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IBUPROFENE RATIOPHARM CONSEIL 200 mg cp enr






comprimé enrobé
par 1 comprimé
ibuprofène200 mg
Excipients : amidon de maïs, amidon prégélatinisé, silice colloïdale anhydre, acide stéarique, povidone, talc, macrogol 6000, saccharose, polysorbate 80, calcium carbonate, sepisperse rouge AS5050, ( saccharose, sodium benzoate, p-hydroxybenzoate de méthyle, p-hydroxybenzoate de propyle, fer rouge oxyde ).

Ce médicament contient un anti-inflammatoire non stéroïdien : l’ibuprofène.

  • Il est indiqué chez l’adulte et l’enfant de plus de 20kg (environ 6 ans), dans le traitement de courte durée de la fièvre et/ou des douleurs telles que maux de tête, états grippaux, douleurs dentaires, courbatures et règles douloureuses.

  • La survenue d’effets indésirables peut être minimisée par l’utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes (voir Mises en garde et précautions d’emploi).
  • Posologie
    RÉSERVÉ À L’ADULTE ET A L’ENFANT DE PLUS DE 20 KG (soit environ 6 ans).
  • Affections douloureuses et/ou fébriles
    Chez l’enfant, la posologie usuelle est de 20 à 30 mg/kg/jour en 3 prises par jour (sans dépasser 30 mg/kg/jour).
  • Chez l’enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 11 ans) : 1 comprimé (200 mg), à renouveler si besoin au bout de 6 heures. Dans tous les cas, ne pas dépasser 3 comprimés par jour (600 mg).
  • Chez l’adulte et l’enfant de plus de 30 kg (environ 11-12 ans) : 1 à 2 comprimés (200 mg), à renouveler si besoin au bout de 6 heures. Dans tous les cas, ne pas dépasser 6 comprimés par jour (1200 mg).
  • Sujets âgés : l’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène, la posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre. Cependant des précautions sont à prendre (voir Mises en garde et précautions d’emploi).Fréquence d’administration
    Les prises systématiques permettent d’éviter les oscillations de fièvre ou de douleur.
  • Elles doivent être espacées d’au moins 6 heures.Durée de traitement :
    Si la douleur persiste plus de cinq jours ou si elle s’aggrave, ou si la fièvre persiste plus de trois jours ou en cas de survenue d’un nouveau trouble, il est conseillé au patient de prendre un avis médical.Mode d’administration
    Voie orale.
  • Avaler le comprimé sans le croquer, avec un grand verre d’eau, de préférence au cours du repas.

  • Absolue(s) :
    • Grossesse, 4 derniers mois (de la)
    • Hypersensibilité aux parabènes
    • Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
    • Hypersensibilité aux AINS
    • Hypersensibilité aux salicylés
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Crise d’asthme liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Crise d’asthme liée à la prise d’aspirine, antécédent (de)
    • Hémorragie gastro-intestinale liée à la prise d’AINS, antécédent (d’)
    • Perforation gastro-intestinale liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Ulcère gastroduodénal évolutif
    • Ulcère gastroduodénal, antécédent (d’)
    • Hémorragie récurrente, antécédent (d’)
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
    • Intolérance au fructose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Sucrase-isomaltase, déficit (en)

    • Hypertension artérielle, antécédent
      Avant tout traitement, une attention particulière est requise (entretien avec le médecin ou le
      pharmacien) pour les sujets présentant des antécédents d’hypertension et/ou d’insuffisance
      cardiaque, des cas de rétention hydrosodée, d’hypertension et d’oedème ayant été
      rapportés en association au traitement par A.I.N.S.
    • Antécédent d’insuffisance cardiaque
      Avant tout traitement, une attention particulière est requise (entretien avec le médecin ou le
      pharmacien) pour les sujets présentant des antécédents d’hypertension et/ou d’insuffisance
      cardiaque, des cas de rétention hydrosodée, d’hypertension et d’oedème ayant été
      rapportés en association au traitement par A.I.N.S.
    • Rechercher la posologie minimale efficace
      La survenue d’effets indésirables peut être minimisée par l’utilisation de la dose la plus
      faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement
      des symptômes (cf Posologie et Risque gastro-intestinal et cardiovasculaire).
    • Asthme
      Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, plus élevé que le reste de la population.
    • L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez
      certains sujets allergiques à l’aspirine ou à un A.I.N.S. (cf Contre-indications).
    • Sujet âgé
      Les sujets âgés présentent un risque accru d’effets indésirables aux A.I.N.S., en particulier d’hémorragie gastro-intestinale et de perforations pouvant être fatales (Posologie).
    • Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Risque d’hémorragie digestive
      Des hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les A.I.N.S., à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Le risque d’hémorragie, d’ulcération ou de perforation gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (cf Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faibles doses d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (cf Interactions médicamenteuses).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • En cas d’apparition d’hémorragie ou d’ulcération survenant chez un patient recevant IBUPROFENE 200 mg, comprimé enrobé, le traitement doit être arrêté.
    • Risque d’ulcère digestif
      Des hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les A.I.N.S., à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Le risque d’hémorragie, d’ulcération ou de perforation gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (cf Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faibles doses d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (cf Interactions médicamenteuses).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements
      gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • En cas d’apparition d’hémorragie ou d’ulcération survenant chez un patient recevant IBUPROFENE 200 mg, comprimé enrobé, le traitement doit être arrêté.
    • Risque de perforation gastro-intestinale
      Des hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les A.I.N.S., à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Le risque d’hémorragie, d’ulcération ou de perforation gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (cf Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faibles doses d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (cf Interactions médicamenteuses).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements
      gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • En cas d’apparition d’hémorragie ou d’ulcération survenant chez un patient recevant IBUPROFENE 200 mg, comprimé enrobé, le traitement doit être arrêté.
    • Pathologie digestive, antécédent
      Les A.I.N.S. doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (cf Effets indésirables).
    • Antécédent de maladie de Crohn
      Les A.I.N.S. doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (cf Effets indésirables).
    • Antécédent de rectocolite hémorragique
      Les A.I.N.S. doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (cf Effets indésirables).
    • Patient traité à posologie élevée
      Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l’utilisation de l’ibuprofène, surtout lorsqu’il est utilisé à dose élevée (2400 mg par jour) et sur une longue durée de traitement, peut être associée à une légère augmentation du risque d’évènement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
    • Toutefois, les données épidémiologiques ne suggèrent pas que les faibles doses d’ibuprofène (< ou =1200mg par jour) soient associées à une augmentation du risque d’infarctus du myocarde.
    • Hypertension artérielle non contrôlée
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Insuffisance coronarienne
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Artériopathie périphérique
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Antécédent d’accident vasculaire cérébral
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Accident ischémique transitoire, antécédent (d’)
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par ibuprofène qu’après un examen attentif.
    • Hypertension artérielle
      Une attention particulière doit être portée avant toute initiation d’un traitement à long terme chez les patients présentant des facteurs de risques pour les pathologies cardiovasculaires (comme une hypertension, une hyperlipidémie, un diabète ou une consommation tabagique).
    • Hyperlipidémie
      Une attention particulière doit être portée avant toute initiation d’un traitement à long terme chez les patients présentant des facteurs de risques pour les pathologies cardiovasculaires (comme une hypertension, une hyperlipidémie, un diabète ou une consommation tabagique).
    • Diabète
      Une attention particulière doit être portée avant toute initiation d’un traitement à long terme chez les patients présentant des facteurs de risques pour les pathologies cardiovasculaires (comme une hypertension, une hyperlipidémie, un diabète ou une consommation tabagique).
    • Hyperkaliémie favorisée par le diabète. Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
    • Tabagisme
      Une attention particulière doit être portée avant toute initiation d’un traitement à long terme chez les patients présentant des facteurs de risques pour les pathologies cardiovasculaires (comme une hypertension, une hyperlipidémie, un diabète ou une consommation tabagique).
    • Risque de réaction cutanée
      Des réactions cutanées graves, dont certaines d’évolution fatale, incluant des dermatites exfoliatives, des syndromes de Stevens-Johnson et des syndromes de Lyell ont été très rarement rapportées lors de traitements par A.I.N.S. (cf Effets indésirables).
    • L’incidence de ces effets indésirables semble plus importante en début de traitement, le délai d’apparition se situant, dans la majorité des cas, pendant le premier mois de traitement. IBUPROFENE 200 mg comprimé enrobé devra être arrêté dès l’apparition d’un rash cutané, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d’hypersensibilité.
    • Risque de dermatite exfoliative
      Des réactions cutanées graves, dont certaines d’évolution fatale, incluant des dermatites exfoliatives, des syndromes de Stevens-Johnson et des syndromes de Lyell ont été très rarement rapportées lors de traitements par A.I.N.S. (cf Effets indésirables).
    • L’incidence de ces effets indésirables semble plus importante en début de traitement, le délai d’apparition se situant, dans la majorité des cas, pendant le premier mois de traitement. IBUPROFENE RATIOPHARM CONSEIL 200 mg comprimé enrobé devra être arrêté dès l’apparition d’un rash cutané, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d’hypersensibilité.
    • Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
      Des réactions cutanées graves, dont certaines d’évolution fatale, incluant des dermatites exfoliatives, des syndromes de Stevens-Johnson et des syndromes de Lyell ont été très rarement rapportées lors de traitements par A.I.N.S. (cf Effets indésirables).
    • L’incidence de ces effets indésirables semble plus importante en début de traitement, le délai d’apparition se situant, dans la majorité des cas, pendant le premier mois de traitement. IBUPROFENE 200 mg comprimé enrobé devra être arrêté dès l’apparition d’un rash cutané, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d’hypersensibilité.
    • Varicelle
      La varicelle peut exceptionnellement être à l’origine de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous. A ce jour, le rôle favorisant des AINS dans l’aggravation de ces infections ne peut être écarté. Il est donc prudent d’éviter l’utilisation d’IBUPROFENE 200 mg comprimé enrobé en cas de varicelle (cf Effets indésirables).
    • Risque d’insuffisance rénale aiguë fonctionnelle
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Hypovolémie
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Insuffisance cardiaque
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Insuffisance rénale chronique
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Syndrome néphrotique
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Néphropathie lupique
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Cirrhose hépatique décompensée
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez ces patients.
    • Risque de rétention hydrosodée
      Rétention hydro-sodée avec possibilité d’œdèmes, d’HTA ou de majoration d’HTA, d’aggravation d’insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début de traitement en cas d’HTA ou d’insuffisance cardiaque. Une diminution de l’effet des antihypertenseurs est possible (cf Interactions médicamenteuses).
    • Risque d’hypertension artérielle
      Rétention hydro-sodée avec possibilité d’œdèmes, d’HTA ou de majoration d’HTA, d’aggravation d’insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début de traitement en cas d’HTA ou d’insuffisance cardiaque. Une diminution de l’effet des antihypertenseurs est possible (cf Interactions médicamenteuses).
    • Risque d’aggravation de l’insuffisance cardiaque
      Rétention hydro-sodée avec possibilité d’œdèmes, d’HTA ou de majoration d’HTA, d’aggravation d’insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début de traitement en cas d’HTA ou d’insuffisance cardiaque. Une diminution de l’effet des antihypertenseurs est possible (cf Interactions médicamenteuses).
    • Risque d’hyperkaliémie
      Hyperkaliémie favorisée par le diabète ou un traitement concomitant par des médicaments
      hyperkaliémiants (cf Interactions médicamenteuses).
    • Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
    • Risque sur la fertilité
      L’ibuprofène, comme tout médicament inhibiteur de la synthèse des cyclooxygénases et des prostaglandines, peut altérer la fertilité. Son utilisation n’est pas recommandée chez les femmes qui souhaitent concevoir un enfant.
    • Risque de trouble ophtalmique
      En cas de troubles de la vue apparaissant en cours de traitement, un examen ophtalmologique complet doit être effectué.
    • Femme susceptible d’être enceinte
      L’ibuprofène, comme tout médicament inhibiteur de la synthèse des cyclooxygénases et
      des prostaglandines, peut altérer la fertilité. Son utilisation n’est pas recommandée chez les
      femmes qui souhaitent concevoir un enfant.
    • Le traitement doit être de courte durée
      Limité à 5 jours pour le traitement de la douleur et à 3 jours pour le traitement de la fièvre.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon ou du foetus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1%, à approximativement 1,5 %. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l’animal, il a été montré que l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-fœtale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d’organogénèse de la gestation. Sauf nécessité absolue, IBUPROFENE ne doit donc pas être prescrit au cours des 24 premières semaines d’aménorrhée (5 mois de grossesse révolus).
  • Si IBUPROFENE est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de six mois (ou au choix de 5 mois révolus), la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible.
  • Au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus), tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à :
    – une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire).
  • – un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligohydramnios.
  • En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :
    – un allongement du temps de saignement du fait d’une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ;
    – une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé.
  • En conséquence, l’ibuprofène est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus).
  •  Allaitement :

    Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.

    • Thrombose artérielle
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Infarctus du myocarde
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Accident vasculaire cérébral
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Ulcère gastroduodénal
    • Perforation gastro-intestinale
    • Hémorragie gastro-intestinale
      Sujet âgé.
    • Nausée
    • Vomissement
    • Diarrhée
    • Flatulence
    • Constipation
    • Ulcération buccale
    • Douleur abdominale
    • Méléna
    • Hématémèse
    • Rectocolite hémorragique (aggravation)
    • Maladie de Crohn (aggravation)
    • Gastrite
    • Oedème
    • Hypertension artérielle
    • Insuffisance cardiaque
    • Douleur épigastrique
    • Dyspepsie
    • Transit intestinal (modification)
    • Ulcère digestif
    • Hémorragie digestive occulte
    • Eruption cutanée
    • Prurit
    • Urticaire chronique (aggravation)
    • Crise d’asthme
    • Oedème de Quincke
    • Choc anaphylactique
    • Infection cutanée (Exceptionnel)
    • Affection des tissus mous (Exceptionnel)
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
    • Syndrome de Lyell (Très rare)
    • Vertige (Exceptionnel)
    • Céphalée (Exceptionnel)
    • Vision (modification) (Rare)
    • Oligurie
    • Insuffisance rénale
    • Méningite aseptique
    • Transaminases (augmentation) (Rare)
    • Hépatite (Exceptionnel)
    • Agranulocytose
    • Anémie hémolytique

    • Classement ATC : 
          M01AE01 / IBUPROFENE
    • Classement Vidal : 
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : ibuprofène Antalgique

    • CIP : 3602828 (IBUPROFENE RATIOPHARM CONSEIL 200 mg cp enr : Plq/20).
    • Disponibilité : officines
      Non remboursé


    Ratiopharm


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