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SOMAVERT®


pegvisomant

FORMES et PRÉSENTATIONS

Poudre (blanche à légèrement blanche) et solvant pour solution injectable (SC) à 10 mg ou à 15 mg :  Flacons de poudre + flacons de 8 ml de solvant, boîtes de 30.
  • Poudre (blanche à légèrement blanche) et solvant pour solution injectable (SC) à 20 mg :  Flacons de poudre + flacons de 8 ml de solvant, boîtes de 1 ou de 30.


  • COMPOSITION

     p ml*
    Pegvisomant** (DCI) 
    10 mg
    ou15 mg
    ou20 mg
    Excipients (communs) : glycine, mannitol (E 421), phosphate disodique anhydre, phosphate monosodique monohydraté.

    Solvant : eau ppi.


    *  de solution reconstituée

    **  produit dans Escherichia coli par la technique de l’ADN recombinant

    INDICATIONS

    Traitement de l’acromégalie chez des patients qui ont eu une réponse insuffisante à la chirurgie et/ou la radiothérapie et chez lesquels un traitement médical approprié par les analogues de la somatostatine n’a pas normalisé les concentrations en IGF-I ou n’a pas été toléré.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Le traitement doit être initié sous la surveillance d’un médecin expérimenté dans le traitement de l’acromégalie.
  • Pour les différents schémas posologiques, les dosages suivants sont disponibles : Somavert 10 mg, Somavert 15 mg et Somavert 20 mg.
  • Pour les instructions de préparation, cf Modalités manipulation/Élimination.
  • Une dose de charge de 80 mg de pegvisomant devra être administrée par voie sous-cutanée sous contrôle médical. Ensuite, Somavert 10 mg reconstitué dans 1 ml de solvant devra être administré une fois par jour par voie sous-cutanée.
  • Le site d’injection doit être alterné quotidiennement afin de prévenir la survenue de lipohypertrophie.
  • L’ajustement de dose devra être basé sur les taux sériques d’IGF-I. Les concentrations sériques d’IGF-I doivent être mesurées toutes les quatre à six semaines, et une adaptation appropriée des doses doit être faite par paliers de 5 mg/jour de façon à maintenir la concentration d’IGF-I sérique dans la fourchette normale correspondant à l’âge du patient et à maintenir une réponse thérapeutique optimale.
  • La dose maximale ne doit pas dépasser 30 mg/jour.
  • Coût du traitement journalier : 110,73 euro(s) (pour une posologie moyenne de 15 mg/jour).
    Patient âgé :
    Aucune adaptation de dose n’est nécessaire.
    Enfant :
    Il n’y a pas d’expérience chez l’enfant.
    Patient présentant une insuffisance rénale ou hépatique :
    La tolérance et l’efficacité de Somavert chez les patients ayant une insuffisance rénale ou hépatique n’ont pas été établies.

    CONTRE-INDICATIONS

    Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients.

  • MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    Les tumeurs pituitaires sécrétant de l’hormone de croissance peuvent parfois se développer, entraînant des complications graves (par exemple, altérations du champ visuel). Le traitement par Somavert ne réduit pas la taille de la tumeur. Tous les patients ayant ce type de tumeur doivent faire l’objet d’une surveillance attentive afin d’éviter toute augmentation de la taille de celle-ci lors du traitement.
  • Somavert est un antagoniste puissant de l’hormone de croissance. L’administration de Somavert peut entraîner un tableau de déficit en hormone de croissance, malgré la présence de taux sériques élevés d’hormone de croissance. Les concentrations d’IGF-I sériques doivent être surveillées et maintenues dans la fourchette normale correspondant à l’âge du patient en adaptant la posologie de Somavert.
  • Les concentrations sériques d’alanine aminotransférase (ALAT) et d’aspartate aminotransférase (ASAT) doivent être surveillées à des intervalles de quatre à six semaines pendant les six premiers mois de traitement par Somavert, ou à tout moment chez les patients présentant des symptômes d’hépatite. En cas d’augmentation des concentrations d’ALAT et d’ASAT ou en cas d’antécédents de traitement par tout analogue de la somatostatine, il faudra éliminer une pathologie obstructive des voies biliaires.
  • L’administration de Somavert devra être arrêtée si les signes de maladie du foie persistent.
  • L’étude conduite avec Somavert chez les patients diabétiques traités par insuline ou par hypoglycémiants oraux a révélé un risque d’hypoglycémie dans cette population.
  • En conséquence, chez les patients acromégales et diabétiques, une réduction des doses d’insuline ou d’hypoglycémiants oraux pourra être nécessaire (cf Interactions).
  • Les bénéfices thérapeutiques d’une réduction de la concentration d’IGF-I, conduisant à une amélioration des conditions cliniques des patients, peuvent potentiellement accroître la fertilité des patientes. Les patientes doivent être conseillées pour qu’elles utilisent des moyens de contraception adéquats si nécessaire. Somavert n’est pas recommandé pendant la grossesse (cf Grossesse/Allaitement).

  • INTERACTIONS

    Aucune étude d’interaction n’a été réalisée. La poursuite du traitement avec les analogues de la somatostatine devra être évaluée. L’utilisation de Somavert en association avec d’autres médicaments pour le traitement de l’acromégalie n’a pas été étudiée de façon approfondie.
  • Il est possible que les patients recevant de l’insuline ou des hypoglycémiants oraux nécessitent une réduction des doses de ces substances actives en raison de l’effet du pegvisomant sur la sensibilité à l’insuline (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Une analogie structurelle importante de Somavert avec l’hormone de croissance est à l’origine de réactions croisées avec les dosages d’hormone de croissance disponibles sur le marché. Les concentrations sériques thérapeutiques efficaces de Somavert étant généralement 100 à 1000 fois supérieures à celles de l’hormone de croissance naturelle observées en cas d’acromégalie, les mesures de concentrations sériques d’hormone de croissance avec les dosages disponibles sur le marché seront faussées. La surveillance ou l’adaptation d’un traitement par Somavert ne devra donc pas s’appuyer sur les concentrations sériques d’hormone de croissance déterminées avec ces dosages.

  • GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :

    Il n’existe pas de données sur l’utilisation de pegvisomant chez la femme enceinte.

    Les études réalisées chez l’animal ne sont pas suffisantes au regard des effets sur la grossesse, le développement embryofoetal, la parturition et le développement postnatal (cf Sécurité préclinique).

    Le risque potentiel chez l’humain est inconnu.

    Somavert ne doit pas être utilisé pendant la grossesse à moins d’une nécessité absolue (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).


    Allaitement :

    L’excrétion du pegvisomant dans le lait maternel n’a pas été étudiée chez l’animal. Les données cliniques sont trop limitées (un cas rapporté) pour conclure à l’excrétion de pegvisomant dans le lait maternel humain. Par conséquent, Somavert ne devra pas être utilisé chez les femmes qui allaitent. Toutefois, l’allaitement peut être continué si Somavert est arrêté : cette décision devra prendre en compte le bénéfice du traitement par Somavert pour la mère et le bénéfice de l’allaitement pour l’enfant.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    La liste ci-dessous contient des effets indésirables observés lors des essais cliniques.
  • Au cours des études cliniques, chez les patients traités par pegvisomant (n = 160), la plupart des effets indésirables était d’une intensité légère à modérée, d’une durée limitée et n’a pas nécessité l’arrêt du traitement.
  • Au cours des études cliniques, les effets indésirables le plus fréquemment observés et considérés comme liés au traitement par Somavert chez plus de 5 % des patients acromégales ont été les suivants : réactions au point d’injection (11 %), sudation (7 %), céphalées (6 %) et asthénie (6 %).
  • Les effets secondaires sont listés selon les catégories suivantes : très fréquent (>= 1/10), fréquent (>= 1/100 à < 1/10), peu fréquent (>= 1/1000 à < 1/100).
    Affections hématologiques et du système lymphatique :
    • Peu fréquent : thrombocytopénie, leucopénie, leucocytose, tendance à l’hémorragie.
    Affections du système nerveux :
    • Fréquent : céphalées, étourdissement, somnolence, tremblements.
    • Peu fréquent : hypoesthésie, dysgueusie, migraine, narcolepsie.
    Affections oculaires :
    • Peu fréquent : fatigue oculaire, douleur oculaire.
    Affections de l’oreille et du labyrinthe :
    • Peu fréquent : syndrome de Ménière.
    Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
    • Peu fréquent : dyspnée.
    Affections gastro-intestinales :
    • Fréquent : diarrhée, constipation, nausées, vomissements, météorisme abdominal, dyspepsie, flatulence.
    • Peu fréquent : bouche sèche, hémorroïdes, sialorrhée, troubles dentaires.
    Affections du rein et des voies urinaires :
    • Peu fréquent : hématurie, protéinurie, polyurie, insuffisance rénale.
    Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
    • Fréquent : sudation, prurit, rash.
    • Peu fréquent : oedème facial, peau sèche, contusion, tendance à l’ecchymose, sudation nocturne.
    Affections musculo-squelettiques et systémiques :
    • Fréquent : arthralgie, myalgie, tuméfactions périphériques.
    • Peu fréquent : arthrite.
    Troubles du métabolisme et de la nutrition :
    • Fréquent : hypercholestérolémie, prise de poids, hyperglycémie, sensation de faim.
    • Peu fréquent : hypertriglycéridémie, hypoglycémie.
    Affections vasculaires :
    • Fréquent : hypertension.
    Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
    • Fréquent : syndrome pseudogrippal, fatigue, ecchymose ou hémorragie au niveau du site d’injection, réaction au niveau du site d’injection (incluant une hypersensibilité au niveau du site d’injection), hypertrophie au niveau du site d’injection (par exemple une lipohypertrophie)*.
    • Peu fréquent : oedème des membres inférieurs, fièvre, faiblesse, asthénie, sensations anormales, trouble de la cicatrisation, oedèmes périphériques.
    Affections hépato-biliaires :
    • Fréquent : tests fonctionnels hépatiques anormaux (par exemple : élévation des transaminases) : cf Mises en garde/Précautions d’emploi.
    Affections psychiatriques :
    • Fréquent : perturbations des rêves, troubles du sommeil.
    • Peu fréquent : colère, apathie, confusion, augmentation de la libido, crise de panique, perte de la mémoire immédiate.
    *  Voir les Informations complémentaires ci-dessous.
  • Informations complémentaires :
    La plupart des réactions au niveau du site d’injection, caractérisées par des érythèmes et une douleur localisés, se résolvent spontanément avec un traitement symptomatique local, sans arrêt du traitement par Somavert. La survenue d’hypertrophies au niveau du site d’injection, incluant une lipohypertrophie, a été observée.
    Le développement d’anticorps isolés anti-hormone de croissance à une faible concentration a été observé chez 16,9 % des patients traités par Somavert. La signification clinique de ces anticorps est inconnue.

    SURDOSAGE

    L’expérience d’un surdosage avec Somavert est limitée. Un seul cas de surdosage aigu a été rapporté pour lequel un patient, ayant reçu 80 mg/jour pendant 7 jours, a présenté un léger surcroît de fatigue et une sécheresse de la bouche. Dans la semaine suivant l’arrêt du traitement, on a noté les effets indésirables suivants : insomnie, surcroît de fatigue, oedème du pied localisé, tremblements fins et prise de poids. Deux semaines après arrêt du traitement, une leucocytose et une hémorragie modérée au niveau des sites d’injection ou de ponction veineuse ont été observées, qui peuvent être considérées imputables à Somavert.
  • En cas de surdosage, l’administration de Somavert doit être interrompue et ne doit pas être reprise avant que les taux d’IGF-I ne soient revenus dans la fourchette normale ou au-dessus de celle-ci.

  • PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : autres hormones de l’anté-hypophyse et analogues (code ATC : H01AX01).

    Le pegvisomant est un analogue de l’hormone de croissance humaine modifié par génie génétique pour être un antagoniste du récepteur de l’hormone de croissance.

    Le pegvisomant se lie aux récepteurs membranaires de l’hormone de croissance où il bloque la liaison de l’hormone de croissance et interfère par conséquent avec la transduction intracellulaire des signaux de l’hormone de croissance. Le pegvisomant est hautement sélectif pour le récepteur de l’hormone de croissance et n’interagit pas avec les récepteurs d’autres cytokines, dont la prolactine. L’inhibition de l’action de l’hormone de croissance par le pegvisomant entraîne une baisse des concentrations sériques moyennes de l’IGF-I (Insulin-like Growth Factor-I), ainsi que celles des autres protéines sériques stimulées par l’hormone de croissance telles que l’IGF-I libre, la sous-unité acide-labile de l’IGF-I (ALS) et l’IGFBP-3 (Insulin-like Growth Factor Binding Protein-3).

    Des patients acromégales (n = 112) ont été traités au cours d’une étude comparative pegvisomant versus placebo, multicentrique, randomisée, en double aveugle d’une durée de 12 semaines. Des réductions dose-dépendantes, statistiquement significatives des valeurs moyennes d’IGF-I (p < 0,0001), d’IGF-I libre (p < 0,05), d’IGFBP-3 (p < 0,05) et d’ALS (p < 0,05) ont été observées au cours de toutes les visites suivant l’inclusion dans les groupes traités par pegvisomant. La concentration d’IGF-I s’est normalisée à la fin de cette étude (semaine 12) chez 9,7 %, 38,5 %, 75 % et 82 % des sujets traités par placebo et par 10 mg/jour, 15 mg/jour ou 20 mg/jour de pegvisomant respectivement.

    Des différences statistiquement significatives par rapport au placebo (p < 0,05) ont été observées pour l’amélioration du score total des signes et symptômes.

    Un groupe de 38 sujets acromégales a été suivi dans le cadre d’une étude en ouvert, à long terme, avec titration, pendant au moins 12 mois consécutifs de traitement quotidien par pegvisomant (moyenne =  55 semaines). Dans cette cohorte, la concentration moyenne d’IGF-I est passée de 917 ng/ml à 299 ng/ml, 92 % des patients ayant atteint une concentration d’IGF-I (ajustée en fonction de l’âge) normale.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Après administration sous-cutanée, l’absorption de pegvisomant est lente et prolongée ; les pics de concentration sérique ne sont généralement pas atteints avant 33-77 heures suivant l’administration. L’absorption moyenne d’une dose sous-cutanée est de 57 % par rapport à une dose intraveineuse.

    Le volume apparent de distribution du pegvisomant est relativement faible (7 à 12 l). La clairance systémique totale moyenne du pegvisomant après administration répétée est estimée à 28 ml/h pour des doses sous-cutanées de 10 à 20 mg/jour. La clairance rénale du pegvisomant est négligeable et participe pour moins de 1 % à la clairance totale. Le pegvisomant s’élimine lentement du sérum, avec une demi-vie moyenne variant en général de 74 à 172 heures après administration unique ou répétée.

    Le métabolisme du pegvisomant n’a pas été étudié.

    Après une seule injection sous cutanée de pegvisomant, on n’observe pas de linéarité avec des doses croissantes de 10, 15 ou 20 mg. Une cinétique proche de la linéarité, à l’état d’équilibre, est observée dans les études de pharmacocinétique.

    Les données provenant de 2 études à long terme, sur 145 patients ayant reçu des doses journalières de 10, 15 ou 20 mg montrent que les concentrations sériques moyennes de pegvisomant (± DS) sont approximativement de 8800 ± 6300, 13 200 ± 8000 et 15 600 ± 10 300 ng/ml, respectivement.

    Les propriétés pharmacocinétiques du pegvisomant sont similaires chez les volontaires sains normaux et chez les patients acromégales. Toutefois, les sujets ayant une surcharge pondérale ont tendance à présenter une clairance totale du pegvisomant supérieure à celle des sujets plus légers, et peuvent par conséquent nécessiter des doses de pegvisomant plus importantes.

    Aucune donnée pharmacocinétique portant sur des populations spécifiques (enfants, insuffisants rénaux et hépatiques) n’est disponible.


    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Les données non cliniques issues des études de toxicologie en administration répétée chez le rat et chez le singe n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme. Cependant, du fait de la réponse pharmacologique marquée chez le singe, les expositions systémiques supérieures à celles atteintes chez les patients traités à doses thérapeutiques n’ont pas été étudiées. Excepté un test du segment II chez le lapin, aucune autre étude de toxicité sur la fonction de reproduction n’a été conduite.

    Dans l’étude de carcinogenèse chez le rat, des histiocytomes fibreux malins, associés à une fibrose et à une inflammation histiocytaire, ont été observés aux sites d’injection chez les mâles, et ce, à des niveaux d’exposition trois fois supérieurs à l’exposition chez l’homme sur la base des concentrations plasmatiques moyennes obtenues lors de deux études au long terme à une dose journalière de 30 mg. La pertinence clinique de cette observation pour l’homme n’est pas connue.


    INCOMPATIBILITÉS

    Ce médicament ne doit pas être mélangé à d’autres médicaments à l’exception de ceux mentionnés dans la rubrique Modalités manipulation/Élimination.


    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    3 ans.

    A conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C). Ne pas congeler. Conserver le conditionnement primaire dans l’emballage extérieur à l’abri de la lumière.

    Après reconstitution : à utiliser immédiatement.


    MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

    Reconstituer avec 1 ml de solvant.

    Ajouter du solvant dans le flacon contenant la poudre pour solution injectable. Dissoudre délicatement la poudre par un mouvement de rotation lent. Ne pas secouer vigoureusement car cela pourrait dénaturer la substance active.

    Après reconstitution, si la solution est trouble ou contient des particules en suspension, le produit doit être détruit.

    Pour usage unique. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    Prescription initiale hospitalière annuelle réservée aux spécialistes et services spécialisés en endocrinologie ou médecine interne.
    Renouvellement non restreint.
    AMMEU/1/02/240/001 ; CIP 3400936078376 (RCP rév 25.01.2010) 10 mg × 30.
    EU/1/02/240/002 ; CIP 3400936078437 (RCP rév 25.01.2010) 15 mg × 30.
    EU/1/02/240/003 ; CIP 3400936118102 (RCP rév 25.01.2010) 20 mg × 30.
    EU/1/02/240/004 ; CIP 3400936225060 (RCP rév 25.01.2010) 20 mg × 1.
      
    Prix :2223.15 euros (30 flacons à 10 mg).
    3321.90 euros (30 flacons à 15 mg).
    4420.65 euros (30 flacons à 20 mg).
    165.54 euros (1 flacon à 20 mg).
    Remb Séc soc à 100 %. Collect.


    PFIZER
    23-25, av du Dr-Lannelongue. 75014 Paris
    Tél : 01 58 07 30 00
    Info médic : Tél : 01 58 07 34 40

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