comprimé pelliculé
par 1 comprimé
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ondansétron | 8 mg |
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Prévention des nausées et vomissements aigus induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement émétisante chez l’adulte.
- Prévention et traitement des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement à hautement émétisante chez l’adulte et l’enfant.
- Prévention et traitement des nausées et vomissements aigus et retardés induits par la radiothérapie hautement émétisante chez l’adulte.
- Prévention et traitement des nausées et vomissements retardés induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement à hautement émétisante chez l’adulte et l’enfant.
- Voie orale.Adultes à partir de 15 ans
La dose initiale habituelle est de 8 mg administrée, soit en I.V. lente 30 minutes avant la chimiothérapie ou la radiothérapie, soit en comprimé, lyophilisat ou sirop 2 heures avant la chimiothérapie moyennement émétisante ou la radiothérapie.- Dans certaines circonstances (utilisation de drogues cytotoxiques très émétisantes et/ou prescrites à très fortes doses, facteurs liés au patient tels que sujets jeunes, de sexe féminin, ayant l’expérience de phénomènes émétiques lors de précédents traitements cytotoxiques…), une dose plus élevée (32 mg en I.V. lente sur plus de 15 minutes avant le début du traitement cytotoxique, ou 8 mg en I.V. lente suivis d’une perfusion de 1 mg/heure sur 24 heures ou 8 mg en I.V. lente suivis de 2 injections de 8 mg en I.V. lente à 4 heures d’intervalle) et/ou une association à une corticothérapie pourront être utilisées d’emblée.
- Pour la prévention et le traitement des nausées ou des vomissements retardés, la dose est de 8 mg administrée toutes les 12 heures par voie orale sur une durée moyenne de 2 à 3 jours pouvant aller jusqu’à 5 jours. Dans certaines circonstances (cf. supra) une association à une corticothérapie per os pourra être prescrite.Enfants de plus de 2 ans
La dose initiale est de 5 mg/m2 administrée en I.V. lente juste avant la chimiothérapie.- Pour la prévention et le traitement des nausées ou des vomissements retardés, la dose est de 4 mg administrée par voie orale pour les enfants de 10 à 25 kg et de 8 mg pour les enfants de plus de 25 kg, à renouveler, si nécessaire, toutes les 12 heures sur une durée maximale de 5 jours.
- Chez l’enfant de moins de 6 ans, la forme comprimé n’étant pas adaptée en raison du risque de fausse route, les formes lyophilisat (dissoutes dans un verre d’eau) et sirop sont donc recommandées.
- Aucune étude clinique sur l’administration orale d’ondansétron dans la prévention et le traitement des nausées et vomissements post-opératoires n’a été réalisée, c’est pourquoi une injection IV lente est recommandée.
- Chez l’enfant de moins de 6 ans, la forme comprimé n’étant pas adaptée en raison du risque de fausse route, les formes comprimé orodispersible (dissoutes dans un verre d’eau) et sirop sont donc recommandées.Patients âgés
Chez les patients âgés de plus de 65 ans, l’efficacité et la tolérance ont été semblables à ce qui est observé chez les adultes plus jeunes.Insuffisants hépatiques
Il est recommandé de ne pas dépasser une dose totale journalière de 8 mg chez ces patients.Patients métaboliseurs lents
Le métabolisme de la spartéine et de la débrisoquine au niveau du cytochrome P450 n’est pas modifié. Aucune adaptation posologique n’est donc nécessaire chez ce type de patients. - Dans certaines circonstances (utilisation de drogues cytotoxiques très émétisantes et/ou prescrites à très fortes doses, facteurs liés au patient tels que sujets jeunes, de sexe féminin, ayant l’expérience de phénomènes émétiques lors de précédents traitements cytotoxiques…), une dose plus élevée (32 mg en I.V. lente sur plus de 15 minutes avant le début du traitement cytotoxique, ou 8 mg en I.V. lente suivis d’une perfusion de 1 mg/heure sur 24 heures ou 8 mg en I.V. lente suivis de 2 injections de 8 mg en I.V. lente à 4 heures d’intervalle) et/ou une association à une corticothérapie pourront être utilisées d’emblée.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Hypersensibilité aux antagonistes des récepteurs 5HT3
- Intolérance génétique au galactose
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Déficit en lactase
- Enfant de moins de 6 ans
- Risque de douleur thoracique
Un bilan cardio-vasculaire doit être effectué en cas de survenue de douleurs thoraciques et de syncope, ou de troubles du rythme cardiaque. - Risque de syncope
Un bilan cardio-vasculaire doit être effectué en cas de survenue de douleurs thoraciques et de syncope, ou de troubles du rythme cardiaque. - Risque d’arythmie
Un bilan cardio-vasculaire doit être effectué en cas de survenue de douleurs thoraciques et de syncope, ou de troubles du rythme cardiaque. - Insuffisance hépatique sévère
En cas d’insuffisance hépatique sévère, les paramètres pharmacocinétiques de l’ondansétron sont significativement modifiés : réduction de la clairance plasmatique totale, augmentation de la demi-vie plasmatique (cf Posologie/Mode d’administration). - Risque d’occlusion intestinale
L’ondansétron pouvant favoriser un syndrome occlusif, il convient de surveiller attentivement le transit des patients en cours de traitement (cf Effets indésirables). - Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 25 kg
- Insuffisance hépatique
Il est recommandé de ne pas dépasser une dose totale journalière de 8 mg chez ces patients.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène de l’ondansétron.
- En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
- En clinique, il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de l’ondansétron lorsqu’il est administré pendant la grossesse.
- En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l’ondansétron pendant la grossesse.
- En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
Allaitement :
- En cas d’allaitement ou de désir d’allaitement et compte tenu du passage de l’ondansétron dans le lait maternel, l’utilisation de ce produit est déconseillée.
- Hypersensibilité
- Réaction anaphylactique
- Céphalée (Très fréquent)
- Syndrome extrapyramidal
- Crise oculogyre
- Dystonie
- Dyskinésie
- Convulsions
- Arythmie (Peu fréquent)
- Douleur thoracique (Peu fréquent)
- Bradycardie (Peu fréquent)
- Bouffée vasomotrice (Fréquent)
- Hypotension artérielle
- Hoquet
- Constipation (Fréquent)
- Iléus (Rare)
- Occlusion intestinale (Rare)
- Bilan hépatique (anomalie) (Peu fréquent)
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Classement ATC :
A04AA01 / ONDANSETRON
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Classement Vidal :
Antiémétique : antagoniste sérotoninergique Cancérologie (Ondansétron)
Liste I
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CIP : 3949130 (ONDANSETRON CRISTERS 8 mg cp pellic : Plq/2).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités, Médicament d’exception
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CIP : 3949153 (ONDANSETRON CRISTERS 8 mg cp pellic : Plq/4).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités, Médicament d’exception
Cristers
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