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AGIOLAX®

ispaghul, séné

FORMES et PRÉSENTATIONS

Granulés :  Boîte de 100 g, avec cuillère-mesure.


  • COMPOSITION

     p c mes
    Séné de Tinnevelly, fruit 
    0,50 à 0,657 g
    (soit sennosides B : 15 mg/c mes)
    Ispaghul, graine 
    2,6 g
    Ispaghul, tégument de la graine 
    0,11 g
    Excipients : saccharose, gomme arabique, talc, paraffine liquide, paraffine solide, huile essentielle de carvi, huile essentielle de sauge d’Espagne, huile essentielle de menthe poivrée, oxyde de fer jaune, oxyde de fer rouge, oxyde de fer noir.
  • Une cuillère-mesure contient 5 g d’Agiolax.


    INDICATIONS

    Traitement de courte durée de la constipation occasionnelle.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Voie orale.
  • Réservé à l’adulte.
  • 1 à 2 cuillerées-mesure par jour, soit 15 à 30 mg de sennosides, de préférence à la fin du repas du soir.
    Le traitement doit être de courte durée (8 à 10 jours au maximum).
  • Mettre les granulés secs dans la bouche et les avaler sans mâcher, avec un grand verre de liquide, soit : une boisson chaude à la fin du repas du soir, ou une boisson froide le matin à jeun, ou une boisson fortement gazeuse chez les sujets porteurs de prothèse dentaire afin d’éviter l’adhérence des granulés à celle-ci.

  • CONTRE-INDICATIONS

    Absolues :
    • Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn…).
    • Syndrome occlusif ou subocclusif.
    • Syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée.
    • États de déshydratation sévère avec déplétion électrolytique.
    • Fécalome.
    • Enfant de moins de 10 ans.
    Relatives :
    • Médicaments donnant des torsades de pointes (cf Interactions).
    • Enfant de 10 à 15 ans.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI


    Mises en garde :

    En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en lactase.

    Le traitement médicamenteux de la constipation n’est qu’un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
    • enrichissement de l’alimentation en fibres végétales et en eau ;
    • conseils d’activité physique et de rééducation de l’exonération.

    Chez l’enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d’entraver le fonctionnement normal du réflexe d’exonération.

    Une utilisation prolongée d’un laxatif est déconseillée (ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement).

    La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
    • la « maladie des laxatifs » avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydroélectrolytiques avec hypokaliémie ; elle est très rare ;
    • une situation de « dépendance » avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d’augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l’insu du médecin.
    Précautions d’emploi :

    En cas de mégacôlon par altération de la motricité colique et chez les sujets confinés au lit, la prescription doit être prudente (risque de fécalome).

    Ce médicament ne doit pas être absorbé en position couchée, ni à sec (sans liquide) afin d’éviter que les granulés ne stagnent dans le tube digestif, ce qui pourrait provoquer une obstruction oesophagienne.

    Chez les personnes âgées, s’assurer que la ration hydrique est suffisante.


    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Déconseillées :
    • Médicaments donnant des torsades de pointes : amiodarone, astémizole, bépridil, brétylium, disopyramide, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, quinidiniques, sparfloxacine, sotalol, sultopride, terfénadine, vincamine. Risque majoré de troubles ventriculaires, notamment de torsades de pointes. Utiliser un laxatif non stimulant.

    Nécessitant des précautions d’emploi :
    • Digitaliques : l’hypokaliémie favorise les effets toxiques des digitaliques. Surveillance de la kaliémie et, s’il y a lieu, ECG. Utiliser un laxatif non stimulant.
    • Autres hypokaliémiants : diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco et minéralocorticoïdes, voie générale), tétracosactide. Risque majoré d’hypokaliémie (effet additif). Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction. Utiliser un laxatif non stimulant.

    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, l’utilisation du séné au cours d’un nombre limité de grossesses n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d’une exposition en cours de grossesse.
  • En conséquence, l’utilisation de ce médicament ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
  • Une étude a été réalisée pour étudier le passage du métabolite actif principal du séné (rhéine) dans le lait maternel. Les résultats ont montré que la quantité retrouvée dans le lait maternel est de l’ordre de 0,008 % de la quantité ingérée par la mère et n’a pas entraîné une modification des selles chez l’enfant nourri au sein.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    • Possibilité de diarrhée, de douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable.
    • Possibilité de météorisme intestinal.
    • Possibilité d’hypokaliémie.
    • Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.

    SURDOSAGE

    Symptômes :
    Diarrhée.
    Conduite à tenir :
    Corriger les éventuels troubles hydroélectrolytiques en cas de pertes liquidiennes très importantes.

    PHARMACODYNAMIE

    Laxatif stimulant, laxatif de lest (A : appareil digestif et métabolisme).

    Ce médicament associe un laxatif stimulant, qui modifie les échanges hydroélectrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique, et un laxatif à effet de lest, qui augmente la masse fécale et modifie sa consistance.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Les sennosides agissent essentiellement sur le côlon après hydrolyse bactérienne.

    Délai d’action : 24 à 48 heures.


    CONDITIONS DE CONSERVATION

    A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    AMM3400933655648 (1974/91 rév 21.03.2005).
    Non remb Séc soc.


    ROTTAPHARM
    83-85, bd Vincent-Auriol. 75013 Paris
    Tél : 01 56 61 94 61. Fax : 01 56 61 94 62
    Tél (n° Vert) : 08 00 80 14 55
    Site web :  http://www.rottapharm.fr

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