de l’action pharmacologique du produit, et sont similaires à ceux observés avec les autres analogues de la GnRH.
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Chez la femme :
- Mise en route du traitement :
- Une exacerbation des symptômes de l’endométriose (douleurs pelviennes, dysménorrhée) peut être observée lors de l’augmentation initiale et transitoire du taux plasmatique d’oestradiol et disparaît en 1 à 2 semaines.
- La survenue de métrorragies peut être observée dans le mois suivant la première injection.
- Dans l’infécondité féminine, l’association avec les gonadotrophines peut entraîner une hyperstimulation ovarienne. Une hypertrophie ovarienne, des douleurs pelviennes et/ou abdominales peuvent être observées (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- En cours de traitement :
- Les effets le plus fréquemment rapportés tels que bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, diminution de la libido et dyspareunie sont liés au blocage hypophyso-ovarien.
- Plus rarement ont été signalées : céphalées, arthralgies et myalgies.
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Dans les deux sexes :
- Des réactions allergiques à type d’urticaire, de rash, de prurit et d’exceptionnels oedèmes de Quincke ont été signalés.
- Quelques cas de nausées, vomissements, prise de poids, hypertension artérielle, troubles de l’humeur, fièvre, anomalies visuelles et douleur au point d’injection ont été rapportés.
- L’utilisation prolongée des analogues de la GnRH peut induire une perte osseuse, facteur de risque d’une éventuelle ostéoporose.
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Chez l’enfant :
- La stimulation gonadique initiale peut être responsable de petites hémorragies génitales chez les filles.
- Comme chez l’adulte, des réactions allergiques à type d’urticaire, de rash, de prurit et d’exceptionnels oedèmes de Quincke ont été signalés.
- Quelques cas de nausées, vomissements, prise de poids, hypertension artérielle, troubles de l’humeur, fièvre, anomalies visuelles et douleur au point d’injection ont été rapportés.
Analogue de l’hormone entraînant la libération de gonadotrophines (L02AE04 : antinéoplasique et immunomodulateur).
- La triptoréline est un décapeptide de synthèse analogue de la GnRH naturelle (hormone de libération des gonadotrophines).
- Les études conduites dans l’espèce humaine comme chez l’animal ont montré qu’après une stimulation initiale, l’administration prolongée de triptoréline entraîne une inhibition de la sécrétion gonadotrope, supprimant par conséquent les fonctions testiculaire et ovarienne. A la suite de certaines études chez l’animal, un autre mécanisme d’action a été évoqué : effet gonadique direct par diminution de la sensibilité des récepteurs périphériques à la GnRH.
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Cancer de la prostate :
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- L’administration d’une dose quotidienne de triptoréline peut entraîner une élévation initiale des taux sanguins de LH et de FSH, ce qui a pour conséquence une augmentation initiale des taux de testostérone (flare-up). La poursuite du traitement entraîne une diminution des taux de LH et de FSH, conduisant les stéroïdes à des taux de castration, dans un délai de 2 à 3 semaines, aussi longtemps que le produit est administré.
- Le traitement est susceptible d’entraîner une amélioration des signes fonctionnels et objectifs.
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Puberté précoce :
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- L’inhibition de l’hyperactivité gonadotrope hypophysaire se manifeste, dans les deux sexes, par la suppression de la sécrétion d’estradiol ou de testostérone, par l’abaissement du pic de LH et par une amélioration du rapport âge statural/âge osseux.
- La stimulation gonadique initiale peut être responsable de petites hémorragies génitales nécessitant le recours à un traitement par acétate de médroxyprogestérone ou de cyprotérone.
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Endométriose :
- L’administration prolongée de triptoréline entraîne une suppression de la sécrétion d’estradiol et ainsi une mise au repos du tissu endométriosique.
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Infécondité féminine :
- L’administration de triptoréline entraîne une inhibition de la sécrétion gonadotrope (FSH et LH). Ce traitement assure donc la suppression du pic intercurrent de LH endogène et permet une folliculogenèse de meilleure qualité ainsi qu’un recrutement folliculaire augmenté.
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Fibromes utérins :
- Les études ont démontré une diminution régulière et marquée du volume de certains fibromes utérins. Cette diminution est maximale au troisième mois de traitement.
- Le traitement par triptoréline induit une aménorrhée après le premier mois de traitement chez la plupart des patientes. Il permet la correction d’une éventuelle anémie résultante de ménorragies et/ou de métrorragies.
Après injection intramusculaire de la forme à libération prolongée, on observe une première phase de libération du principe actif suivie d’une phase de libération régulière qui se poursuit pendant 28 jours.
Les études de toxicologie animale n’ont pas montré de toxicité spécifique de la molécule. Les effets observés sont liés aux propriétés pharmacologiques du produit sur le système endocrinien.
La résorption du produit est complète en 40-45 jours.
En l’absence d’étude d’incompatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.
MODALITÉS DE CONSERVATION
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Durée de conservation :
- 2 ans.
A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.
Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.
MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION
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La mise en suspension de la poudre dans le solvant spécifique doit être effectuée immédiatement avant l’injection, en agitant le flacon doucement jusqu’à l’obtention d’un mélange laiteux (lire les instructions d’utilisation dans la notice).
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Instructions d’utilisation :
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Préparation du patient avant reconstitution du médicament :
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- Patient allongé, fesse désinfectée.
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Reconstitution du médicament :
- La présence de bulles au-dessus du lyophilisat est un aspect normal du produit.
- Casser le haut de l’ampoule (point face à soi).
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- Prélever le solvant dans la seringue à l’aide de l’aiguille (cf figure A).
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- Oter la capsule verte du flacon de poudre.
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- Transférer le solvant dans le flacon de poudre (cf figure B).
- Remonter l’aiguille au-dessus du niveau du liquide (sans la retirer du flacon ; cf figure C).
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- Agiter le temps nécessaire à l’obtention d’un mélange homogène (sans retourner le flacon ; cf figure D).
- Vérifier l’absence d’agglomérats avant de prélever la suspension (en cas d’agglomérats, poursuivre l’agitation jusqu’à complète homogénéisation).
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- Prélever la totalité du mélange (sans retourner le flacon ; cf figure E).
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- Enlever l’aiguille utilisée pour la reconstitution et adapter l’autre aiguille sur la seringue (visser complètement). Ne saisir que la partie colorée pour connecter l’aiguille.
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- Purger l’air (cf figure F).
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Injection intramusculaire du médicament :
- Injecter le produit immédiatement dans le muscle fessier.
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Après utilisation :
- Jeter les aiguilles dans des containers adaptés.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE
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LISTE I
AMM | 3400933943769 (1995, RCP rév 22.10.2009). |
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Prix : | 134.61 euros (flacon + ampoule). |
Remb Séc soc à 65 %. Collect. |
IPSEN Pharma
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