comprimé pelliculé
par 1 comprimé
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vérapamil chlorhydrate | 40 mg |
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– Traitement de l’angor sous toutes ses formes.
- – Traitement et prévention des tachycardies paroxystiques supraventriculaires.
- — Traitement et prévention des tachycardies paroxystiques supraventriculaires : 1 à 2 comprimés à 40 mg, 3 fois par jour, de préférence au cours du repas.
- — Traitement de l’angor sous toutes ses formes : la posologie initiale est de 240 mg/jour, soit 2 comprimés à 40 mg, 3 fois par jour. En cas d’efficacité insuffisante, la posologie peut être augmentée à 480 mg/jour sous la forme à libération prolongée de vérapamil à raison d’une prise à 240 mg, 2 fois par jour.
- – Sujet âgé de plus de 70 ans : la posologie sera de 120 à 240 mg/jour, soit 1 à 2 comprimés à 40 mg, 3 fois par jour.
- – Enfant : 5 mg/kg/jour en moyenne. Si la posologie doit être augmentée, il ne faut pas dépasser 10 mg/kg/jour.
- — Traitement de l’angor sous toutes ses formes : la posologie initiale est de 240 mg/jour, soit 2 comprimés à 40 mg, 3 fois par jour. En cas d’efficacité insuffisante, la posologie peut être augmentée à 480 mg/jour sous la forme à libération prolongée de vérapamil à raison d’une prise à 240 mg, 2 fois par jour.
Absolue(s) :
- Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
- Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
- Insuffisance cardiaque congestive
- Hypotension artérielle
- Maladie du sinus auriculaire non appareillé
- Hypersensibilité aux inhibiteurs calciques
- Intolérance génétique au galactose
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Déficit en lactase
- Insuffisance cardiaque
Elle doit être contrôlée avant la mise au traitement. Dans le cas où un digitalique est prescrit, il est nécessaire de surveiller étroitement la conduction auriculoventriculaire (effets additifs) et de contrôler les concentrations de digoxine et d’adapter la posologie (car le vérapamil peut augmenter de façon importante les concentrations plasmatiques de digoxine). - Bloc auriculoventriculaire du premier degré
Celui-ci peut être majoré et conduire à un bloc complet (en particulier au pic de concentration). - Fibrillation auriculaire
Fibrillation auriculaire + voie accessoire : le vérapamil peut faciliter la conduction antérograde dans la voie accessoire, aboutissant à une accélération marquée de la fréquence ventriculaire. - Flutter auriculaire
Flutter auriculaire + voie accessoire : le vérapamil peut faciliter la conduction antérograde dans la voie accessoire, aboutissant à une accélération marquée de la fréquence ventriculaire. - Insuffisance hépatique
La métabolisation est dans ce cas considérablement ralentie ; la demi-vie apparente d’élimination est très allongée. La posologie doit être fortement diminuée, par exemple par un facteur 5. - Sujet âgé
Le volume de distribution et la clairance totale sont fortement diminués ; par ailleurs, la biodisponibilité du vérapamil est plus élevée chez ces sujets que chez l’adulte. Il faut donc réduire la posologie et ne l’augmenter que progressivement. - Risque d’hépatite cytolytique
Des atteintes cytolytiques et cholestatiques d’origine immuno-allergique, accompagnées ou non de symptômes cliniques à type de malaise, fièvre, ictère et/ou douleurs du quadrant supérieur droit de l’abdomen ont été rarement rapportées chez les patients recevant du vérapamil. Si de tels symptômes apparaissent, il est recommandé de procéder à un dosage des enzymes hépatiques. En cas d’élévation des enzymes hépatiques et à plus forte raison, en cas d’ictère, le traitement doit être interrompu de manière définitive. - Risque d’hépatite cholestatique
Des atteintes cytolytiques et cholestatiques d’origine immuno-allergique, accompagnées ou non de symptômes cliniques à type de malaise, fièvre, ictère et/ou douleurs du quadrant supérieur droit de l’abdomen ont été rarement rapportées chez les patients recevant du vérapamil. Si de tels symptômes apparaissent, il est recommandé de procéder à un dosage des enzymes hépatiques. En cas d’élévation des enzymes hépatiques et à plus forte raison, en cas d’ictère, le traitement doit être interrompu de manière définitive. - Interaction phytothérapique : millepertuis
Niveau de gravité :
Contre-indication
Nature du risque :
Réduction importante des concentrations de vérapamil, avec risque de perte de son effet thérapeutique. - Interaction alimentaire : jus de pamplemousse
Niveau de gravité :
A prendre en compte
Nature du risque :
Augmentation des concentrations plasmatiques de vérapamil, avec risque de survenue d’effets indésirables.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
- Il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du vérapamil lorsqu’il est administré pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le vérapamil pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse.
- Pendant le troisième trimestre de la grossesse, l’utilisation du vérapamil au cours d’un nombre limité de grossesses n’a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier à ce jour. En conséquence, l’utilisation du vérapamil ne doit être envisagée au cours du troisième trimestre de la grossesse que si nécessaire.
- Il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du vérapamil lorsqu’il est administré pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le vérapamil pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse.
Allaitement :
- Le vérapamil est fortement lié aux protéines plasmatiques et les concentrations dans le lait sont faibles : elles exposent l’enfant à une ingestion de moins d’un milligramme de vérapamil par jour. Les quelques cas décrits n’ont pas rapportés d’effets indésirables chez l’enfant.
- Par ailleurs, les concentrations plasmatiques dans le sang de l’enfant ne sont pratiquement pas détectables.
- En conséquence, l’allaitement est possible , à condition de prendre le médicament juste après la tétée, d’attendre 4 heures avant la suivante et d’assurer une surveillance clinique régulière chez l’enfant.
- Par ailleurs, les concentrations plasmatiques dans le sang de l’enfant ne sont pratiquement pas détectables.
- Nervosité
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Asthénie
- Debut de traitement.
- Debut de traitement.
- Hypotension artérielle
- Oedème périphérique
- Bradycardie
- Bloc auriculoventriculaire
- Insuffisance cardiaque congestive
- Choc cardiogénique
- Constipation
- Hépatite cytolytique
- Hépatite cholestatique
- Ictère
- Douleur abdominale
- Malaise
- Fièvre
- Transaminases (augmentation)
- Phosphatases alcalines (augmentation)
- Atteinte gingivo-dentaire (Rare)
- Gingivite (Rare)
- Hyperplasie gingivale (Rare)
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Classement ATC :
C08DA01 / VERAPAMIL
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Classement Vidal :
Antiangoreux : inhibiteur calcique (Vérapamil)
Antiarythmique : groupe IV : inhibiteur calcique (Voie orale : vérapamil)
Liste I
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CIP : 3443614 (VERAPAMIL RATIOPHARM 40 mg cp pellic : B/75).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Ratiopharm
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