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ABBOTICINE®


érythromycine

FORMES et PRÉSENTATIONS

Granulés pour suspension buvable à 200 mg/5 ml :  Flacon contenant 22,8 g de granulés et correspondant à 60 ml de suspension reconstituée, soit 12 cuillères-mesure de 5 ml.


  • COMPOSITION

     p c mes
    Érythromycine (DCI) éthylsuccinate exprimé en érythromycine 
    200 mg
    Excipients : érythrosine (E 127), citrate de sodium dihydraté, complexe colloïdal de silicate d’aluminium et de magnésium (Veegum K), carmellose sodique, saccharine sodique, cyclamate de sodium, saccharose. Arôme : cerise.
  • Teneur en sodium : 28 mg/c mes.

    Teneur en saccharose : 1,5 g/c mes.


    INDICATIONS

    Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’érythromycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
  • Elles sont limitées aux infections sévères dues aux germes définis comme sensibles :
    • Angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, en alternative au traitement par bêtalactamines, particulièrement lorsque celui-ci ne peut être utilisé.
    • Sinusites aiguës. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqués lorsqu’un traitement par une bêtalactamine est impossible.
    • Surinfections des bronchites aiguës.
    • Exacerbations des bronchites chroniques.
    • Pneumopathies communautaires chez des sujets :
      • sans facteurs de risque,
      • sans signes de gravité clinique,
      • en l’absence d’éléments cliniques évocateurs d’une étiologie pneumococcique.
      En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqués quels que soient la gravité et le terrain.
    • Infections cutanées bénignes : impétigo, impétiginisation des dermatoses, ecthyma, dermohypodermite infectieuse (en particulier érysipèle), érythrasma, acné inflammatoire mineure à modérée et composante inflammatoire des acnés mixtes, en alternative au traitement par les cyclines, lorsque celles-ci ne peuvent être utilisées.
    • Infections stomatologiques.
    • Infections génitales non gonococciques.
    • Chimioprophylaxie des rechutes du RAA en cas d’allergie aux bêtalactamines.
    Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Voie orale.
  • Ce médicament est adapté au nourrisson et à l’enfant jusqu’à 30 kg (soit environ 10 ans).
  • Une cuillère-mesure (5 ml) contient 200 mg d’érythromycine.
  • Enfant et nourrisson : 30 à 50 mg/kg par jour, soit 1 cuillère-mesure par 5 kg et par 24 heures, à répartir en 2 à 3 prises par jour.
  • Coût du traitement journalier : 0,18 euro(s)/5 kg de poids.Reconstituer la suspension buvable, en ajoutant le volume d’eau indiqué sur le flacon.La prise avant le repas assure les meilleurs taux sériques.
  • Durée du traitement :
    La durée du traitement des angines est de 10 jours.

    CONTRE-INDICATIONS

    Absolues :
    • Allergie à l’érythromycine.
    • Bépridil, cisapride, alcaloïdes de l’ergot de seigle vasoconstricteurs, méthylergométrine, mizolastine, pimozide, sertindole, simvastatine : cf Interactions.
    Relatives :
    • Alfuzosine, alcaloïdes de l’ergot de seigle dopaminergiques, buspirone, carbamazépine, ciclosporine, colchicine, disopyramide, ébastine, halofantrine, luméfantrine, tacrolimus, théophylline, toltérodine, triazolam : cf Interactions.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI

    Une diarrhée importante survenant pendant ou après un traitement par érythromycine doit faire évoquer la possibilité d’une colite pseudomembraneuse dont quelques rares cas ont été rapportés avec l’érythromycine comme avec pratiquement tous les antibiotiques.
  • Des cas exceptionnels de sténose hypertrophique du pylore ont été rapportés chez des nouveau-nés sans que le mécanisme n’en ait été établi.
  • En cas d’insuffisance hépatique, l’administration d’érythromycine n’est pas recommandée. Si elle est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie.
  • En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d’intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase.
  • Tenir compte de la teneur en saccharose par cuillère-mesure dans la ration journalière.
  • En cas de régime hyposodé, tenir compte de la teneur en sodium par cuillère-mesure.
  • Interactions avec les examens paracliniques :
    L’érythromycine, comme d’autres antibiotiques, peut interférer dans les dosages urinaires des catécholamines par fluorescence. Cette interférence peut s’observer principalement avec les techniques non chromatographiques et, dans une moindre mesure, après séparation chromatographique.

    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Contre-indiquées :
    • Alcaloïdes de l’ergot de seigle vasoconstricteurs : risque de vasoconstriction coronaire ou des extrémités (ergotisme) ou de poussées hypertensives.
    • Bépridil : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • Cisapride : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • Méthylergométrine : risque de vasoconstriction et/ou poussées hypertensives.
    • Mizolastine : risque de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • Pimozide : risque de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • Sertindole : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • Simvastatine : risque majoré d’effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l’hypocholestérolémiant).

    Déconseillées :
    • Alcaloïdes de l’ergot de seigle dopaminergiques : augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de son activité ou apparition de signes de surdosage.
    • Alfuzosine : risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de l’alfuzosine et de ses effets indésirables.
    • Buspirone : augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone par diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration importante de la sédation.
    • Carbamazépine : augmentation des concentrations plasmatiques de la carbamazépine, avec signes de surdosage, par inhibition de son métabolisme hépatique.
    • Il est possible d’utiliser d’autres macrolides (sauf spiramycine) dont l’interférence au plan clinique est actuellement considérée comme minime ou nulle. Cependant, en cas de légionellose, l’érythromycine reste l’antibiotique de référence ; une surveillance clinique, avec contrôle des concentrations plasmatiques de carbamazépine, est alors souhaitable en milieu spécialisé.
    • Ciclosporine : augmentation des concentrations de ciclosporine et de la créatininémie (inhibition du métabolisme hépatique de la ciclosporine par le macrolide).
    • Colchicine : augmentation des effets indésirables de la colchicine aux conséquences potentiellement fatales.
    • Disopyramide : risque de majoration des effets indésirables du disopyramide : hypoglycémies sévères, allongement de l’intervalle QT et troubles du rythme ventriculaire graves, notamment à type de torsades de pointes.
    • Ébastine : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire chez les sujets prédisposés (syndrome du QT long congénital).
    • Halofantrine : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre le macrolide. Si l’association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
    • Luméfantrine : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre le torsadogène associé. Si l’association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.
    • Tacrolimus : augmentation des concentrations sanguines de tacrolimus et de la créatininémie, par inhibition du métabolisme hépatique du tacrolimus par l’érythromycine.
    • Théophylline (et par extrapolation aminophylline) : surdosage en théophylline par diminution de son élimination hépatique, plus particulièrement dangereux chez l’enfant. Il est possible d’utiliser d’autres macrolides (sauf spiramycine) dont l’interférence au plan clinique est actuellement considérée comme minime ou nulle. Cependant, en cas de légionellose, l’érythromycine reste l’antibiotique de référence : une surveillance clinique avec contrôle des concentrations plasmatiques de théophylline, est alors souhaitable en milieu spécialisé.
    • Toltérodine : augmentation des concentrations de toltérodine chez les métaboliseurs lents, avec risque de surdosage.
    • Triazolam : quelques cas de majoration des effets indésirables du triazolam (troubles du comportement) ont été rapportés.

    Nécessitant des précautions d’emploi :
    • Anticoagulants oraux : augmentation de l’effet anticoagulant oral et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de l’INR. Si nécessaire, adaptation de la posologie de l’anticoagulant oral pendant le traitement par le macrolide et après son arrêt.
    • Alfentanil : augmentation de l’effet dépresseur respiratoire de l’analgésique opiacé par diminution de son métabolisme hépatique. Adapter la posologie de l’alfentanil en cas de traitement par l’érythromycine.
    • Atorvastatine : risque majoré d’effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse par diminution du métabolisme hépatique de l’hypocholestérolémiant. Utiliser des doses plus faibles d’hypocholestérolémiant. Si l’objectif thérapeutique n’est pas atteint, utiliser une autre statine non concernée par ce type d’interaction.
    • Darifénacine : augmentation des concentrations de darifénacine, avec risque de majoration de ses effets indésirables. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de darifénacine.
    • Digoxine : élévation de la digoxinémie par augmentation de l’absorption de la digoxine. Surveillance clinique et éventuellement de la digoxinémie pendant le traitement par l’érythromycine et après son arrêt.
    • Inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 (sauf vardénafil) : augmentation des concentrations plasmatiques de l’inhibiteur de la PDE5, avec risque d’hypotension. Débuter le traitement par l’inhibiteur de la PDE5 à la dose minimale en cas d’association avec l’un de ces médicaments.
    • Inhibiteurs des tyrosines-kinases : risque de majoration des effets indésirables de l’inhibiteur de tyrosine-kinase par diminution de son métabolisme. Surveillance clinique.
    • Midazolam : augmentation des concentrations plasmatiques de midazolam par diminution de son métabolisme hépatique, avec majoration de la sédation, notamment chez l’enfant. Surveillance clinique et réduction de la posologie pendant le traitement par l’érythromycine.
    • Pravastatine, avec l’érythromycine utilisée par voie orale : augmentation de la concentration plasmatique de la pravastatine par l’érythromycine. Surveillance clinique et biologique pendant le traitement par l’antibiotique.
    • Solifénacine : augmentation des concentrations de solifénacine, avec risque de surdosage. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de solifénacine.
    • Vardénafil : augmentation importante des concentrations plasmatiques de vardénafil, avec risque d’hypotension sévère.
    • Vérapamil : bradycardie et/ou troubles de la conduction auriculoventriculaire, par diminution du métabolisme hépatique du vérapamil par l’érythromycine. Surveillance clinique et ECG ; s’il y a lieu, adaptation de la posologie du vérapamil pendant le traitement par l’érythromycine et après son arrêt.

    A prendre en compte :
    • Dexaméthasone : augmentation des concentrations plasmatiques de la dexaméthasone par diminution de son métabolisme hépatique par l’inhibiteur enzymatique, avec risque d’apparition d’un syndrome cushingoïde.
    • Rimonabant : augmentation des concentrations de rimonabant, avec risque de majoration de ses effets indésirables.
    • Venlafaxine : augmentation des concentrations de venlafaxine avec risque de surdosage.
    • Zolpidem : légère augmentation des effets sédatifs du zolpidem.
    • Zopiclone : légère augmentation des effets sédatifs de la zopiclone.
    Problèmes particuliers du déséquilibre de l’INR :

    De nombreux cas d’augmentation de l’activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l’âge et l’état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l’INR. Cependant, certaines classes d’antibiotiques sont davantage impliquées : il s’agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.


    EFFETS INDÉSIRABLES

    • Manifestations digestives : Nausées, vomissements, gastralgies, diarrhée. D’exceptionnels cas de colites pseudomembraneuses ont été rapportés. De rares cas de pancréatite, pouvant survenir rapidement après le début du traitement, notamment lors de l’utilisation de forte dose ou au cours d’un surdosage, ont été rapportés.
    • Manifestations cutanées allergiques. Très rarement, voire exceptionnellement : érythème polymorphe, syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson.
    • De rares cas d’atteinte hépatique avec élévation des phosphatases alcalines et/ou des transaminases ont été rapportés, avec parfois des manifestations cliniques (ictère, fièvre) éventuellement associées à des douleurs abdominales aiguës. L’apparition de signes cliniques impose l’arrêt immédiat du traitement.
    • Manifestations d’ototoxicité chez les patients âgés, porteurs d’une insuffisance hépatique ou rénale (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Des cas isolés d’acouphènes ont été rapportés.
    • Des cas isolés d’hypoacousie réversible ont été rapportés essentiellement chez les patients atteints d’une insuffisance rénale et chez les patients traités par de forte dose d’érythromycine.
    • Des cas de néphrite interstitielle ont été rapportés.

    PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : antibactériens à usage systémique (code ATC : J01FA01).

    Antibiotique antibactérien de la famille des macrolides (J : anti-infectieux).

    L’érythromycine agit en inhibant la synthèse des protéines bactériennes, en se liant à la partie 50 s du ribosome et en empêchant la translocation peptidique.

    Spectre d’activité antibactérienne :
    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
    S <= 1 mg/l et R > 4 mg/l.
    La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
    Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
    Espèces sensibles :
    • Aérobies à Gram + : Bacillus cereus, Corynebacterium diphteriae, entérocoques (50 – 70 %), Rhodococcus equi, staphylococcus méti-S, staphylococcus méti-R* (70 – 80 %), streptococcus B, streptococcus non groupable (30 – 40 %), Streptococcus pneumoniae (35 – 70 %), Streptococcus pyogenes (16 – 31 %).
    • Aérobies à Gram – : Bordetella pertussis, Branhamella catarrhalis, campylobacter, legionella, moraxella.
    • Anaérobies : actinomyces, bacteroides (30 – 60 %), eubacterium, mobiluncus, peptostreptococcus (30 – 40 %), porphyromonas, prevotella, Propionibacterium acnes.
    • Autres : Borrelia burgdorferi, chlamydia, coxiella, leptospires, Mycoplasma pneumoniae, Treponema pallidum.
    Espèces modérément sensibles (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    • Aérobies à Gram – : haemophilus, Neisseria gonorrhoeae.
    • Anaérobies : Clostridium perfringens.
    • Autres : Ureaplasma urealyticum.
    Espèces résistantes :
    • Aérobies à Gram + : Corynebacterium jeikeium, Nocardia asteroides.
    • Aérobies à Gram – : acinetobacter, entérobactéries, pseudomonas.
    • Anaérobies : fusobacterium.
    • Autres : Mycoplasma hominis.
    *  La fréquence de résistance à la méticilline est d’environ 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

  • PHARMACOCINÉTIQUE

    Absorption :
    • L’ingestion du produit avant le repas (environ 1 heure) assure les meilleurs taux sériques.
    • Administrée par voie orale, l’érythromycine est absorbée dans la portion supérieure de l’intestin grêle. Le taux de médicament biodisponible est de 60 % à 80 %.
    Distribution :
    • La demi-vie plasmatique est voisine de 2 h.
    • L’administration orale de 500 mg d’érythromycine procure une concentration sérique maximale à 1 heure de 2,5 µg/ml.
    • L’érythromycine diffuse bien dans tous les tissus de l’organisme, notamment au niveau des poumons et des amygdales.
    • L’érythromycine diffuse peu dans le liquide céphalorachidien.
    • L’érythromycine traverse la barrière placentaire.
    Les macrolides pénètrent et s’accumulent dans les phagocytes (polynucléaires neutrophiles, monocytes, macrophages péritonéaux et alvéolaires).
    Les concentrations intraphagocytaires sont élevées chez l’homme.
    Comme pour d’autres macrolides, ces propriétés expliquent l’activité de l’érythromycine sur les bactéries intracellulaires.
    Excrétion :
    L’érythromycine est retrouvée principalement sous forme inchangée dans la bile et les urines :
    • Le foie est la principale voie de biotransformation de l’érythromycine, par N-déméthylation. La voie principale d’élimination est biliaire.
    • Il existe également une élimination urinaire mineure du produit.

    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation avant reconstitution :
    4 ans.
    A conserver à une température inférieure à 25 °C.
    Durée de conservation après reconstitution :
    7 jours.
    A conserver à une température comprise entre 2 °C et 8 °C.

    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    AMM3400932051168 (1966/98, RCP rév 27.10.2009).
      
    Prix :2.14 euros (1 flacon).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.


    CSP
    76, avenue du Midi. BP 77. 63802 Cournon cdx
    Tél : 04 73 69 28 28. Fax : 04 73 69 89 40
    Pharmacovigilance : Tél : 01 47 04 80 46

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