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ADVIL® 200 mg

ibuprofène

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé enrobé (gravé « Advil » ; brique) :  Boîtes de 20 et de 30, sous plaquettes thermoformées de 10.


  • COMPOSITION

     p cp
    Ibuprofène (DCI) 
    200 mg
    Excipients : Noyau : amidon de maïs, amidon prégélatinisé, silice colloïdale anhydre, acide stéarique. Enrobage : saccharose, macrogol 6000, fécule acétylée (perfectamyl gel 45), povidone, polysorbate 80, talc, carbonate de calcium, oxyde de fer rouge (E 172), dioxyde de titane (E 171), cire de carnauba, encre noire Opacode S-1-27794 (gomme laque, oxyde de fer noir [ E 172], N-butylalcool, eau purifiée, propylèneglycol, alcool éthylique dénaturé, alcool isopropylique).

  • INDICATIONS

    Traitement symptomatique des affections douloureuses d’intensité légère à modérée et/ou des états fébriles.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Posologie :

    Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 40 kg (soit environ 12 ans).

    1 comprimé (200 mg), à renouveler si besoin au bout de 6 heures.

    En cas de douleurs ou de fièvre plus intenses, 2 comprimés à 200 mg, à renouveler si besoin au bout de 6 heures.

    Dans tous les cas, ne pas dépasser 6 comprimés par jour (1200 mg par jour).

    Fréquence et moment d’administration :
    Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de fièvre ou de douleur. Elles doivent être espacées d’au moins 6 heures.

    Mode d’administration :

    Voie orale.

    Avaler le comprimé sans le croquer, avec un grand verre d’eau, de préférence au cours des repas.


    CONTRE-INDICATIONS

    • Au-delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois de grossesse révolus) : cf Grossesse/Allaitement.
    • Antécédents d’allergie ou d’asthme déclenchés par la prise d’ibuprofène ou de substances d’activité proche telles que autres AINS, aspirine.
    • Antécédents d’allergie aux autres constituants du comprimé.
    • Ulcère gastroduodénal en évolution.
    • Insuffisance hépatocellulaire sévère.
    • Insuffisance rénale sévère.
    • Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée.
    • Lupus érythémateux disséminé.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    • Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens plus élevé que le reste de la population.
    • L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l’aspirine ou à un AINS (cf Contre-indications).
    • Les hémorragies gastro-intestinales ou les ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment au cours du traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire (cf Interactions).
    • En cas d’hémorragie gastro-intestinale ou d’ulcère, interrompre immédiatement le traitement.
    • La varicelle peut exceptionnellement être à l’origine de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous. A ce jour, le rôle favorisant des AINS dans l’aggravation de ces infections ne peut être écarté. Il est donc prudent d’éviter l’utilisation de Advil 200 mg comprimé enrobé en cas de varicelle (cf Effets indésirables).
    • Des réactions cutanées sévères et des allergies mettant en jeu le pronostic vital peuvent se produire avec tous les AINS. Il y a lieu d’interrompre le traitement par ibuprofène en présence d’effets indésirables cutanéomuqueux.
    • Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
    • Sujet âgé : l’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène, la posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre.
    • L’ibuprofène sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives…).
    • En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie et particulièrement chez les sujets âgés.
    • En cas de troubles de la vue apparaissant en cours de traitement, un examen ophtalmologique complet doit être effectué.
    • Au cours de traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale.
    • Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou un déficit en sucrase-isomaltase.

    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses :
    • Risque lié à l’hyperkaliémie :
      Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion, les antagonistes de l’angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaire ou non fractionnées), les immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime.
    • L’association de ces médicaments majore le risque d’hyperkaliémie. Ce risque est particulièrement important avec les diurétiques épargneurs de potassium, notamment lorsqu’ils sont associés entre eux ou avec des sels de potassium, tandis que l’association d’un IEC et d’un AINS, par exemple, est à moindre risque dès l’instant que sont mises en oeuvre les précautions recommandées.
    • Pour connaître les risques et les niveaux de contraintes spécifiques aux médicaments hyperkaliémiants, il convient de se reporter aux interactions propres à chaque substance.
    • Toutefois, certaines substances, comme le triméthoprime, ne font pas l’objet d’interactions spécifiques au regard de ce risque. Néanmoins, ils peuvent agir comme facteurs favorisants lorsqu’ils sont associés à d’autres médicaments comme ceux sus-mentionnés.
    • Risque lié à l’effet antiagrégant plaquettaire :
      Plusieurs substances sont impliquées dans des interactions, du fait de leurs propriétés antiagrégantes plaquettaires : l’aspirine et les AINS, la ticlopidine et le clopidogrel, le tirofiban, l’eptifibatide et l’abciximab, l’iloprost.
    • L’utilisation de plusieurs antiagrégants plaquettaires majore le risque de saignement, de même que leur association à l’héparine ou analogues (hirudines), aux anticoagulants oraux et aux thrombolytiques, et doit être prise en compte en maintenant une surveillance régulière, clinique et biologique.
    L’administration simultanée d’ibuprofène avec les produits suivants nécessite une surveillance rigoureuse de l’état clinique et biologique du malade. Déconseillées :
    • Autres AINS (y compris l’aspirine à dose élevée et les autres salicylés) : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
    • Pour l’acide acétylsalicylique, sont concernées les doses anti-inflammatoires (>= 1 g par prise et/ou >= 3 g par jour) et les doses antalgiques ou antipyrétiques (>= 500 mg par prise et ou < 3 g par jour).
    • Anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique de l’anticoagulant oral (agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
    • Héparines de bas poids moléculaire et apparentés, et non fractionnées (à doses curatives et/ou chez le sujet âgé) : augmentation du risque hémorragique (agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique étroite.
    • Lithium : augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l’excrétion rénale du lithium). Si l’association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l’association et après l’arrêt de l’AINS.
    • Méthotrexate, utilisé pour des doses supérieures à 20 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
    • Pemetrexed : risque de majoration de la toxicité du pemetrexed (diminution de sa clairance rénale par les AINS). Chez les patients ayant une fonction rénale faible à modérée (clairance de la créatinine comprise entre 45 ml/min et 80 ml/min).

    Nécessitant des précautions d’emploi :
    • Diurétiques, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs de l’angiotensine II : insuffisance rénale aiguë chez le malade à risque (sujet âgé et/ou déshydraté) par diminution de la filtration glomérulaire (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS). Par ailleurs, réduction de l’effet antihypertenseur. Hydrater le malade. Surveiller la fonction rénale en début de traitement.
    • Méthotrexate, utilisé à faibles doses (<= 20 mg/semaine) : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires). Contrôle hebdomadaire de l’hémogramme durant les premières semaines de l’association. Surveillance accrue en cas d’altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
    • Pemetrexed : risque de majoration de la toxicité du pemetrexed (diminution de sa clairance rénale par les AINS). Chez les patients ayant une fonction rénale normale. Surveillance biologique de la fonction rénale.
    • Ciclosporine, tacrolimus : risque d’addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé. Surveiller la fonction rénale en début de traitement par l’AINS.

    A prendre en compte :
    • Acide acétylsalicylique (doses antiagrégantes de 50 mg à 375 mg par jour en une ou plusieurs prises) : majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
    • Autres antiagrégants plaquettaires (ticlopidine, clopidogrel, tirofiban, eptifibatide et abciximab, iloprost) : augmentation du risque hémorragique.
    • Autres hyperkaliémiants : risque de majoration de l’hyperkaliémie, potentiellement létale.
    • Bêtabloquants (sauf esmolol) : réduction de l’effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS).
    • Héparines de bas poids moléculaires et apparentés, ou non fractionnées (doses préventives) : augmentation du risque hémorragique.
    • Déférasirox : majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif.
    • Glucocorticoïdes (sauf hydrocortisone en traitement substitutif) : augmentation du risque d’ulcération et hémorragie gastro-intestinale.
    • Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine : majoration du risque hémorragique.

    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :
    Aspect malformatif (1er trimestre) :
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.
    En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
    Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier, lié à une administration au cours du 1er trimestre de la grossesse, n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
    Aspect foetotoxique et néonatal (2e et 3e trimestre) :
    Il s’agit d’une toxicité de classe concernant tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
    L’administration pendant le 2e et le 3e trimestre expose à :
    • une atteinte fonctionnelle rénale :
      • in utero pouvant s’observer dès 12 semaines d’aménorrhée (mise en route de la diurèse foetale) : oligoamnios (le plus souvent réversible à l’arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d’une exposition prolongée ;
      • à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister, en particulier en cas d’exposition tardive et prolongée (avec un risque d’hyperkaliémie sévère retardée) ;
    • un risque d’atteinte cardiopulmonaire : constriction partielle ou complète in utero du canal artériel. La constriction du canal artériel peut survenir à partir de 5 mois révolus et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite foetale ou néonatale, voire à une mort foetale in utero. Ce risque est d’autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle ;
    • un risque d’allongement du temps de saignement pour la mère et l’enfant.
    En conséquence :
    • Jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée : l’utilisation de Advil 200 mg comprimé enrobé ne doit être envisagée que si nécessaire.
    • Entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée (entre le début de la diurèse foetale et 5 mois révolus) : une prise brève ne doit être prescrite que si nécessaire. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
    • Au-delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) : toute prise, même ponctuelle, est contre-indiquée (cf Contre Indications). Une prise par mégarde au-delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) justifie une surveillance cardiaque et rénale, foetale et/ou néonatale selon le terme d’exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d’élimination de la molécule.

    Allaitement :

    Les AINS passant dans le lait maternel, il convient, par mesure de précaution, d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    Effets gastro-intestinaux :
    Ont été habituellement rapportés des troubles gastro-intestinaux à type de nausées, vomissements, gastralgies, dyspepsies, troubles du transit, ulcérations digestives avec ou sans hémorragies, hémorragies occultes ou non. Celles-ci sont d’autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée et la durée de traitement prolongée.
    Réactions d’hypersensibilité :
    • Dermatologiques : éruptions, rash, prurit, oedème, urticaire, aggravation d’urticaire chronique.
    • Respiratoires : la survenue de crise d’asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l’aspirine ou à un anti-inflammatoire non stéroïdien (cf Contre-indications).
    • Générales : oedème de Quincke, choc anaphylactique.
    Effets cutanés :
    Très exceptionnellement éruptions bulleuses (syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).
    Effets sur le système nerveux central :
    L’ibuprofène peut exceptionnellement être responsable de vertiges et de céphalées.
    Autres :
    • Exceptionnellement, survenue de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous au cours de la varicelle (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Quelques rares cas de troubles de la vue ont été rapportés.
    • Oligurie, insuffisance rénale.
    • La découverte d’une méningite aseptique sous ibuprofène doit faire rechercher un lupus érythémateux disséminé ou une connectivite.
    Quelques modifications biologiques ont pu être observées :
    • Hépatiques : rarement élévation des transaminases, exceptionnels cas d’hépatite.
    • Hématologiques : agranulocytose, anémie hémolytique.

    SURDOSAGE

    • Transfert immédiat en milieu hospitalier.
    • Évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
    • Charbon activé pour diminuer l’absorption de l’ibuprofène.
    • Traitement symptomatique.

    PHARMACODYNAMIE

    Autres analgésiques et antipyrétiques (code ATC : N02B).

    L’ibuprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien, appartenant au groupe des propioniques, dérivé de l’acide arylcarboxylique.

    Il possède les propriétés suivantes :
    • antalgique ;
    • antipyrétique ;
    • anti-inflammatoire ;
    • inhibition de courte durée des fonctions plaquettaires.

    L’ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    La pharmacocinétique de l’ibuprofène est linéaire aux doses thérapeutiques.

    Absorption :
    • La concentration sérique maximale est atteinte 90 minutes environ après administration par voie orale.
    • Après prise unique, les concentrations sériques maximales sont proportionnelles à la dose (Cmax : 17 µg/ml ± 3,5 pour un comprimé à 200 mg et 30,3 µg/ml ± 4,7 pour un comprimé à 400 mg).
    • L’alimentation retarde l’absorption de l’ibuprofène.
    Distribution :
    • L’administration de l’ibuprofène ne donne pas lieu à des phénomènes d’accumulation. Il est lié aux protéines plasmatiques dans la proportion de 99 %.
    • Dans le liquide synovial, on retrouve l’ibuprofène avec des concentrations stables entre la 2e et la 8e heure après la prise, la Cmax synoviale étant environ égale au tiers de la Cmax plasmatique.
    • Après la prise de 400 mg d’ibuprofène toutes les 6 heures par des femmes qui allaitent, la quantité d’ibuprofène retrouvée dans leur lait est inférieure à 1 mg par 24 heures.
    Métabolisme :
    L’ibuprofène n’a pas d’effet inducteur enzymatique. Il est métabolisé pour 90 % sous forme de métabolites inactifs.
    Excrétion :
    L’élimination est essentiellement urinaire. Elle est totale en 24 heures, à raison de 10 % sous forme inchangée et de 90 % sous forme de métabolites inactifs, essentiellement glucuroconjugués.
    La demi-vie d’élimination est de 2 heures environ.
    Les paramètres cinétiques de l’ibuprofène sont peu modifiés chez l’insuffisant rénal et chez l’insuffisant hépatique. Les perturbations observées ne justifient pas une modification de la posologie.

    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    3 ans.

    A conserver à température ambiante (10 °C-25 °C).


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    AMM3400932959358 (1987 rév 04.12.2007) 20 cp.
    3400933231521 (1989 rév 04.12.2007) 30 cp.
      
    Prix :1.87 euros (20 comprimés).
    2.51 euros (30 comprimés).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.


    PFIZER Santé Familiale
    Coeur Défense, Tour A
    110, esplanade du Général-de-Gaulle
    La Défense 4
    92931 Paris-La Défense cdx
    Tél : 01 41 02 77 77
    Pharmacovigilance : Tél : 01 41 02 72 99

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