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SUXAMETHONIUM BIOCODEX 50 mg/ml sol inj






solution injectable
par 1 ml
suxaméthonium chlorure50 mg
Excipients : acide chlorhydrique qs pH 3-5, eau ppi.

Adjuvant de l’anesthésie générale permettant de provoquer un relâchement musculaire de brève durée pour notamment faciliter I’intubation endotrachéale :
* Chez l’adulte :
– pour les patients à estomac plein ou présentant un risque d’inhalation de liquide gastrique, notamment au cours de césariennes,
– pour les actes brefs en chirurgie programmée,
– pour les patients dont I’intubation endotrachéale est potentiellement difficile en ayant vérifié au préalable la possibilité de ventiler avant l’injection de suxaméthonium,
– lors des traitements par électroconvulsivothérapie.

  • * Chez l’enfant :
    – pour les patients à estomac plein ou présentant un risque d’inhalation de liquide gastrique.
  • Compte tenu que les effets secondaires du suxaméthonium chez l’enfant sont importants et plus fréquents ( Cf. Mises en garde/Précautions d’emploi), notamment en association avec I’halothane, l’utilisation pour les actes brefs en chirurgie programmée n’est pas recommandée.

  • Comme avec tous les autres curarisants, la posologie du chlorure de suxaméthonium doit être adaptée à chaque patient. Elle dépend de la méthode d’anesthésie employée, de la durée présumée de l’intervention, des interactions éventuelles avec d’autres médicaments administrés avant ou pendant l’anesthésie et de l’état général du patient.
  • Les posologies suivantes sont proposées :
    L’injection intraveineuse de 1 mg/kg de chlorure de suxaméthonium permet I’intubation endotrachéale 30 à 60 secondes après l’injection chez l’adulte et provoque une paralysie totale de la musculature volontaire pendant 5 à 10 minutes.
  • Elle nécessite le recours à une ventilation assistée jusqu’au rétablissement de la respiration spontanée efficace.
  • L’injection intraveineuse de 0,3 à 0,5 mg/kg de chlorure de suxaméthonium provoque une relaxation complète de la musculature périphérique pendant 3 à 5 minutes, notamment lors des électroconvulsivothérapies.
  • Lors de l’utilisation en électroconvulsivothérapie, il est nécessaire de faire précéder l’injection de suxaméthonium d’une pré-oxygénation.Utilisation en pédiatrie :
    Chez le nourrisson et le petit enfant, la dose d’intubation est de 1,5 mg/kg de chlorure de suxaméthonium.Mode d’administration :
    Ce produit ne doit être administré que par des médecins spécialisés en anesthésie-réanimation ou en médecine d’urgence et familiarisés avec l’utilisation des anesthésiques, ou sous leur contrôle, et disposant de tout le matériel d’anesthésie-réanimation nécessaire.
  • Les recommandations des sociétés savantes concernées doivent être respectées, notamment en cas d’utilisation en situation extra-hospitalière (situation d’urgence ou transport médicalisé).
  • Le chlorure de suxaméthonium doit être administré par voie intraveineuse.
  • Du matériel d’intubation trachéale, d’assistance respiratoire et d’oxygénation artérielle adéquat doit être disponible.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux curares
    • Hypersensibilité aux ammoniums quaternaires
    • Hyperthermie maligne, antécédent familial (d’)
    • Antécédent d’hyperthermie maligne
    • Myopathie
    • Myotonie atrophique
    • Hyperkaliémie
    • Hyperkaliémie, risque (d’)
    • Déficit de l’activité des cholinestérases plasmatiques
    Relative(s) :
    • Terrain allergique
    • Arythmie
    • Insuffisance cardiaque
    • Plaie ouverte du globe oculaire

    • Risque d’hyperkaliémie
      Lors de la dépolarisation des muscles squelettiques, on observe une sortie extracellulaire immédiate de potassium et une augmentation de la concentration plasmatique en potassium, ce qui peut avoir des conséquences graves chez certains sujets à risques : patients souffrant de brûlures, traumatismes musculaires graves, neuropathies, myopathies, infections intra-abdominales prolongées et sérieuses ou insuffisance rénale.
    • Brûlure
      En cas de brûlures, de malnutrition, d’affections hépatiques sévères, d’anémie grave, on peut observer un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium dû à une diminution de l’activité des pseudocholinestérases.
    • En présence d’une curarisation prolongée, il faut poursuivre la ventilation contrôlée jusqu’à réapparition spontanée d’une respiration et la normalisation de la fonction musculaire.
    • Malnutrition
      En cas de brûlures, de malnutrition, d’affections hépatiques sévères, d’anémie grave, on peut observer un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium dû à une diminution de l’activité des pseudocholinestérases.
    • En présence d’une curarisation prolongée, il faut poursuivre la ventilation contrôlée jusqu’à réapparition spontanée d’une respiration et la normalisation de la fonction musculaire.
    • Hépatopathie sévère
      En cas de brûlures, de malnutrition, d’affections hépatiques sévères, d’anémie grave, on peut observer un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium dû à une diminution de l’activité des pseudocholinestérases.
    • En présence d’une curarisation prolongée, il faut poursuivre la ventilation contrôlée jusqu’à réapparition spontanée d’une respiration et la normalisation de la fonction musculaire.
    • Anémie
      En cas de brûlures, de malnutrition, d’affections hépatiques sévères, d’anémie grave, on peut observer un effet prolongé du chlorure de suxaméthonium dû à une diminution de l’activité des pseudocholinestérases.
    • En présence d’une curarisation prolongée, il faut poursuivre la ventilation contrôlée jusqu’à réapparition spontanée d’une respiration et la normalisation de la fonction musculaire.
    • Risque d’hyperthermie maligne
      Etant donné que le suxaméthonium peut être utilisé conjointement à d’autres agents anesthésiques (halogénés) et considérant qu’une hyperthermie maligne en cours d’anesthésie est possible, cela même en absence de facteurs déclenchant connus , les praticiens doivent être familiarisés avec les signes précoces, le diagnostic et le traitement de I’hyperthermie maligne.
    • Le spasme des masséters peut survenir isolément et gêner I’intubation alors que les autres muscles sont relâchés, mais il peut être un signe d’une hyperthermie maligne débutante et doit faire rechercher d’autres signes d’une crise d’hyperthermie maligne.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Compte tenu que les effets secondaires du suxaméthonium chez l’enfant sont importants et plus fréquents (arrêt cardiaque, spasme des masséters, rhabdomyolyses, hyperthermie maligne ), notamment en association avec I’halothane (par exemple en cas de myopathie non diagnostiquée), l’utilisation pour les actes brefs en chirurgie programmée n’est pas recommandée.
    • Risque de fasciculation
      Des fasciculations transitoires peuvent être observées lors de l’installation de la paralysie induite par le suxaméthonium. Elles peuvent être prévenues par l’administration préalable d’une faible dose de curare non dépolarisant.
    • Risque de bradycardie
      La stimulation du nerf pneumogastrique (X) et des ganglions parasympathiques peut provoquer une bradycardie, une arythmie et une hypotension, phénomènes qui peuvent être aggravés par I’hyperkaliémie. La bradycardie sinusale est plus fréquente chez l’enfant et peut être prévenue par l’administration d’atropine.
    • Risque d’arythmie
      La stimulation du nerf pneumogastrique (X) et des ganglions parasympathiques peut provoquer une bradycardie, une arythmie et une hypotension, phénomènes qui peuvent être aggravés par I’hyperkaliémie. La bradycardie sinusale est plus fréquente chez l’enfant et peut être prévenue par l’administration d’atropine.
    • Risque d’hypotension artérielle
      La stimulation du nerf pneumogastrique (X) et des ganglions parasympathiques peut provoquer une bradycardie, une arythmie et une hypotension, phénomènes qui peuvent être aggravés par I’hyperkaliémie. La bradycardie sinusale est plus fréquente chez l’enfant et peut être prévenue par l’administration d’atropine.
    • Risque de tachycardie
      Des cas de tachycardie et d’hypertension artérielle par stimulation des ganglions sympathiques ont également éte rapportés.
    • Risque d’hypertension artérielle
      Des cas de tachycardie et d’hypertension artérielle par stimulation des ganglions sympathiques ont également éte rapportés.
    • Risque d’augmentation des sécrétions
      Le chlorure de suxaméthonium peut également, par l’effet muscarinique, augmenter les sécrétions salivaires, bronchiques et gastriques. Cet effet peut être limité par l’administration, à titre préventif, d’un antimuscarinique, comme I’atropine.
    • Surveillance médicale avec disponibilité de matériel de réanimation pendant le traitement
      Ce produit ne doit être administré que par des médecins spécialisés en anesthésie-réanimation ou en médecine d’urgence et familiarisés avec l’utilisation des anesthésiques, ou sous leur contrôle, et disposant de tout le matériel d’anesthésie-réanimation nécessaire.
    • Incompatibilité avec certains médicaments
      Ne pas mélanger dans la même seringue cette solution de chlorure de suxaméthonium à des barbituriques ou à tout autre produit alcalin.
    • Incompatibilité avec certains produits chimiques ou biologiques
      Ne pas mélanger dans la même seringue cette solution de chlorure de suxaméthonium à tout autre produit alcalin.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    – Premier trimestre :
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.
  • En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n’est apparu à ce jour.Toutefois, le suivi de grossesses exposées au suxaméthonium est insuffisant pour exclure tout risque.
  • En conséquence, l’utilisation de suxaméthonium ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
  • – Fin de grossesse :
    La fin de grossesse, d’un point de vue anesthésique, expose au syndrome de Mendelson (pneumopathie acide par inhalation de suc gastrique) et à des difficultés d’intubation.
  • Dans ces conditions, I’intubation doit être rapide et il importe de privilégier un curare d’action rapide (inférieur à 1,5 minutes) et de durée d’action courte.
  • Le relais peut être pris par un curare non dépolarisant.
  • Le passage transplacentaire des curares est faible et le risque de curarisation néonatale
    est exceptionnel.
  •  Allaitement :

    L’allaitement peut être poursuivi au décours d’une anesthésie par suxaméthonium.

    II est déconseillé d’utiliser une machine potentiellement dangereuse ou de conduire un véhicule au cours des 24 heures qui suivent la complète disparition de l’action curarisante du suxaméthonium.

    • Hyperkaliémie (Fréquent)
    • Réaction anaphylactique (Rare)
    • Bradycardie (Fréquent)
    • Arythmie (Fréquent)
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Hypertension intracrânienne (Fréquent)
    • Hypertonie oculaire (Fréquent)
    • Bronchospasme (Rare)
    • Douleur musculaire (Fréquent)
    • Courbature (Fréquent)
    • Spasme du masséter (Rare)
    • Pression intragastrique (augmentation) (Fréquent)
    • Réaction au point d’injection (Fréquent)
    • Hyperthermie maligne (Rare)
    • Hypersensibilité

    • Classement ATC : 
          M03AB01 / SUXAMETHONIUM
    • Classement Vidal : 
          Adjuvant de l’anesthésie : curarisant dépolarisant

    Liste I
    • CIP : 5769455 (SUXAMETHONIUM BIOCODEX 50 mg/ml sol inj : Amp/10).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


    Biocodex


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