FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
p cp | |
Glimépiride (DCI) | 1 mg |
ou | 2 mg |
ou | 3 mg |
ou | 4 mg |
INDICATIONS |
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION |
Les comprimés sont à avaler entiers avec un peu de liquide.
- Relais d’un autre antidiabétique oral par Amarel :
- Le relais d’un antidiabétique oral par Amarel peut généralement être envisagé.
- Pour le passage à Amarel, la posologie et la demi-vie de l’antidiabétique précédent doivent être pris en compte.
- Dans certains cas, en particulier avec les antidiabétiques à demi-vie longue (ex : chlorpropamide), une fenêtre thérapeutique de quelques jours peut s’avérer nécessaire afin d’éviter un effet additif des deux produits, risquant d’entraîner une hypoglycémie.
- Lors de ce relais, il est recommandé de suivre la même procédure que lors de l’instauration du traitement par Amarel, c’est-à-dire de commencer à la posologie de 1 mg/jour puis d’augmenter la posologie par paliers successifs en fonction des résultats métaboliques.
- Relais de l’insuline par Amarel :
- Dans des cas exceptionnels de patients diabétiques de type 2 équilibrés par l’insuline, un relais par Amarel peut être indiqué.
- Ce relais doit être réalisé sous stricte surveillance médicale.
- Populations particulières :
-
- Patients avec insuffisance rénale ou hépatique : cf Contre-indications.
- Enfants et adolescents :
Il n’y a pas de données disponibles sur l’utilisation du glimépiride chez les patients de moins de 8 ans. Chez les enfants de 8 à 17 ans, les données sur l’utilisation du glimépiride en monothérapie sont limitées (cf Pharmacodynamie et Pharmacocinétique). - L’utilisation du glimépiride n’est pas recommandée dans la population pédiatrique étant donné l’absence de données suffisantes de tolérance et d’efficacité.
- Patients avec insuffisance rénale ou hépatique : cf Contre-indications.
CONTRE-INDICATIONS |
- Diabète insulinodépendant.
- Coma diabétique.
- Acidocétose.
- Insuffisance rénale ou hépatique sévère : dans ces situations, il est recommandé de recourir à l’insuline.
- Hypersensibilité connue au glimépiride ou à l’un des constituants, aux autres sulfonylurées, aux sulfamides.
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI |
- refus ou (plus particulièrement chez les patients âgés) incapacité du patient à coopérer,
- malnutrition, horaire irrégulier des repas, saut de repas, ou périodes de jeûne,
- modification du régime,
- déséquilibre entre exercice physique et prise d’hydrates de carbone,
- consommation d’alcool, particulièrement en l’absence de repas,
- insuffisance rénale,
- insuffisance hépatique sévère,
- surdosage en Amarel,
- certains désordres non compensés du système endocrinien affectant le métabolisme des hydrates de carbone ou la contre-régulation de l’hypoglycémie (certains troubles de la fonction thyroïdienne, insuffisances hypophysaire ou surrénalienne),
- administration concomitante de certains autres médicaments (cf Interactions).
INTERACTIONS |
La prise simultanée d’Amarel avec d’autres médicaments peut entraîner une augmentation ou une diminution non souhaitée de l’effet hypoglycémiant du glimépiride. Pour cette raison, la prise de tout autre médicament ne doit se faire qu’avec l’accord (ou sur prescription) d’un médecin.
- Potentialisation de l’effet hypoglycémiant et, dans ce cas, une hypoglycémie peut survenir lorsqu’un des traitements suivants est pris :
- phénylbutazone, azapropazone et oxyphenbutazone,
- insuline et antidiabétiques oraux, tels que la metformine,
- salicylés et acide para-amino salicylique,
- stéroïdes anabolisants et hormones sexuelles mâles,
- chloramphénicol, certains sulfamides à durée d’action prolongée, tétracyclines, antibiotiques de la famille des quinolones et clarithromycine,
- anticoagulants coumariniques,
- fenfluramine,
- fibrates,
- inhibiteurs de l’enzyme de conversion,
- fluoxétine, IMAO,
- allopurinol, probénécide, sulfinpyrazone,
- sympatholytiques,
- cyclophosphamides, trophosphamides et iphosphamides,
- miconazole, fluconazole,
- pentoxifylline (à forte dose par voie parentérale),
- tritoqualine.
- phénylbutazone, azapropazone et oxyphenbutazone,
- Diminution de l’effet hypoglycémiant et, dans ce cas, une hyperglycémie peut survenir lorsqu’un des traitements suivants est pris :
- estrogènes et progestatifs,
- salidiurétiques et diurétiques thiazidiques,
- thyréomimétiques, glucocorticoïdes,
- dérivés de la phénothiazine, chlorpromazine,
- adrénaline et sympathicomimétiques,
- acide nicotinique (forte posologie) et dérivés de l’acide nicotinique,
- laxatifs (usage à long terme),
- phénytoïne, diazoxide,
- glucagon, barbituriques et rifampicine,
- acétazolamide.
- estrogènes et progestatifs,
- Potentialisation ou diminution de l’effet hypoglycémiant :
- anti-H2,
- bêtabloquants, clonidine, réserpine, guanéthidine ; de plus, les signes de contre-régulation adrénergique à l’hypoglycémie peuvent être diminués ou absents sous l’influence de ces médicaments sympatholytiques,
- la prise d’alcool peut potentialiser ou diminuer l’effet hypoglycémiant du glimépiride de façon imprévisible.
- anti-H2,
GROSSESSE et ALLAITEMENT |
- Risque lié au diabète :
- Une glycémie anormale pendant la grossesse est associée à une augmentation de l’incidence des malformations congénitales et de la mortalité périnatale. La glycémie doit être étroitement surveillée pendant la grossesse pour réduire le risque tératogène. Le diabète chez la femme enceinte nécessite une insulinothérapie. Les patientes qui envisagent une grossesse doivent en informer leur médecin.
- Risque lié au glimépiride :
- Il n’existe pas actuellement de données suffisantes sur l’utilisation du glimépiride chez la femme enceinte. Les études chez l’animal ont mis en évidence une toxicité probablement liée à l’action pharmacologique (hypoglycémie) du glimépiride (cf Sécurité préclinique).
En conséquence, le glimépiride ne doit pas être utilisé pendant toute la durée de la grossesse. Si une grossesse est envisagée ou en cas de découverte fortuite d’une grossesse lors du traitement par glimépiride, le traitement doit être remplacé le plus rapidement possible par une insuline.
Allaitement :
Chez la femme, aucune donnée concernant le passage du glimépiride dans le lait maternel n’est disponible.
Chez la rate, le glimépiride est excrété dans le lait maternel. Étant donné que d’autres sulfonylurées sont excrétées dans le lait maternel et compte tenu du risque d’hypoglycémie néonatale, l’allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
Atteintes hématologiques :
- Rare : thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie, agranulocytose, érythrocytopénie, anémie hémolytique et pancytopénie, en général réversibles à l’arrêt du traitement.
- Très rare : angéite leucocytoclasique, réactions modérées d’hypersensibilité pouvant évoluer vers des réactions plus graves avec dyspnée, chute tensionnelle, voire choc.
- Une allergie croisée avec les sulfonylurées, les sulfamides et leurs dérivés est possible.
- Rare : hypoglycémies.
- Ces hypoglycémies apparaissent le plus souvent d’emblée, pouvant être sévères et parfois difficiles à corriger. La survenue de ces hypoglycémies dépend, comme pour tout traitement hypoglycémiant, de facteurs individuels comme les habitudes alimentaires et la dose de l’hypoglycémiant (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- Les modifications glycémiques peuvent entraîner, surtout en début de traitement, des troubles visuels transitoires.
- Très rare : nausées, vomissements, diarrhée, distension abdominale, inconfort abdominal et douleurs abdominales, pouvant exceptionnellement conduire à l’arrêt du traitement.
- Élévation des enzymes hépatiques.
- Très rare : atteinte de la fonction hépatique (avec par exemple cholestase et ictère), voire hépatite pouvant évoluer vers l’insuffisance hépatique.
- Des réactions d’hypersensibilité (prurit, urticaire, éruptions cutanées et photosensibilité) peuvent survenir.
- Très rare : hyponatrémie.
SURDOSAGE |
PHARMACODYNAMIE |
Classe pharmacothérapeutique : antidiabétique oral (code ATC : A10BB12 ; A : appareil digestif et métabolisme).
Le glimépiride est un sulfamide hypoglycémiant appartenant à la classe des sulfonylurées. Il est utilisé dans le diabète sucré non insulinodépendant. Il agit principalement en stimulant la libération d’insuline par les cellules bêta des îlots de Langerhans pancréatiques. Comme les autres sulfonylurées, cet effet repose sur une augmentation de la réponse de ces cellules au stimulus physiologique dû au glucose.
De plus, le glimépiride, comme d’autres sulfonylurées, semble exercer d’importants effets extrapancréatiques.
- Effets sur la libération d’insuline :
- Les sulfonylurées régulent la sécrétion d’insuline en fermant les canaux potassiques dépendant de l’ATP au niveau de la membrane de la cellule bêta. La fermeture de ces canaux potassiques induit une dépolarisation de la membrane, entraînant une augmentation de l’entrée de calcium dans la cellule (par ouverture des canaux calciques). L’augmentation de la concentration du calcium intracellulaire stimule la libération d’insuline par exocytose.
- Le glimépiride se lie (avec un renouvellement rapide) à une protéine membranaire de la cellule bêta. Cependant, la protéine de liaison, associée aux canaux potassiques dépendants de l’ATP, est différente de celle des autres sulfonylurées.
- Effets extrapancréatiques :
- Les effets extrapancréatiques sont une amélioration de la sensibilité des tissus périphériques à l’insuline ainsi qu’une diminution de la captation d’insuline par le foie.
- La captation du glucose sanguin par les myocytes et les adipocytes se fait par l’intermédiaire de protéines de transport membranaires localisées dans les membranes cellulaires, la captation du glucose limitant la vitesse d’utilisation du glucose.
- Le glimépiride augmente très rapidement le nombre de transporteurs actifs dans les membranes des cellules musculaires et adipeuses, stimulant ainsi la captation du glucose.
- Le glimépiride augmente l’activité de la phospholipase C spécifique du glycosylphosphatidylinositol ; cette augmentation pourrait être en rapport avec la lipogenèse et la glycogénogenèse induites par le médicament dans les cellules adipeuses et musculaires isolées. Le glimépiride inhibe la production hépatique de glucose en augmentant la concentration intracellulaire de fructose 2,6-diphosphate, qui, à son tour, inhibe la néoglucogenèse.
- Action générale :
- Chez l’homme sain, la dose minimale efficace par voie orale est de 0,6 mg. L’effet du glimépiride est dose-dépendant et reproductible. La réponse physiologique à l’effort, c’est-à-dire une diminution de l’insulinosécrétion, persiste sous glimépiride.
- L’effet est similaire, si le médicament est administré au moment du repas ou 30 minutes avant celui-ci. Chez le diabétique, une dose quotidienne unique permet un contrôle métabolique satisfaisant pendant toute la durée du nycthémère.
- Le métabolite hydroxy du glimépiride exerce un faible effet hypoglycémiant et ne contribue que pour une faible part à l’effet hypoglycémiant total.
- En association à un traitement par metformine :
- Une étude a montré que, chez des patients insuffisamment équilibrés par des doses maximales de metformine, l’association au glimépiride entraînait un meilleur contrôle glycémique par rapport à la metformine seule.
- En association à l’insuline :
- Les données relatives à une association à un traitement par l’insuline sont limitées. Chez les patients insuffisamment contrôlés avec une posologie maximale de glimépiride, une association à l’insuline peut être instaurée.
- Deux études ont montré que cette association entraîne un contrôle métabolique identique au traitement par insuline seule ; cependant, la dose moyenne d’insuline utilisée a été plus faible avec l’association.
- Populations particulières (enfants et adolescents) :
- Une étude clinique contrôlée versus produit actif (glimépiride jusqu’à 8 mg par jour ou metformine jusqu’à 2000 mg par jour) d’une durée de 24 semaines, a été réalisée chez 285 enfants (de 8 à 17 ans) diabétiques de type 2. Le glimépiride et la metformine ont tous les deux montré une diminution significative de l’HbA1c par rapport à la valeur initiale (glimépiride -0,95 [erreur standard 0,41] ; metformine -1,39 [erreur standard 0,40]). Cependant, la non-infériorité du glimépiride par rapport à la metformine n’a pas été démontrée sur le critère de variation moyenne de l’HbA1c par rapport à la valeur initiale. La différence entre les traitements était de 0,44 % en faveur de la metformine. La limite supérieure (1,05) de l’intervalle de confiance à 95 % pour la différence n’était pas en dessous de la limite de non infériorité de 0,3 %.
- A la suite du traitement par glimépiride, il n’a pas été noté chez les enfants de nouveau problème de tolérance par rapport à ceux observés chez les adultes diabétiques de type 2.
- Aucune étude d’efficacité et de tolérance à long terme n’est disponible chez les enfants et les adolescents.
PHARMACOCINÉTIQUE |
- Absorption :
- La biodisponibilité du glimépiride est totale. La prise d’aliments ne modifie pas l’absorption de manière significative, seule la vitesse d’absorption est légèrement ralentie. La concentration plasmatique maximale (Cmax) est atteinte environ 2 h 30 après la prise (en moyenne 0,3 µg/ml après administration répétée d’une dose journalière de 4 mg).
- Il existe une relation linéaire entre la dose administrée, la valeur de la Cmax et l’aire sous la courbe des concentrations en fonction du temps (AUC).
- Distribution :
- Le glimépiride a un volume de distribution très faible (environ 8,8 l), comparable à celui de l’albumine, une fixation aux protéines plasmatiques importante (> 99 %) ainsi qu’une clairance faible (approximativement 48 ml/min).
- Chez l’animal, le glimépiride est retrouvé dans le lait maternel.
- Le glimépiride franchit la barrière placentaire ; le passage de la barrière hémato-encéphalique est faible.
- Biotransformation et élimination :
- En cas d’administrations répétées, la demi-vie d’élimination est de 5 à 8 heures. Cependant, à très fortes doses, des demi-vies légèrement plus longues ont été observées.
- Après administration de glimépiride radiomarqué, 58 % de la radioactivité est retrouvé dans les urines et 35 % dans les fèces. Les urines ne contiennent aucune trace de produit initial. Deux métabolites, issus vraisemblablement du métabolisme hépatique (l’enzyme principale étant le CYP2C9), ont été identifiés à la fois dans les urines et dans les fèces. Il s’agit d’un dérivé hydroxy et d’un dérivé carboxy du glimépiride. Après administration orale de glimépiride, les demi-vies terminales d’élimination des deux métabolites sont comprises respectivement entre 3 et 6 heures et 5 et 6 heures.
- Il n’a pas été observé de différence des paramètres cinétiques après administration orale unique ou répétée de glimépiride (1 prise quotidienne), la variabilité intra-individuelle étant très faible. Aucune donnée faisant suspecter un risque d’accumulation n’a été observée.
- Populations particulières :
- Aucune modification des paramètres cinétiques n’a été observée en fonction du sexe ou de l’âge (plus de 65 ans).
- Chez les sujets ayant une clairance de la créatinine diminuée, la clairance plasmatique du glimépiride augmente alors que les concentrations plasmatiques moyennes diminuent, en raison d’une élimination plus rapide due à une diminution de la fixation protéique. Ainsi, l’élimination rénale des deux métabolites est diminuée. Cependant, il ne semble pas y avoir de risque d’accumulation chez ces patients.
- La cinétique du glimépiride chez 5 patients non diabétiques ayant subi une intervention chirurgicale au niveau des canaux biliaires est identique à celle observée chez des sujets sains.
- Enfants et adolescents :
- Une étude évaluant les paramètres pharmacocinétiques, la sécurité et la tolérance d’une dose unique de 1 mg de glimépiride chez 30 patients diabétiques de type 2 non à jeûn (4 enfants âgés de 10 à 12 ans et 26 adolescents âgés de 12 à 17 ans), a montré que les AUC(0-dernier), Cmax et t1/2 moyens étaient similaires à ceux observés précédemment chez l’adulte.
SÉCURITE PRÉCLINIQUE |
Les effets observés chez l’animal ont peu de signification chez l’homme, ces effets ayant été observés avec des expositions bien plus importantes que l’exposition maximale chez l’homme. Ces effets sont dus à l’action pharmacologique (hypoglycémie) du produit. Les données précliniques sont basées sur des études pharmacologiques usuelles de sécurité d’emploi : études après administrations répétées, génotoxicité, carcinogénicité et de reproduction.
Les effets observés dans les études de reproduction (études d’embryotoxicité, de tératogénicité, et de développement foetal) sont considérés comme secondaires aux effets hypoglycémiants induits par le produit chez les mères et les nouveau-nés.
CONDITIONS DE CONSERVATION |
A conserver à une température ne dépassant pas + 30 °C.
A conserver dans l’emballage d’origine.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM | 3400934210211 (1996 rév 03.12.2008) 30 cp 1 mg. |
3400936685147 (2005 rév 03.12.2008) 90 cp 1 mg. | |
3400956008681 (1996 rév 03.12.2008) 120 cp 1 mg. | |
3400934210389 (1996 rév 03.12.2008) 30 cp 2 mg. | |
3400936685666 (2005 rév 03.12.2008) 90 cp 2 mg. | |
3400956008742 (1996 rév 03.12.2008) 120 cp 2 mg. | |
3400934210440 (1996 rév 03.12.2008) 30 cp 3 mg. | |
3400936686038 (2005 rév 03.12.2008) 90 cp 3 mg. | |
3400956008803 (1996 rév 03.12.2008) 120 cp 3 mg. | |
3400934210501 (1996 rév 03.12.2008) 30 cp 4 mg. | |
3400936686557 (2005 rév 03.12.2008) 90 cp 4 mg. | |
3400956008971 (1996 rév 03.12.2008) 120 cp 4 mg. |
Prix : | 5.99 euros (30 cp 1 mg). |
16.07 euros (90 cp 1 mg). | |
9.50 euros (30 cp 2 mg). | |
26.08 euros (90 cp 2 mg). | |
12.26 euros (30 cp 3 mg). | |
33.72 euros (90 cp 3 mg). | |
14.08 euros (30 cp 4 mg). | |
38.13 euros (90 cp 4 mg). | |
Remb Séc soc à 65 %. Collect. | |
Modèles hospitaliers : Collect. |
sanofi-aventis France
1-13, bd Romain-Rolland. 75014 Paris
Info médic et pharmacovigilance :
Tél (n° Vert) : 08 00 39 40 00
Fax : 01 57 62 06 62
Liste Des Sections Les Plus Importantes :
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- Infirmiers En Urgences
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