comprimé sécable
par 1 comprimé
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énalapril maléate | 20 mg |
hydrochlorothiazide | 12,5 mg |
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Traitement de l’hypertension artérielle en cas d’échec thérapeutique d’une monothérapie par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
- La combinaison des deux principes actifs à doses fixes n’est pas adaptée en tant que traitement initial.
- POSOLOGIE :
Chaque comprimé contient 20 mg de maléate d’énalapril et 12,5 mg d’hydrochlorothiazide.- La posologie sera ajustée en fonction du profil du patient (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) et de la réponse tensionnelle.
- — Fonction rénale normale :
La posologie habituelle est de 1 comprimé en une prise quotidienne.- — Insuffisance rénale :
– Lorsque la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 80 ml/min, la posologie habituelle est d’un 1/2 comprimé en une prise quotidienne.- Chez ces malades, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine, par exemple tous les deux mois en période de stabilité thérapeutique (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- – Lorsque la clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min : contre-indication.
- — Population à risque :
Chez les patients présentant une déplétion hydrosodée, les sujets âgés et les patients diabétiques, la posologie habituelle est de 1/2 comprimé en une prise quotidienne (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).- — Sujet âgé :
La posologie doit être ajustée en fonction de la fonction rénale du sujet.- Il est recommandé d’initier le traitement à la posologie d’un demi-comprimé, dans le cas où il existerait une baisse physiologique de la fonction rénale (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- — Enfants et adolescents :
A ce jour, la tolérance et l’efficacité de Enalapril/hydrochlorothiazide n’ont pas été démontrées.- MODE D’ADMINISTRATION :
Enalapril/hydrochlorothiazide peut être administré en une seule prise ou en deux prises par jour, avec ou sans aliments, chez des patients dont la pression artérielle n’est pas convenablement contrôlée par énalapril seul ou hydrochlorothiazide seul.- Dans le cas d’une réponse thérapeutique non satisfaisante, l’ajout d’autres agents antihypertenseurs peut s’avérer nécessaire.
- La posologie sera ajustée en fonction du profil du patient (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) et de la réponse tensionnelle.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
- Oedème angioneurotique héréditaire
- Oedème de Quincke
- Grossesse, 6 derniers mois (de la)
- Hypersensibilité aux sulfamides
- Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
- Insuffisance hépatique sévère
- Encéphalopathie hépatique
- Intolérance génétique au galactose
- Déficit en lactase
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Risque d’hypotension artérielle
— Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une hypertension artérielle et traités par énalapril, une hypotension symptomatique peut survenir si le patient présente des signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, liée à un traitement diurétique, un régime sans sel strict, une dialyse, à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements.
- Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère, traités par des doses élevées de diurétiques de l’anse, ou présentant une hyponatrémie ou une insuffisance rénale fonctionnelle.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- Des considérations similaires peuvent s’appliquer aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une insuffisance circulatoire cérébrale, car chez ces patients, toute chute excessive de la pression artérielle peut conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident cérébral vasculaire.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Chez des patients insuffisants cardiaques mais ayant une tension artérielle normale ou une très légère hypotension, une diminution additionnelle de la pression artérielle peut se produire après administration d’énalapril. Cet effet est connu et une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Si l’hypotension devient persistante, une diminution de la dose et/ou un arrêt du traitement par diurétique ou par énalapril peut s’avérer nécessaire.
- — Lié à l’association :
Les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront systématiquement recherchés. Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients. - Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Après rétablissement d’une volémie et l’obtention d’une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
- Trouble hydroélectrolytique
— Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une hypertension artérielle et traités par énalapril, une hypotension symptomatique peut survenir si le patient présente des signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, liée à un traitement diurétique, un régime sans sel strict, une dialyse, à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- — Lié à l’association :
Les signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, pouvant survenir à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements, seront systématiquement recherchés. Une surveillance régulière des électrolytes plasmatiques sera effectuée chez de tels patients. - Une hypotension importante peut nécessiter la mise en place d’une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Après rétablissement d’une volémie et l’obtention d’une pression artérielle satisfaisante, il est possible de reprendre le traitement soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants.
- Insuffisance cardiaque
— Lié à l’énalapril :
– Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère, traités par des doses élevées de diurétiques de l’anse, ou présentant une hyponatrémie ou une insuffisance rénale fonctionnelle.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Chez des patients insuffisants cardiaques mais ayant une tension artérielle normale ou une très légère hypotension, une diminution additionnelle de la pression artérielle peut se produire après administration d’énalapril. Cet effet est connu et une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Si l’hypotension devient persistante, une diminution de la dose et/ou un arrêt du traitement par diurétique ou par énalapril peut s’avérer nécessaire.
- – En cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine < 80 ml/min), la posologie initiale en énalapril devra être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine du patient (cf Posologie/Mode d’administration) puis, en fonction de la réponse du patient au traitement administré. Chez ces patients, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine.
- Des cas d’insuffisance rénale ont été mis en évidence lors de la prise d’énalapril, et plus particulièrement observés chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère. Si elle est détectée rapidement et traitée de façon appropriée, l’insuffisance rénale liée au traitement par énalapril est généralement réversible à l’arrêt du traitement.
- — Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Insuffisance rénale
— Lié à l’énalapril :
– Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance rénale fonctionnelle.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- – En cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine < 80 ml/min), la posologie initiale en énalapril devra être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine du patient (cf Posologie/Mode d’administration) puis, en fonction de la réponse du patient au traitement administré. Chez ces patients, la pratique médicale normale comprend un contrôle périodique du potassium et de la créatinine.
- Des cas d’insuffisance rénale ont été mis en évidence lors de la prise d’énalapril, et plus particulièrement observés chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère ou une pathologie rénale sous jacente, y compris une sténose de l’artère rénale. Si elle est détectée rapidement et traitée de façon appropriée, l’insuffisance rénale liée au traitement par énalapril est généralement réversible à l’arrêt du traitement.
- Des patients hypertendus, sans pathologie rénale apparente préexistante, ont présenté une urémie et une créatininémie augmentées, après avoir été traités par énalapril en association avec un diurétique.
- Une diminution de la posologie d’énalapril et/ou une interruption du traitement sous diurétique peuvent être nécessaires.
- Ces cas doivent évoquer une possible sténose sous-jacente de l’artère rénale.
- – Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
- Chez des patients présentant une fonction rénale normale et n’ayant aucun autre facteur de complication associé, les cas de neutropénie sont rares.
- L’énalapril devra être utilisé avec une extrême précaution en cas de maladies de système (collagénose), en cas d’association médicamenteuse avec des traitements immunosuppresseurs, des traitements par allopurinol ou procainamide, ou en cas d’association de ces différents facteurs de complication, et plus particulièrement en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale.
- Certains de ces patients ont pu développer des infections graves qui dans certains cas n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. En cas de traitement par énalapril chez ces patients, des contrôles périodiques de la formule leucocytaire sont recommandés et les patients doivent être sensibilisés à signaler tout signe d’infection pouvant se produire.
- – Une élévation de la kaliémie a été observée chez certains patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus.
- Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les patients insuffisants rénaux, les diabétiques ou ceux recevant un traitement concomitant de diurétiques épargneurs de potassium, un traitement supplémenté en potassium, un traitement à base de sels de potassium ; ou ceux sous autre traitement à l’origine d’une augmentation du potassium plasmatique.
- Si l’utilisation concomitante de ces traitements s’avère indispensable, ils seront utilisés avec prudence et un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
- — Lié à l’hydrochlorothiazide :
– Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (l’évaluation de la fonction rénale peut être faite par exemple par rapport à la clairance de la créatinine). - Chez le sujet âgé, la valeur de la clairance de la créatinine doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockcroft, par exemple :
Clcr = (140 – âge) x poids/0,814 x créatininémie
(avec l’âge exprimé en années, le poids exprimé en kg, la créatininémie exprimée en µmol/l). - Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
- L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie.
- Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
- Les diurétiques thiazidiques et apparentés doivent être utilisés avec précaution chez des patients présentant une insuffisance rénale sévère.
- Dans cette population de patients souffrant d’une insuffisance rénale, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent être à l’origine d’une uricémie. Les effets cumulatifs du diurétique peuvent ainsi apparaitre chez les patients souffrant d’une insuffisance rénale sévère.
- Dans le cas de la survenue progressive d’une insuffisance rénale, révélée par l’augmentation des taux plasmatiques de l’urée, un examen approfondi et soigneux du traitement à administrer s’avère nécessaire avec éventuellement la décision de suspendre le traitement par diurétique.
- — Lié à l’association :
L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients insuffisants rénaux. Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué. - Insuffisance cardiaque congestive
Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Chez des patients insuffisants cardiaques mais ayant une tension artérielle normale ou une très légère hypotension, une diminution additionnelle de la pression artérielle peut se produire après administration d’énalapril. Cet effet est connu et une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Si l’hypotension devient persistante, une diminution de la dose et/ou un arrêt du traitement par diurétique ou par énalapril peut s’avérer nécessaire.
- Patient traité à posologie élevée
Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients traités par des doses élevées de diurétiques de l’anse.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Hyponatrémie
Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients présentant une hyponatrémie.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Insuffisance coronarienne
— Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une hypertension artérielle et traités par énalapril, une hypotension symptomatique peut survenir si le patient présente des signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, liée à un traitement diurétique, un régime sans sel strict, une dialyse, à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements.
- Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère, traités par des doses élevées de diurétiques de l’anse, ou présentant une hyponatrémie ou une insuffisance rénale fonctionnelle.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- Des considérations similaires peuvent s’appliquer aux patients ayant une cardiopathie ischémique, car chez ces patients, toute chute excessive de la pression artérielle peut conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident cérébral vasculaire.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- — Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Insuffisance vasculaire cérébrale
Lié à l’énalapril :
Une hypotension symptomatique est rarement observée chez des patients présentant une hypertension artérielle non compliquée. - Chez des patients présentant une hypertension artérielle et traités par énalapril, une hypotension symptomatique peut survenir si le patient présente des signes cliniques de déséquilibre hydroélectrolytique, liée à un traitement diurétique, un régime sans sel strict, une dialyse, à l’occasion d’un épisode intercurrent de diarrhée ou de vomissements.
- Chez des patients présentant une insuffisance cardiaque, s’accompagnant ou non d’une insuffisance rénale, les symptômes d’une hypotension ont été observés.
- Les signes d’une hypotension symptomatique ont été observés plus particulièrement chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère, traités par des doses élevées de diurétiques de l’anse, ou présentant une hyponatrémie ou une insuffisance rénale fonctionnelle.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale et les patients seront étroitement surveillés lorsque les doses d’énalapril et/ou du diurétique sont ajustées.
- Des considérations similaires peuvent s’appliquer aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une insuffisance circulatoire cérébrale, car chez ces patients, toute chute excessive de la pression artérielle peut conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident cérébral vasculaire.
- En cas d’hypotension, le patient devra être placé en position décubitus dorsal et, si nécessaire, recevra une perfusion intraveineuse de sérum salé isotonique.
- Une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement. Le traitement pourra être repris sans difficulté une fois la pression artérielle et la volémie remontées.
- Rétrécissement aortique
Lié à l’énalapril :
Comme avec tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être administrés avec prudence chez les patients ayant une obstruction à l’éjection du ventricule gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction significative de nature hémodynamique. - Choc cardiogénique
Lié à l’énalapril :
Comme avec tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être administrés avec prudence chez les patients ayant une obstruction à l’éjection du ventricule gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction significative de nature hémodynamique. - Cardiomyopathie hypertrophique
Lié à l’énalapril :
Comme avec tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être administrés avec prudence chez les patients ayant une obstruction à l’éjection du ventricule gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction significative de nature hémodynamique. - Insuffisance cardiaque sévère
Lié à l’énalapril :
Des cas d’insuffisance rénale ont été mis en évidence lors de la prise d’énalapril, et plus particulièrement observés chez des patients ayant une insuffisance cardiaque sévère. Si elle est détectée rapidement et traitée de façon appropriée, l’insuffisance rénale liée au traitement par énalapril est généralement réversible à l’arrêt du traitement. - Sténose artérielle rénale
Lié à l’énalapril :
– Des cas d’insuffisance rénale ont été mis en évidence lors de la prise d’énalapril, et plus particulièrement observés chez des patients ayant une pathologie rénale sous jacente, y compris une sténose de l’artère rénale. Si elle est détectée rapidement et traitée de façon appropriée, l’insuffisance rénale liée au traitement par énalapril est généralement réversible à l’arrêt du traitement. - Des patients hypertendus, sans pathologie rénale apparente préexistante, ont présenté une urémie et une créatininémie augmentées, après avoir été traités par énalapril en association avec un diurétique.
- Une diminution de la posologie d’énalapril et/ou une interruption du traitement sous diurétique peuvent être nécessaires.
- Ces cas doivent évoquer une possible sténose sous-jacente de l’artère rénale.
- – Une majoration du risque d’hypotension et d’insuffisance rénale peut survenir chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion et présentant une sténose bilatérale de l’artère rénale ou une sténose de l’artère rénale liée au dysfonctionnement d’un rein.
- On peut observer alors chez ces patients, une diminution de la fonction rénale avec une modification modérée de la créatinine plasmatique.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous étroite surveillance médicale, à doses faibles, avec un suivi des dosages plasmatiques et une surveillance de la fonction rénale.
- Sténose artérielle rénale bilatérale ou sur rein unique
Lié à l’énalapril :
– Des cas d’insuffisance rénale ont été mis en évidence lors de la prise d’énalapril, et plus particulièrement observés chez des patients ayant une pathologie rénale sous jacente, y compris une sténose de l’artère rénale. Si elle est détectée rapidement et traitée de façon appropriée, l’insuffisance rénale liée au traitement par énalapril est généralement réversible à l’arrêt du traitement. - Des patients hypertendus, sans pathologie rénale apparente préexistante, ont présenté une urémie et une créatininémie augmentées, après avoir été traités par énalapril en association avec un diurétique.
- Une diminution de la posologie d’énalapril et/ou une interruption du traitement sous diurétique peuvent être nécessaires.
- Ces cas doivent évoquer une possible sténose sous-jacente de l’artère rénale.
- – Une majoration du risque d’hypotension et d’insuffisance rénale peut survenir chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion et présentant une sténose bilatérale de l’artère rénale ou une sténose de l’artère rénale liée au dysfonctionnement d’un rein.
- On peut observer alors chez ces patients, une diminution de la fonction rénale avec une modification modérée de la créatinine plasmatique.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous étroite surveillance médicale, à doses faibles, avec un suivi des dosages plasmatiques et une surveillance de la fonction rénale.
- Hypertension rénovasculaire
Lié à l’énalapril :
Une majoration du risque d’hypotension et d’insuffisance rénale peut survenir chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion et présentant une sténose bilatérale de l’artère rénale ou une sténose de l’artère rénale liée au dysfonctionnement d’un rein. - On peut observer alors chez ces patients, une diminution de la fonction rénale avec une modification modérée de la créatinine plasmatique.
- Chez ces patients, l’instauration du traitement se fera sous étroite surveillance médicale, à doses faibles, avec un suivi des dosages plasmatiques et une surveillance de la fonction rénale.
- Transplantation rénale
Lié à l’énalapril :
En l’absence de données concernant l’administration d’énalapril chez les patients ayant récemment bénéficié d’une greffe rénale, le traitement par énalapril n’est pas recommandé dans cette population. - Risque d’insuffisance hépatique
Lié à l’énalapril :
Très rarement, l’administration d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion a été associée à un syndrome se manifestant par un ictère cholestatique ou une hépatique évoluant vers une nécrose hépatique fulminante suivi dans certains cas du décès du patient. Le mécanisme de ce syndrome reste à ce jour inconnu. Chez les patients ayant reçu un inhibiteur de l’enzyme de conversion et ayant développé un ictère ou une augmentation significative des enzymes hépatiques, l’arrêt du traitement s’impose et un suivi médical doit être instauré. - Risque d’hépatopathie
Lié à l’énalapril :
Très rarement, l’administration d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion a été associée à un syndrome se manifestant par un ictère cholestatique ou une hépatique évoluant vers une nécrose hépatique fulminante suivi dans certains cas du décès du patient. Le mécanisme de ce syndrome reste à ce jour inconnu. Chez les patients ayant reçu un inhibiteur de l’enzyme de conversion et ayant développé un ictère ou une augmentation significative des enzymes hépatiques, l’arrêt du traitement s’impose et un suivi médical doit être instauré. - Hépatopathie lors d’un traitement médicamenteux, antécédent
Lié à l’énalapril :
Très rarement, l’administration d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion a été associée à un syndrome se manifestant par un ictère cholestatique ou une hépatique évoluant vers une nécrose hépatique fulminante suivi dans certains cas du décès du patient. Le mécanisme de ce syndrome reste à ce jour inconnu. Chez les patients ayant reçu un inhibiteur de l’enzyme de conversion et ayant développé un ictère ou une augmentation significative des enzymes hépatiques, l’arrêt du traitement s’impose et un suivi médical doit être instauré. - Risque de neutropénie
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Chez des patients présentant une fonction rénale normale et n’ayant aucun autre facteur de complication associé, les cas de neutropénie sont rares.
- Certains de ces patients ont pu développer des infections graves qui dans certains cas n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. En cas de traitement par énalapril chez ces patients, des contrôles périodiques de la formule leucocytaire sont recommandés et les patients doivent être sensibilisés à signaler tout signe d’infection pouvant se produire.
- Risque d’agranulocytose
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Risque de thrombopénie
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Risque d’anémie
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Connectivite
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Chez des patients présentant une fonction rénale normale et n’ayant aucun autre facteur de complication associé, les cas de neutropénie sont rares.
- L’énalapril devra être utilisé avec une extrême précaution en cas de maladies de système (collagénose), en cas d’association médicamenteuse avec des traitements immunosuppresseurs, des traitements par allopurinol ou procainamide, ou en cas d’association de ces différents facteurs de complication, et plus particulièrement en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale.
- Certains de ces patients ont pu développer des infections graves qui dans certains cas n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. En cas de traitement par énalapril chez ces patients, des contrôles périodiques de la formule leucocytaire sont recommandés et les patients doivent être sensibilisés à signaler tout signe d’infection pouvant se produire.
- Déficit immunitaire
Lié à l’énalapril :
Des cas de neutropénie/agranulocytose, de thrombocytopénie et d’anémie ont été rapportés chez des patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. - Chez des patients présentant une fonction rénale normale et n’ayant aucun autre facteur de complication associé, les cas de neutropénie sont rares.
- L’énalapril devra être utilisé avec une extrême précaution en cas de maladies de système (collagénose), en cas d’association médicamenteuse avec des traitements immunosuppresseurs, des traitements par allopurinol ou procainamide, ou en cas d’association de ces différents facteurs de complication, et plus particulièrement en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale.
- Certains de ces patients ont pu développer des infections graves qui dans certains cas n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. En cas de traitement par énalapril chez ces patients, des contrôles périodiques de la formule leucocytaire sont recommandés et les patients doivent être sensibilisés à signaler tout signe d’infection pouvant se produire.
- Risque d’oedème de Quincke
Lié à l’énalapril :
L’angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rapporté chez les patients traité par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus. - Ceci peut se produire à n’importe quel moment du traitement.
- Dans de tels cas, l’énalapril doit être arrêté immédiatement et le patient doit être surveillé jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème. Lorsque l’oedème est localisé uniquement sur la face et les lèvres, l’évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes. Lorsque l’oedème n’intéresse que la langue, sans détresse respiratoire associée, le patient doit être surveillé sur une période prolongée jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème et ce plus particulièrement dans le cas où un traitement associé à des antihistaminiques et des corticoïdes s’est avéré insuffisant.
- Un angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Très rarement un angio-oedème associé à un oedème laryngé ou à un oedème de la langue s’est avéré fatal. Un oedème de la langue, de la glotte et/ou du larynx entraine généralement chez les patients une obstruction des voies aériennes, et plus spécifiquement chez des patients ayant un antécédent de chirurgie des voies aériennes. Lorsqu’il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, un traitement approprié, comprenant une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) et/ou d’autres mesures visant à désobstruer les voies aériennes, doit être administré immédiatement.
- On a rapporté une incidence plus importante d’angio-oedème chez les patients de race noire par rapport aux autres races.
- Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’angio-oedème sous inhibiteur de l’enzyme de conversion (cf Contre-indications).
- Sujet noir
Lié à l’énalapril :
– L’angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rapporté chez les patients traité par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus. - Ceci peut se produire à n’importe quel moment du traitement.
- Dans de tels cas, l’énalapril doit être arrêté immédiatement et le patient doit être surveillé jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème. Lorsque l’oedème est localisé uniquement sur la face et les lèvres, l’évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes. Lorsque l’oedème n’intéresse que la langue, sans détresse respiratoire associée, le patient doit être surveillé sur une période prolongée jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème et ce plus particulièrement dans le cas où un traitement associé à des antihistaminiques et des corticoïdes s’est avéré insuffisant.
- Un angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Très rarement un angio-oedème associé à un oedème laryngé ou à un oedème de la langue s’est avéré fatal. Un oedème de la langue, de la glotte et/ou du larynx entraine généralement chez les patients une obstruction des voies aériennes, et plus spécifiquement chez des patients ayant un antécédent de chirurgie des voies aériennes. Lorsqu’il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, un traitement approprié, comprenant une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) et/ou d’autres mesures visant à désobstruer les voies aériennes, doit être administré immédiatement.
- On a rapporté une incidence plus importante d’angio-oedème chez les patients de race noire par rapport aux autres races.
- Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’angio-oedème sous inhibiteur de l’enzyme de conversion (cf Contre-indications).
- – Comme avec tous les autres inhibiteurs de l’enzyme de conversion, l’énalapril semble moins efficace dans le traitement de l’hypertension artérielle chez les patients de race noire par rapport aux autres races, possiblement à cause de la prévalence plus élevée des taux de rénine faible dans cette population.
- Antécédent d’oedème de Quincke
Lié à l’énalapril :
L’angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rapporté chez les patients traité par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus. - Ceci peut se produire à n’importe quel moment du traitement.
- Dans de tels cas, l’énalapril doit être arrêté immédiatement et le patient doit être surveillé jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème. Lorsque l’oedème est localisé uniquement sur la face et les lèvres, l’évolution est en général régressive sans traitement, bien que les antihistaminiques aient été utilisés pour soulager les symptômes. Lorsque l’oedème n’intéresse que la langue, sans détresse respiratoire associée, le patient doit être surveillé sur une période prolongée jusqu’à disparition complète des symptômes et de l’oedème et ce plus particulièrement dans le cas où un traitement associé à des antihistaminiques et des corticoïdes s’est avéré insuffisant.
- Un angio-oedème associé à un oedème laryngé peut être fatal. Très rarement un angio-oedème associé à un oedème laryngé ou à un oedème de la langue s’est avéré fatal. Un oedème de la langue, de la glotte et/ou du larynx entraine généralement chez les patients une obstruction des voies aériennes, et plus spécifiquement chez des patients ayant un antécédent de chirurgie des voies aériennes. Lorsqu’il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, un traitement approprié, comprenant une solution d’adrénaline sous-cutanée à 1/1000 (0,3 ml à 0,5 ml) et/ou d’autres mesures visant à désobstruer les voies aériennes, doit être administré immédiatement.
- On a rapporté une incidence plus importante d’angio-oedème chez les patients de race noire par rapport aux autres races.
- Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion ont un risque accru d’angio-oedème sous inhibiteur de l’enzyme de conversion (cf Contre-indications).
- Traitement de désensibilisation en cours
Lié à l’énalapril :
Rarement, les patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion lors d’une désensibilisation avec du venin d’hyménoptère ont présenté des réactions anaphylactoïdes potentiellement fatales. - Ces réactions sont évitées en arrêtant provisoirement le traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion avant chaque désensibilisation.
- Hémaphérèse
Lié à l’énalapril :
Rarement, les patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion lors d’aphérèses des LDL ont présenté des réactions anaphylactoïdes potentiellement fatales. - Ces réactions sont évitées en arrêtant provisoirement le traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion avant chaque aphérèse.
- Patient en hémodialyse
Lié à l’énalapril :
Des réactions anaphylactoïdes ont également été rapportées chez des patients au cours d’hémodialyses utilisant des membranes de haute perméabilité (e.g. AN® 69) et recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Chez ces patients il est recommandé d’éviter cette association en utilisant d’autre type de membrane de dialyse ou une classe différente d’antihypertenseurs. - Diabète
— Lié à l’énalapril :
– Chez les patients diabétiques traités par antidiabétiques oraux ou insuline, une surveillance étroite de la glycémie doit être systématique pendant le premier mois de traitement par inhibiteurs de l’enzyme de conversion. - – Une élévation de la kaliémie a été observée chez certains patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus.
- Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les patients insuffisants rénaux, les diabétiques ou ceux recevant un traitement concomitant de diurétiques épargneurs de potassium, un traitement supplémenté en potassium, un traitement à base de sels de potassium ; ou ceux sous autre traitement à l’origine d’une augmentation du potassium plasmatique.
- Si l’utilisation concomitante de ces traitements s’avère indispensable, ils seront utilisés avec prudence et un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
- — Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer la tolérance au glucose. Chez les patients diabétiques, le contrôle de la glycémie doit être systématique et l’ajustement des posologies en antidiabétiques oraux et en insuline peut s’avérer nécessaire. - Un traitement sous diurétiques thiazidiques et apparentés peut mettre en évidence un diabète sous-jacent.
- — Lié à l’association :
L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques. Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué. - Risque de toux
Lié à l’énalapril :
Une toux sèche a été rapportée chez des patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Elle est non productive, persistante et disparaît à l’arrêt du traitement. L’étiologie iatrogénique doit être envisagée en présence de ce symptôme. - Intervention chirurgicale
Lié à l’énalapril :
Chez des patients devant subir une intervention chirurgicale ou lors d’une anesthésie par des agents hypotenseurs, l’énalapril bloque la formation d’angiotensine II secondaire à la libération compensatoire de rénine. Si une hypotension survient, et que son mécanisme est lié à une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone, elle pourra être corrigée par un rétablissement de la volémie. - Anesthésie
Lié à l’énalapril :
Chez des patients devant subir une intervention chirurgicale ou lors d’une anesthésie par des agents hypotenseurs, l’énalapril bloque la formation d’angiotensine II secondaire à la libération compensatoire de rénine. Si une hypotension survient, et que son mécanisme est lié à une stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone, elle pourra être corrigée par un rétablissement de la volémie. - Interaction alimentaire : aliments riches en potassium
Lié à l’énalapril :
Une élévation de la kaliémie a été observée chez certains patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus. - Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les patients insuffisants rénaux, les diabétiques ou ceux recevant un traitement concomitant de diurétiques épargneurs de potassium, un traitement supplémenté en potassium, un traitement à base de sels de potassium ; ou ceux sous autre traitement à l’origine d’une augmentation du potassium plasmatique.
- Si l’utilisation concomitante de ces traitements s’avère indispensable, ils seront utilisés avec prudence et un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
- Traitement par un médicament hyperkaliémiant
Lié à l’énalapril :
Une élévation de la kaliémie a été observée chez certains patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, énalapril inclus. - Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les patients insuffisants rénaux, les diabétiques ou ceux recevant un traitement concomitant de diurétiques épargneurs de potassium, un traitement supplémenté en potassium, un traitement à base de sels de potassium ; ou ceux sous autre traitement à l’origine d’une augmentation du potassium plasmatique.
- Si l’utilisation concomitante de ces traitements s’avère indispensable, ils seront utilisés avec prudence et un contrôle régulier du potassium plasmatique doit être effectué.
- Grossesse, 3 premiers mois (de la)
Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf Contre-indication et Grossesse/Allaitement). - Femme susceptible d’être enceinte
Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf Contre-indication et Grossesse/Allaitement). - Insuffisance hépatique
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés sont à utiliser avec précaution chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou un début de dysfonctionnement hépatique, étant donné qu’une altération mineure de l’équilibre hydro-electrolytique peut induire une encéphalopathie hépatique chez ces patients. Dans ce cas, l’administration du diurétique doit être immédiatement interrompue. - Hépatopathie
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés sont à utiliser avec précaution chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou un début de dysfonctionnement hépatique, étant donné qu’une altération mineure de l’équilibre hydro-electrolytique peut induire une encéphalopathie hépatique chez ces patients. Dans ce cas, l’administration du diurétique doit être immédiatement interrompue. - Surveillance de l’ionogramme plasmatique pendant le traitement
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Calcémie :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer l’excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et souvent transitoire de la calcémie. - Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
- Concentration plasmatique en magnésium :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent augmenter l’excrétion urinaire du magnésium pouvant être à l’origine d’une diminution des concentrations plasmatiques en magnésium. - Risque d’hypokaliémie
— Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- — Lié à l’association :
L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux. Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué. - Risque d’hyponatrémie
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Risque d’alcalose hypochlorémique
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Cirrhose hépatique
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Polyurie
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Oedème périphérique
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - Sujet âgé
Lié à l’hydrocholorothiazide :
– Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - – Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée.
- Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- – Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (l’évaluation de la fonction rénale peut être faite par exemple par rapport à la clairance de la créatinine).
- Chez le sujet âgé, la valeur de la clairance de la créatinine doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockcroft, par exemple :
Clcr = (140 – âge) x poids/0,814 x créatininémie
(avec l’âge exprimé en années, le poids exprimé en kg, la créatininémie exprimée en µmol/l). - Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
- L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie.
- Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
- Les diurétiques thiazidiques et apparentés doivent être utilisés avec précaution chez des patients présentant une insuffisance rénale sévère.
- Dans cette population de patients souffrant d’une insuffisance rénale, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent être à l’origine d’une uricémie. Les effets cumulatifs du diurétique peuvent ainsi apparaitre chez les patients souffrant d’une insuffisance rénale sévère.
- Dans le cas de la survenue progressive d’une insuffisance rénale, révélée par l’augmentation des taux plasmatiques de l’urée, un examen approfondi et soigneux du traitement à administrer s’avère nécessaire avec éventuellement la décision de suspendre le traitement par diurétique.
- Sujet dénutri
Lié à l’hydrocholorothiazide :
– Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Natrémie :
Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés, a fortiori dénutris, et les cirrhotiques (cf Effets secondaires et Surdosage). - – Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée.
- Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Patient polymédiqué
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Cirrhose hépatique décompensée
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Allongement de l’espace QT
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Bradycardie
Lié à l’hydrocholorothiazide :
Equilibre hydro-électrolytique :
Comme chez tous les patients recevant un traitement par diurétiques, une surveillance périodique et à intervalle régulier des électrolytes plasmatiques doit être effectuée. - Les diurétiques thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent être à l’origine d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique se manifestant par une hypokaliémie, une hyponatrémie, une alcalose hypochlorémique.
- Les signes précurseurs d’une altération de l’équilibre hydro-electrolytique sont une déshydratation avec sécheresse de la bouche, sensation de soif, sensation de fatigue, léthargie, somnolence, nervosité/agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et des troubles gastrointestinaux tels que nausées, vomissements.
- Bien que les diurétiques thiazidiques puissent provoquer une hypokaliémie, l’association concomitante d’énalapril peut réduire le risque hypokaliémie induite initialement par les diurétiques. Le risque d’une hypokaliémie est plus élevé chez les patients ayant une cirrhose hépatique, chez les patients souffrant d’une diurèse abondante, chez des patients ayant un apport d’électrolytes par voie orale insuffisant ainsi que chez les patients prenant un traitement associé de corticostéroïdes ou ACTH.
- Une légère hyponatrémie peut survenir chez des patients souffrant d’oedèmes liés à des températures élevées.
- Un déficit en chlorures peut survenir de manière modérée et ne requiert généralement pas de traitement.
- Kaliémie :
La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d’une hypokaliémie (< 3,5 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées par les sujets âgés et/ou dénutris plus particulièrement quand ils sont polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. Dans ces cas, l’hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de trouble du rythme. - Chez les patients présentant un espace QT long, d’origine congénitale ou médicamenteuse, l’hypokaliémie favorise la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales, surtout en présence d’une bradycardie.
- Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle de potassium plasmatique doit être effectué au cours de la semaine qui suit la mise en route du traitement.
- Risque d’hypercalcémie
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer l’excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et souvent transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue. Dans ce cas, interrompre le traitement avant d’explorer la fonction parathyroïdienne. - Risque d’hypomagnésémie
Liée à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent augmenter l’excrétion urinaire du magnésium pouvant être à l’origine d’une diminution des concentrations plasmatiques en magnésium. - Risque d’intolérance au glucose
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent diminuer la tolérance au glucose. Chez les patients diabétiques, le contrôle de la glycémie doit être systématique et l’ajustement des posologies en antidiabétiques oraux et en insuline peut s’avérer nécessaire. - Risque d’hyperlipidémie
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Un traitement sous diurétiques thiazidiques et apparentés peut entrainer une augmentation des taux de cholestérol et triglycérides. - Hyperuricémie
Liée à l’hydrochlorothiazide :
La déplétion hydrosodée induite par les thiazidiques réduit l’élimination urinaire d’acide urique. Chez les patients hyperuricémiques, un traitement sous diurétiques thiazidiques et apparentés peut augmenter la tendance aux accès de goutte. - Risque d’augmentation de l’urémie
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (l’évaluation de la fonction rénale peut être faite par exemple par rapport à la clairance de la créatinine). - Chez le sujet âgé, la valeur de la clairance de la créatinine doit être réajustée en fonction de l’âge, du poids et du sexe du patient, selon la formule de Cockcroft, par exemple :
Clcr = (140 – âge) x poids/0,814 x créatininémie
(avec l’âge exprimé en années, le poids exprimé en kg, la créatininémie exprimée en µmol/l). - Cette formule est valable pour les sujets âgés de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85.
- L’hypovolémie, secondaire à la perte d’eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l’urée sanguine et de la créatininémie.
- Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
- Les diurétiques thiazidiques et apparentés doivent être utilisés avec précaution chez des patients présentant une insuffisance rénale sévère.
- Dans cette population de patients souffrant d’une insuffisance rénale, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent être à l’origine d’une uricémie. Les effets cumulatifs du diurétique peuvent ainsi apparaitre chez les patients souffrant d’une insuffisance rénale sévère.
- Dans le cas de la survenue progressive d’une insuffisance rénale, révélée par l’augmentation des taux plasmatiques de l’urée, un examen approfondi et soigneux du traitement à administrer s’avère nécessaire avec éventuellement la décision de suspendre le traitement par diurétique.
- Sportif
Lié à l’hydrochlorothiazide :
L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. - Sujet allergique
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent être à l’origine de réactions d’hypersensibilité chez des patients présentant une tendance aux allergies ou à un asthme de type bronchique. - Antécédent d’asthme
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent être à l’origine de réactions d’hypersensibilité chez des patients présentant une tendance aux allergies ou à un asthme de type bronchique. - Lupus érythémateux aigu disséminé
Lié à l’hydrochlorothiazide :
Des cas d’aggravation d’un lupus érythémateux disséminé préexistant ont été rapportés. - Risque d’insuffisance rénale
Lié à l’association :
Certains patients hypertendus sans lésion rénale apparente préexistante ont développés des signes d’insuffisance rénale fonctionnelle. Dans ce cas le traitement doit être interrompu et éventuellement repris, soit à posologie réduite soit avec un seul des constituants. - Surveillance de la kaliémie pendant le traitement
Lié à l’association :
L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion à un diurétique hypokaliémiant n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie, notamment chez les patients diabétiques ou insuffisants rénaux. Un contrôle régulier du potassium plasmatique sera effectué. - Enfant de moins de 15 ans
Lié à l’association :
La tolérance et l’efficacité de ce médicament chez l’enfant et l’adolescent n’ont pas été démontrées par des études contrôlées. - Sujet adolescent
Lié à l’association :
La tolérance et l’efficacité de ce médicament chez l’enfant et l’adolescent n’ont pas été démontrées par des études contrôlées. - Administrer indépendamment de la prise des repas
Enalapril/hydrochlorothiazide peut être administré en une seule prise ou en deux prises par jour, avec ou sans aliments, chez des patients dont la pression artérielle n’est pas convenablement contrôlée par énalapril seul ou hydrochlorothiazide seul. - Interaction phytothérapique : boldo
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : bourdaine
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : cascara
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : rhubarbe
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : ricin
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : séné
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- – LIE A L’ENALAPRIL
L’utilisation des IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi). L’utilisation des IEC est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (cf. Contre-indications et cf. Mises en garde/Précautions d’emploi)
Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.- L’exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (cf. Sécurité préclinique). En cas d’exposition à un IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d’effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (cf. Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
- – LIE A L’HYDROCHLOROTHIAZIDE
Les données concernant l’utilisation de l’hydrochlorothiazide pendant la grossesse, et particulièrement pendant le 1er trimestre, sont limitées. Les études animales sont insuffisantes.- L’hydrochlorothiazide traverse la barrière placentaire. Compte tenu du mécanisme d’action pharmacologique de l’hydrochlorothiazide, son utilisation au cours des 2ème et 3ème trimestres de grossesse peut diminuer la perfusion foeto-placentaire et entraîner des effets foetaux et néonataux tels qu’un ictère, un déséquilibre électrolytique et une thrombopénie.
- L’hydrochlorothiazide ne doit pas être utilisé pour traiter l’oedème gestationnel, l’hypertension gestationnelle ou la prééclampsie en raison du risque de diminution de la volémie et de l’hypoperfusion placentaire, sans effet bénéfique sur l’évolution de la maladie.
- L’hydrochlorothiazide ne doit pas être utilisé pour traiter l’hypertension artérielle essentielle chez les femmes enceintes sauf dans les rares cas où aucun autre traitement n’est possible.
- L’exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (cf. Sécurité préclinique). En cas d’exposition à un IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d’effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (cf. Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
Allaitement :
- – LIE A L’ENALAPRIL
Des données pharmacocinétiques limitées montrent de très faibles concentrations dans le lait (cf Pharmacocinétique). Bien que ces concentrations semblent ne pas avoir de réelles conséquences cliniques, l’administration de ENALAPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE est déconseillée chez les enfants prématurés et au cours des premières semaines qui suivent l’accouchement, en raison du risque hypothétique d’effets secondaires au niveau cardiovasculaire et rénal et de l’expérience clinique insuffisante.- Dans le cas de l’allaitement d’un enfant plus âgé, l’administration de ENALAPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE peut être envisagée chez une femme qui allaite, si ce traitement est nécessaire pour la mère et que l’enfant est surveillé dans le but de détecter d’éventuels effets secondaires.
- Dans le cas de l’allaitement d’un enfant plus âgé, l’administration de ENALAPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE peut être envisagée chez une femme qui allaite, si ce traitement est nécessaire pour la mère et que l’enfant est surveillé dans le but de détecter d’éventuels effets secondaires.
- Une prudence particulière devra être observée chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, en raison du risque de sensation de vertiges (cf Effets secondaires).
- Anémie (Peu fréquent)
- Anémie aplastique
- Anémie hémolytique
- Neutropénie
- Hémoglobinémie (diminution) (Rare)
- Hématocrite (diminution) (Rare)
- Thrombopénie
- Agranulocytose
- Aplasie médullaire
- Pancytopénie (Rare)
- Lymphadénopathie (Rare)
- Maladie auto-immune (Rare)
- Syndrome de sécrétion inappropriée d’hormone antidiurétique (SIADH)
- Hypoglycémie (Peu fréquent)
- Céphalée (Fréquent)
- Dépression
- Confusion mentale (Peu fréquent)
- Somnolence (Peu fréquent)
- Insomnie (Peu fréquent)
- Nervosité (Peu fréquent)
- Paresthésie (Peu fréquent)
- Vertige
- Trouble onirique (Rare)
- Trouble du sommeil
- Vision floue (Très fréquent)
- Sensation de vertige
- Hypotension artérielle (Fréquent)
- Hypotension orthostatique
- Syncope (Fréquent)
- Infarctus du myocarde (Fréquent)
- Accident vasculaire cérébral (Fréquent)
- Hypotension arterielle.
- Hypotension arterielle.
- Douleur thoracique (Fréquent)
- Arythmie
- Angor (Fréquent)
- Tachycardie (Fréquent)
- Palpitation (Peu fréquent)
- Syndrome de Raynaud (Rare)
- Toux (Très fréquent)
- Dyspnée (Fréquent)
- Rhinorrhée (Peu fréquent)
- Pharyngite (Peu fréquent)
- Raucité de la voix (Peu fréquent)
- Bronchospasme (Peu fréquent)
- Asthme (Peu fréquent)
- Infiltrat pulmonaire (Rare)
- Rhinite (Rare)
- Alvéolite allergique (Rare)
- Pneumopathie à éosinophiles (Rare)
- Nausée (Très fréquent)
- Diarrhée
- Douleur abdominale (Fréquent)
- Dysgueusie (Fréquent)
- Iléus (Peu fréquent)
- Pancréatite
- Vomissement (Peu fréquent)
- Dyspepsie (Peu fréquent)
- Constipation
- Anorexie
- Gastrite
- Hyposialie (Peu fréquent)
- Ulcère gastro-intestinal (Peu fréquent)
- Stomatite (Rare)
- Aphte (Rare)
- Glossite (Rare)
- Angioedème intestinal (Très rare)
- Insuffisance hépatique (Rare)
- Hépatite (Rare)
- Cholestase (Rare)
- Ictère (Rare)
- Eruption cutanée
- Hypersensibilité (Fréquent)
- Oedème de Quincke (Fréquent)
- Hypersudation (Peu fréquent)
- Prurit (Peu fréquent)
- Urticaire
- Alopécie (Peu fréquent)
- Erythème polymorphe (Rare)
- Syndrome de Stevens-Johnson (Rare)
- Dermatite exfoliative (Rare)
- Syndrome de Lyell
- Pemphigus (Rare)
- Erythrodermie (Rare)
- Fièvre
- Vascularite
- Inflammation des séreuses
- Douleur musculaire
- Myosite
- Douleur articulaire
- Arthrite
- Anticorps antinucléaire (augmentation)
- Vitesse de sédimentation (augmentation)
- Eosinophilie
- Leucocytose
- Photosensibilisation
- Insuffisance rénale
- Protéinurie (Peu fréquent)
- Oligurie (Rare)
- Impuissance (Peu fréquent)
- Gynécomastie (Rare)
- Asthénie (Très fréquent)
- Fatigue (Fréquent)
- Crampe (Peu fréquent)
- Bouffée vasomotrice (Peu fréquent)
- Acouphène (Peu fréquent)
- Malaise (Peu fréquent)
- Hyperkaliémie (Fréquent)
- Créatininémie (augmentation) (Fréquent)
- Urémie (augmentation) (Peu fréquent)
- Hyponatrémie
- Enzymes hépatiques (augmentation) (Rare)
- Hyperbilirubinémie (Rare)
- Glandes salivaires (inflammation)
- Leucopénie
- Hyperglycémie
- Glycosurie
- Hyperuricémie
- Trouble hydroélectrolytique
- Hypokaliémie
- Hypercholestérolémie
- Hypertriglycéridémie
- Agitation
- Xanthopsie
- Vision (modification)
- Vascularite nécrosante
- Vascularite cutanée
- Insuffisance respiratoire aiguë
- Pneumopathie
- Oedème pulmonaire
- Ictère cholestatique
- Lupus érythémateux aigu disséminé
- Lupus érythémateux cutané (aggravation)
- Réaction anaphylactique
- Spasme musculaire
- Néphropathie interstitielle
- Faiblesse musculaire
-
Classement ATC :
C09BA02 / ENALAPRIL ET DIURETIQUES
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Classement Vidal :
Inhibiteur de l’enzyme de conversion + diurétique thiazidique : énalapril + hydrochlorothiazide
Liste I
-
CIP : 3672906 (ENALAPRIL/HYDROCHLOROTHIAZIDE RATIOPHARM 20mg/12,5mg cp séc : Plq/28).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
Ratiopharm
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