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PRIVIGEN 100 mg/ml sol p perf






solution pour perfusion
par 1 ml
immunoglobulines humaines
  Exprimé en protéines plasmatiques humaines100 mg
Excipients : L-proline, eau ppi.

Traitement de substitution des :
. déficits immunitaires primitifs (DIP) tels que : agammaglobulinémie et hypogammaglobulinémie congénitales, déficit immunitaire commun variable, déficit immunitaire combiné sévère, syndrome de Wiskott Aldrich ;
. myélome ou leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections récurrentes ;
. infections récurrentes chez l’enfant infecté par le VIH.Traitement immunomodulateur :
. purpura thrombopénique immunologique (PTI) chez l’enfant ou l’adulte présentant un risque hémorragique élevé ou préalablement à tout acte chirurgical, afin de corriger le nombre de plaquettes ;
. syndrome de Guillain-Barré ;
. maladie de Kawasaki.Greffe de moelle osseuse allogénique.


Posologie
La dose et la posologie dépendent de l’indication.
  • Dans le traitement de substitution, la dose doit être individualisée pour chaque patient en fonction de la réponse pharmacocinétique et clinique. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif.
  • – Traitement de substitution en cas de déficits immunitaires primitifs
    La posologie doit assurer un taux d’IgG résiduel d’au moins 4 à 6 g/l (mesuré avant la perfusion suivante). Trois à six mois sont nécessaires pour atteindre l’équilibre après l’instauration du traitement.
  • La dose de charge recommandée est de 0,4 à 0,8 g/kg de poids corporel (p. c.) suivie d’au moins 0,2 g/kg de p. c. toutes les trois semaines.
  • La dose nécessaire pour l’atteinte d’un niveau résiduel de 6 g/1 est de l’ordre de 0,2 à 0,8 g/kg de p. c./mois. Lorsque l’état d’équilibre est atteint, l’intervalle entre les administrations varie de deux et quatre semaines.
  • Les niveaux résiduels doivent être mesurés afin d’ajuster la dose et l’intervalle de traitement.
  • – Traitement de substitution en cas de myélome ou de leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie sévère secondaire et infections récurrentes ; traitement de substitution chez l’enfant infecté par le VIH et avec infections récurrentes.
  • La dose recommandée est de 0,2 à 0,4 g/kg de p. c. toutes les trois à quatre semaines.
  • – Purpura thrombopénique immunologique
    Pour le traitement d’un épisode aigu, 0,8 à 1 g/kg de p. c./jour au jour 1, éventuellement répété dans les trois jours, ou 0,4 g/kg de p. c./jour pendant deux à cinq jours. Le traitement peut être renouvelé en cas de rechute.
  • – Syndrome de Guillain-Barré
    0,4 g/kg de p. c./jour pendant trois à sept jours.
  • L’expérience clinique est limitée chez l’enfant.
  • – Maladie de Kawasaki
    1,6 à 2,0 g/kg de p. c. administrés en plusieurs doses réparties sur deux à cinq jours ou 2,0 g/kg de p. c. en dose unique.
  • Les patients doivent recevoir un traitement concomitant à base d’acide acétylsalicylique.
  • – Greffe de moelle osseuse allogénique
    Le traitement par immunoglobuline humaine normale peut être utilisé au cours de la phase de conditionnement ainsi qu’après la greffe.
  • La posologie est ajustée individuellement pour le traitement des infections et la prévention de la maladie du greffon contre l’hôte. La dose initiale est généralement de 0,5 g/kg p. c./semaine, initiée sept jours avant la greffe et jusqu’à trois mois après celle-ci.
  • En cas de défaut persistant de la production d’anticorps, une dose de 0,5 g/kg p. c./mois est recommandée jusque le taux d’anticorps redevienne normal.
  • Les posologies recommandées sont résumées dans le tableau suivant :
     Indication   Dose   Fréquence d’administration 
     Traitement de substitution       
     Déficit immunitaire primitif   dose initiale : 0.4-0.8 g/kg de p.c.
  • ensuite : 0.2-0.8 g/kg de p.c. 
  •  Toutes les 2 à 4 semaines pour obtenir
    un taux résiduel d’IgG d’au moins 4-6 g/l 
     déficit immunitaire secondaire   0.2-0.4 g/kg de p.c.   toutes les 3 à 4 semaines pour obtenir
    une concentration résiduelle d’IgG d’au moins 4-6 g/l 
     Enfants infectés par le VIH   0.2-0.4 g/kg de p.c.   toutes les 3 à 4 semaines 
     Traitement immunomodulateur       
     Purpura thrombopénique immunologique   0.8-1 g/kg de p.c. ou
    0.4 g/kg de p.c./j 
     Le premier jour, éventuellement
    répété 1 fois dans les 3 jours
    pendant 2 à 5 jours 
     Syndrome de Guillain-Barré   0.4 g/kg de p.c./j   pendant 3 à 7 jours 
     Maladie de Kawasaki   1.6-2 g/kg de p.c.
    ou2 g/kg de p.c. 
     en plusieurs doses réparties sur
    2 à 5 jours en association
    avec l’acide acétylsalicylique
    en dose unique en association
    avec l’acide acétylsalicylique 
     Greffe de moelle osseuse allogénique       
     Traitement des infections et prévention
    de la maladie du greffon contre l’hôte 
     0.5 g/kg de p.c.   chaque semaine de J-7 jusqu’à
    3 mois après la greffe 
     Défaut persistant de production d’anticorps   0.5 g/kg de p.c.   chaque mois jusqu’au retour à la
    normale des taux d’anticorps 
    Mode d’administration :
    L’immunoglobuline humaine normale doit être perfusée par voie intraveineuse. Le débit de perfusion initial est de 0,3 ml/kg de p. c./h. En cas de bonne tolérance, le débit d’administration peut être progressivement augmenté jusqu’à 4,8 ml/kg de p. c./h.
  • Chez les patients atteints de DIP qui ont bien toléré la perfusion de Privigen à un débit de 4,8 ml/kg de p.c/h., le débit peut être augmenté progressivement jusqu’à un débit maximal de 7,2 ml/kg de p.c/h.
  • Si une dilution avant administration est désirée, Privigen peut-être dilué avec une solution de glucose à 5 % pour obtenir une concentration finale de 50 mg/ml (5 %).Précautions particulières d’élimination et manipulation
    Privigen est disponible sous forme de solution prête à l’emploi dans des flacons à usage unique. Le produit doit être à température ambiante ou à la température du corps avant l’utilisation. Une ligne de perfusion avec évent doit être utilisée pour l’administration de Privigen. Toujours percer le bouchon
    au centre, dans la zone marquée.
  • La solution doit être claire ou légèrement opalescente. Ne pas utiliser de solution trouble ou contenant des particules.
  • Si une dilution est souhaitée, une solution de glucose à 5 % doit être utilisée. Pour obtenir une solution d’immunoglobulines à 50 mg/ml (5 %), Privigen 100 mg/ml (10 %) doit être dilué avec un volume égal de solution de glucose à 5 %. Une technique aseptique doit être strictement respectée lors
    de la dilution de Privigen.
  • Une fois le flacon entamé sous conditions aseptiques, son contenu doit être rapidement utilisé.
  • Comme la solution ne contient pas d’agents de conservation, Privigen doit être perfusé le plus rapidement possible.
  • Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux immunoglobulines humaines
    • IgA et présence d’anticorps anti-IgA, déficit (en)
    • Hyperprolinémie

    • Respecter le débit de perfusion recommandé
      Certains effets indésirables sévères peuvent être liés au débit de perfusion. Le débit de perfusion
      recommandé en Mode d’administration doit être scrupuleusement suivi. Les patients doivent rester sous étroite surveillance pendant toute la durée de la perfusion afin de détecter d’éventuels signes d’intolérance.
    • Respecter les conditions d’utilisation du médicament
      – Certains effets indésirables sévères peuvent être liés au débit de perfusion. Le débit de perfusion
      recommandé en Mode d’administration doit être scrupuleusement suivi. Les patients doivent rester sous étroite surveillance pendant toute la durée de la perfusion afin de détecter d’éventuels signes d’intolérance.
    • – En cas d’effet indésirable, le débit d’administration doit être ralenti ou la perfusion arrêtée. Le traitement requis dépend de la nature et de la sévérité des effets secondaires. En cas de choc, le traitement symptomatique standard de l’état de choc doit être instauré.
    • Patient traité avec un débit de perfusion élevé
      Certains effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment en cas de débit de perfusion élevé,
    • Hypogammaglobulinémie
      Certains effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment chez les patients hypo – ou agammaglobulinémiques avec ou sans déficit en IgA.
    • Patient traité pour la première fois
      Certains effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment chez les patients recevant pour la première fois de l’immunoglobuline humaine normale pour la première fois ou, dans de rares cas, lors d’un changement d’immunoglobuline humaine normale ou lorsqu’il s’est écoulé une longue période depuis la dernière perfusion.
    • Surveillance clinique en début de traitement
      Certains effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment chez les patients recevant pour la première fois de l’immunoglobuline humaine normale pour la première fois ou, dans de rares cas, lors d’un changement d’immunoglobuline humaine normale ou lorsqu’il s’est écoulé une longue période depuis la dernière perfusion.
    • En cas d’effet indésirable, le débit d’administration doit être ralenti ou la perfusion arrêtée. Le traitement requis dépend de la nature et de la sévérité des effets indésirables.
    • En cas de choc, le traitement symptomatique standard de l’état de choc doit être instauré.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      Les vraies réactions d’hypersensibilité sont rares. Elles peuvent apparaître dans les très rares cas de déficit en IgA avec anticorps anti-IgA.
    • Rarement, l’immunoglobuline humaine normale peut induire une chute brutale de la pression artérielle associée à une réaction anaphylactique, même chez des patients ayant présenté une bonne tolérance à une administration précédente d’immunoglobuline humaine normale.
    • Les complications potentielles peuvent souvent être évitées en s’assurant que les patients :
      – ne sont pas hypersensibles à l’immunoglobuline humaine normale en commençant par injecter lentement le produit (0,3 ml/kg de p. c./h) ;
      – sont étroitement surveillés à la recherche de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion. Plus particulièrement, afin de détecter des effets indésirables potentiels, les patients recevant pour la première fois des immunoglobulines humaines normales, les patients passant d’une autre IglV à celle-ci ou dont la dernière perfusion remonte à longtemps doivent être suivis pendant toute la durée de la première administration et pendant l’heure qui suit. Tous les autres patients doivent être surveillés pendant au moins vingt minutes après l’administration.
    • Risque d’hémolyse
      Les médicaments à base d’IgIV peuvent contenir des anticorps à des groupes sanguins susceptibles d’agir comme des hémolysines et d’induire le recouvrement in vivo des globules rouges par des immunoglobulines ce qui entraîne une réaction antiglobuline directe positive (test de Coomb) et, dans de rares cas, une hémolyse. L’anémie hémolytique peut se développer suite à un traitement par IgIV en raison de la séquestration accrue de globules rouges. Les receveurs d’IgIV doivent être suivis pour déceler les signes cliniques et les symptômes d’une hémolyse éventuelle (cf Effets secondaires).
    • Risque d’accident thromboembolique
      L’existence d’un lien entre l’administration d’IglV et des réactions thrombo-emboliques telles qu’infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde est cliniquement reconnue et probablement liée à une élévation relative de la viscosité sanguine due à un apport important en immunoglobulines chez les patients à risque. La prudence est de mise lors de la prescription et de la perfusion d’IglV chez des patients obèses ou présentant des facteurs de risques thrombotiques pré-existants (tels que l’âge avancé, l’hypertension, le diabète sucré et les antécédents de maladies vasculaires ou d’épisodes thrombotiques et patients atteints de troubles thrombo-emboliques acquis ou héréditaires, subissant des périodes d’immobilisation prolongées, sévèrement hypovolémiques ou souffrant de maladies entraînant une élévation de la viscosité sanguine).
    • Chez les patients présentant un risque de réaction thrombo-embolique, les IglV doivent être administrées avec le débit de perfusion et à la dose les plus faibles possibles.
    • Sujet à risque d’accident thromboembolique
      L’existence d’un lien entre l’administration d’IglV et des réactions thrombo-emboliques telles qu’infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde est cliniquement reconnue et probablement liée à une élévation relative de la viscosité sanguine due à un apport important en immunoglobulines chez les patients à risque. La prudence est de mise lors de la prescription et de la perfusion d’IglV chez des patients obèses ou présentant des facteurs de risques thrombotiques pré-existants (tels que l’âge avancé, l’hypertension, le diabète sucré et les antécédents de maladies vasculaires ou d’épisodes thrombotiques et patients atteints de troubles thrombo-emboliques acquis ou héréditaires, subissant des périodes d’immobilisation prolongées, sévèrement hypovolémiques ou souffrant de maladies entraînant une élévation de la viscosité sanguine).
    • Chez les patients présentant un risque de réaction thrombo-embolique, les IglV doivent être administrées avec le débit de perfusion et à la dose les plus faibles possibles.
    • Obésité
      L’existence d’un lien entre l’administration d’IglV et des réactions thrombo-emboliques telles qu’infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde est cliniquement reconnue et probablement liée à une élévation relative de la viscosité sanguine due à un apport important en immunoglobulines chez les patients à risque. La prudence est de mise lors de la prescription et de la perfusion d’IglV chez des patients obèses ou présentant des facteurs de risques thrombotiques pré-existants (tels que l’âge avancé, l’hypertension, le diabète sucré et les antécédents de maladies vasculaires ou d’épisodes thrombotiques et patients atteints de troubles thrombo-emboliques acquis ou héréditaires, subissant des périodes d’immobilisation prolongées, sévèrement hypovolémiques ou souffrant de maladies entraînant une élévation de la viscosité sanguine).
    • Chez les patients présentant un risque de réaction thrombo-embolique, les IglV doivent être administrées avec le débit de perfusion et à la dose les plus faibles possibles.
    • Risque d’insuffisance rénale aigüe
      Des cas d’insuffisance rénale aiguë ont été rapportés chez des patients recevant un traitement par IglV.
    • Dans la plupart des cas, des facteurs de risque ont été identifiés, par exemple une insuffisance rénale pré-existante, un diabète sucré, une hypovolémie, un surpoids, une administration concomitante de médicaments néphrotoxiques ou un âge supérieur à 65 ans.
    • En cas d’atteinte rénale, l’arrêt de l’administration d’IglV doit être envisagé.
    • Bien que ces cas de dysfonctionnement rénal et d’insuffisance rénale aiguë aient été associés à l’utilisation de nombreuses spécialités d’IglV, celles contenant du saccharose comme stabilisant en représentent la plus large part. Chez les patients à risque, l’utilisation de médicaments à base d’IglV ne contenant pas de saccharose doit être envisagée. Privigen ne contient pas de saccharose ou d’autres sucres.
    • Chez les patients présentant un risque d’insuffisance rénale aiguë, les IglV doivent être administrées avec le débit de perfusion et à la dose les plus faibles possibles.
    • Assurer une hydratation correcte avant le traitement
      Chez tous les patients, l’administration d’IglV requiert une hydratation appropriée avant le début de la perfusion d’IglV.
    • Surveillance de la diurèse pendant le traitement
      Chez tous les patients, l’administration d’IglV requiert une surveillance de la diurèse.
    • Surveillance de la fonction rénale pendant le traitement
      Chez tous les patients, l’administration d’IglV requiert une surveillance des taux de créatinine sérique.
    • Diabète
      Dans le cas des patients souffrant de diabète sucré et nécessitant une dilution de Privigen pour obtenir des concentrations plus faibles, la présence de glucose dans la solution de dilution recommandée doit être prise en compte.
    • Risque de transmission d’agent infectieux
      Information sur la prévention du risque de transmission d’agents infectieux
      Les mesures habituelles de prévention des infections dues à l’utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d’infection sur chaque don et sur les mélanges de plasma ainsi que l’intégration
      d’étapes efficaces d’inactivation/élimination virale au processus de fabrication. Malgré cela la possibilité d’une transmission d’agents infectieux ne peut pas être totalement exclue lors de l’administration de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain. Ceci s’applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres agents pathogènes.
    • Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés tels que le VIH, le VHB et le VHC, ainsi que les virus non enveloppés VHA et parvovirus B19.
    • L’expérience clinique est rassurante ne rapportant pas de transmission du virus de l’hépatite A ni du parvovirus B19 par les immunoglobulines et l’on assume que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
    • Il est fortement recommandé d’enregistrer le nom et le numéro du lot du produit chaque fois que Privigen est administré à un patient, afin de conserver un lien entre le patient et le numéro de lot du produit.
    • Produit dérivé du sang
    • Traçabilité recommandée
      Il est fortement recommandé d’enregistrer le nom et le numéro du lot du produit chaque fois que Privigen est administré à un patient, afin de conserver un lien entre le patient et le numéro de lot du produit.
    • Incompatibilité avec tous les médicaments
      Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments, excepté à ceux mentionnés en Posologie/Mode de manipulation
    • Compatibilité avec certains solvants
      Si une dilution est souhaitée, une solution de glucose à 5 % doit être utilisée. Pour obtenir une solution d’immunoglobulines à 50 mg/ml (5 %), Privigen 100 mg/ml (10 %) doit être dilué avec un volume égal de solution de glucose à 5 %. Une technique aseptique doit être strictement respectée lors de la dilution de Privigen.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’innocuité de ce médicament chez la femme enceinte n’a pas été établie par des essais cliniques contrôlés, et par conséquent ce médicament doit être administré avec précaution chez la femme enceinte ou allaitant. L’expérience clinique avec les immunoglobulines suggère aucun effet délétère sur la grossesse, ou pour le foetus et le nouveau-né.

     Allaitement :

    Les immunoglobulines sont excrétées dans le lait et peuvent contribuer à la transmission d’anticorps protecteurs au nouveau-né.

    Aucun effet n’a été observé sur l’aptitude à conduire un véhicule et à utiliser des machines.

    • Réaction allergique générale
    • Pression artérielle (diminution) (Rare)
    • Choc anaphylactique (Cas isolés)
    • Méningite aseptique (Cas isolés)
    • Anémie hémolytique (Cas isolés)
    • Hémolyse
    • Réaction allergique locale (Rare)
    • Créatininémie (augmentation)
    • Insuffisance rénale aiguë
    • Accident thromboembolique (Très rare)
    • Infarctus du myocarde (Très rare)
    • Accident vasculaire cérébral (Très rare)
    • Embolie pulmonaire (Très rare)
    • Thrombophlébite profonde (Très rare)
    • Effets secondaires généraux
    • Bilirubinémie conjuguée (augmentation) (Peu fréquent)
    • Bilirubinémie non conjuguée (augmentation) (Peu fréquent)
    • Test de coombs positif (Peu fréquent)
    • LDH (augmentation) (Peu fréquent)
    • Hématocrite (diminution) (Peu fréquent)
    • ALAT (augmentation) (Peu fréquent)
    • ASAT (augmentation) (Peu fréquent)
    • Pression artérielle (augmentation) (Peu fréquent)
    • Fièvre (Peu fréquent)
    • Hémoglobinémie (diminution) (Peu fréquent)
    • Palpitation (Peu fréquent)
    • Anémie (Peu fréquent)
    • Anisocytose (Peu fréquent)
    • Céphalée (Très fréquent)
    • Sensation de vertige (Peu fréquent)
    • Somnolence (Peu fréquent)
    • Tremblement (Peu fréquent)
    • Dyspnée (Peu fréquent)
    • Ulcère oropharyngé (Peu fréquent)
    • Gêne respiratoire (Peu fréquent)
    • Sensation de constriction pharyngée (Peu fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Nausée (Fréquent)
    • Diarrhée (Peu fréquent)
    • Douleur abdominale (Peu fréquent)
    • Protéinurie (Peu fréquent)
    • Prurit (Peu fréquent)
    • Dermatose (Peu fréquent)
    • Hypersudation nocturne (Peu fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Dorsalgie (Fréquent)
    • Douleur cervicale (Peu fréquent)
    • Douleur des extrémités (Peu fréquent)
    • Raideur musculo-squelettique (Peu fréquent)
    • Spasme musculaire (Peu fréquent)
    • Douleur musculo-squelettique (Peu fréquent)
    • Douleur musculaire (Peu fréquent)
    • Bouffée vasomotrice (Peu fréquent)
    • Frisson (Fréquent)
    • Fatigue (Fréquent)
    • Douleur thoracique (Peu fréquent)
    • Asthénie (Peu fréquent)
    • Syndrome pseudogrippal (Peu fréquent)
    • Douleur (Peu fréquent)
    • Douleur au point d’injection (Peu fréquent)
    • Hyperbilirubinémie (Peu fréquent)

    • Classement ATC : 
          J06BA02 / IMMUNOGLOBULINES HUMAINES POLYVALENTES, POUR ADMINISTRATION INTRAVASCULAIRE
    • Classement Vidal : 
          Immunoglobulines humaines polyvalentes
          Immunologie et transplantation/Immunomodulateur
          Syndrome de Guillain Barré

    Liste I
    • CIP : 5727907 (PRIVIGEN 100 mg/ml sol p perf : 1Fl/50ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5727913 (PRIVIGEN 100 mg/ml sol p perf : 1Fl/100ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5727936 (PRIVIGEN 100 mg/ml sol p perf : 1Fl/200ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5756234 (PRIVIGEN 100 mg/ml sol p perf : 1Fl/25ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


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