logo news copy.webp
Search
Close this search box.

GLIMEPIRIDE CRISTERS 1 mg cp






comprimé
par 1 comprimé
glimépiride1 mg
Excipients : lactose monohydrate, sodium carboxyméthylamidon, povidone K 25, cellulose microcristalline, magnésium stéarate, fer rouge oxyde.

Ce médicament est indiqué dans le diabète sucré non-insulino-dépendant (de type 2) chez l’adulte, lorsque le régime alimentaire, l’exercice physique et la réduction pondérale seuls ne sont pas suffisants pour rétablir l’équilibre glycémique.


La base d’un traitement efficace du diabète est un régime alimentaire adapté, une activité physique régulière ainsi que des contrôles sanguins et urinaires réguliers. Le non respect du régime alimentaire ne peut être compensé par la prise de comprimés ou un traitement par l’insuline.
  • La posologie dépend des résultats de la glycémie et glycosurie. Pour les différentes posologies, plusieurs doses sont disponibles.
  • La posologie initiale de glimépiride est de 1 mg par jour, soit 1 comprimé à 1 mg par jour :
    – si le contrôle glycémique est satisfaisant, cette posologie peut être adoptée comme traitement d’entretien;
    – si le contrôle glycémique est insuffisant, la posologie doit être augmentée en fonction du bilan glycémique à 2, 3 ou 4 mg par jour, par paliers successifs, en respectant un intervalle d’environ 1 à 2 semaines entre chaque palier.Une posologie supérieure à 4 mg/jour de glimépiride ne donne de meilleurs résultats que dans des cas exceptionnels. La dose maximale recommandée est de 6 mg de glimépiride par jour.
  • Chez des patients insufisamment équilibrés par des doses journalières ou quotidiennes maximales de metformine, l’association du glimépiride peut être initiée. Tout en maintenant la posologie de la metformine, le glimépiride sera commencé à faibles doses, puis augmenté progressivement jusqu’à des doses maximales, en fonction de l’équilibre métabolique recherché. L’association sera débutée sous contrôle médical strict.
  • Chez les patients insuffisamment équilibrés par Glimépiride à la dose maximale, un traitement par l’insuline peut être associé si nécessaire. L’insulinothérapie sera débutée à faible dose tout en maintenant la posologie du glimépiride.
  • La dose d’insuline sera adaptée en fonction du niveau de contrôle glycémique souhaité. L’association à l’insuline devra être instaurée sous stricte surveillance médicale.
  • En règle générale, une prise unique quotidienne de Glimépiride 1mg, comprimé suffit. Il est recommandé de prendre le médicament immédiatement avant ou pendant un petit-déjeuner substantiel ou – si le patient ne prend pas de petit-déjeuner – immédiatement avant ou pendant le premier repas principal. Les comprimés sont à avaler entiers avec un peu de liquide.
  • L’oubli d’une dose ne doit jamais être compensé par la prise d’une dose plus élevée.
  • Si le patient présente une réaction hypoglycémique après la prise d’un comprimé par jour de Glimépiride 1 mg, un traitement par le régime seul peut être envisagé chez ce patient.
  • Les besoins en Glimépiride peuvent diminuer au cours du traitement, l’amélioration du contrôle glycémique entraînant une plus grande sensibilité à l’insuline. Afin de diminuer le risque d’hypoglycémie, une diminution de la posologie ou une interruption du traitement peut alors être envisagée.
  • Une modification de la posologie peut être également nécessaire dans les cas suivants : modification du poids du patient, modification du mode de vie, apparition de facteurs susceptibles d’augmenter les risques d’hypoglycémie ou d’hyperglycémie.* Relais d’un autre antidiabétique oral par Glimépiride
    Le relais d’un antidiabétique oral par Glimépiride peut généralement être envisagé. Pour le passage à Glimépiride, la posologie et la demi-vie de l’antidiabétique précédent doivent être pris en compte.
  • Dans certains cas, en particulier avec les antidiabétiques à demi-vie longue (ex : chlorpropamide), une fenêtre thérapeutique de quelques jours peut s’avérer nécessaire afin d’éviter un effet additif des deux produits, risquant d’entraîner une hypoglycémie.
  • Lors de ce relais, il est recommandé de suivre la même procédure que lors de l’instauration d’un traitement par Glimépiride, c’est-à-dire de commencer à la posologie de 1 mg/jour, puis augmenter la posologie par paliers successifs, en fonction des résultats métaboliques.* Relais de l’insuline par Glimépiride :
    Dans des cas exceptionnels de patients diabétiques de type 2 équilibrés par l’insuline, un relais par Glimépiride peut être indiqué. Ce relais doit être réalisé sous stricte surveillance médicale.* Utilisation chez les insuffisants rénaux ou hépatiques : voir rubrique Contre-indications.

  • Absolue(s) :
    • Diabète insulinodépendant
    • Coma diabétique
    • Acidocétose
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Hypersensibilité aux sulfonylurées
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase
    Relative(s) :
    • Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase

    • Administrer pendant le repas
      Glimépiride EG doit être pris peu de temps avant ou pendant un repas.
    • Risque d’hypoglycémie
      En cas de repas pris à intervalles irréguliers, en particulier en cas de saut d’un repas, le traitement par Glimépiride CRISTERS peut entraîner une hypoglycémie. Les symptômes possibles d’une hypoglycémie sont : céphalées, faim intense, nausées, vomissements, lassitude, somnolence, troubles du sommeil, agitation, agressivité, diminution de la concentration, de la vigilance et des réactions, dépression, confusion, troubles visuels et de la parole, aphasie, tremblements, parésie, troubles sensoriels, vertiges, sensation de faiblesse, perte de maîtrise de soi, délire, convulsions, et perte de connaissance pouvant aller jusqu’au coma, respiration superficielle et bradycardie. De plus,des signes de contre-régulation adrénergique peuvent être observés : hypersudation, peau moite, anxiété, tachycardie, hypertension, palpitations, angine de poitrine et arythmie cardiaque.
    • Le tableau clinique d’un malaise hypoglycémique sévère peut ressembler à un accident vasculaire cérébral. Les symptômes peuvent en général disparaître après absorption d’hydrates de carbone (sucre). Par contre les édulcorants artificiels n’ont aucun effet. L’expérience avec les autres sulfonylurées montre que, malgré des mesures initialement efficaces, une hypoglycémie peut récidiver.
    • En cas d’hypoglycémie sévère, ou prolongée, même si elle est temporairement contrôlée par une absorption de sucre, un traitement médical voire une hospitalisation peuvent s’imposer.
    • Facteurs favorisant l’hypoglycémie :
      – refus ou (en particulier chez les patients âgés) incapacité du patient à coopérer,
      – malnutrition, horaire irrégulier des repas, saut de repas, ou périodes de jeûne,
      – modification du régime,
      – déséquilibre entre exercice physique et prise d’hydrates de carbone,
      – consommation d’alcool, en particulier en l’absence de repas,
      – insuffisance rénale,
      – insuffisance hépatique sévère,
      – surdosage en Glimépiride CRISTERS,
      – certains désordres non compensés du système endocrinien affectant le métabolisme des hydrates de carbone ou la contre-régulation de l’hypoglycémie (certains troubles de la fonction thyroïdienne, insuffisance hypophysaire ou surrénalienne),
      – administration concomitante de certains autres médicaments.
    • Dysthyroïdie
      certains désordres non compensés du système endocrinien affectant le métabolisme des hydrates de carbone ou la contre-régulation de l’hypoglycémie (tels que les troubles de la fonction thyroïdienne) sont des facteurs favorisant l’hypoglycémie.
    • Hypopituitarisme
      certains désordres non compensés du système endocrinien affectant le métabolisme des hydrates de carbone ou la contre-régulation de l’hypoglycémie (tels que l’insuffisance hypophysaire) sont des facteurs favorisant l’hypoglycémie.
    • Insuffisance surrénale
      certains désordres non compensés du système endocrinien affectant le métabolisme des hydrates de carbone ou la contre-régulation de l’hypoglycémie (tels que l’insuffisance surrénalienne) sont des facteurs favorisant l’hypoglycémie.
    • Surveillance de la glycémie pendant le traitement
      Le traitement par Glimépiride CRISTERS nécessite des dosages réguliers du glucose sanguin.
    • Surveillance de la glycosurie pendant le traitement
      Le traitement par Glimépiride CRISTERS nécessite des dosages réguliers du glucose urinaire.
    • Surveillance de l’hémoglobine glycosylée pendant le traitement
      Le dosage du taux d’hémoglobine glycosylée est recommandé.
    • Surveillance de la formule sanguine pendant le traitement
      Un contrôle régulier de la numération sanguine (particulièrement leucocytes et plaquettes) est nécessaire pendant le traitement par Glimépiride CRISTERS.
    • Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
      Un contrôle régulier de la fonction hépatique est nécessaire pendant le traitement par Glimépiride CRISTERS.
    • Etat de stress
      Dans des situations de stress (accident, opérations graves, infections avec fièvre etc…) un passage temporaire à l’insuline peut être nécessaire.
    • Patient dialysé
      Aucune expérience n’est disponible concernant l’utilisation de Glimépiride CRISTERS chez des patients dialysés. Chez les patients en insuffisance rénale, un passage à l’insuline est recommandé.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      La prise d’alcool peut potentialiser ou diminuer de manière non prévisible l’effet hypoglycémiant du glimépiride.
    • Interaction alimentaire : alcool
      La prise d’alcool peut potentialiser ou diminuer de manière non prévisible l’effet hypoglycémiant du glimépiride.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    – Risque lié au diabète
    Une glycémie anormale pendant la grossesse est associée à une augmentation de l’incidence des malformations congénitales et de la mortalité périnatale. La glycémie doit être étroitement surveillée pendant la grossesse pour réduire le risque tératogène. Le diabète chez la femme enceinte nécessite une insulinothérapie. Les patientes qui envisagent une grossesse doivent en informer leur médecin.
  • – Risque lié au glimépiride
    II n’existe pas actuellement de données suffisantes sur l’utilisation du glimépiride chez la femme enceinte. Les études chez l’animal ont mis en évidence une toxicité probablement plus liée à l’action pharmacologique (hypoglycémie) du glimepiride (cf Données de sécurité précliniques).
  • En conséquence, le glimépiride ne doit pas être utilisé pendant toute la durée de la grossesse.
  • Si une grossesse est envisagée ou en cas de découverte fortuite d’une grossesse lors du traitement par glimépiride, le traitement doit être remplacé le plus rapidement possible par une insuline.
  •  Allaitement :

    Chez la femme, aucune donnée concernant le passage du glimépiride dans le lait maternel n’est disponible. Chez la rate, le glimépiride est excrété dans le lait maternel. Etant donné que d’autres sulfonylurées sont excrétées dans le lait maternel et compte tenu du risque d’hypoglycémie néonatale, l’allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.

    Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.
  • Les capacités de concentration et les réflexes peuvent être diminués en cas d’hypoglycémie ou d’hyperglycémie ou, par exemple, de troubles visuels. Cela peut représenter un risque dans des situations où ces facultés sont de première importance (par exemple la conduite automobile ou l’utilisation de machines). Les patients doivent être informés des précautions à prendre avant de conduire pour éviter une hypoglycémies,en particulier si les symptômes précurseurs d’hypoglycémie sont absents ou diminués, ou si les épisodes d’hypoglycémie sont fréquents. Dans ces circonstances il n’est pas recommandé de conduire un véhicule ou d’utiliser des machines.

    • Thrombopénie (Rare)
    • Leucopénie (Rare)
    • Neutropénie (Rare)
    • Agranulocytose (Rare)
    • Erythropénie (Rare)
    • Anémie hémolytique (Rare)
    • Pancytopénie (Rare)
    • Vascularite leucocytoclasique (Très rare)
    • Hypersensibilité (Très rare)
    • Hypersensibilité croisée
    • Hypoglycémie (Rare)
    • Vision (modification)
      Debut de traitement.
    • Nausée (Très rare)
    • Vomissement (Très rare)
    • Diarrhée (Très rare)
    • Dilatation abdominale (Très rare)
    • Gêne abdominale (Très rare)
    • Douleur abdominale (Très rare)
    • Enzymes hépatiques (augmentation)
    • Hépatopathie (Très rare)
    • Cholestase (Très rare)
    • Ictère (Très rare)
    • Hépatite (Très rare)
    • Insuffisance hépatique (Très rare)
    • Prurit
    • Urticaire
    • Eruption cutanée
    • Photosensibilisation
    • Hyponatrémie (Très rare)

    • Classement ATC : 
          A10BB12 / GLIMEPIRIDE
    • Classement Vidal : 
          Antidiabétique oral : sulfamide hypoglycémiant Cardiologie Angéiologie (Glimépiride)
          Antidiabétique oral : sulfamide hypoglycémiant Métabolisme Diabète Nutrition (Glimépiride)

    Liste I
    • CIP : 3965258 (GLIMEPIRIDE CRISTERS 1 mg cp : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3965264 (GLIMEPIRIDE CRISTERS 1 mg cp : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Cristers


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires

    MODANE

    pantothénate de calcium, séné FORMES et PRÉSENTATIONS Comprimé enrobé (rose) :  Boîte de 20, sous

    Read More »

    VACCIN INFANRIXHEXA®

    vaccin diphtérique (D), tétanique (T), coquelucheux acellulaire, multicomposé (Ca), de l’hépatite B (ADNr ; HepB), poliomyélitique inactivé (P) et d’Haemophilus influenzae type b (Hib) conjugué (adsorbé)

    Read More »