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FLUVASTATINE TEVA LP 80 mg cp pellic LP







comprimé pelliculé à libération prolongée
par 1 comprimé
fluvastatine sodique84,24 mg
  Soit fluvastatine80 mg
Excipients : povidone, cellulose microcristalline, hyétellose, mannitol, magnésium stéarate, hypromellose, macrogol 6000, fer jaune oxyde, titane dioxyde.

– Réduction des hypercholestérolémies sévères en cas d’échec des posologies plus faibles.

  • – Après angioplastie coronaire, le traitement par fluvastatine permet une réduction du risque d’événements coronaires graves (cf Pharmacodynamie).
  • La poursuite du régime est toujours indispensable.
  • Nota :
    – Hypercholestérolémie familiale homozygote : chez ces patients, l’absence complète de récepteurs des LDL ne permet guère d’attendre un bénéfice de la fluvastatine.
  • – Hypertriglycéridémie isolée (type I, IV et V) : la fluvastatine n’est pas indiquée.

  • La fluvastatine est prescrite en association avec le régime (cf. Indications thérapeutiques), en prise unique, de préférence le soir, indifféremment avant, pendant ou après le repas (cf. Propriétés pharmacocinétiques).
  • Les comprimés doivent être avalés avec un verre d’eau.
  • Cette forme est réservée aux hypercholestérolémies sévères : la posologie est de 80 mg (soit un comprimé de Fluvastatine LP 80 mg).
  • La posologie doit être choisie en fonction des taux sériques initiaux de LDL-C et de l’objectif thérapeutique. Après angioplastie coronaire, la dose recommandée est de 80 mg par jour.
  • Pour les formes légères ou modérées d’hypercholestérolémies, se reporter à l’information de Fluvastatine 20 mg et Fluvastatine 40 mg, gélule.
  • La dose journalière maximale est de 80 mg.* Traitements associés
    La fluvastatine est efficace en monothérapie ou en association avec les chélateurs des acides biliaires. Quand elle est associée à la cholestyramine ou à d’autres résines, la fluvastatine doit être administrée au moins 1 heure avant ou plus de 4 heures après, afin d’éviter une interaction conséquente.* Posologie chez l’insuffisant rénal
    La fluvastatine étant métabolisée par voie hépatique, et ayant une élimination rénale minime, aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (légère à sévère) (cf. Précautions d’emploi).* Enfant
    En raison de l’absence de données cliniques suffisantes, la prescription de fluvastatine ne peut être recommandée chez les enfants âgés de moins de 15 ans.* Sujet âgé
    Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients âgés.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hépatopathie
    • Transaminases sériques, augmentation prolongée (des)
    • Allaitement

    • Grossesse
      La découverte d’une grossesse survenue sous traitement par Fluvastatine nécessite d’interrompre le traitement.
    • Surveillance de la fonction hépatique avant et pendant le traitement
      Comme avec les autres traitements hypolipémiants, une élévation modérée des taux de transaminases hépatiques a été observée chez certains patients. Dans la majorité des cas, les taux de transaminases hépatiques sont revenus à leur valeur initiale sans qu’il ait été nécessaire d’arrêter le traitement.
    • Un bilan biologique hépatique doit être pratiqué avant le début du traitement, puis 12 semaines après son instauration ou une augmentation de la dose, ainsi qu’en cas de signes ou de symptômes évocateurs d’une atteinte hépatique.
    • En cas d’élévation des transaminases ALAT ou ASAT, une surveillance s’impose jusqu’à résolution de l’anomalie. En cas d’augmentation persistante au-delà de 3 fois la limite supérieure de la normale, il est nécessaire d’interrompre le traitement.
    • Risque d’hépatite
      Dans de rares cas la survenue d’hépatites avec ou sans ictère a été observée, elles ont été réversibles à l’arrêt du traitement.
    • Antécédent d’hépatopathie
      La fluvastatine doit être utilisée avec prudence chez les patients consommant des quantités importantes d’alcool et/ou présentant des antécédents d’affection hépatique.
    • Risque de toxicité musculaire
      La fluvastatine, comme les autres inhibiteurs de l’HMG CoA réductase, peut affecter les muscles squelettiques et entraîner des atteintes musculaires. Ces atteintes peuvent rarement évoluer vers une rhabdomyolyse, caractérisée par des taux élevés de CPK (plus de 10 fois la LSN), une myoglobinémie et une myoglobinurie pouvant entraîner une insuffisance rénale et être fatale dans certains cas.
    • Un dosage régulier des taux de CPK ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommandé chez les patients asymptomatiques traités par statine. Cependant, le dosage des CPK est recommandé avant toute initiation d’un traitement par une statine chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse ainsi que chez ceux présentant des symptômes musculaires pendant un traitement par une statine (voir ci-dessous).
    • – Avant initiation du traitement :
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      . Insuffisance rénale.
    • . Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • . Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • . Abus d’alcool.
    • . Hypothyroïdie.
    • . Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • – Mesure de la créatine phosphokinase :
      La créatine phosphokinase (CPK) ne doit pas être mesurée après un exercice physique important, ni en présence d’une autre cause possible d’augmentation de la CPK, car cela rendrait difficile l’interprétation des résultats. En cas d’élévation significative de la CPK (plus de 5 fois la LSN) avant le traitement, celle-ci devra être systématiquement recontrôlée dans les 5 à 7 jours pour confirmer les résultats. Si le taux initial de CPK > 5 fois la normale est confirmé, le traitement ne devra pas être initié.
    • – Pendant le traitement :
      Il est recommandé de demander aux patients de signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, crampe ou faiblesse musculaire, en particulier si elles s’accompagnent de malaise ou de fièvre.
    • Si les symptômes apparaissent alors qu’un patient est sous traitement, un dosage de CPK doit être effectué ; si le taux de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement doit être interrompu.
    • Si les symptômes musculaires sont sévères et provoquent une gêne quotidienne, l’arrêt du traitement doit être envisagé, même si le taux de CPK ne dépasse pas 5 fois la LSN.
    • Le traitement par la fluvastatine doit être interrompu en cas d’élévation cliniquement significative du taux de CPK ou de diagnostic ou de suspicion de rhabdomyolyse.
    • Si les symptômes disparaissent et que le taux de CPK redevient normal, la réintroduction d’une autre statine (de préférence) à la dose la plus faible peut être envisagée sous surveillance étroite.
    • En principe, les signes musculaires disparaissent totalement après l’arrêt définitif d’un traitement par statine.
    • Si une maladie musculaire génétique est suspectée, le traitement doit être interrompu.
    • Risque de rhabdomyolyse
      La fluvastatine, comme les autres inhibiteurs de l’HMG CoA réductase, peut affecter les muscles squelettiques et entraîner des atteintes musculaires. Ces atteintes peuvent rarement évoluer vers une rhabdomyolyse, caractérisée par des taux élevés de CPK (plus de 10 fois la LSN), une myoglobinémie et une myoglobinurie pouvant entraîner une insuffisance rénale et être fatale dans certains cas.
    • Un dosage régulier des taux de CPK ou d’autres enzymes musculaires n’est pas recommandé chez les patients asymptomatiques traités par statine. Cependant, le dosage des CPK est recommandé avant toute initiation d’un traitement par une statine chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse ainsi que chez ceux présentant des symptômes musculaires pendant un traitement par une statine (voir ci-dessous).
    • – Avant initiation du traitement :
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      . Insuffisance rénale.
    • . Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • . Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • . Abus d’alcool.
    • . Hypothyroïdie.
    • . Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • – Mesure de la créatine phosphokinase :
      La créatine phosphokinase (CPK) ne doit pas être mesurée après un exercice physique important, ni en présence d’une autre cause possible d’augmentation de la CPK, car cela rendrait difficile l’interprétation des résultats. En cas d’élévation significative de la CPK (plus de 5 fois la LSN) avant le traitement, celle-ci devra être systématiquement recontrôlée dans les 5 à 7 jours pour confirmer les résultats. Si le taux initial de CPK > 5 fois la normale est confirmé, le traitement ne devra pas être initié.
    • – Pendant le traitement :
      Il est recommandé de demander aux patients de signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, crampe ou faiblesse musculaire, en particulier si elles s’accompagnent de malaise ou de fièvre.
    • Si les symptômes apparaissent alors qu’un patient est sous traitement, un dosage de CPK doit être effectué ; si le taux de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement doit être interrompu.
    • Si les symptômes musculaires sont sévères et provoquent une gêne quotidienne, l’arrêt du traitement doit être envisagé, même si le taux de CPK ne dépasse pas 5 fois la LSN.
    • Le traitement par la fluvastatine doit être interrompu en cas d’élévation cliniquement significative du taux de CPK ou de diagnostic ou de suspicion de rhabdomyolyse.
    • Si les symptômes disparaissent et que le taux de CPK redevient normal, la réintroduction d’une autre statine (de préférence) à la dose la plus faible peut être envisagée sous surveillance étroite.
    • En principe, les signes musculaires disparaissent totalement après l’arrêt définitif d’un traitement par statine.
    • Si une maladie musculaire génétique est suspectée, le traitement doit être interrompu.
    • Insuffisance rénale
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Antécédent de myopathie
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Antécédent familial de myopathie
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Antécédent de myopathie acquise due à une statine ou un fibrate
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Alcoolisme
      La fluvastatine doit être utilisée avec prudence chez les patients consommant des quantités importantes d’alcool et/ou présentant des antécédents d’affection hépatique.
    • La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Hypothyroïdie
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Sujet de plus de 70 ans
      La fluvastatine doit être prescrite avec précaution chez les patients présentant des facteurs prédisposant à une rhabdomyolyse. Avant de débuter un traitement par une statine, le taux de créatine phosphokinase (CPK) doit être mesuré dans les situations suivantes :
      – Insuffisance rénale.
    • – Antécédent personnel ou familial de maladies musculaires génétiques.
    • – Antécédent personnel de toxicité musculaire lors d’un traitement par une statine ou un fibrate.
    • – Abus d’alcool.
    • – Hypothyroïdie.
    • – Patients âgés (> 70 ans), d’autant plus qu’il existe d’autres facteurs de risque musculaire.
    • Dans ces situations, il est nécessaire de bien évaluer le bénéfice/risque du traitement et de bien surveiller le patient au plan clinique.
    • Si le taux initial de CPK est significativement élevé (plus de 5 fois la LSN), le traitement ne sera pas instauré.
    • Information du patient
      Il est recommandé de demander aux patients de signaler rapidement toute douleur musculaire inexpliquée, crampe ou faiblesse musculaire, en particulier si elles s’accompagnent de malaise ou de fièvre.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      La fluvastatine est prescrite en association avec le régime, en prise unique, de préférence le soir, indifféremment avant, pendant ou après le repas.
    • Enfant de moins de 15 ans
      En raison de l’absence de données cliniques suffisantes, la prescription de fluvastatine ne peut être recommandée chez les enfants âgés de moins de 15 ans.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu.
  • En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • II n’existe pas actuellement de données pertinentes, ou en nombre suffisant, pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la fluvastatine lorsqu’elle est administrée pendant la grossesse.
  • II n’y a pas d’indication à la prescription d’inhibiteurs de I’HMG-CoA reductase au cours de la grossesse. Le traitement doit être arrêté lors de la découverte d’une grossesse survenue en cours de traitement. L’athérosclérose est un processus chronique, l’arrêt de I’hypocholestérolémiant durant la grossesse a peu d’impact sur le risque à long terme associé à I’hypercholestérolémie primaire.
  •  Allaitement :

    En raison de l’absence de données concernant le passage dans le lait maternel, le traitement est contre-indiqué pendant l’allaitement.

    • Dyspepsie (Fréquent)
    • Nausée (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Pancréatite aiguë (Très rare)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Insomnie (Fréquent)
    • Paresthésie (Très rare)
    • Hypoesthésie (Très rare)
    • Eruption cutanée (Rare)
    • Prurit (Rare)
    • Urticaire (Rare)
    • Oedème de Quincke (Très rare)
    • Eczéma (Très rare)
    • Vascularite d’hypersensibilité (Très rare)
    • Thrombopénie (Très rare)
    • Hépatite (Très rare)
    • Ictère (Très rare)
    • Crampe (Rare)
    • Douleur musculaire (Rare)
    • Rhabdomyolyse (Rare)
    • Tendinopathie (Très rare)
    • Transaminases (augmentation) (Fréquent)
    • CPK (augmentation) (Fréquent)

    • Classement ATC : 
          C10AA04 / FLUVASTATINE
    • Classement Vidal : 
          Hypolipémiant : inhibiteur de la HMG Co-A réductase : Fluvastatine Cardiologie Angéiologie
          Hypolipémiant : inhibiteur de la HMG Co-A réductase Métabolisme Diabète Nutrition (Fluvastatine)

    Liste I
    • CIP : 3943133 (FLUVASTATINE TEVA LP 80 mg cp pellic LP : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3943162 (FLUVASTATINE TEVA LP 80 mg cp pellic LP : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


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