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CEFEPIME MYLAN 2 g pdre p sol inj






poudre pour solution injectable
par flacon(s) de poudre
céfépime chlorhydrate monohydrate
  Exprimé en céfépime2 g
Excipients : L-arginine.

Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques du céfépime. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

  • Elles comprennent les infections dues aux germes sensibles au céfépime :
    — Chez l’adulte :
    – septicémies et bactériémies,
    – infections respiratoires basses communautaires et pneumonies sévères,
    – infections urinaires compliquées et non compliquées,
    – épisodes fébriles chez les patients neutropéniques,
    – infections biliaires.
  • — Chez le nourrisson de plus de deux mois et l’enfant :
    – épisodes fébriles au cours des neutropénies lorsque la durée prévisible de neutropénie est courte.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE :
    — Sujet aux fonctions rénales normales :
    – Chez l’adulte :
    Les posologies usuelles recommandées en monothérapie ou en association sont les suivantes :
    . Infections respiratoires communautaires, pyélonéphrites non compliquées : 1 g IV ou IM, 2 fois par jour.
  • . Infections sévères : septicémies/bactériémies, pneumonies, infections urinaires compliquées, infections biliaires : 2 g IV, 2 fois par jour.
  • . Épisode fébrile chez les patients neutropéniques : 2 g IV, 2 à 3 fois par jour (la posologie de 2 g, 3 fois par jour, a été administrée uniquement en monothérapie).
  • . Infections sévères à pseudomonas : 2 g IV, 3 fois par jour.
  • – Chez le nourrisson de plus de 2 mois et l’enfant : 50 mg/kg IV, 3 fois par jour. Les données cliniques disponibles chez le nourrisson et l’enfant ne permettent pas de recommander l’utilisation du céfépime en monothérapie.
  • — Sujets insuffisants rénaux :
    Le céfépime est éliminé par voie rénale, exclusivement par filtration glomérulaire. En conséquence, chez le sujet insuffisant rénal (filtration glomérulaire < 50 ml/min), la posologie devra être adaptée pour compenser un plus faible taux d’élimination rénale. La filtration glomérulaire devra être estimée de façon à déterminer la posologie d’entretien.
  • Les protocoles d’adaptation posologique chez l’insuffisant rénal sont décrits ci-après :
     Posologie usuelle   Clairance à la créatinine (ml/min)          
     —   30 à 50 ml/min   11 à 29 ml/min   < 10 ml/min   Hémodialyse 
     1 g, 2 fois par jour   1 g, 1 fois par jour   500 mg, 1 fois par jour   250 mg, 1 fois par jour   dose de charge : 1 g, suivi de 500 mg, 1 fois/jour* 
     2 g, 2 fois par jour   2 g, 1 fois par jour   1 g, 1 fois par jour   500 mg, 1 fois par jour   dose de charge : 1 g, suivi de 500 mg, 1 fois/jour* 
     2 g, 3 fois par jour   1 g, 3 fois par jour   1 g, 2 fois par jour   1 g, 1 fois par jour   dose de charge : 1 g, suivi de 500 mg, 1 fois/jour* 
     50 mg/kg 3 fois par jour   25 mg/kg, 3 fois par jour   25 mg/kg, 2 fois par jour   25 mg/kg, 1 fois par jour    

    * Les jours de dialyse, une dose doit être administrée après la séance de dialyse.
  • Lorsque seule la créatininémie (CRS) est disponible, l’équation de Cockcroft peut être utilisée pour estimer la clairance de la créatinine. La CRS doit représenter l’état d’équilibre de la fonction rénale :
    Clcr (ml/min) = Poids (kg) x (140 – âge)/7,2 x CRS (mg/l)
    Cette équation s’applique aux sujets de sexe masculin. Pour les patients de sexe féminin, la clairance de la créatinine est équivalente à 0,85 fois la Clcr calculée ci-dessus.
  • Chez les patients hémodialysés, les caractéristiques pharmacocinétiques du céfépime montrent qu’il est nécessaire de réduire les doses. Ces patients doivent recevoir une dose de charge de 1 g le premier jour, puis 500 mg les jours suivants. Environ 68 % de la quantité totale de céfépime présente dans l’organisme est éliminée après 3 heures de dialyse. Le jour de la dialyse, le céfépime doit être administré après la dialyse. Dans la mesure du possible, l’administration du céfépime se fera chaque jour à la même heure.
  • Chez les patients en dialyse péritonéale ambulatoire permanente, le céfépime peut être administré aux doses recommandées chez les sujets aux fonctions rénales mais toutes les 48 heures.
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    Le céfépime peut être administré par voie intra-veineuse (IV) (0,5 g ; 1 g ; 2 g) en IV lente de 3 à 5 minutes ou en perfusion de 30 minutes, ou par voie intramusculaire profonde (IM) (0,5 g et 1 g).
  • — Administration intraveineuse :
    Le céfépime peut être mis en solution avec de l’eau pour préparation injectable ou tout autre solvant compatible (cf paragraphe compatibilité).
  • Volume de reconstitution avant administration :
     Flacon   Volume de solvant à ajouter (ml)   Volume approximatif disponible (ml)   Concentration approximative (mg/ml) 
     1 g IV   10,0   11,4   90 
     2 g IV   10,0   12,8   160 

    Les solutions reconstituées destinées à la voie intraveineuse peuvent être administrées directement en IV lente (3 à 5 minutes) ou par l’intermédiaire de la tubulure de perfusion ou bien directement dans le liquide de perfusion compatible, à administrer en 30 minutes.
  • — Compatibilité :
    Le céfépime est compatible avec les solvants et solutions suivants : Chlorure de sodium 0,9 % (avec ou sans glucose 5 %), glucose 5 ou 10 %, liquide de Ringer (avec ou sans glucose 5 %), Lactate de sodium M/6.
  • Le céfépime peut être administré simultanément avec d’autres antibiotiques à condition de ne pas utiliser la même seringue, la même perfusion ni le même site d’injection.
  • Comme avec d’autres céphalosporines, la solution reconstituée peut évoluer vers une coloration jaune-ambrée ne correspondant pas à une perte d’activité.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux céphalosporines
    • Hypersensibilité aux bêtalactamines
    • Hypersensibilité à l’un des composants

    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription des céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable. L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
      . l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
    • . l’emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration, afin de traiter une éventuelle réaction anaphylactique.
    • Hypersensibilité aux pénicillines
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription des céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable. L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
      . l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
    • . l’emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration, afin de traiter une éventuelle réaction anaphylactique.
    • Risque de colite pseudomembraneuse
      La survenue d’un épisode diarrhéique peut être symptomatique, de façon exceptionnelle, d’une colite pseudomembraneuse dont le diagnostic repose sur la coloscopie. Cet accident, rare avec les céphalosporines, impose l’arrêt immédiat du traitement et la mise en route d’une antibiothérapie spécifique appropriée. Dans ce cas, l’administration de produits favorisant la stase fécale doit absolument être évitée.
    • Insuffisance rénale
      En cas d’insuffisance rénale, pour des clairances de créatinine inférieures ou égales à 50 ml/mn, adapter la posologie (cf Posologie/Mode d’administration) pour éviter les répercussions cliniques dues à des taux élevés d’antibiotique.
    • Sujet âgé
      Sur les 6400 adultes inclus dans les essais cliniques, 35 % avaient plus de 65 ans et 16 % plus de 75 ans. La distribution du céfépime chez les personnes âgées (> 65 ans) a été étudiée. Chez les sujets aux fonctions rénales normales, aucune adaptation posologique n’est à envisager. Mais, la fonction rénale se dégradant avec l’âge, la posologie doit être adaptée à l’état de la fonction rénale du patient.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Chez le nourrisson de plus de 2 mois et l’enfant : les données cliniques disponibles chez le nourrisson et l’enfant ne permettent pas de recommander l’utilisation du céfépime en monothérapie.
    • Compatibilité avec certains solvants
      Le céfépime est compatible avec les solvants et solutions suivants : eau pour préparations injectables, chlorure de sodium 0,9 % (avec ou sans glucose 5 %), glucose 5 ou 10 %, solution de Ringer lactate (avec ou sans glucose 5 %), solution de chlorhydrate de lidocaïne, lactate de sodium 1/6M.
    • Incompatibilité avec tous les médicaments
      – Le céfépime peut être administré simultanément avec d’autres antibiotiques à condition de ne pas utiliser la même seringue, la même perfusion ni le même site d’injection.
    • – En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    En raison du bénéfice attendu, l’utilisation du céfépime peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, bien que les données cliniques soient insuffisantes, les données animales n’ont pas mis en évidence d’effet malformatif ou foetotoxique du céfépime.

     Allaitement :

    Le passage dans le lait maternel est faible et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques. En conséquence, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique. Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose ou d’éruption cutanée chez le nourrisson.

    • Prurit (Peu fréquent)
    • Urticaire (Peu fréquent)
    • Fièvre (Peu fréquent)
    • Choc anaphylactique (Très rare)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Diarrhée (Fréquent)
    • Nausée (Peu fréquent)
    • Vomissement (Peu fréquent)
    • Candidose buccale (Peu fréquent)
    • Douleur abdominale (Très rare)
    • Colite (Très rare)
    • Entérocolite pseudomembraneuse (Très rare)
    • Ulcération buccale (Très rare)
    • Eosinophilie (Rare)
    • Neutropénie (Rare)
    • Thrombopénie (Rare)
    • Hypoprothrombinémie (Rare)
    • Temps de céphaline (allongement) (Rare)
    • Agranulocytose (Très rare)
    • Transaminases (augmentation) (Rare)
    • Céphalée (Rare)
    • Paresthésie (Rare)
    • Confusion mentale (Très rare)
    • Sensation de vertige (Très rare)
    • Convulsions (Très rare)
    • Dysgueusie (Très rare)
    • Acouphène (Très rare)
    • Encéphalopathie (Rare)
      Insuffisance rénale, Posologie trop elevee, Sujet âgé.
    • Trouble de la vigilance (Rare)
    • Altération de la conscience (Rare)
    • Coma (Rare)
    • Hallucination (Rare)
    • Myoclonie (Rare)
    • Insuffisance rénale aiguë (Rare)
      Insuffisance rénale, Posologie trop elevee, Sujet âgé.
    • Hypotension artérielle (Très rare)
    • Vasodilatation périphérique (Très rare)
    • Oedème (Très rare)
    • Douleur articulaire (Très rare)
    • Vaginite (Très rare)
    • Hypophosphatémie (Très rare)
    • Phlébite (Peu fréquent)
      Voie intraveineuse.
    • Thrombophlébite (Peu fréquent)
      Voie intraveineuse.
    • Douleur au point d’injection
    • Inflammation au site d’injection

    • Classement ATC : 
          J01DE01 / CEFEPIME
    • Classement Vidal : 
          Antibiotique : céphalosporine de 3e génération (Céfépime)

    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire, et ces dernières, des résistantes : S <= 4 mg/l et R > 32 mg/l ; CMI pneumocoque : S <= 0,5 mg/l et R > 2 mg/l (voie parentérale).
  • La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
  • Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses :
    ESPECES SENSIBLES :
    – Aérobies à Gram + : staphylococcus méti-S, streptococcus, Streptococcus pneumoniae (15 – 35 %).
  • – Aérobies à Gram – : Acinetobacter baumannii, Branhamella catarrhalis, Citrobacter freundii, Citrobacter koseri, enterobacter, Escherichia coli, Haemophilus influenzae, klebsiella (0 – 20 %), Morganella morganii, neisseria, Proteus mirabilis, Proteus vulgaris, providencia, salmonella, serratia, shigella.
  • – Anaérobies : Clostridium perfringens, fusobacterium, peptostreptococcus, prevotella (15 %).
  • ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    – Aérobies à Gram – : Pseudomonas aeruginosa (15 – 35 %).
  • ESPECES RESISTANTES :
    – Aérobies à Gram + : entérocoques, listeria, staphylococcus méti-R*.
  • – Aérobies à Gram – : Burkholderia cepacia, Stenotrophomonas maltophilia.
  • – Anaérobies : Bacteroides fragilis, Clostridium difficile.
  • * La fréquence de résistance à la méticilline est d’environ 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

  • Liste I
    • CIP : 3906296 (CEFEPIME MYLAN 2 g pdre p sol inj : Fl pdre/1).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


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