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BETA ADALATE gél







gélule
par 1 gélule
nifédipine20 mg
aténolol50 mg
Excipients : cellulose microcristalline, amidon de maïs, lactose monohydrate, polysorbate 80, magnésium stéarate, hypromellose, macrogol 4000, titane dioxyde, fer rouge oxyde, magnésium carbonate lourd, sodium laurylsulfate, gélatine.

Hypertension artérielle.


Une gélule par jour.
  • La plaquette thermoformée, avec identification aux jours de la semaine, permet une observance aisée du traitement. Plus rarement, si le contrôle tensionnel est insuffisant, la posologie pourra être augmentée à 1 gélule deux fois par jour.

  • Absolue(s) :
    • Asthme
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive sévère
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Choc cardiogénique
    • Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
    • Antécédent récent d’infarctus du myocarde
    • Angor instable
    • Angor de Prinzmetal
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
    • Bradycardie
    • Syndrome de Raynaud
    • Trouble circulatoire périphérique sévère
    • Phéochromocytome non traité
    • Hypotension artérielle
    • Hypersensibilité aux bêtabloquants
    • Hypersensibilité aux dihydropyridines
    • Accident allergique anaphylactique, antécédent (d’)
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Grossesse
    • Allaitement

    • Traitement à arrêter progressivement
      – Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • – Lié à l’aténolol :
      Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Asthme
      Lié à l’aténolol :
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive
      Liée à l’aténolol :
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible. Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Respecter l’indication officielle
      Liée à l’aténolol :
      Bêta-adalate ne doit pas être administré dans l’insuffisance cardiaque (l’administration progressive des doses n’étant pas possible).
    • Risque de bradycardie
      Lié à l’aténolol :
      Si la fréquence s’abaisse au dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
    • Bloc auriculoventriculaire du premier degré
      Lié à l’aténolol :
      Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
    • Angor de Prinzmetal
      Lié à l’aténolol :
      Les bêta-bloquants peuvent augmenter le nombre et la durée des crises chez les patients souffrant d’un angor de Prinzmetal. L’utilisation d’un bêta-bloquant cardiosélectif est possible, dans les formes mineures et associées, à condition d’administrer conjointement un vasodilatateur.
    • Trouble circulatoire périphérique
      Lié à l’aténolol :
      Chez les patients souffrant de troubles artériels périphériques (maladie ou syndrome de Raynaud, artérites ou artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs), les bêta-bloquants peuvent entraîner une aggravation de ces troubles. Dans ces situations, il convient de privilégier un bêta-bloquant cardiosélectif et doté d’un pouvoir agoniste partiel, que l’on administrera avec prudence.
    • Phéochromocytome
      Lié à l’aténolol :
      L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
    • Sujet âgé
      Lié à l’aténolol :
      Le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite.
    • Insuffisance rénale
      Liée à l’aténolol :
      Il convient d’adapter la posologie à l’état de la fonction rénale : en pratique, il suffit de surveiller le rythme cardiaque, de façon à diminuer les doses s’il apparaît une bradycardie excessive (< 50-55 battements/minute au repos).
    • Diabète
      Lié à l’aténolol :
      Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
    • Psoriasis
      Lié à l’aténolol :
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.
    • Sujet allergique
      Lié à l’aténolol :
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine (cf Interactions) ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Anesthésie générale
      Liée à l’aténolol :
      Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d’hypotension. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
    • – Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensiblité aux catécholamines.
    • – Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
      . chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants.
    • . en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
    • . le risque anaphylactique devra être pris en compte.
    • Hyperthyroïdie
      Liée à l’aténolol :
      Les bêta-bloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires.
    • Sportif
      Lié à l’aténolol :
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Etat hémodynamique instable
      Lié à la nifédipine :
      La prudence est recommandée chez les patients dans des conditions hémodynamiques précaires (hypovolémie, collapsus, dysfonctionnement systolique sévère du ventricule gauche, choc cardiogénique).
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
      Lié à la nifédipine :
      La nifédipine n’affecte pas la conduction cardiaque. Cependant, par référence aux autres antagonistes calciques, la prudence s’impose en cas de dysfonctionnement sinusal et d’anomalie de la conduction.
    • Trouble de la conduction cardiaque
      Liée à la nifédipine :
      La nifédipine n’affecte pas la conduction cardiaque. Cependant, par référence aux autres antagonistes calciques, la prudence s’impose en cas de dysfonctionnement sinusal et d’anomalie de la conduction.
    • Insuffisance hépatique
      Liée à la nifédipine :
      Du fait de son métabolisme hépatique, la nifédipine doit être administrée avec précaution chez les sujets insuffisants hépatiques.
    • Constipation
      Liée à la nifédipine :
      En cas de constipation sévère, il est conseillé d’administrer des lubrifiants pour éviter l’aggravation excessive de la constipation.
    • Interaction alimentaire : jus de pamplemousse
      Les dihydropyridines semblent particulièrement sensibles à l’inhibition de leur métabolisme par le jus de pamplemousse, ce qui augmente leur biodisponibilité systémique et majore leurs effets secondaires. En conséquence, ne pas administrer ce médicament avec du jus de pamplemousse.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Allaitement :

    — Lié à I’aténolol :
    Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait (cf Propriétes pharmacocinétiques).
  • Le risque de survenue d’hypoglycémie et de bradycardie n’a pas été évalué. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d’éviter de I’administrer chez la ferme qui allaite.
  • — Lié à la nifédipine :
    La nifédipine passe dans le lait maternel. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d’éviter, I’administrer chez la femme qui allaite.

    • Céphalée
      Debut du traitement.
    • Erythème facial
      Debut de traitement.
    • Bouffée vasomotrice
      Debut de traitement.
    • Oedème des membres inférieurs
      Debut de traitement.
    • Sensation de vertige
    • Hypotension artérielle
    • Asthénie
    • Hypersensibilité
    • Crampe
    • Diarrhée
    • Prurit
    • Urticaire
    • Oedème de Quincke
    • Dermatose
    • Gingivite (Rare)
    • Syndrome extrapyramidal (Exceptionnel)
    • Angor
      Debut de traitement.
    • Cholestase (Exceptionnel)
    • Transaminases (augmentation) (Exceptionnel)
    • Refroidissement des extrémités
    • Bradycardie sévère
    • Douleur épigastrique
    • Nausée
    • Vomissement
    • Impuissance
    • Bloc auriculoventriculaire
    • Bloc auriculoventriculaire (aggravation)
    • Insuffisance cardiaque
    • Bronchospasme
    • Hypoglycémie
    • Syndrome de Raynaud
    • Claudication intermittente (aggravation)
    • Eruption psoriasiforme
    • Anticorps antinucléaire (augmentation) (Rare)
    • Syndrome lupique (Exceptionnel)

    • Classement ATC : 
          C07FB03 / ATENOLOL ET AUTRES ANTIHYPERTENSEURS
    • Classement Vidal : 
          Bêtabloquant + inhibiteur calcique : aténolol + nifédipine

    Liste I
    • CIP : 3299962 (BETA ADALATE gél : B/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Bayer Santé


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