logo news copy.webp
Search
Close this search box.

BROMAZEPAM ARROW 6 mg cp quadriséc






comprimé quadrisécable
par 1 comprimé
bromazépam6 mg
Excipients : lactose monohydrate, cellulose microcristalline, talc, magnésium stéarate.

– Traitement symptomatique des manifestations anxieuses sévères et/ou invalidantes,
– Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations du sevrage alcoolique.


L’utilisation du bromazépam n’est pas recommandée chez l’enfant, en l’absence d’étude. De plus, le comprimé n’est pas une forme adaptée à l’enfant de moins de 6 ans (risque de fausse route).
  • Dose
    Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plus faible et la dose maximale ne sera pas dépassée.
  • En pratique courante :
    Chez l’adulte, en début de traitement, la posologie quotidienne moyenne du BROMAZEPAM est de 6 mg par jour, répartis le plus souvent de la manière suivante :
    – 1/4 de comprimé-baguette le matin (1,5 mg),
    – 1/4 de comprimé-baguette à midi (1,5 mg),
    – 1/2 comprimé-baguette le soir (3 mg).
  • Elle doit être ensuite adaptée individuellement en fonction de la réponse thérapeutique.
  • En psychiatrie :
    Selon la gravité de l’anxiété à traiter : chez les malades ambulatoires, la posologie s’établit entre 6 et 18 mg ; chez des sujets dont la sévérité du syndrome anxieux exige l’hospitalisation, il est possible de prescrire des doses plus élevées, 24 voire 36 mg par jour.
  • Chez l’enfant, le sujet âgé, l’insuffisant rénal ou hépatique : il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
  • Durée
    Le traitement doit être aussi bref que possible. L’indication sera réévaluée régulièrement surtout en l’absence de symptômes. La durée globale du traitement ne devrait pas excéder 8 à 12 semaines pour la majorité des patients, y compris la période de réduction de la posologie (cf. Précautions d’emploi).
  • Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitement au-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises et répétées de l’état du patient.
  • Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations du sevrage alcoolique : traitement bref de l’ordre de 8 à 10 jours.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux benzodiazépines
    • Insuffisance respiratoire sévère
    • Syndrome d’apnée du sommeil
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Myasthénie
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase
    • Hypersensibilité à l’un des composants

    • Risque de syndrome de sevrage
      Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
    • Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
    • Certains symptômes sont fréquents et d’apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
    • D’autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
    • Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d’action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l’intervalle qui sépare deux prises.
    • L’association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu’en soit l’indication anxiolytique ou hypnotique, d’accroître le risque de pharmacodépendance.
    • Des cas d’abus ont également été rapportés.
    • Risque de développement d’une tolérance en cas de traitement prolongé ou répété
      L’effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l’utilisation de la même dose en cas d’administration durant plusieurs semaines.
    • Risque de dépendance
      Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d’utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.
    • Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :
      – durée du traitement,
      – dose,
      – antécédents d’autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
    • Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
    • Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
    • Certains symptômes sont fréquents et d’apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
    • D’autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
    • Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d’action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l’intervalle qui sépare deux prises.
    • L’association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu’en soit l’indication anxiolytique ou hypnotique, d’accroître le risque de pharmacodépendance.
    • Des cas d’abus ont également été rapportés.
    • Risque d’effet rebond
      Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d’une exacerbation de l’anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.
    • Risque d’amnésie antérograde
      Une amnésie antérograde est susceptible d’apparaître dans les heures qui suivent la prise.
    • Risque de trouble psychomoteur
      Des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d’apparaître dans les heures qui suivent la prise.
    • Risque de réaction paradoxale
      Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l’état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :
      peuvent être observés :
      – aggravation de l’insomnie, cauchemars, agitation, nervosité,
      – idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique,
      – désinhibition avec impulsivité,
      – euphorie, irritabilité,
      – amnésie antérograde,
      – suggestibilité.
    • Ce syndrome peut s’accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :
      – comportement inhabituel pour le patient,
      – comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l’entourage tente d’entraver l’activité du patient,
      – conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
    • Ces manifestations imposent l’arrêt du traitement.
    • Sujet âgé
      Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période de l’ordre de 5 demi-vies (cf. Propriétés pharmacocinétiques).
    • Chez des personnes âgées ou souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s’allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n’est qu’après l’obtention d’un plateau d’équilibre qu’il est possible d’évaluer à la fois l’efficacité et la sécurité du médicament.
    • Une adaptation posologique peut être nécessaire (cf. Posologie).
    • Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    • Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d’effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population.
    • Insuffisance rénale
      Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période de l’ordre de 5 demi-vies (cf. Propriétés pharmacocinétiques).
    • Chez des personnes souffrant d’insuffisance rénale, la demi-vie peut s’allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n’est qu’après l’obtention d’un plateau d’équilibre qu’il est possible d’évaluer à la fois l’efficacité et la sécurité du médicament.
    • Une adaptation posologique peut être nécessaire (cf. Posologie).
    • Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    • Insuffisance hépatique
      Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période de l’ordre de 5 demi-vies (cf. Propriétés pharmacocinétiques).
    • Chez des personnes souffrant d’insuffisance hépatique, la demi-vie peut s’allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n’est qu’après l’obtention d’un plateau d’équilibre qu’il est possible d’évaluer à la fois l’efficacité et la sécurité du médicament.
    • Une adaptation posologique peut être nécessaire (cf. Posologie).
    • Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple.
    • Antécédent d’alcoolisme
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme.
    • Etat de dépendance, antécédent
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’autres dépendances, médicamenteuses ou non.
    • Dépression
      Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.
    • Traitement à arrêter progressivement
      MODALITES D’ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT
      Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.
    • Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d’un phénomène de rebond, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.
    • Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Plus encore que chez l’adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évaluée et la durée du traitement aussi brève que possible. Aucune étude clinique n’a été conduite chez l’enfant avec le bromazépam.
    • Insuffisance respiratoire
      Chez l’insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d’autant que l’anxiété et l’agitation peuvent constituer des signes d’appel d’une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      Majoration par l’alcool de l’effet sédatif des benzodiazépines et apparentés. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
    • Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
    • Interaction alimentaire : alcool
      Majoration par l’alcool de l’effet sédatif des benzodiazépines et apparentés. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
    • Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    A ce jour, aucun effet malformatif n’est attribué à l’exposition aux benzodiazépines au cours du premier trimestre de la grossesse.
  • En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3ème trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et de la variabilité du rythme cardiaque foetal
    ont été décrits.
  • Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d’imprégnation tels qu’hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néo-natal est possible, même en l’absence de signes d’imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l’accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d’élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue.
  • Compte tenu de ces données, l’utilisation de bromazépam est envisageable au cours de la grossesse quel qu’en soit le terme, dans le strict respect des indications et des posologies.
  • En fin de grossesse, s’il s’avère nécessaire d’instaurer un traitement par bromazépam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.
  •  Allaitement :

    L’utilisation de ce médicament pendant l’allaitement est déconseillée.

    Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence.
  • L’association avec d’autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d’utilisation de machines.
  • Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d’altération de la vigilance est encore accru.

    • Effets secondaires généraux
    • Amnésie antérograde
    • Trouble du comportement
    • Altération de la conscience
    • Irritabilité
    • Agressivité
    • Agitation
    • Dépendance physique
    • Dépendance psychique
    • Syndrome de sevrage
      Arret du traitement.
    • Phénomène de rebond
      Arret du traitement.
    • Sensation de vertige
    • Céphalée
    • Ataxie
    • Confusion mentale
    • Trouble de la vigilance
    • Somnolence
      Sujet âgé.
    • Insomnie
    • Cauchemar
    • Nervosité
    • Trouble de la libido
    • Eruption cutanée
    • Hypotonie musculaire
    • Asthénie
    • Diplopie

    • Classement ATC : 
          N05BA08 / BROMAZEPAM
    • Classement Vidal : 
          Anxiolytique : benzodiazépine (Voie orale)

    Liste I
    • CIP : 3610673 (BROMAZEPAM ARROW 6 mg cp quadriséc : B/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Arrow Génériques


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires

    LACRIFLUID®

    carbomère 980 FORMES et PRÉSENTATIONS Collyre en solution à 0,13 % :  Flacon compte-gouttes de 10 g.

    Read More »

    OPHIDUS®

    OPHIDUS® Gélules (enveloppe d’origine végétale) :  Boîte de 30 (ACL 732453.3).

    Read More »