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SIMVASTATINE PFIZER 40 mg cp pellic






comprimé pelliculé
par 1 comprimé
simvastatine40 mg
Excipients : butylhydroxyanisole, acide ascorbique, acide citrique monohydrate, cellulose microcristalline, amidon de maïs modifié, lactose monohydrate, magnésium stéarate, opadry pink 20A54211HS, ( hypromellose, hyprolose, titane dioxyde, talc, fer rouge oxyde ).

– Hypercholestérolémies :
Traitement des hypercholestérolémies primaires ou des dyslipidémies mixtes, en complément du régime, lorsque la réponse au régime et aux autres traitements non pharmacologiques (par exemple : exercice physique, perte de poids) s’avère insuffisante.

  • Traitement des hypercholestérolémies familiales homozygotes en complément du régime et des autres traitements hypolipémiants (par exemple aphérèse des LDL) ou si de tels traitements sont inappropriés.
  • – Prévention cardiovasculaire :
    Réduction de la mortalité et de la morbidité cardiovasculaires chez les patients ayant une pathologie cardiovasculaire avérée d’origine athéroscléreuse ou un diabète, avec cholestérol normal ou élevé en complément de l’effet de la correction des autres facteurs de risque et des autres traitements cardioprotecteurs (cf Pharmacodynamie).

  • La posologie est de 5 à 80 mg/jour administrés par voie orale en une prise unique le soir. Les ajustements posologiques, si nécessaire, doivent être effectués à intervalles d’au moins 4 semaines, jusqu’à un maximum de 80 mg/jour administrés en une prise unique le soir. La dose de 80 mg/jour est seulement recommandée pour les patients ayant une hypercholestérolémie sévère et à risque élevé de complications cardiovasculaires.Hypercholestérolémies :
    Le patient doit être mis sous régime hypocholestérolémiant standard et doit le poursuivre pendant le traitement par simvastatine. La dose initiale usuelle est de 10 à 20 mg/jour administrée en une prise unique le soir. Pour les patients nécessitant une réduction importante du LDL-cholestérol (plus de 45 %), le traitement peut être initié à une posologie de 20-40 mg/jour administrés en une prise unique le soir. Les ajustements posologiques, si nécessaire, doivent être effectués comme indiqué ci-dessus.Hypercholestérolémie familiale homozygote :
    Sur la base des résultats d’une étude clinique contrôlée, la posologie recommandée de simvastatine est de 40 mg/jour administré le soir ou de 80 mg/jour répartie en 3 prises : 20 mg, 20 mg et 40 mg le soir. La simvastatine doit être utilisée en complément d’autres traitements hypolipémiants, par exemple aphérèse des LDL, ou si de tels traitements ne sont pas disponibles.Prévention cardiovasculaire :
    Chez les patients à risque élevé de maladie coronaire (avec ou sans hyperlipidémie), la posologie usuelle de simvastatine est de 20 à 40 mg/jour, administrés en une prise unique le soir. Le traitement médicamenteux peut être initié en même temps que le régime et l’exercice physique. Les ajustements posologiques, si nécessaire, doivent être effectués comme indiqué ci-dessus.Traitements associés :
    La simvastatine est efficace seule ou en association avec les chélateurs des acides biliaires. La prise de simvastatine doit avoir lieu soit 2 heures avant ou 4 heures après l’administration d’un chélateur de l’acide biliaire.
  • Chez les patients prenant de la ciclosporine, du danazol, du gemfibrozil, d’autres fibrates (excepté le fénofibrate) ou de la niacine à doses hypolipémiantes (1 g/jour), en association avec la simvastatine, la posologie de simvastatine ne doit pas dépasser 10 mg/jour. Chez les patients prenant de l’amiodarone ou du vérapamil, en association avec la simvastatine, la posologie de simvastatine ne doit pas dépasser 20 mg/jour (cf Mises en garde/Précautions d’emploi et Interactions).Posologie chez l’insuffisant rénal :
    Aucune modification posologique n’est à prévoir chez les patients atteints d’insuffisance rénale modérée.
  • Chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), des posologies supérieures à 10 mg/jour doivent être envisagées avec précaution et le traitement doit être initié prudemment, s’il s’avère nécessaire.Utilisation chez le sujet âgé :
    Aucun ajustement posologique n’est nécessaire.Utilisation chez l’enfant et l’adolescent :
    L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été établies chez l’enfant. Par conséquent, la simvastatine n’est pas recommandée pour une utilisation pédiatrique.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hépatopathie
    • Transaminases sériques, augmentation prolongée (des)
    • Grossesse
    • Allaitement
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Risque de toxicité musculaire
      – Atteinte musculaire/rhabdomyolyse :
      La simvastatine, comme les autres inhibiteurs de l’HMG Co-A réductase, provoque parfois des atteintes musculaires se traduisant par une douleur musculaire, une sensibilité douloureuse ou une faiblesse musculaire avec créatine phosphokinase (CPK) supérieure à 10 fois la limite supérieure de la normale (LSN). L’atteinte musculaire prend quelquefois la forme d’une rhabdomyolyse avec ou sans insuffisance rénale aiguë secondaire à la myoglobinurie et de très rares décès sont survenus. Le risque d’atteinte musculaire est accru par une augmentation de l’activité inhibitrice plasmatique de l’HMG Co-A réductase.
    • Comme avec les autres inhibiteurs de l’HMG-CoA réductase, le risque d’atteinte musculaire/rhabdomyolysedépend de la dose. Dans une base de données d’essais cliniques 41 050 patients ont été traités par simvastatine. 24 747 patients (soit environ 60 %) ont été traités pendant au moins 4 ans. L’incidence des atteintes musculaires a été d’environ 0,02 % avec 20 mg/jour, de 0,08 % avec 40 mg/jour et de 0,53 % avec 80 mg/jour. Durant ces essais, les patients ont été soigneusement surveillés et certains médicaments pouvant donner des interactions n’ont pas été autorisés.
    • – Dosage de la créatine phosphokinase :
      La créatine phosphokinase (CPK) ne doit pas être dosée après un effort intense ou en présence de toute autre cause possible d’élévation de CPK car cela en rendrait l’interprétation difficile. Si le taux de CPK à l’état basal est significativement élevé par rapport à la normale (> 5 x LSN), il doit être contrôlé dans les 5 à 7 jours pour confirmer les résultats.
    • – Avant le traitement :
      Tous les patients débutant un traitement par la simvastatine, ou ceux dont l’augmentation de la posologie est en cours, doivent être informés du risque d’atteinte musculaire et qu’ils doivent signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, sensibilité douloureuse ou faiblesse musculaire.
    • Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      . Patients âgés (> 70 ans).
    • . Insuffisance rénale.
    • . Hypothyroïdie non contrôlée.
    • . Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • . Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • . Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • – Pendant le traitement :
      La survenue de douleurs, faiblesse ou crampes musculaires chez un patient traité par une statine, impose de mesurer la CPK. Si, en l’absence d’effort intensif, la valeur est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement doit être arrêté. Si les symptômes musculaires sont sévères et provoquent une gêne quotidienne, même si la valeur de CPK est < 5 x LSN, l’arrêt du traitement peut être envisagé. Si une atteinte musculaire est suspectée pour une toute autre raison, le traitement doit être arrêté.
    • Si les symptômes disparaissent et si la valeur de CPK redevient normale, une réintroduction de la même statine, ou d’une autre statine peut être envisagée à la posologie la plus faible et sous surveillance étroite.
    • Le traitement par simvastatine doit être transitoirement interrompu quelques jours avant une intervention chirurgicale majeure programmée et lors de la survenue d’un épisode médical ou chirurgical majeur.
    • – Mesures pour réduire le risque d’atteinte musculaire provoquée par des interactions médicamenteuses (cf Interactions) :
      Le risque d’atteinte musculaire et de rhabdomyolyse est significativement augmenté en cas d’utilisation concomitante de simvastatine avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l’itraconazole, le kétoconazole, l’érythromycine, la clarithromycine, la télithromycine, les inhibiteurs de protéase du VIH, la néfazodone), ainsi que le gemfibrozil, la ciclosporine et le danazol (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Le risque d’atteinte musculaire et de rhabdomyolyse est également accru lors de l’utilisation concomitante d’autres fibrates, de niacine à doses hypolipémiantes (>= 1 g/jour), d’amiodarone ou de vérapamil avec des doses élevées de simvastatine (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions). Une légère augmentation du risque est également observée lors de l’association du diltiazem à 80 mg/jour de simvastatine.
    • Par conséquent, en ce qui concerne les inhibiteurs du CYP3A4, l’utilisation concomitante de simvastatine et d’itraconazole, de kétoconazole, d’inhibiteurs de protéase du VIH, d’érythromycine, de clarithromycine, de télithromycine et de néfazodone est contre-indiquée (cf Contre-indications et Interactions). Si le traitement par l’itraconazole, le kétoconazole, l’érythromycine, la clarithromycine ou la télithromycine s’avère indispensable, la prise de simvastatine doit être interrompue pendant la durée du traitement. L’association de la simvastatine avec certains autres inhibiteurs moins puissants du CYP3A4 (ciclosporine, vérapamil, diltiazem) doit être faite avec prudence (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions). La prise simultanée de jus de pamplemousse et de simvastatine doit être évitée.
    • La posologie de simvastatine ne doit pas dépasser 10 mg/jour chez les patients recevant un traitement concomitant par la ciclosporine, le danazol, le gemfibrozil, ou la niacine à doses hypolipémiantes (>= 1 g/jour). L’utilisation concomitante de simvastatine et de gemfibrozil doit être évitée à moins que les bénéfices attendus ne l’emportent sur les risques majorés de cette association. Les bénéfices de l’utilisation concomitante de simvastatine à 10 mg/jour avec d’autres fibrates (excepté le fénofibrate), la niacine, la ciclosporine ou le danazol doivent être soigneusement pesés par rapport aux risques potentiels de ces associations (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions).
    • En cas de prescription de fénofibrate et de simvastatine, des précautions doivent être prises, car chacun de ces médicaments séparément peut entraîner des atteintes musculaires.
    • L’utilisation concomitante de simvastatine à des posologies > 20 mg/jour avec de l’amiodarone ou du vérapamil doit être évitée à moins que le bénéfice clinique attendu ne l’emporte sur le risque majoré d’atteinte musculaire (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions).
    • Risque de rhabdomyolyse
      – Atteinte musculaire/rhabdomyolyse :
      La simvastatine, comme les autres inhibiteurs de l’HMG Co-A réductase, provoque parfois des atteintes musculaires se traduisant par une douleur musculaire, une sensibilité douloureuse ou une faiblesse musculaire avec créatine phosphokinase (CPK) supérieure à 10 fois la limite supérieure de la normale (LSN). L’atteinte musculaire prend quelquefois la forme d’une rhabdomyolyse avec ou sans insuffisance rénale aiguë secondaire à la myoglobinurie et de très rares décès sont survenus. Le risque d’atteinte musculaire est accru par une augmentation de l’activité inhibitrice plasmatique de l’HMG Co-A réductase.
    • Comme avec les autres inhibiteurs de l’HMG-CoA réductase, le risque d’atteinte musculaire/rhabdomyolysedépend de la dose. Dans une base de données d’essais cliniques 41 050 patients ont été traités par simvastatine. 24 747 patients (soit environ 60 %) ont été traités pendant au moins 4 ans. L’incidence des atteintes musculaires a été d’environ 0,02 % avec 20 mg/jour, de 0,08 % avec 40 mg/jour et de 0,53 % avec 80 mg/jour. Durant ces essais, les patients ont été soigneusement surveillés et certains médicaments pouvant donner des interactions n’ont pas été autorisés.
    • – Dosage de la créatine phosphokinase :
      La créatine phosphokinase (CPK) ne doit pas être dosée après un effort intense ou en présence de toute autre cause possible d’élévation de CPK car cela en rendrait l’interprétation difficile. Si le taux de CPK à l’état basal est significativement élevé par rapport à la normale (> 5 x LSN), il doit être contrôlé dans les 5 à 7 jours pour confirmer les résultats.
    • – Avant le traitement :
      Tous les patients débutant un traitement par la simvastatine, ou ceux dont l’augmentation de la posologie est en cours, doivent être informés du risque d’atteinte musculaire et qu’ils doivent signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, sensibilité douloureuse ou faiblesse musculaire.
    • Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      . Patients âgés (> 70 ans).
    • . Insuffisance rénale.
    • . Hypothyroïdie non contrôlée.
    • . Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • . Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • . Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • – Pendant le traitement :
      La survenue de douleurs, faiblesse ou crampes musculaires chez un patient traité par une statine, impose de mesurer la CPK. Si, en l’absence d’effort intensif, la valeur est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement doit être arrêté. Si les symptômes musculaires sont sévères et provoquent une gêne quotidienne, même si la valeur de CPK est < 5 x LSN, l’arrêt du traitement peut être envisagé. Si une atteinte musculaire est suspectée pour une toute autre raison, le traitement doit être arrêté.
    • Si les symptômes disparaissent et si la valeur de CPK redevient normale, une réintroduction de la même statine, ou d’une autre statine peut être envisagée à la posologie la plus faible et sous surveillance étroite.
    • Le traitement par simvastatine doit être transitoirement interrompu quelques jours avant une intervention chirurgicale majeure programmée et lors de la survenue d’un épisode médical ou chirurgical majeur.
    • – Mesures pour réduire le risque d’atteinte musculaire provoquée par des interactions médicamenteuses (cf Interactions) :
      Le risque d’atteinte musculaire et de rhabdomyolyse est significativement augmenté en cas d’utilisation concomitante de simvastatine avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l’itraconazole, le kétoconazole, l’érythromycine, la clarithromycine, la télithromycine, les inhibiteurs de protéase du VIH, la néfazodone), ainsi que le gemfibrozil, la ciclosporine et le danazol (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Le risque d’atteinte musculaire et de rhabdomyolyse est également accru lors de l’utilisation concomitante d’autres fibrates, de niacine à doses hypolipémiantes (>= 1 g/jour), d’amiodarone ou de vérapamil avec des doses élevées de simvastatine (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions). Une légère augmentation du risque est également observée lors de l’association du diltiazem à 80 mg/jour de simvastatine.
    • Par conséquent, en ce qui concerne les inhibiteurs du CYP3A4, l’utilisation concomitante de simvastatine et d’itraconazole, de kétoconazole, d’inhibiteurs de protéase du VIH, d’érythromycine, de clarithromycine, de télithromycine et de néfazodone est contre-indiquée (cf Contre-indications et Interactions). Si le traitement par l’itraconazole, le kétoconazole, l’érythromycine, la clarithromycine ou la télithromycine s’avère indispensable, la prise de simvastatine doit être interrompue pendant la durée du traitement. L’association de la simvastatine avec certains autres inhibiteurs moins puissants du CYP3A4 (ciclosporine, vérapamil, diltiazem) doit être faite avec prudence (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions). La prise simultanée de jus de pamplemousse et de simvastatine doit être évitée.
    • La posologie de simvastatine ne doit pas dépasser 10 mg/jour chez les patients recevant un traitement concomitant par la ciclosporine, le danazol, le gemfibrozil, ou la niacine à doses hypolipémiantes (>= 1 g/jour). L’utilisation concomitante de simvastatine et de gemfibrozil doit être évitée à moins que les bénéfices attendus ne l’emportent sur les risques majorés de cette association. Les bénéfices de l’utilisation concomitante de simvastatine à 10 mg/jour avec d’autres fibrates (excepté le fénofibrate), la niacine, la ciclosporine ou le danazol doivent être soigneusement pesés par rapport aux risques potentiels de ces associations (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions).
    • En cas de prescription de fénofibrate et de simvastatine, des précautions doivent être prises, car chacun de ces médicaments séparément peut entraîner des atteintes musculaires.
    • L’utilisation concomitante de simvastatine à des posologies > 20 mg/jour avec de l’amiodarone ou du vérapamil doit être évitée à moins que le bénéfice clinique attendu ne l’emporte sur le risque majoré d’atteinte musculaire (cf Posologie/Mode d’administration et Interactions).
    • Intervention chirurgicale
      Le traitement par simvastatine doit être transitoirement interrompu quelques jours avant une intervention chirurgicale majeure programmée et lors de la survenue d’un épisode médical ou chirurgical majeur.
    • Information du patient
      Tous les patients débutant un traitement par la simvastatine, ou ceux dont l’augmentation de la posologie est en cours, doivent être informés du risque d’atteinte musculaire et qu’ils doivent signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, sensibilité douloureuse ou faiblesse musculaire.
    • Sujet de plus de 70 ans
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Insuffisance rénale
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Hypothyroïdie
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Antécédent de myopathie
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Antécédent familial de myopathie
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Antécédent de myopathie acquise due à une statine ou un fibrate
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Alcoolisme
      Une attention particulière doit être portée aux patients ayant des facteurs prédisposant à la survenue d’une rhabdomyolyse. Afin d’établir une valeur basale de référence, le taux de CPK doit être mesuré avant d’initier un traitement dans les situations suivantes :
      – Patients âgés (> 70 ans).
    • – Insuffisance rénale.
    • – Hypothyroïdie non contrôlée.
    • – Antécédents personnels ou familiaux de maladie musculaire héréditaire.
    • – Antécédents de toxicité musculaire avec une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • Dans de telles situations, le risque lié au traitement doit être pris en compte par rapport au bénéfice potentiel et une surveillance clinique est recommandée. Si un patient a déjà présenté des troubles musculaires avec un fibrate ou une statine, le traitement avec un médicament de la même classe ne sera initié qu’avec prudence. Si la valeur basale de CPK est significativement élevée (> 5 x LSN), le traitement ne doit pas être initié.
    • Surveillance de la fonction hépatique avant et pendant le traitement
      Dans les études cliniques, des élévations persistantes des transaminases sériques (> 3 x LSN) sont survenues chez quelques patients adultes recevant de la simvastatine. Lorsque la simvastatine a été interrompue ou arrêtée chez ces patients, les valeurs des transaminases sont généralement revenues lentement aux valeurs avant traitement.
    • Il est recommandé de pratiquer des tests fonctionnels hépatiques avant le début du traitement, puis ensuite si indiqué cliniquement. Chez les patients dont la posologie est augmentée à 80 mg/jour, des tests supplémentaires doivent être pratiqués avant l’ajustement posologique, 3 mois après l’ajustement à 80 mg/jour, puis périodiquement ensuite (par exemple 2 fois par an) pendant la première année du traitement. Une attention particulière doit être portée aux patients dont les transaminases augmentent ; chez ces patients, les dosages doivent être répétés rapidement puis effectués plus fréquemment par la suite. Si une élévation des transaminases persiste, en particulier au-delà de 3 x LSN, elle conduira à l’arrêt du traitement.
    • La simvastatine doit être utilisée avec précaution chez les patients consommant d’importantes quantités d’alcool.
    • Comme pour d’autres médicaments hypolipémiants, des élévations modérées (< 3 x LSN) des transaminases sériques ont été signalées lors d’un traitement par la simvastatine. Ces élévations, survenues peu de temps après l’instauration du traitement, ont été souvent transitoires et n’ont pas été accompagnées de symptomatologie clinique. L’interruption du traitement n’a pas été nécessaire.
    • Interaction alimentaire : jus de pamplemousse
      Le jus de pamplemousse inhibe le cytochrome P450 3A4. La prise concomitante d’importantes quantités de jus de pamplemousse (plus de 1 litre/jour) et de simvastatine a multiplié par 7 l’exposition à la simvastatine acide. La prise de 240 ml de jus de pamplemousse le matin et de simvastatine le soir a également multiplié par 1,9 l’exposition à la simvastatine acide. En cas de traitement par la simvastatine, la prise de jus de pamplemousse doit par conséquent être évitée.
    • Enfant de moins de 15 ans
      L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été établies chez l’enfant. Par conséquent, la simvastatine n’est pas recommandée pour une utilisation pédiatrique.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      En une prise unique le soir.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Ce médicament est contre-indiqué pendant la grossesse (cf Contre-indications).
  • La sécurité d’emploi n’a pas été établie chez la femme enceinte. Aucune étude clinique contrôlée de la simvastatine n’a été menée chez la femme enceinte. De rares cas d’anomalies congénitales ont été rapportés après une exposition intra-utérine à des inhibiteurs de l’HMG Co-A réductase. Toutefois, lors de l’analyse d’environ 200 grossesses suivies de façon prospective exposées au cours du premier trimestre à la simvastatine ou à un autre inhibiteur de la HMG Co-A réductase étroitement apparenté, l’incidence des anomalies congénitales était comparable à celle observée dans la population générale. Le nombre de grossesses était statistiquement suffisant pour exclure une augmentation >= 2,5 fois des anomalies congénitales par rapport à l’incidence de base.
  • Bien qu’il n’y ait aucune preuve que l’incidence des anomalies congénitales dans la descendance des patients prenant de la simvastatine ou un autre inhibiteur de l’HMG Co-A réductase étroitement apparenté diffère de celle observée dans la population générale, le traitement de la mère par la simvastatine peut réduire les taux foetaux de mévalonate qui est un précurseur de la biosynthèse du cholestérol. L’athérosclérose est une maladie chronique, et en général, l’arrêt des médicaments hypolipémiants au cours de la grossesse devrait avoir peu d’impact sur le risque à long terme associé à l’hypercholestérolémie primaire. Pour ces raisons, ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, qui envisage de l’être ou qui pense l’être. Le traitement par la simvastatine doit être interrompu pendant la durée de la grossesse ou jusqu’à ce que l’absence de grossesse ait été vérifiée (cf Contre-indications).
  •  Allaitement :

    On ne sait pas si la simvastatine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. De nombreux médicaments étant excrétés dans le lait maternel, et en raison du risque d’effets indésirables graves, les femmes prenant ce médicament ne doivent pas allaiter (cf Contre-indications).

    Ce médicament n’a pas, ou peu, d’influence sur l’aptitude à conduire ou à utiliser des machines. Toutefois, lors de la conduite de véhicules ou de l’utilisation de machines, il faut tenir compte du fait que des étourdissements ont été rarement rapportés depuis la mise sur le marché.

    • Anémie (Rare)
    • Céphalée (Rare)
    • Paresthésie (Rare)
    • Vertige (Rare)
    • Neuropathie périphérique (Rare)
    • Constipation (Rare)
    • Douleur abdominale (Rare)
    • Flatulence (Rare)
    • Dyspepsie (Rare)
    • Diarrhée (Rare)
    • Nausée (Rare)
    • Vomissement (Rare)
    • Pancréatite (Rare)
    • Hépatite (Rare)
    • Ictère (Rare)
    • Eruption cutanée (Rare)
    • Prurit (Rare)
    • Alopécie (Rare)
    • Myopathie (Rare)
    • Rhabdomyolyse (Rare)
    • Douleur musculaire (Rare)
    • Crampe (Rare)
    • Asthénie (Rare)
    • Syndrome d’hypersensibilité (Rare)
    • Transaminases (augmentation) (Rare)
    • Phosphatases alcalines (augmentation) (Rare)
    • CPK (augmentation) (Rare)

    • Classement ATC : 
          C10AA01 / SIMVASTATINE
    • Classement Vidal : 
          Hypolipémiant : inhibiteur de la HMG Co-A réductase : Simvastatine Cardiologie Angéiologie
          Hypolipémiant : inhibiteur de la HMG Co-A réductase Métabolisme Diabète Nutrition (Simvastatine)

    Liste I
    • CIP : 3883520 (SIMVASTATINE PFIZER 40 mg cp pellic : Plq/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3883572 (SIMVASTATINE PFIZER 40 mg cp pellic : Plq/84).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Pfizer


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