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TENDOL 1 % gel







gel
par 100 g
diclofénac diéthylamine1,16 g
  Soit diclofénac sodique1 g
Excipients : diéthylamine, carbomère 974 P, cétomacrogol 1000, esters d’acides caprylique et caprique avec alcool gras de C12 à C18, alcool isopropylique, paraffine liquide, propylèneglycol, eau purifiée.

Traitement local de courte durée, chez l’adulte et l’enfant de plus de 15 ans, en cas de traumatisme bénin : entorses (foulure), contusion.


Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 15 ans.
  • Posologie
    1 application, 3 fois par jour.
  • Durée de traitement
    La durée de traitement est limitée à 4 jours.Mode d’administration
    Voie locale. USAGE EXTERNE.
  • Faire pénétrer le gel par un massage doux et prolongé sur la région douloureuse ou inflammatoire.
  • Bien se laver les mains après chaque utilisation.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
    • Hypersensibilité aux AINS
    • Hypersensibilité aux salicylés
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Grossesse, 4 derniers mois (de la)
    • Dermatose suintante au point d’application
    • Eczéma
    • Lésion infectée
    • Brûlure
    • Plaie
    • Application sur les muqueuses
    • Application oculaire

    • Ne pas mettre en contact avec les muqueuses
    • Ne pas mettre en contact avec l’oeil
    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      L’apparition d’une éruption après application impose l’arrêt immédiat du traitement.
    • Risque d’irritation cutanée
      Ce médicament contient du propylèneglycol et peut provoquer des irritations cutanées.
    • Ne pas utiliser sous pansement occlusif
      Ce médicament ne doit pas être utilisé sous pansement occlusif.
    • Durée du traitement limitée à 4 jours
    • Réservé à l’adulte
    • Information du patient : se laver les mains avant et après application

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    (par extrapolation avec les autres voies d’administration)
    L’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon ou du fœtus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1%, à approximativement 1.5 %. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l’animal, il a été montré que l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-fœtale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d’organogénèse de la gestation. Sauf nécessité absolue, le diclofénac ne doit donc pas être prescrit au cours des 24 premières semaines d’aménorrhée (5 mois de grossesse révolus).
  • Si le diclofénac est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de six mois, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible.
  • Au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus), tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à :
    – une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire).
  • – un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligohydramnios.
  • En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :
    – un allongement du temps de saignement du fait d’une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ;
    – une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé.
  • En conséquence, le diclofénac est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus).
  •  Allaitement :

    (par extrapolation avec les autres voies d’administration)
    Le diclofénac comme tous les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Si la situation impose son utilisation, le diclofénac gel ne doit pas être appliqué sur les seins chez les mères qui allaitent.

    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Eczéma (Fréquent)
    • Erythème cutané (Fréquent)
    • Dermatite de contact (Fréquent)
    • Dermatose bulleuse (Rare)
    • Prurit (Rare)
    • Eruption pustuleuse (Très rare)
    • Urticaire (Très rare)
    • Purpura (Très rare)
    • Ulcère cutané (Très rare)
    • Oedème de Quincke (Cas isolés)
    • Crise d’asthme (Très rare)
    • Photosensibilisation (Cas isolés)
    • Effets systémiques

    • Classement ATC : 
          M02AA15 / DICLOFENAC
    • Classement Vidal : 
          Topique anti-inflammatoire : diclofénac

    • CIP : 3172664 (TENDOL 1 % gel : T/50g).
    • Disponibilité : officines
      Non remboursé


    Nepenthes


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