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CLOMIPRAMINE SANDOZ 75 mg cp pellic séc






comprimé pelliculé sécable
par 1 comprimé
clomipramine chlorhydrate75 mg
Excipients : silice colloïdale anhydre, calcium stéarate, hypromellose, fer rouge oxyde, titane dioxyde, ricin huile hydrogénée polyoxyéthylénée, phosphate dicalcique dihydrate, eudragit NE 30 D.

– Episodes dépressifs majeurs (c’est-à-dire caractérisés).

  • – Troubles obsessionnels compulsifs.
  • – Prévention des attaques de panique avec ou sans agoraphobie.
  • – Certains états dépressifs apparaissant lors des schizophrénies, en association avec un traitement neuroleptique.
  • – Douleurs neuropathiques de l’adulte.

  • Utiliser le dosage adapté en fonction de la dose journalière prescrite.
  • DEPRESSION :
    Posologie :
    La posologie usuelle pour le traitement de la dépression varie de 75 à 150 mg par jour.
  • La posologie initiale est le plus souvent de 75 mg mais elle peut être adaptée individuellement dans la fourchette des doses recommandées. Cette posologie sera
    éventuellement réévaluée après 3 semaines de traitement effectif à doses efficaces.
  • Mode d’administration :
    Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci.
  • Durée de traitement :
    Le traitement par antidépresseur est symptomatique.
  • Le traitement d’un épisode est de plusieurs mois (habituellement de l’ordre de 6 mois) afin de prévenir les risques de rechute de l’épisode dépressif.
  • TROUBLES OBSESSIONNELS COMPULSIFS :
    La posologie usuelle est comprise entre 75 et 150 mg. Le traitement débute le plus souvent à dose faible (25 mg/j), en augmentant par paliers en fonction de la tolérance, jusqu’à 75 à 150 mg/j. Cette dose pourra être éventuellement augmentée par paliers au-delà d’un délai suffisamment long pour juger de l’inefficacité des posologies antérieures (plusieurs semaines ou mois).
  • La dose maximale est de 250 mg par jour.
  • PREVENTION DES ATTAQUES DE PANIQUE :
    La clomipramine ne traite pas la crise d’angoisse (indication des médicaments anxiolytiques) mais prévient ses récidives et ses complications (agoraphobie) dans le cadre du ‘Trouble panique » (DSM III R).
  • Le traitement sera d’installation progressive, les posologies utiles variant de 20 à 150 mg selon les cas.
  • Une recrudescence passagère des troubles peut s’observer en début de traitement. Celui-ci sera prolongé plusieurs semaines après la disparition des troubles et diminué progressivement.
  • DOULEURS NEUROPATHIQUES DE L’ADULTE :
    Le traitement doit débuter à doses faibles : 10 à 25 mg par jour pendant une semaine. La dose est ensuite progressivement augmentée par palier de 10 à 25 mg toutes les semaines, selon la tolérance. La posologie est individuelle (de 10 à 150 mg par jour), et doit tenir compte des traitements analgésiques éventuellement associés.
  • Le traitement d’entretien doit se faire à la plus petite dose efficace, et l’intérêt du traitement doit être réévalué de façon périodique.
  • Populations à risque
    * Sujet âgé :
    Le traitement sera initié à posologie faible, c’est-à-dire en pratique à la moitié de la posologie minimale recommandée. L’augmentation des doses, si nécessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : les effets indésirables des imipraminiques peuvent en effet avoir des conséquences graves chez la personne âgée (chutes, confusions).
  • * Insuffisants hépatiques et rénaux :
    II convient de diminuer la posologie.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Glaucome à angle étroit
    • Rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques, risque (de)
    • Antécédent récent d’infarctus du myocarde
    • Occlusion intestinale
    • Hypersensibilité à l’huile de ricin et à ses dérivés

    • Hypokaliémie
      En cas d’hypokaliémie, celle-ci doit être corrigée avant de débuter le traitement.
    • Risque suicidaire
      Suicides/idées suicidaires ou aggravation clinique
      La dépression est associée à un risque accru d’idées suicidaires, d’auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu’à obtention d’une rémission significative.
    • L’amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu’à obtention de cette amélioration. L’expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début de rétablissement.
    • Les autres troubles psychiatriques dans lesquels CLOMIPRAMINE SANDOZ est prescrit(e) peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à un épisode dépressif majeur. Les mêmes précautions d’emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant d’épisodes dépressifs majeurs devront donc être appliquées aux patients présentant d’autres troubles psychiatriques.
    • Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d’idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l’objet d’une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d’essais cliniques contrôlés versus placebo sur l’utilisation d’antidépresseurs chez l’adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d’une aggravation clinique, l’apparition d’idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
    • Patient à tendance suicidaire
      Suicides/idées suicidaires ou aggravation clinique
      La dépression est associée à un risque accru d’idées suicidaires, d’auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu’à obtention d’une rémission significative.
    • L’amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu’à obtention de cette amélioration. L’expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter en tout début de rétablissement.
    • Les autres troubles psychiatriques dans lesquels CLOMIPRAMINE SANDOZ est prescrit(e) peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à un épisode dépressif majeur. Les mêmes précautions d’emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant d’épisodes dépressifs majeurs devront donc être appliquées aux patients présentant d’autres troubles psychiatriques.
    • Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d’idées suicidaires ou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l’objet d’une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d’essais cliniques contrôlés versus placebo sur l’utilisation d’antidépresseurs chez l’adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début du traitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage) devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d’une aggravation clinique, l’apparition d’idées/comportements suicidaires et tout changement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
    • Risque de syndrome de sevrage
      De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées, anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à l’arrêt du traitement, il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller tout particulièrement le patient durant cette période.
    • Risque d’insomnie
      Une insomnie ou une nervosité en début de traitement peuvent justifier une diminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.
    • Accès maniaque
      En cas de virage maniaque franc, le traitement par la clomipramine sera interrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif prescrit.
    • Epilepsie
      Chez les patients épileptiques, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la posssibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crises convulsives impose l’arrêt du traitement.
    • Antécédent d’épilepsie
      Chez les patients ayant des antécédents d’épilepsie, il est prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison de la posssibilité d’abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crises convulsives impose l’arrêt du traitement.
    • Sujet âgé
      La clomipramine doit être utilisée avec prudence chez le sujet âgé présentant :
      – une plus grande sensibilité à l’hypotension orthostatique et à la sédation,
      – une constipation chronique (risque d’ileus paralytique),
      – une éventuelle hypertrophie prostatique.
    • Maladie cardiovasculaire
      La clomipramine doit être utilisée avec prudence chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classe de produits.
    • Insuffisance hépatique
      La clomipramine doit être utilisée avec prudence, en raison du risque de surdosage.
    • Insuffisance rénale
      La clomipramine doit être utilisée avec prudence, en raison du risque de surdosage.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      Majoration par l’alcool de l’effet sédatif de la clomipramine. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
    • Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
    • Interaction alimentaire : alcool
      Majoration par l’alcool de l’effet sédatif de la clomipramine. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
    • Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent une seule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Le maintien d’un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout au long de la grossesse. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse et si possible en monothérapie.
  • A ce jour, les données semblent exclure un risque malformatif particulier de la clomipramine.
  • Chez les nouveau-nés, de mères traitées en fin de grossesse par un antidépresseur imipraminique, des signes d’imprégnation (notamment atropiniques) et/ou de sevrage ont parfois été décrits :
    – troubles neurologiques dans la première semaine de vie (hypotonie, hyperexcitabilité, trémulations, voire exceptionnellement convulsions) ;
    – troubles respiratoires (polypnées, accès de cyanose, voire exceptionnellement détresse respiratoire) ;
    – troubles digestifs (difficulté de mise en route de l’alimentation, retard à l’émission du méconium et distension abdominale).
  • Tous ces signes apparaissent dans les premiers jours de vie et sont le plus souvent de courte durée et peu sévères.
  • Compte tenu de ces données, l’utilisation de clomipramine est possible quel que soit le terme de la grossesse. La surveillance du nouveau-né tiendra compte des effets précédemment décrits.
  •  Allaitement :

    Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible ; néanmoins, par mesure de précaution, l’allaitement est à éviter pendant la durée du traitement.

    Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiques nécessaires à l’exécution de certaines tâches dangereuses, telles que la manipulation d’appareils ou la conduite de véhicules à moteur.

    • Asthénie (Très fréquent)
    • Fièvre (Fréquent)
    • Somnolence (Très fréquent)
    • Confusion mentale (Fréquent)
    • Agitation (Fréquent)
    • Délire (Fréquent)
    • Trouble de la mémoire (Fréquent)
    • Insomnie (Fréquent)
    • Idée suicidaire
    • Agressivité (Occasionnel)
    • Vertige (Très fréquent)
    • Tremblement (Très fréquent)
    • Myoclonie (Très fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Paresthésie (Fréquent)
    • Convulsions (Peu fréquent)
    • Ataxie (Peu fréquent)
    • Electroencéphalogramme (anomalie) (Très rare)
    • Dysarthrie
    • Syncope
    • Hypertonie musculaire
    • Hypotonie musculaire
    • Akathisie
    • Hyposialie (Très fréquent)
    • Constipation (Très fréquent)
    • Vision floue (Très fréquent)
    • Trouble de l’accommodation (Très fréquent)
    • Dysurie (Très fréquent)
    • Bouffée vasomotrice (Fréquent)
    • Hypersudation (Fréquent)
    • Mydriase (Fréquent)
    • Glaucome (Très rare)
    • Rétention urinaire (Très rare)
    • Hypotension orthostatique (Très fréquent)
    • Tachycardie (Fréquent)
    • Palpitation (Fréquent)
    • Trouble de la conduction cardiaque (Très rare)
    • Arythmie (Très rare)
    • Cardiomyopathie (Très rare)
    • Nausée (Très fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Anorexie (Fréquent)
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
    • Hépatite cholestatique (Très rare)
    • Hépatite cytolytique (Très rare)
    • Urticaire (Fréquent)
    • Eruption maculopapuleuse (Fréquent)
    • Vascularite (Fréquent)
    • Prurit (Fréquent)
    • Photosensibilisation (Rare)
    • Alopécie (Très rare)
    • Réaction au point d’injection
    • Poids (augmentation) (Très fréquent)
    • Trouble de la libido (Très fréquent)
    • Impuissance (Très fréquent)
    • Galactorrhée (Rare)
    • Volume mammaire (augmentation) (Rare)
    • Syndrome de sécrétion inappropriée d’hormone antidiurétique (SIADH) (Très rare)
    • Oedème périphérique (Très rare)
    • Infiltrat pulmonaire (Très rare)
    • Réaction anaphylactique (Très rare)
    • Réaction anaphylactoïde (Très rare)
    • Leucopénie (Très rare)
    • Agranulocytose (Très rare)
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Purpura thrombopénique (Très rare)
    • Eosinophilie (Très rare)
    • Dysgraphie (Fréquent)
    • Acouphène (Fréquent)
    • Syndrome de sevrage
    • Syndrome sérotoninergique

    • Classement ATC : 
          N06AA04 / CLOMIPRAMINE
    • Classement Vidal : 
          Algies neuropathiques
          Antidépresseurs imipraminiques (clomipramine)

    Liste I
    • CIP : 3680691 (CLOMIPRAMINE SANDOZ 75 mg cp pellic séc : Plq/20).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Sandoz


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