poudre et solvant p solution injectable
par flacon(s)
poudre |
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époprosténol sel de Na | 1,593 mg |
Soit époprosténol | 1,5 mg |
Excipients : glycine, sodium chlorure, sodium hydroxyde qs pH 10,2 – 10,8, eau ppi.
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L’EPOPROSTENOL pourdre et solvant pour solution injectable est indiqué dans le traitement au long cours, en perfusion continue, de l’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) :
-hypertension artérielle pulmonaire idiopathique – familiale ou sporadique,
-hypertension artérielle pulmonaire associée à une collagénose systémique.- Chez les patients en stade clinique fonctionnel III ou IV (de l’échelle de sévérité de New York Heart Association).
- A titre indicatif, avant d’envisager la mise en route d’un traitement au long cours par L’EPOPROSTENOL poudre et solvant pour solution injectable, les patients potentiellement répondeurs aux vasodilatateurs oraux pourront être identifiés par un test de vasodilatation en aigu qui sera au mieux réalisé à l’aide du monoxyde d’azote par voie inhalée.
- L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable ne doit être prescrit que dans des services spécialisés en pneumologie disposant d’une unité de soins intensifs et d’une unité d’exploration cardiologique invasive afin d’assurer un bilan spécialisé et la surveillance par une équipe formée à la prise en charge des patients atteints d’hypertension artérielle pulmonaire et à l’utilisation de L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable.
- Chez les patients en stade clinique fonctionnel III ou IV (de l’échelle de sévérité de New York Heart Association).
- —Posologie préconisée chez l’adulte
–Test de vasodilatation en aigu :
Ce test n’a pour seul intérêt que celui de dépister les patients répondeurs aux vasodilatateurs oraux (tels que les inhibiteurs calciques) et en aucun cas les répondeurs à l’époprosténol en administration au long cours (dont l’indication ne se justifie que chez les sujets non répondeurs au test en aigu). Il peut aisément être remplacé par un test au monoxyde d’azote (NO) inhalé, plus simple et sans retentissement systémique.- Le produit pourra être administré soit par voie périphérique, soit par voie centrale.
- La perfusion sera débutée à raison de 2 ng/kg/min, puis augmentée par paliers de 2 ng/kg/min toutes les 15 minutes ou moins fréquemment, jusqu’à l’apparition d’effets pharmacologiques limitants, dont les plus fréquents sont des nausées, des vomissements, des céphalées, une hypotension ou une tachycardie.
- A titre indicatif, au cours des essais cliniques, la dose maximale administrée en aigu, n’entraînant pas de tels effets, a été en moyenne de 8,6 plus ou moins 0,3 ng/kg/min.–Perfusion continue au long cours :
Pour une perfusion au long cours, le produit dilué sera administré au moyen d’un cathéter veineux central. Le débit de perfusion d’époprosténol sera ajusté sous contrôle médical.- – Dose initiale :
La perfusion sera débutée à raison de 1 ng/kg/min puis augmentée par paliers de 1 ng/kg/min toutes les 12 à 24 heures selon la tolérance, jusqu’à une posologie de 10 ng/kg/min. La posologie sera ensuite augmentée de 1 ng/kg/min tous les 15 jours jusqu’à la dose de 16 ng/kg/min.- – Ajustement des doses perfusées lors du traitement au long cours :
Les doses d’époprosténol seront augmentées en fonction des récidives ou des aggravations des symptômes de l’hypertension artérielle pulmonaire, sur l’objectivation d’une baisse de la tolérance à l’exercice sur les tests de marche (6 min) répétés et sur les paramètres hémodynamiques.- La survenue d’événements indésirables liés à un surdosage devra faire envisager la diminution des doses d’époprosténol.
- – Modalités et conditions d’augmentation de la dose lors de la perfusion au long cours :
Les symptômes de l’hypertension artérielle pulmonaire peuvent revenir graduellement en cours de traitement. En général, ils répondent bien à de faibles augmentations de doses d’époprosténol.- Lorsque les signes d’hypertension artérielle pulmonaire se majorent, la dose perfusée sera augmentée par paliers de 1 ng/kg/min en respectant des intervalles de temps suffisamment longs (1 à 4 semaines) pour permettre l’évaluation de la réponse clinique.
- Les débits de perfusion doivent être réévalués à intervalles réguliers. A titre indicatif, lors des essais cliniques, l’augmentation de la dose a été en moyenne de 1 ng/kg/min par mois, mais la variabilité était considérable.
- – Modalités et conditions de diminution de la dose lors de la perfusion au long cours :
La survenue de signes cliniques témoignant d’un surdosage ou d’une élévation trop importante du débit cardiaque (dyspnée, fatigue, perte de poids, tachycardie, vomissements…) peut obliger à réduire la dose d’époprosténol perfusé. Ce phénomène disparaît parfois sans ajustement de posologie et il est souvent difficile de différencier ces symptômes de signes évoquant une insuffisance de traitement, d’où la nécessité d’une surveillance clinique et hémodynamique.- La diminution de dose doit se faire progressivement, par paliers de 2 ng/kg/min, toutes les 15 minutes ou plus, jusqu’à disparition des effets limitants en rapport avec la dose administrée.
- La diminution de dose doit se faire progressivement par paliers.
- L’interruption brusque de la perfusion d’époprosténol ou une réduction importante et/ou brutale du débit de perfusion doivent être évitées en raison du risque de survenue d’effet rebond pouvant menacer le pronostic vital.–Utilisation chez le sujet âgé :
Les études cliniques menées avec L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable n’ont pas inclus un effectif suffisant de patients âgés de plus de 65 ans pour déterminer si, chez eux, l’efficacité et la tolérance de L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable différaient de celles observées chez des sujets plus jeunes.- Néanmoins, dans cette population, le choix d’une posologie doit être prudent, en raison d’un plus grand risque de dysfonctionnement hépatique, rénal, cardiaque, ainsi que de pathologies ou de traitements associés.–Chez l’enfant : en l’absence de donnée suffisante concernant le traitement de l’HTAP de l’enfant par L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable il appartient au médecin de peser le bénéfice escompté du traitement par ce médicament et le risque encouru par le patient en l’absence de ce traitement.–Chez le nouveau né : en l’absence de donnée suffisante concernant le traitement du nouveau né par ce médicament, il appartient au médecin de peser le bénéfice escompté de ce médicament face au risque encouru par le patient en l’absence de ce traitement et aux alternatives thérapeutiques existantes.—Mode d’administration :
– Perfusion intraveineuse.- Pour une perfusion intraveineuse au long cours, ce médicament sera administré via un cathéter central à l’aide d’une pompe pour perfusion ambulatoire.
- La pompe ambulatoire doit :
être de petite taille et de faible poids ;
permettre des ajustements de débit par paliers de 1 ng/kg/min ;
posséder une alarme pour les obstructions, les fins de perfusion et le déchargement de la pile ;
permettre une précision d’au moins 6 % par rapport au débit programmé ;
fonctionner par pression positive (continue ou pulsatile) ; l’intervalle entre les poussées ne doit pas dépasser 3 minutes aux débits utilisés pour l’administration de ce médicament.- Le réservoir doit être en chlorure de polyvinyle, en polypropylène ou en verre.
- A titre indicatif, les pompes à perfusion utilisées au cours des essais cliniques ont été les suivantes : CADD-1 HFX 5 100 (Pharmacia Deltec), Walk-Med 410 C (Medfusion, Inc.), Auto Syringe AS2F (Baxter Healthcare) et Graseby MS32.
- Afin d’éviter d’éventuelles interruptions dans l’administration du médicament, le patient doit pouvoir avoir accès à une pompe de secours et à un matériel pour perfusion intraveineuse.
- Les solutions de ce médicament ne devant pas être mélangées avec d’autres solutés, un cathéter à plusieurs lumières doit être utilisé si d’autres traitements intraveineux sont administrés régulièrement.
- Préparation d’une solution d’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable :
Les solutions reconstituées, préparées en temps réel, ne doivent pas être utilisées sur plus de 12 heures lorsqu’elles sont administrées à température ambiante (entre + 15 °C et + 25 °C). Elles ne doivent pas être exposées à des températures supérieures à 25 °C et doivent être maintenues à l’abri de la lumière.- Avant utilisation à température ambiante, les solutions reconstituées d’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable peuvent être stockées au réfrigérateur entre + 2 °C et + 8 °C pour une durée qui ne saurait excéder 24 heures. Dans ce cas, elles ne doivent pas être utilisées ensuite sur plus de 8 heures lorsqu’elles sont administrées à température ambiante.
- Avant administration, la solution reconstituée sera inspectée. Une décoloration ou la présence de particules doit interdire son administration.
- – Calcul du débit de perfusion :
Le débit de perfusion [dtri ] (ml/h) sera calculé au moyen de la formule suivante :
[dtri ] (ml/h) = D (ng/kg/min) × P (kg) × 60 min/[F] (ng/ml) × 1 (h)
D représente la dose prescrite d’époprosténol exprimée en ng/kg/min.- P représente le poids corporel du patient exprimé en kg.
- F représente la concentration d’époprosténol exprimée en ng/ml et calculée sur la base de la formule suivante : F (ng/ml) = Q (ng)/VD (ml) où VD représente le volume de dilution du solvant exprimé en ml et Q la quantité d’époprosténol exprimée en ng.
- A titre indicatif, les concentrations (F) d’époprosténol les plus fréquemment utilisées dans le traitement de l’HTAPP sont :
10 000 ng/ml = 1 flacon dosé à 0,5 mg d’époprosténol, reconstitué et dilué dans 50 ml ;
20 000 ng/ml = 2 flacons dosés à 0,5 mg d’époprosténol, reconstitués et dilués dans 50 ml ;
30 000 ng/ml = 3 flacons dosés à 0,5 mg ou 1 flacon dosé à 1,5 mg d’époprosténol, reconstitués et dilués dans 50 ml ;
40 000 ng/ml = 4 flacons dosés à 0,5 mg ou 1 flacon dosé à 1,5 mg d’époprosténol + 1 flacon dosé à 0,5 mg, reconstitués et dilués dans 50 ml. - Le produit pourra être administré soit par voie périphérique, soit par voie centrale.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Hypersensibilité aux prostaglandines
- Insuffisance cardiaque congestive
- Insuffisance ventriculaire gauche sévère
- Maladie veino-occlusive pulmonaire
- Oedème pulmonaire
- Diagnostic à établir avec certitude
Conditions d’initiation du traitement :
Le traitement par ce médicament sera initié lorsque le diagnostic des pathologies suivantes aura été éliminé au préalable :
-hypertension pulmonaire liée à des pathologies du coeur gauche,
-hypertension pulmonaire secondaire aux maladies respiratoires chroniques et/ou à une hypoxémie,
– hypertension pulmonaire d’origine thromboembolique chronique. - Respecter les conditions d’utilisation du médicament
L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable doit être reconstitué comme indiqué, en utilisant uniquement le solvant stérile d’accompagnement. Ce solvant ne contenant pas de conservateur, il devra être utilisé en une seule fois. Tout solvant inutilisé sera jeté. - L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable ne doit être reconstitué ou mélangé avec aucune autre médication ou solution pour usage parentéral.
- Incompatibilité : à n’utiliser qu’avec le solvant fourni
– L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable doit être reconstitué comme indiqué, en utilisant uniquement le solvant stérile d’accompagnement. Ce solvant ne contenant pas de conservateur, il devra être utilisé en une seule fois. Tout solvant inutilisé sera jeté. - L’EPOPROSTENOL, poudre et solvant pour solution injectable ne doit être reconstitué ou mélangé avec aucune autre médication ou solution pour usage parentéral.
- – La stabilité des solutions d’Epoprostenol est pH dépendante. Pour cette raison, ce médicament ne doit être reconstitué qu’avec le solvant stérile d’accompagnement. Une fois reconstituées, les solutions de ce médicament ne doivent être ni diluées, ni administrées avec d’autres solutions ou médications à usage parentéral.
- Evaluation individuelle du bénéfice attendu
La décision d’entreprendre un traitement par ce médicament doit prendre en considération la probabilité élevée de devoir maintenir le traitement intraveineux pendant une longue période, éventuellement plusieurs années. Ainsi, il convient d’évaluer soigneusement l’aptitude du patient à accepter et à surveiller un cathéter et une pompe de perfusion à demeure. Les risques inhérents aux cathéters veineux centraux devront être prévenus et il conviendra de prévoir des précautions d’asepsie strictes lors des manipulations. - Tenir compte des exigences liées au traitement
La décision d’entreprendre un traitement par ce médicament doit prendre en considération la probabilité élevée de devoir maintenir le traitement intraveineux pendant une longue période, éventuellement plusieurs années. Ainsi, il convient d’évaluer soigneusement l’aptitude du patient à accepter et à surveiller un cathéter et une pompe de perfusion à demeure. Les risques inhérents aux cathéters veineux centraux devront être prévenus et il conviendra de prévoir des précautions d’asepsie strictes lors des manipulations. - Risque d’accident hémorragique
Ce médicament est un puissant inhibiteur de l’agrégation plaquettaire. Par conséquent, un risque accru de complications hémorragiques devra être pris en considération, en particulier pour les patients ayant d’autres facteurs de risque de saignement (cf Interactions). - Sujet à risque hémorragique
Ce médicament est un puissant inhibiteur de l’agrégation plaquettaire. Par conséquent, un risque accru de complications hémorragiques devra être pris en considération, en particulier pour les patients ayant d’autres facteurs de risque de saignement (cf Interactions). - Surveillance médicale avec disponibilité de matériel de réanimation pendant le traitement
Ce médicament est un puissant vasodilatateur pulmonaire et systémique. L’ajustement posologique de ce médicament doit se faire dans un milieu doté d’un personnel suffisant et d’équipements nécessaires pour une surveillance intensive et des soins de réanimation adaptés. Après un ajustement de posologie, il est recommandé de surveiller la fréquence cardiaque et la pression artérielle en position debout et couchée pendant plusieurs heures. - La diminution ou l’arrêt du traitement par ce médicament devront être réalisés sous surveillance médicale.
- Surveillance de la fréquence cardiaque pendant le traitement
Après un ajustement de posologie, il est recommandé de surveiller la fréquence cardiaque et la pression artérielle en position debout et couchée pendant plusieurs heures. - Surveillance de la pression artérielle pendant le traitement
Après un ajustement de posologie, il est recommandé de surveiller la fréquence cardiaque et la pression artérielle en position debout et couchée pendant plusieurs heures. - Hypotension artérielle sévère
L’apparition d’une hypotension excessive pendant l’administration nécessite une réduction de la posologie voire l’arrêt de la perfusion. - Risque d’hypotension artérielle
Un surdosage en époprosténol peut induire une hypotension profonde et entraîner une perte de connaissance. - Traitement à arrêter progressivement
La diminution ou l’arrêt du traitement par ce médicament devront être réalisés sous surveillance médicale. - L’arrêt brutal doit être évité, sauf dans les situations menaçant le pronostic vital
(ex : collapsus..). Un arrêt brutal (notamment une panne du système d’administration ou une
réduction importante et soudaine des doses de ce médicament ) peut provoquer un rebond de l’hypertension pulmonaire se manifestant par des étourdissements, une asthénie et une augmentation de la dyspnée, et pouvant conduire au décès. - Traitement compatible avec un régime hyposodé
Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par dose administrée, c’est à dire « sans sodium ». - Sujet âgé
Utilisation chez le suiet âqé :
Les études cliniques menées avec ce médicament n’ont pas inclus un effectif suffisant de patients âgés de plus de 65 ans pour déterminer si, chez eux, l’efficacité et la tolérance de ce médicament différaient de celles observées chez des sujets plus jeunes. - Néanmoins dans cette population le choix d’une posologie doit être prudent, en raison d’un plus grand risque de dysfonctionnement hépatique rénal, cardiaque, ainsi que de pathologies ou de traitements associés.
- Enfant de moins de 15 ans
En l’absence de données suffisantes concernant le traitement de l’HTAP de l’enfant par ce médicament , il appartient au médecin de peser le bénéfice escompté du traitement par ce médicament et le risque encouru par le patient en l’absence de ce traitement. - Nouveau-né de moins de 1 mois
Chez le nouveau-né : en l’absence de donnée suffisante concernant le traitement du nouveau né par ce médicament , il appartient au médecin de peser le bénéfice escompté de ce médicament face au risque encouru par le patient en l’absence de ce traitement et aux alternatives thérapeutiques existantes. - Compatibilité avec certains matériaux
Pour une perfusion intraveineuse au long cours, ce médicament sera administré via un cathéter central à l’aide d’une pompe pour perfusion ambulatoire. - La pompe ambulatoire doit :
être de petite taille et de faible poids ;
permettre des ajustements de débit par paliers de 1 ng/kg/min ;
posséder une alarme pour les obstructions, les fins de perfusion et le déchargement de la pile ;
permettre une précision d’au moins 6 % par rapport au débit programmé ;
fonctionner par pression positive (continue ou pulsatile) ; l’intervalle entre les poussées ne doit pas dépasser 3 minutes aux débits utilisés pour l’administration de ce médicament. - Le réservoir doit être en chlorure de polyvinyle, en polypropylène ou en verre.
- A titre indicatif, les pompes à perfusion utilisées au cours des essais cliniques ont été les suivantes : CADD-1 HFX 5 100 (Pharmacia Deltec), Walk-Med 410 C (Medfusion, Inc.), Auto Syringe AS2F (Baxter Healthcare) et Graseby MS32.
- Femme susceptible d’être enceinte
Une contraception est préférable pendant le traitement. - Respecter les conditions de stabilité du médicament
La stabilité des solutions de ce médicament est pH dépendante. Pour cette raison, ce médicament ne doit être reconstitué qu’avec le solvant stérile d’accompagnement. - Incompatibilité avec tous les médicaments
La stabilité des solutions de ce médicament est pH dépendante. Pour cette raison, ce médicament ne doit être reconstitué qu’avec le solvant stérile d’accompagnement. Une fois reconstituées, les solutions de ce médicament ne doivent être ni diluées, ni administrées avec d’autres solutions ou médications à usage parentéral.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Les études de reproduction réalisées chez le rat et le lapin, en bolus par voie SC, n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène de l’époprosténol ni d’effet sur la fertilité. Toutefois, aucune étude de reproduction n’a été effectuée en perfusion intraveineuse continue.
- Une contraception est préférable pendant le traitement par ce médicament.
- Chez la femme enceinte, il n’existe pas d’étude adéquate contrôlée. ce médicament ne doit être utilisé chez la femme enceinte que si les bénéfices attendus contrebalancent les risques potentiels pour le foetus.
- Travail et accouchement : que ce soit pendant le travail ou l’accouchement par voie vaginale ou par césarienne, l’utilisation de ce médicament n’a pas fait l’objet d’études adéquates.
- Une contraception est préférable pendant le traitement par ce médicament.
Allaitement :
- En l’absence de données sur le passage de l’époprosténol dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé lors du traitement par ce médicament.
- Sepsis (Fréquent)
- Septicémie (Fréquent)
- Thrombopénie (Fréquent)
- Hémorragie (Fréquent)
- Hyperglycémie
- Anxiété (Fréquent)
- Nervosité (Fréquent)
- Agitation
- Céphalée (Très fréquent)
- Tachycardie (Fréquent)
- Bradycardie
- Hypotension orthostatique
- Hypotension artérielle
- Bouffée vasomotrice (Très fréquent)
- Nausée (Très fréquent)
- Vomissement (Très fréquent)
- Diarrhée (Très fréquent)
- Colique abdominale (Fréquent)
- Gêne abdominale
- Eruption cutanée (Fréquent)
- Photosensibilisation
- Douleur buccofaciale (Très fréquent)
- Douleur thoracique (Fréquent)
- Douleur articulaire (Fréquent)
- Douleur des membres inférieurs
- Douleur (Très fréquent)
- Oedème des membres inférieurs (Fréquent)
- Douleur au point d’injection (Fréquent)
- Infection locale (Rare)
- Sensation d’oppression thoracique (Très rare)
- Erythème au site d’application (Très rare)
- Thrombose du cathéter (Très rare)
- Lassitude (Très rare)
- Syndrome pseudogrippal
- Gêne respiratoire
- Sensation de vertige
- Vertige
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Classement ATC :
NON RENSEIGNE
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Classement Vidal :
Hypertension artérielle pulmonaire : époprosténol
Liste I
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CIP : 5776797 (EPOPROSTENOL PANPHARMA 1,5 mg pdre/solv p sol inj : 1Fl/50ml).
- Disponibilité : hôpitaux
Agréé aux collectivités
Panpharma
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