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FORMOAIR®

formotérol

FORMES et PRÉSENTATIONS

Solution pour inhalation à 12 µg/dose :  Flacon pressurisé de 100 doses, avec valve doseuse, système d’activation et capuchon protecteur.


  • COMPOSITION

     p dose mesurée*
    Formotérol (DCI) fumarate dihydraté 
    12 µg
    Excipients : norflurane, éthanol anhydre, acide chlorhydrique. * La dose délivrée à l’embout buccal est de 10,1 µg.

  • INDICATIONS

    • Traitement symptomatique continu de l’asthme persistant, modéré à sévère, chez les patients nécessitant la prise quotidienne de bronchodilatateurs ; en association avec un traitement anti-inflammatoire continu (glucocorticoïdes inhalés et/ou oraux).
    • La corticothérapie associée devra être maintenue en prises régulières.
    • Traitement symptomatique de l’obstruction bronchique au cours de la bronchopneumopathie chronique obstructive.

    POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    La posologie est fonction de la sévérité de la maladie.
  • Le médicament ne devra pas être utilisé plus de 3 mois après la date de dispensation au patient par le pharmacien (cf Conditions de conservation).
  • Bien que Formoair agisse rapidement, c’est un bronchodilatateur inhalé de longue durée d’action et il doit, par conséquent, être réservé au traitement régulier continu.
  • Posologie :
    Dans le traitement de l’asthme :
    Adultes (y compris les sujets âgés) et adolescents âgés de 12 ans et plus :
    • Dose usuelle : 1 bouffée matin et soir (soit 24 µg de fumarate de formotérol dihydraté par jour).
    • Dans les cas sévères : jusqu’à 2 bouffées matin et soir au maximum (soit 48 µg de fumarate de formotérol dihydraté par jour).
    La dose journalière maximale est de 4 bouffées (48 µg de fumarate de formotérol dihydraté).
    Formoair ne constitue pas le traitement de la crise d’asthme aiguë.
    Pour le traitement des crises aiguës d’asthme, il est recommandé d’avoir recours à un bronchodilatateur bêta-2 mimétique par voie inhalée de courte durée d’action.
    Les patients devront être avertis de ne pas arrêter ou modifier leur corticothérapie lors de l’instauration du traitement par Formoair.
    La persistance ou l’augmentation des symptômes ou leur contrôle insuffisant avec les doses recommandées de Formoair témoignent d’une instabilité de la maladie sous-jacente.
    Bronchopneumopathie chronique obstructive :
    Adultes (âgés de 18 ans et plus) :
    • Dose usuelle : 1 inhalation 2 fois par jour (1 inhalation le matin et une inhalation le soir, soit 24 µg de fumarate de formotérol par jour).
    En traitement continu, la dose journalière ne doit pas dépasser 2 inhalations.
    Si besoin, des inhalations supplémentaires peuvent néanmoins être prises occasionnellement pour soulager les symptômes, sans toutefois dépasser une dose totale maximum de 4 inhalations par jour (traitement continu et inhalations supplémentaires comprises). Ne pas dépasser plus de 2 inhalations à chaque prise.
    Insuffisance hépatique et rénale :
    Il n’a pas été réalisé d’étude clinique dans ces populations, néanmoins les données existantes ne suggèrent pas la nécessité d’un ajustement de la posologie en cas d’insuffisance rénale ou hépatique.

    Mode d’administration :

    Afin de limiter le risque d’erreur de manipulation du dispositif par le patient, il est utile que le médecin ou un professionnel de santé s’assure que celui-ci utilise correctement l’inhalateur.

    Avant la première utilisation de l’inhalateur et après trois jours ou plus de non-utilisation, une bouffée sera libérée dans l’air pour assurer le bon fonctionnement du dispositif.

    Dans la mesure du possible, les patients doivent être en position verticale, debout ou assis, quand ils actionnent l’inhalateur.

    1. Retirer le capuchon protecteur de l’embout buccal.
    2. Expirer hors du dispositif aussi profondément que possible.
    3. Tenir la cartouche verticalement, en dirigeant le fond vers le haut, et introduire l’embout buccal entre les lèvres bien serrées.
    4. Inspirer profondément par la bouche tout en appuyant sur le fond de la cartouche (en haut) afin de libérer une bouffée.
    5. Retenir son souffle aussi longtemps que possible sans effort et, pour terminer, retirer l’inhalateur de la bouche.

    Si une autre bouffée doit être inhalée, maintenir l’inhalateur en position verticale pendant environ 30 secondes, puis répéter les étapes 2 à 5.

    Toujours refermer après emploi à l’aide du capuchon protecteur.

    Important : les étapes 2 à 4 ne doivent pas être effectuées trop rapidement.

    Si une partie du gaz s’échappe de la partie supérieure de l’inhalateur ou du côté de l’embout buccal, recommencer à partir de l’étape 2.

    Chez les patients dont la capacité de préhension est défaillante, l’inhalateur sera tenu avec les deux mains. Dans ce cas, la partie supérieure de l’inhalateur sera maintenue entre les deux index et la partie inférieure entre les deux pouces.

    En cas de difficulté pour le patient de synchroniser l’inspiration avec le déclenchement de l’appareil, une chambre d’inhalation devra être utilisée. Néanmoins, aucune donnée clinique n’est disponible concernant l’emploi de Formoair avec une chambre d’inhalation.


    CONTRE-INDICATIONS

    Hypersensibilité (allergie) connue au principe actif ou à l’un de ses excipients.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    • Les posologies recommandées devront être respectées (cf Posologie/Mode d’administration). Le patient devra être informé que, si les symptômes ne régressent pas de façon satisfaisante ou si l’état clinique se détériore malgré les doses prescrites, une nouvelle consultation médicale est nécessaire afin de réévaluer la posologie et envisager, si besoin, un traitement additionnel.
    • Un avis médical urgent est requis en cas d’aggravation rapide ou brutale de l’asthme car le pronostic vital peut être engagé à court terme.
    • L’utilisation de doses unitaires ou quotidiennes significativement plus élevées que celles préconisées devra être évitée en raison de la possibilité d’un retentissement délétère au niveau cardiaque (arythmies, augmentation de la pression artérielle) et de l’apparition de troubles électrolytiques.
    • En l’absence d’expérience clinique suffisante, Formoair n’est pas recommandé chez l’enfant.
    Pathologies associées :
    Formoair sera utilisé avec prudence et dans le respect de ses indications chez les patients présentant un bloc auriculoventriculaire du troisième degré, une sténose aortique sous-valvulaire idiopathique, une cardiomyopathie obstructive, un allongement de l’intervalle QT, qu’il soit congénital ou iatrogène (QTc > 0,44 sec), une thyréotoxicose, une cardiopathie grave, en particulier infarctus du myocarde, maladie coronarienne, insuffisance cardiaque congestive, une vasculopathie oblitérante, en particulier artériosclérose, hypertension artérielle systémique ou anévrisme, une hyperthyroïdie, un diabète réfractaire ou un phéochromocytome.
    Chez les patients présentant des troubles du rythme cardiaque à type de tachycardie et/ou d’arythmie, Formoair sera utilisé avec des précautions particulières (par exemple monitoring).
    L’inhalation de fortes doses de formotérol peut provoquer une augmentation de la glycémie. Celle-ci devra donc être étroitement surveillée chez les sujets diabétiques.
    Formoair ne devra pas être administré dans les 12 heures minimum précédant une anesthésie aux anesthésiques halogénés.
    Bronchospasme paradoxal :
    Comme avec tout médicament administré par voie inhalée, un bronchospasme paradoxal est possible, dans de rares cas. Le traitement devra alors être immédiatement interrompu et la conduite thérapeutique devra être réévaluée par le médecin.
    Hypokaliémie :
    Le formotérol est susceptible d’induire une baisse de la kaliémie plus importante que les bêta-2 sympathomimétiques de courte durée d’action (tels que le salbutamol). Chez les sujets présentant des taux plasmatiques de potassium initialement faibles ou des facteurs de risques associés, la kaliémie sera dosée régulièrement. Cette recommandation vaut même en l’absence d’antécédent d’hypokaliémie lors de traitements antérieurs. Une supplémentation en potassium devra être envisagée si besoin.
    Les risques liés à une hypokaliémie sont majorés chez les sujets présentant un asthme sévère et recevant des traitements concomitants à base de théophylline ou ses dérivés, des corticoïdes et/ou des diurétiques. Le retentissement des digitaliques est accentué par la baisse de la kaliémie.
    L’hypoxie pouvant survenir au cours de l’asthme aigu sévère majore les risques liés à une hypokaliémie associée.

    INTERACTIONS

    Les médicaments à base de quinidine, disopyramide, procaïnamide, phénothiazines, les antihistaminiques et les antidépresseurs tricycliques peuvent provoquer un allongement de l’intervalle QT et augmenter le risque de troubles du rythme ventriculaire (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • L’administration concomitante d’autres sympathomimétiques peut potentialiser les effets indésirables de Formoair.
  • L’administration concomitante de formotérol et de théophylline potentialise le risque de survenue d’effets indésirables tels que les troubles du rythme. Les substances ayant une activité sympathomimétique intrinsèque, comme la L-dopa, la L-thyroxine, l’ocytocine ou l’alcool, peuvent également interférer sur le système de régulation autonome lorsqu’elles sont administrées en même temps que le formotérol.
  • La prudence est requise en cas d’association simultanée de Formoair avec les inhibiteurs de la monoamine oxydase ou les antidépresseurs tricycliques, en raison du risque de potentialisation des effets bêta-2 adrénergiques sur le système cardiovasculaire.
  • L’administration concomitante des dérivés de la xanthine, des corticoïdes ou des diurétiques peut potentialiser l’effet hypokaliémiant des bêta-2 agonistes. L’hypokaliémie favorise le risque d’arythmies cardiaques chez les patients traités par des digitaliques (cf  Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • Les bêtabloquants antagonisent les effets bêta-stimulants de Formoair et ne devront donc pas, sauf nécessité absolue, être administrés en même temps (y compris sous forme de collyre).

  • GROSSESSE et ALLAITEMENT

    L’expérience acquise en clinique chez la femme enceinte avec le formotérol est insuffisante. Bien que les études animales n’aient pas mis en évidence d’effets embryotoxiques ou tératogènes, l’utilisation du formotérol pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre, ne sera envisagée qu’en cas de nécessité absolue.
  • En raison de l’effet tocolytique bien connu des bêta-2 mimétiques, le rapport bénéfice/risque devra être soigneusement pesé avant d’administrer Formoair dans les jours précédant l’accouchement.
  • Chez l’animal, le formotérol a été retrouvé dans le lait, mais son passage dans le lait maternel humain n’est pas connu. L’allaitement n’est donc pas recommandé pendant le traitement par formotérol.

  • CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Un effet quelconque de Formoair sur l’aptitude à conduire les véhicules et à utiliser les machines est peu probable.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    La fréquence des réactions indésirables a été classée comme suit : fréquent (> 1/100, < 1/10), peu fréquent (> 1/1000, < 1/100), rare (> 1/10 000, < 1/1000), très rare (< 1/10 000) y compris cas isolés.
  • Affections hématologiques et du système lymphoïde :
    • Très rare, y compris cas isolés : thrombopénie.
    Affections cardiaques :
    • Fréquent : palpitations.
    • Peu fréquent : tachycardie, tachyarythmie.
    • Rare : extrasystoles ventriculaires, angor.
    • Très rare, y compris cas isolés : fibrillation auriculaire.
    Affections gastro-intestinales :
    • Peu fréquent : nausées, dysgueusie.
    Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
    • Très rare, y compris cas isolés : oedème périphérique.
    Affections du système immunitaire :
    • Rare : oedème de Quincke.
    Anomalies des tests et examens d’explorations :
    • Peu fréquent : augmentation de l’insulinémie, du taux sanguin d’acides gras libres et du taux sanguin de cétones.
    • Rare : augmentation ou diminution de la pression artérielle.
    Troubles du métabolisme et de la nutrition :
    • Peu fréquent : hypokaliémie, hyperglycémie.
    Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif :
    • Peu fréquent : crampes musculaires, myalgies.
    Affections du système nerveux :
    • Fréquent : tremblement, céphalées.
    • Peu fréquent : agitation, sensations vertigineuses.
    • Très rare, y compris cas isolés : des effets stimulants sur le SNC ont été signalés de façon sporadique après l’inhalation de bêta-2 sympathomimétiques ; ces effets se manifestent par une hyperexcitabilité. Ils ont essentiellement été observés chez des enfants de moins de 12 ans.
    Affections psychiatriques :
    • Très rare, y compris cas isolés : anomalie du comportement, troubles du sommeil, hallucinations.
    Affections rénales et urinaires :
    • Rare : néphrite.
    Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
    • Fréquent : toux.
    • Peu fréquent : irritation de la gorge.
    • Rare : bronchospasme paradoxal.
    • Très rare, y compris cas isolés : dyspnée, exacerbation de l’asthme.
    Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
    • Peu fréquent : prurit, exanthème, hyperhidrose.
    • Rare : urticaire.
    Tremblement, nausées, dysgueusie, irritation de la gorge, hyperhidrose, agitation, maux de tête, sensations vertigineuses et crampes musculaires peuvent disparaître spontanément au bout de 1 à 2 semaines de traitement.

  • SURDOSAGE

    Il n’y a pas d’expérience clinique sur les modalités de traitement d’un surdosage, mais les signes cliniques en sont une augmentation des effets agonistes bêta-2 adrénergiques : nausées, vomissements, céphalées, tremblements, somnolence, palpitations, tachycardie, arythmies ventriculaires, acidose métabolique, hypokaliémie et hyperglycémie.
  • Traitement du surdosage :
    Surveillance et traitement symptomatique. L’hospitalisation sera envisagée dans les cas graves.
    L’emploi de bêtabloquants cardiosélectifs est envisageable mais avec une extrême prudence du fait du risque de bronchoconstriction qu’ils induisent. Une surveillance de la kaliémie est recommandée.

    PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : adrénergiques par voie inhalée , agonistes bêta-2 adrénergiques sélectifs (code ATC : R03AC13).

    Le formotérol est un bêta-2 stimulant sélectif. Il exerce un effet bronchodilatateur chez les patients présentant un syndrome respiratoire obstructif réversible. Après inhalation d’une dose unique, l’effet bronchodilatateur apparaît dans un délai de 1 à 3 minutes. Un effet marqué sur la bronchodilatation persiste encore dans les 12 heures suivant l’inhalation. Chez l’homme, le formotérol a montré son efficacité dans la prévention du bronchospasme induit par la métacholine.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Comme avec les autres substances administrées par voie inhalée, 90 % de la dose de formotérol administrée sont déglutis et absorbés au niveau du tractus gastro-intestinal. Les caractéristiques pharmacocinétiques de l’administration par voie orale peuvent ainsi être étendues à l’administration par voie inhalée. L’absorption est rapide et complète : après l’inhalation d’une dose thérapeutique (12 µg) de solution pour inhalation en flacon pressurisé de Formoair chez des asthmatiques, la concentration plasmatique maximale (Cmax) en formotérol est atteinte au bout d’environ 15 minutes, c’est-à-dire plus rapidement qu’avec une poudre pour inhalation de formotérol. D’une manière générale, il conviendra de prendre en compte le taux d’absorption lors du remplacement d’une formulation de formotérol par une autre.

    L’absorption du formotérol est linéaire après l’inhalation de 12 à 96 µg de fumarate de formotérol dihydraté.

    Les doses orales allant jusqu’à 300 µg de formotérol sont rapidement absorbées au niveau du tractus gastro-intestinal. La concentration plasmatique maximale de la molécule inchangée est atteinte au bout de 30 minutes à 1 heure. Plus de 65 % d’une dose orale de 80 microgrammes sont absorbés.

    La linéarité dose-concentration plasmatique est établie dans l’intervalle de doses administrées par voie orale allant de 20 à 300 µg.

    Du fait d’une demi-vie brève, il n’existe pas d’accumulation après administration quotidienne répétée de doses allant de 40-160 µg. Il n’a pas été mis en évidence de différence significative en fonction du sexe.

    La liaison aux protéines plasmatiques est de 61 à 64 % (albumine : 34 %) ; il n’a pas été mis en évidence de saturation des sites de fixation aux doses thérapeutiques. Le formotérol est essentiellement métabolisé par glucuronisation directe et est entièrement éliminé. Une autre voie de métabolisation consiste en une O-déméthylation suivie d’une glucuronisation puis élimination complète.

    Les iso-enzymes du CYP 450 : 2D6, 2C19, 2C9 et 2A6, sont impliqués dans le métabolisme du formotérol, et le risque d’interaction médicamenteuse cinétique reste faible. La cinétique du formotérol n’est pas modifiée après administration unique et répétée, éliminant l’éventualité d’un phénomène d’auto-induction ou inhibition du métabolisme.

    L’élimination du formotérol apparaît comme un processus en plusieurs phases interférant sur la demi-vie retrouvée en fonction du temps. Au vu des concentrations plasmatiques ou sanguines mesurées 6, 8 ou 12 heures après administration orale, la demi-vie d’élimination est estimée à 2 à 3 heures.

    La demi-vie calculée sur la base de l’excrétion rénale entre 3 et 16 heures après l’inhalation est de 5 heures.

    La substance active et ses métabolites sont entièrement éliminés, les deux tiers d’une dose orale étant éliminés dans les urines et un tiers dans les selles. Après l’inhalation de formotérol, 6 à 9 % de la dose (en moyenne) sont éliminés sous forme inchangée dans les urines. La clairance rénale du formotérol est de 150 ml/min.


    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Chez le rat et le chien, les effets du formotérol ont été observés essentiellement au niveau du système cardiovasculaire et consistaient en une accentuation des effets pharmacologiques connus avec les doses fortes d’agoniste bêta-2.

    Une légère réduction de la fertilité a été retrouvée chez les rats mâles exposés aux plus fortes doses.

    Les études menées in vitro et in vivo n’ont pas montré d’effets génotoxiques du formotérol. Chez la rate et la souris femelle, on a constaté une légère augmentation de l’incidence des léiomyomes utérins bénins. Cet effet est considéré comme un effet de classe chez les rongeurs, après une exposition prolongée à de fortes doses d’agonistes bêta-2.


    CONDITIONS DE CONSERVATION

    Pour le pharmacien :
    A conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C) pendant 15 mois au maximum.
    Après la remise au patient :
    A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C (pendant 3 mois au maximum).

    MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

    Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

    Pour les pharmacies :
    Inscrire sur la boîte la date de remise au patient.
    S’assurer qu’il y a bien au moins trois mois entre la date de remise au patient et la date de péremption imprimée sur la boîte.

    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    AMM3400936951266 (2005 rév 01.10.2007).
      
    Prix :42.45 euros (flacon 100 doses).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.


    CHIESI SA
    Imm le Doublon, bât B, 11, av Dubonnet
    92400 Courbevoie
    Tél : 01 47 68 88 99. Fax : 01 43 34 02 79
    Info médic et pharmacovigilance :
    Tél : 08 00 10 25 81

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