comprimé pelliculé sécable
par 1 comprimé
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acébutolol chlorhydrate | |
Exprimé en acébutolol | 400 mg |
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– Hypertension artérielle
– Prophylaxie des crises d’angor d’effort
– Traitement de certains troubles du rythme : supraventriculaires (tachycardies, flutters et fibrillations auriculaires, tachycardies jonctionnelles) ou ventriculaires (extrasystolies ventriculaires, tachycardies ventriculaires).
- – Hypertension artérielle : la posologie journalière habituelle de l’acébutolol est de 400 mg que l’on administrera soit de préférence en une seule prise chaque matin, soit en deux prises, une le matin et une le soir (il existe une forme dosée à 200 mg). Cette posologie pourra être majorée en cas d’hypertension artérielle sévère.
- – Prophylaxie des crises d’angor d’effort, tachyarythmies : la dose journalière peut varier de 400 à 800 mg (600 mg en moyenne), en commençant par la dose la plus faible et en adaptant, par paliers progressifs, la posologie à l’état clinique ou à l’électrocardiogramme.
Absolue(s) :
- Asthme sévère
- Bronchopneumopathie chronique obstructive sévère
- Insuffisance cardiaque congestive
- Choc cardiogénique
- Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
- Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
- Angor de Prinzmetal
- Maladie du sinus auriculaire non appareillé
- Bradycardie
- Syndrome de Raynaud
- Trouble circulatoire périphérique sévère
- Phéochromocytome non traité
- Hypotension artérielle
- Hypersensibilité aux bêtabloquants
- Accident allergique anaphylactique, antécédent (d’)
- Allaitement
- Intolérance génétique au galactose
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Déficit en lactase
- Traitement à arrêter progressivement
– Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux : l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite. - – Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les sujets présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire idéalement sur une à deux semaines,en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
- Angor
Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux : l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite. - Insuffisance coronarienne
Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les sujets présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire idéalement sur une à deux semaines,en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor. - Asthme
Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. - Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
- En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
- Bronchopneumopathie chronique obstructive
Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. - Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
- En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
- Insuffisance cardiaque
Chez l’insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas de nécessité, l’acébutolol sera administré à très faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance médicale stricte. - Risque de bradycardie
Si la fréquence s’abaisse au dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée. - Bloc auriculoventriculaire du premier degré
Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré. - Angor de Prinzmetal
Les bêta-bloquants peuvent augmenter le nombre et la durée des crises chez les patients souffrant d’un angor de Prinzmetal. L’utilisation d’un bêta-bloquant bêta-1 cardiosélectif est possible, dans les formes mineures et associées, à condition d’administrer conjointement un vasodilatateur. - Trouble circulatoire périphérique
Chez les patients souffrant de troubles artériels périphériques (maladie ou syndrome de Raynaud, artérites ou artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs), les bêta-bloquants peuvent entraîner une aggravation de ces troubles. Dans ces situations, il convient de privilégier un bêta-bloquant cardiosélectif et doté d’un pouvoir agoniste partiel, que l’on administrera avec prudence. - Phéochromocytome
L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle. - Sujet âgé
Chez le sujet âgé, le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite. - Insuffisance rénale
En cas d’insuffisance renale, il convient d’adapter la posologie à l’état de la fonction rénale : en pratique, il suffit de surveiller le rythme cardiaque, de façon à diminuer les doses s’il apparaît une bradycardie excessive (< 50-55 batt/min au repos). - Diabète
Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. - Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
- Psoriasis
Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée. - Sujet allergique
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles. - Anesthésie générale
Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d’hypotension. - La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
- – Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures peut est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensiblité aux catécholamines.
- – Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
. chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants. - . en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
- . le risque anaphylactique devra être pris en compte.
- Hyperthyroïdie
Les bêta-bloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires. - Sportif
L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. - Traitement de désensibilisation en cours
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
- En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêtabloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
- Chez le nouveau-né de mère traitée, l’action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance et peut se traduire par une bradycardie, une détresse respiratoire, une hypoglycémie mais, le plus souvent, cette rémanence est sans conséquence clinique. Il peut néanmoins survenir, par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation, une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), tout en évitant les solutions de remplissage (risque d’OAP).
- En conséquence, ce médicament, dans les conditions normales d’utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse, si besoin. En cas de traitement jusqu’à l’accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.
- En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêtabloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
Allaitement :
- En cas de traitement par l’acébutolol, l’allaitement est contre-indiqué, en raison d’un passage important dans le lait (cf Pharmacocinétique).
- Eruption cutanée
- Asthénie
- Refroidissement des extrémités
- Bradycardie sévère
- Douleur épigastrique
- Nausée
- Vomissement
- Impuissance
- Bloc auriculoventriculaire
- Bloc auriculoventriculaire (aggravation)
- Insuffisance cardiaque
- Hypotension artérielle
- Bronchospasme
- Hypoglycémie
- Syndrome de Raynaud
- Claudication intermittente (aggravation)
- Eruption psoriasiforme
- Psoriasis (aggravation)
- Pneumopathie (Exceptionnel)
- Anticorps antinucléaire (augmentation) (Rare)
- Syndrome lupique (Exceptionnel)
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Classement ATC :
C07AB04 / ACEBUTOLOL
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Classement Vidal :
Antiangoreux : bêtabloquant (Acébutolol)
Antiarythmique : groupe II : bêtabloquant : acébutolol
Antihypertenseur : bêtabloquant (Acébutolol)
Liste I
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CIP : 3594974 (ACEBUTOLOL ARROW 400 mg cp pellic séc : B/30).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Arrow Génériques
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