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PERINDOPRIL ZYDUS 2 mg cp






comprimé
par 1 comprimé
périndopril tert-butylamine2 mg
Excipients : silice colloïdale anhydre, cellulose microcristalline, lactose monohydrate, magnésium stéarate.

— Hypertension :
Traitement de l’hypertension artérielle.

  • — Insuffisance cardiaque :
    Traitement de l’insuffisance cardiaque symptomatique.
  • — Maladie coronaire stable :
    Réduction du risque d’événements cardiaques chez les patients ayant un antécédent d’infarctus du myocarde et/ou de revascularisation.

  • POSOLOGIE :
    La posologie doit être adaptée individuellement en fonction du profil du patient et de la réponse tensionnelle (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • – Hypertension:
    Le Perindopril peut être utilisé en monothérapie ou en association avec d’autres classes de médicaments antihypertenseurs.
  • La dose initiale recommandée est de 4 mg en une prise par jour le matin.
  • En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas d’hypertension rénovasculaire, de déplétion sodée et/ou hydrique, de décompensation cardiaque ou d’hypertension sévère), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise.
  • Une prise initiale de 2 mg est recommandée chez ces patients et l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale.
  • Après 1 mois de traitement, la posologie peut être augmentée à 8 mg par jour en une prise.
  • Une hypotension symptomatique peut survenir après initiation du traitement par Perindopril; en particulier chez les patients traités parallèlement par diurétiques.
  • Une attention particulière est donc recommandée chez ces patients car ils peuvent présenter une déplétion hydrique et/ou sodée.
  • Si possible, le diurétique doit être arrêté 2 à 3 jours avant l’initiation du traitement par Perindopril (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Chez les patients hypertendus, pour lesquels le diurétique ne peut pas être interrompu, le traitement par perindopril doit être initié avec une prise de 2 mg. La fonction rénale et la kaliémie doivent être surveillées. La posologie de perindopril sera ensuite adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
  • Le traitement des patients âgés doit être instauré à une dose de 2 mg qui pourra être augmentée progressivement à 4 mg après un mois de traitement puis jusqu’à 8 mg si nécessaire, suivant l’état de la fonction rénale (voir tableau ci-dessous).
  • – Insuffisance cardiaque symptomatique:
    Il est recommandé que le perindopril, habituellement administré en association avec un diurétique non épargneur potassique et/ou à la digoxine et/ou à un bêta-bloquant, soit administré sous étroite surveillance médicale avec une prise initiale de 2 mg le matin. Cette dose peut être augmentée par paliers de 2 mg à intervalles de 2 semaines minimum à 4 mg une fois par jour si toléré. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique observée chez chaque patient.
  • En cas d’insuffisance cardiaque sévère et chez les patients considérés à haut risque (insuffisants rénaux et ayant des perturbations électrolytiques, patients sous traitements associés diurétiques et/ou vasodilatateurs), le traitement devra être initié sous surveillance médicale attentive (cf. « Mises en garde spéciales et précautions d’emploi »).
  • Les patients à haut risque d’hypotension symptomatique par exemple les patients avec déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie, les patients avec hypovolémie ou qui ont reçu un traitement diurétique à fortes doses, doivent si possible avoir ces situations corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. La pression artérielle, la fonction rénale et la kaliémie doivent être étroitement surveillées à la fois avant et pendant le traitement par perindopril (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • – Maladie coronaire stable:
    Le perindopril sera administré à la dose de 4 mg en une prise par jour, puis après 2 semaines augmenté à 8 mg par jour en une prise, suivant l’état de la fonction rénale et sous réserve que la dose de 4 mg soit bien tolérée.
  • Les patients âgés recevront 2 mg en une prise par jour la première semaine, puis 4 mg en une prise par jour la semaine suivante avant d’augmenter la dose jusqu’à 8 mg en une prise par jour suivant l’état de la fonction rénale (voir tableau 1:  » Ajustement posologique en cas d’insuffisance rénale « ).
  • La posologie ne sera augmentée que si la tolérance de la dose précédente est bonne.
  • Ajustement posologique en cas d’insuffisance rénale:
    La posologie chez l’insuffisant rénal doit être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine comme indiqué dans le tableau 1 ci-dessous:
    – Tableau 1: Ajustement posologique en cas d’insuffisance rénale
     Clairance de lacréatinine (ml/min)   Dose recommandée 
     Clcr >= 60   4 mg/jour 
     30 < Clcr < 60   2 mg/jour 
     15 < Clcr < 30   2 mg un jour sur deux 
     Patient hémodialysé, Clcr < 15   2 mg le jour de la dialyse 

    * La clairance de dialyse du perindoprilate est de 70 ml/min. Les patients sous hémodialyse doivent prendre la dose après la séance de dialyse.
  • Ajustement posologique en cas d’insuffisance hépatique:
    Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez l’insuffisant hépatique (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi et Pharmacocinétique).
  • – Utilisation chez l’enfant
    L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été totalement établies. Par conséquent, l’utilisation chez l’enfant n’est pas recommandée.MODE D’ADMINISTRATION :
    Il est recommandé de prendre le perindopril en une prise par jour le matin avant le repas.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
    • Oedème angioneurotique héréditaire
    • Oedème de Quincke
    • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
    • Déficit en lactase
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)

    • Angor
      Si un épisode d’angor instable (majeur ou non) survient au cours du premier mois de traitement par le périndopril, le rapport bénéfice/risque doit être soigneusement déterminé avant de poursuivre le traitement.
    • Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique,l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf. Posologie/Mode d’administration et Effets indésirables). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • Risque d’hypotension artérielle
      Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et recevoir, si nécessaire, une perfusion intraveineuse de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après augmentation de la pression artérielle et correction de la volémie.
    • Chez certains patients avec insuffisance cardiaque congestive qui présentent habituellement une pression artérielle normale ou basse, une baisse supplémentaire de la pression artérielle peut survenir avec le perindopril. Cet effet est prévisible et ne constitue généralement pas un motif d’arrêt du traitement. Si l’hypotension devient symptomatique, une diminution de la posologie, ou un arrêt du traitement par le perindopril peuvent être nécessaires.
    • Hypertension artérielle
      – Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires).
    • – Une hypotension symptomatique peut survenir après initiation du traitement par Perindopril; en particulier chez les patients traités parallèlement par diurétiques. Une attention particulière est donc recommandée chez ces patients car ils peuvent présenter une déplétion
      hydrique et/ou sodée.
    • – Si possible, le traitement par diurétique doit être arrêté 2 à 3 jours avant l’initiation du traitement par perindopril. Chez les patients hypertendus, pour lesquels le diurétique ne peut pas être interrompu, le traitement par perindopril doit être initié avec une prise de 2 mg. La fonction rénale et la kaliémie doivent être surveillées. La posologie de perindopril sera ensuite adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
    • Hypovolémie
      – Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires).
    • – Une hypotension symptomatique peut survenir après initiation du traitement par Perindopril; en particulier chez les patients traités parallèlement par diurétiques. Une attention particulière est donc recommandée chez ces patients car ils peuvent présenter une déplétion
      hydrique et/ou sodée.
    • – Si possible, le traitement par diurétique doit être arrêté 2 à 3 jours avant l’initiation du traitement par perindopril. Chez les patients hypertendus, pour lesquels le diurétique ne peut pas être interrompu, le traitement par perindopril doit être initié avec une prise de 2 mg. La fonction rénale et la kaliémie doivent être surveillées. La posologie de perindopril sera ensuite adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Si besoin, le traitement par diurétique sera réintroduit.
    • Insuffisance cardiaque
      – Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et recevoir, si nécessaire, une perfusion intraveineuse de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après augmentation de la pression artérielle et correction de la volémie.
    • – Il est recommandé que le perindopril, habituellement administré en association avec un diurétique non épargneur potassique et/ou à la digoxine et/ou à un bêta-bloquant, soit administré sous étroite surveillance médicale avec une prise initiale de 2 mg le matin. Cette dose peut être augmentée par paliers de 2 mg à intervalles de 2 semaines minimum à 4 mg une fois par jour si toléré. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique observée chez chaque patient.
    • – Les patients à haut risque d’hypotension symptomatique par exemple les patients avec déplétion sodée avec ou sans hyponatrémie, les patients avec hypovolémie ou qui ont recu un traitement diurétique à fortes doses, doivent si possible avoir ces situations corrigées avant de débuter le traitement par perindopril. La pression artérielle, la fonction rénale et la kaliémie doivent être étroitement surveillées à la fois avant et pendant le traitement par perindopril (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Insuffisance cardiaque sévère
      – Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et recevoir, si nécessaire, une perfusion intraveineuse de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après augmentation de la pression artérielle et correction de la volémie.
    • – En cas d’insuffisance cardia que sévère et chez les patients considérés à haut risque (insuffisants rénaux et ayant des perturbations électrolytiques, patients sous traitements associés diurétiques et/ou vasodilatateurs), le traitement devra être initié sous surveillance médicale attentive
    • Insuffisance coronarienne
      Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et recevoir, si nécessaire, une perfusion intraveineuse de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après augmentation de la pression artérielle et correction de la volémie.
    • Cérébro-vasculaire, maladie
      Les IEC peuvent induire une chute de la pression artérielle. Une hypotension symptomatique peut survenir rarement chez les patients présentant une hypertension sans complications et plus fréquemment chez les patients présentant une hypovolémie résultant d’un traitement diurétique, d’un régime hyposodé, d’une dialyse, d’une diarrhée ou de vomissements, ou qui présente une hypertension sévère rénine-dépendante (cf Effets secondaires). Chez les patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique, avec ou sans insuffisance rénale associée, une hypotension symptomatique a été observée. Elle est plus probable chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque avancée, en rapport avec l’administration d’un diurétique de l’anse à dose élevée, une hyponatrémie ou une altération de la fonction rénale. Chez les patients exposés à un risque élevé d’hypotension symptomatique, l’initiation du traitement et les adaptations de dose doivent être étroitement surveillés (cf Posologie et Effets secondaires). Une prudence similaire s’applique aux patients ayant une cardiopathie ischémique ou une affection vasculaire cérébrale chez qui une diminution excessive de la pression artérielle pourrait conduire à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral.
    • En cas de survenue d’une hypotension, le patient doit être mis en position allongée et recevoir, si nécessaire, une perfusion intraveineuse de sodium isotonique. La survenue d’une hypotension transitoire n’est pas une contre-indication à la poursuite du traitement; il peut généralement être poursuivi sans difficulté après augmentation de la pression artérielle et correction de la volémie.
    • Rétrécissement mitral
      Comme les autres IEC, le perindopril doit être administré avec précaution aux patients présentant une sténose de la valve mitrale ou une obstruction du débit ventriculaire gauche telle que sténose aortique ou cardiomyopathie hypertrophique.
    • Rétrécissement aortique
      Comme les autres IEC, le perindopril doit être administré avec précaution aux patients présentant une sténose de la valve mitrale ou une obstruction du débit ventriculaire gauche telle que sténose aortique ou cardiomyopathie hypertrophique.
    • Cardiomyopathie hypertrophique
      Comme les autres IEC, le perindopril doit être administré avec précaution aux patients présentant une sténose de la valve mitrale ou une obstruction du débit ventriculaire gauche telle que sténose aortique ou cardiomyopathie hypertrophique.
    • Insuffisance rénale
      – En cas d’insuffisance rénale (Clairance de la Créatinine < 60 ml/min), la posologie initiale de perindopril doit être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine du patient (cf. Posologie) et ensuite ajustée en fonction de la réponse du patient au traitement. Chez ces patients, le suivi médical de routine comprend une surveillance périodique du potassium et de la créatinine (cf. Effets secondaires).
    • Chez les patients avec insuffisance cardiaque symptomatique, une chute tensionnelle suivant l’initiation du traitement par IEC peut majorée l’altération de la fonction rénale. Des cas d’insuffisance rénale aiguë, habituellement réversibles, ont été rapportés dans cette situation.
    • Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l’artère rénale sur rein unique ayant été traités par IEC, des élévations de l’urémie et de la créatininémie, habituellement réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrites. Ce risque augmente en cas d’insuffisance rénale. En cas d’hypertension rénovasculaire concomitante, le risque d’hypotension sévère et d’insuffisance rénale est accru. Chez ces patients, le traitement doit alors être instauré à posologie faible sous surveillance médicale étroite et dosage attentif. Etant donné que le traitement avec les diurétiques peut contribuer aux effets ci-dessus, ils doivent donc être interrompus et la fonction rénale doit être surveillée au cours des premières semaines de traitement par le perindopril.
    • Certains patients hypertendus sans maladie vasculaire rénale pré-existante apparente ont présenté une augmentation de l’urémie et de la créatininémie, habituellement mineures et transitoires, en particulier lorsque le perindopril était associé à un diurétique. Ceci est plus probable chez les patients avec une insuffisance rénale pré-existante. Une réduction de la posologie et/ou un arrêt du diurétique et/ou du perindopril peuvent être nécessaires.
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez certains patients traités par IEC, y compris par perindopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les insuffisants rénaux, les diabétiques mal contrôlés, ou les ceux traités conjointement par diurétiques épargneurs de potassium, des suppléments de potassium, ou prenant des substituts de sel contenant du potassium, ou ceux traités par d’autres produits associés à une augmentation du potassium sérique (ex : héparine). Si la prise concomitante de ces produits est jugée appropriée, une surveillance régulière du potassium sérique est recommandée.
    • Hypertension rénovasculaire
      – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas d’hypertension rénovasculaire, de déplétion sodée et/ou hydrique, de décompensation cardiaque ou d’hypertension sévère), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise.
    • Une prise initiale de 2 mg est recommandée chez ces patients et l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale.
    • – En cas d’hypertension rénovasculaire concomitante, le risque d’hypotension sévère et d’insuffisance rénale est accru. Chez ces patients, le traitement doit alors être instauré à posologie faible sous surveillance médicale étroite et dosage attentif. Etant donné que le traitement avec les diurétiques peut contribuer aux effets ci-dessus, ils doivent donc être interrompus et la fonction rénale doit être surveillée au cours des premières semaines de traitement par le perindopril.
    • Sténose artérielle rénale bilatérale ou sur rein unique
      Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l’artère rénale sur rein unique ayant été traités par IEC, des élévations de l’urémie et de la créatininémie, habituellement réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrites. Ce risque augmente en cas d’insuffisance rénale. En cas d’hypertension rénovasculaire concomitante, le risque d’hypotension sévère et d’insuffisance rénale est accru. Chez ces patients, le traitement doit alors être instauré à posologie faible sous surveillance médicale étroite et dosage attentif. Etant donné que le traitement avec les diurétiques peut contribuer aux effets ci-dessus, ils doivent donc être interrompus et la fonction rénale doit être surveillée au cours des premières semaines de traitement par le perindopril.
    • Risque d’augmentation de l’urémie
      Certains patients hypertendus sans maladie vasculaire rénale pré-existante apparente ont présenté une augmentation de l’urémie et de la créatininémie, habituellement mineures et transitoires, en particulier lorsque le perindopril était associé à un diurétique. Ceci est plus probable chez les patients avec une insuffisance rénale pré-existante. Une réduction de la posologie et/ou un arrêt du diurétique et/ou du perindopril peuvent être nécessaires.
    • Risque d’augmentation de la créatininémie
      Certains patients hypertendus sans maladie vasculaire rénale pré-existante apparente ont présenté une augmentation de l’urémie et de la créatininémie, habituellement mineures et transitoires, en particulier lorsque le perindopril était associé à un diurétique. Ceci est plus probable chez les patients avec une insuffisance rénale pré-existante. Une réduction de la posologie et/ou un arrêt du diurétique et/ou du perindopril peuvent être nécessaires.
    • Patient dialysé
      Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients dialysés avec des membranes de haute perméabilité et conjointement traités par un IEC. Il doit être envisagé chez ces patients l’utilisation d’un autre type de membrane de dialyse ou d’un antihypertenseur de classe différente.
    • Patient en hémodialyse
      Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients dialysés avec des membranes de haute perméabilité et conjointement traités par un IEC. Il doit être envisagé chez ces patients l’utilisation d’un autre type de membrane de dialyse ou d’un antihypertenseur de classe différente.
    • Transplantation rénale
      Il n’existe aucune expérience de l’administration du périndopril chez des patients ayant récemment reçu une transplantation rénale.
    • Risque d’oedème de Quincke
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement observé chez des patients traités par un IEC, y compris par le perindopril (cf. Effets secondaires). Cet effet peut survenir à tout moment au cours du traitement. Dans ces cas, l’administration du perindopril doit être immédiatement arrêtée, et une surveillance adéquate doit être instaurée et poursuivie jusqu’à disparition complète des symptômes. Dans ce cas, lorsque l’oedème est limité à la face et aux lèvres, il disparaît habituellement sans traitement, néanmoins des antihistaminiques se sont avérés utiles dans le soulagement des ces troubles.
    • Un angio-oedème associé à un oedème du larynx peut être fatal. En cas d’atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant conduire à une obstruction des voies aériennes, un traitement d’urgence doit être administré rapidement. Il peut s’agir de l’administration d’adrénaline et/ou de mesures destinées à maintenir le dégagement des voies aériennes. Le patient doit être maintenu sous étroite surveillance médicale jusqu’à la disparition complète et confirmée des symptômes.
    • Les IEC entrainent un taux plus élevé d’angio-oedème chez les patients de race noire que chez les autres patients.
    • Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un IEC peuvent présenter un risque accru d’angio-oedème sous IEC (cf. Contre-indications).
    • Antécédent d’oedème de Quincke
      Un angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx a été rarement observé chez des patients traités par un IEC, y compris par le perindopril (cf. Effets secondaires). Cet effet peut survenir à tout moment au cours du traitement. Dans ces cas, l’administration du perindopril doit être immédiatement arrêtée, et une surveillance adéquate doit être instaurée et poursuivie jusqu’à disparition complète des symptômes. Dans ce cas, lorsque l’oedème est limité à la face et aux lèvres, il disparaît habituellement sans traitement, néanmoins des antihistaminiques se sont avérés utiles dans le soulagement des ces troubles.
    • Un angio-oedème associé à un oedème du larynx peut être fatal. En cas d’atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant conduire à une obstruction des voies aériennes, un traitement d’urgence doit être administré rapidement. Il peut s’agir de l’administration d’adrénaline et/ou de mesures destinées à maintenir le dégagement des voies aériennes. Le patient doit être maintenu sous étroite surveillance médicale jusqu’à la disparition complète et confirmée des symptômes.
    • Les IEC entrainent un taux plus élevé d’angio-oedème chez les patients de race noire que chez les autres patients.
    • Les patients ayant un antécédent d’angio-oedème non lié à la prise d’un IEC peuvent présenter un risque accru d’angio-oedème sous IEC (cf. Contre-indications).
    • Hémaphérèse
      Rarement, les patients traités par IEC au cours d’une aphérèse des LDL utilisant du sulfate de dextran ont présentés des réactions anaphylactoïdes potentiellement fatales. Ces réactions ont été évitées par l’interruption temporaire du traitement par IEC avant chaque aphérèse.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Les patients traités par un IEC au cours d’une désensibilisation (par exemple: venin d’hyménoptère) ont présenté des réactions anaphylactoïdes. Chez ces mêmes patients, ces réactions ont pu être évitées par l’interruption transitoire du traitement par IEC, mais elles ont réapparues lors de la reprise accidentelle du traitement.
    • Risque d’hépatite fulminante
      Rarement, les IEC ont été associés à un syndrome commençant par un ictère cholestatique et évoluant vers une hépatite nécrosante fulminante et (parfois) le décès. La physiopathologie de ce syndrome n’est pas connue. Les patients traités par IEC qui développent un ictère ou d’une élévation importante des enzymes hépatiques doivent arrêter le traitement par IEC et recevoir un suivi médical adéquate (voir Effets indésirables).
    • Connectivite
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le perindopril doit être administré avec une prudence extrême chez les patients avec collagénose vasculaire, traitement concomitant par immunosuppresseur, allopurinol ou procaïnamide, ou lorsque plusieurs de ces facteurs sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, qui, dans quelques cas ne répondaient pas à une antibiothérapie intensive. Si le perindopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée il doit être demandé aux patients de signaler tout signe d’infection.
    • Déficit immunitaire
      Des cas de neutropénie/agranulocytose, thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez des patients recevant un IEC. Il est rare d’observer une neutropénie chez un patient à fonction rénale normale, sans autre facteur de complications. Le perindopril doit être administré avec une prudence extrême chez les patients avec collagénose vasculaire, traitement concomitant par immunosuppresseur, allopurinol ou procaïnamide, ou lorsque plusieurs de ces facteurs sont associés, surtout en cas d’altération pré-existante de la fonction rénale. Certains de ces patients ont développé des infections sévères, qui, dans quelques cas ne répondaient pas à une antibiothérapie intensive. Si le perindopril est administré chez de tels patients, une surveillance périodique des leucocytes est recommandée il doit être demandé aux patients de signaler tout signe d’infection.
    • Sujet noir
      Les IEC entrainent un taux plus élevé de survenue d’angio- oedème chez les patients de race noire que chez les autres patients.
    • Comme avec les autres IEC, le perindopril peut être moins efficace dans l’abaissement de la pression artérielle chez les patients noirs que chez les autres patients, probablement à cause d’une prévalence supérieure des états à faible activité rénine dans la population noire hypertendue.
    • Risque de toux
      La survenue de toux a été rapportée lors de l’utilisation des IEC. Elle est caractérisée par son aspect non productif, sa persistance, ainsi que par sa disparition à l’arrêt du traitement.
    • La toux induite par les IEC doit être prise en compte lors de l’établissement d’un diagnostic différentiel de toux.
    • Intervention chirurgicale
      Chez les patients devant subir une intervention chirurgicale majeure ou une anesthésie par des agents provoquant une hypotension, le périndopril peut bloquer la production de l’angiotensine II secondaire à la libération de rénine. L’administration du perindopril doit donc être interrompue avant l’intervention En cas de survenue d’une hypotension considérée comme liée à ce mécanisme, celle-ci peut être prise en charge par correction de la volémie.
    • Anesthésie
      Chez les patients devant subir une intervention chirurgicale majeure ou une anesthésie par des agents provoquant une hypotension, le périndopril peut bloquer la production de l’angiotensine II secondaire à la libération de rénine. L’administration du perindopril doit donc être interrompue avant l’intervention En cas de survenue d’une hypotension considérée comme liée à ce mécanisme, celle-ci peut être prise en charge par correction de la volémie.
    • Risque d’hyperkaliémie
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez certains patients traités par IEC, y compris par perindopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les insuffisants rénaux, les diabétiques mal contrôlés, ou les ceux traités conjointement par diurétiques épargneurs de potassium, des suppléments de potassium, ou prenant des substituts de sel contenant du potassium, ou ceux traités par d’autres produits associés à une augmentation du potassium sérique (ex : héparine). Si la prise concomitante de ces produits est jugée appropriée, une surveillance régulière du potassium sérique est recommandée.
    • Diabète
      – Chez les patients diabétiques traité par antidiabétiques oraux ou insuline, un contrôle glycémique étroit doit être effectué au cours du 1er mois de traitement par IEC.
    • – Des élévations de la kaliémie ont été observées chez certains patients traités par IEC, y compris par perindopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les insuffisants rénaux, les diabétiques mal contrôlés, ou les ceux traités conjointement par diurétiques épargneurs de potassium, des suppléments de potassium, ou prenant des substituts de sel contenant du potassium, ou ceux traités par d’autres produits associés à une augmentation du potassium sérique (ex : héparine). Si la prise concomitante de ces produits est jugée appropriée, une surveillance régulière du potassium sérique est recommandée.
    • Traitement par un médicament hyperkaliémiant
      Des élévations de la kaliémie ont été observées chez certains patients traités par IEC, y compris par perindopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie sont les insuffisants rénaux, les diabétiques mal contrôlés, ou les ceux traités conjointement par diurétiques épargneurs de potassium, des suppléments de potassium, ou prenant des substituts de sel contenant du potassium, ou ceux traités par d’autres produits associés à une augmentation du potassium sérique (ex : héparine). Si la prise concomitante de ces produits est jugée appropriée, une surveillance régulière du potassium sérique est recommandée.
    • Grossesse, 3 premiers mois (de la)
      Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse.
    • En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf. Contre-indications et Grossesse/Allaitement).
    • Femme susceptible d’être enceinte
      Les IEC ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse.
    • En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (cf. Contre-indications et Grossesse/Allaitement).
    • Administrer avant le repas
      Il est recommandé de prendre le perindopril en une prise par jour le matin avant le repas.
    • Administrer le matin
      Il est recommandé de prendre le perindopril en une prise par jour le matin avant le repas.
    • Posologie à adapter pendant le traitement
      La posologie doit être adaptée individuellement en fonction du profil du patient et de la réponse tensionnelle.
    • Déplétion hydrosodée
      – En cas de stimulation importante du système rénine-angiotensine-aldostérone (en particulier en cas d’hypertension rénovasculaire, de déplétion sodée et/ou hydrique, de décompensation cardiaque ou d’hypertension sévère), une chute tensionnelle trop importante peut survenir à l’occasion de la première prise.
    • Une prise initiale de 2 mg est recommandée chez ces patients et l’instauration du traitement se fera sous surveillance médicale.
    • Sujet âgé
      Le traitement des patients âgés doit être instauré à la dose de 2 mg qui pourra être augmentée progressivement à 4 mg après un mois de traitement puis jusqu’à 8 mg si nécessaire, suivant l’état de la fonction rénale (voir Posologie/Mode d’administration).
    • Enfant de moins de 15 ans
      L’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été totalement établies. Par conséquent, l’utilisation chez l’enfant n’est pas recommandée.
    • Risque d’anémie
      Des neutropénie/agranulocytose/thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez certains patients sous IEC. Chez les patients ayant une fonction rénale normale et sans autre facteur de risque, une neutropénie est rarement observée. Le périndopril doit être utilisé avec une extrême précaution chez les patients atteints de maladies du collagène vasculaire, chez les patients sous immunosuppresseur, chez les patients traités par allopurinol ou procaïnamide, ou chez les patients présentant une association de ces facteurs de risque, tout particulièrement en cas d’insuffisance rénale préexistante. Certains de ces patients ont développé des infections sérieuses, qui, dans quelques cas, n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. Si le périndopril est utilisé chez ces patients, un suivi périodique du nombre de globules blancs est conseillé et les patients doivent être informés afin de signaler tout signe d’infection (par exemple mal de gorge, fièvre).
    • Risque de neutropénie
      Des neutropénie/agranulocytose/thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez certains patients sous IEC. Chez les patients ayant une fonction rénale normale et sans autre facteur de risque, une neutropénie est rarement observée. Le périndopril doit être utilisé avec une extrême précaution chez les patients atteints de maladies du collagène vasculaire, chez les patients sous immunosuppresseur, chez les patients traités par allopurinol ou procaïnamide, ou chez les patients présentant une association de ces facteurs de risque, tout particulièrement en cas d’insuffisance rénale préexistante. Certains de ces patients ont développé des infections sérieuses, qui, dans quelques cas, n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. Si le périndopril est utilisé chez ces patients, un suivi périodique du nombre de globules blancs est conseillé et les patients doivent être informés afin de signaler tout signe d’infection (par exemple mal de gorge, fièvre).
    • Risque d’agranulocytose
      Des neutropénie/agranulocytose/thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez certains patients sous IEC. Chez les patients ayant une fonction rénale normale et sans autre facteur de risque, une neutropénie est rarement observée. Le périndopril doit être utilisé avec une extrême précaution chez les patients atteints de maladies du collagène vasculaire, chez les patients sous immunosuppresseur, chez les patients traités par allopurinol ou procaïnamide, ou chez les patients présentant une association de ces facteurs de risque, tout particulièrement en cas d’insuffisance rénale préexistante. Certains de ces patients ont développé des infections sérieuses, qui, dans quelques cas, n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. Si le périndopril est utilisé chez ces patients, un suivi périodique du nombre de globules blancs est conseillé et les patients doivent être informés afin de signaler tout signe d’infection (par exemple mal de gorge, fièvre).
    • Risque de thrombopénie
      Des neutropénie/agranulocytose/thrombocytopénie et anémie ont été rapportées chez certains patients sous IEC. Chez les patients ayant une fonction rénale normale et sans autre facteur de risque, une neutropénie est rarement observée. Le périndopril doit être utilisé avec une extrême précaution chez les patients atteints de maladies du collagène vasculaire, chez les patients sous immunosuppresseur, chez les patients traités par allopurinol ou procaïnamide, ou chez les patients présentant une association de ces facteurs de risque, tout particulièrement en cas d’insuffisance rénale préexistante. Certains de ces patients ont développé des infections sérieuses, qui, dans quelques cas, n’ont pas répondu à un traitement antibiotique intensif. Si le périndopril est utilisé chez ces patients, un suivi périodique du nombre de globules blancs est conseillé et les patients doivent être informés afin de signaler tout signe d’infection (par exemple mal de gorge, fièvre).

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’utilisation des IEC est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir Mises en garde/Précautions d’emploi). L’utilisation des IEC est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.
  • L’exposition aux IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie) (voir Sécurité pré-clinique). En cas d’exposition à IEC à partir du 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé d’effectuer une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voute du crâne. Les nouveau-nés de mère traitée par IEC doivent être surveillés sur le plan tensionnel (voir Contre-indications et Mises en garde/Précautions d’emploi).
  •  Allaitement :

    En raison de l’absence d’information disponible sur l’utilisation de ce médicament au cours de l’allaitement, ce médicament est déconseillé. Il est préférable d’utiliser d’autres traitements ayant un profil de sécurité bien établi pendant l’allaitement, particulièrement chez le nouveau-né ou le prématuré.

    Lors de la conduite de véhicule ou la manipulation de machines il doit être tenu compte du fait que des étourdissements ou de la fatigue peuvent survenir.

    • Hémoglobinémie (diminution) (Très rare)
    • Hématocrite (diminution) (Très rare)
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Leucopénie (Très rare)
    • Neutropénie (Très rare)
    • Agranulocytose (Très rare)
    • Pancytopénie (Très rare)
    • Anémie hémolytique (Très rare)
      Deficit en g6pd.
    • Trouble de l’humeur (Peu fréquent)
    • Trouble du sommeil (Peu fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Sensation de vertige (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Paresthésie (Fréquent)
    • Confusion mentale (Très rare)
    • Vision (modification) (Fréquent)
    • Acouphène (Fréquent)
    • Arythmie (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Angor (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Infarctus du myocarde (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Accident vasculaire cérébral (Très rare)
      Hypotension arterielle.
    • Toux (Fréquent)
    • Dyspnée (Fréquent)
    • Bronchospasme (Peu fréquent)
    • Pneumopathie à éosinophiles (Très rare)
    • Rhinite (Très rare)
    • Nausée (Fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Dyspepsie (Fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Constipation (Fréquent)
    • Hyposialie (Peu fréquent)
    • Pancréatite (Très rare)
    • Hépatite cytolytique (Très rare)
    • Hépatite cholestatique (Très rare)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Prurit (Fréquent)
    • Oedème de Quincke (Peu fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Erythème polymorphe (Très rare)
    • Crampe (Fréquent)
    • Insuffisance rénale (Peu fréquent)
    • Insuffisance rénale aiguë (Très rare)
    • Impuissance (Peu fréquent)
    • Asthénie (Fréquent)
    • Hypersudation (Peu fréquent)
    • Urémie (augmentation)
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Créatininémie (augmentation)
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Hyperkaliémie
      Hypertension renovasculaire, Insuffisance cardiaque severe, Insuffisance rénale.
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Rare)
    • Hyperbilirubinémie (Rare)
    • Arrêt cardiaque

    • Classement ATC : 
          C09AA04 / PERINDOPRIL
    • Classement Vidal : 
          Antihypertenseur : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Périndopril)
          Inhibiteur de l’enzyme de conversion (insuffisance coronarienne) : périndopril
          Insuffisance cardiaque : inhibiteur de l’enzyme de conversion (Périndopril)

    Liste I
    • CIP : 3895049 (PERINDOPRIL ZYDUS 2 mg cp : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 4991192 (PERINDOPRIL ZYDUS 2 mg cp : Pl/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Zydus France


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