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ATENOLOL QUALIMED 100 mg cp pellic séc







comprimé pelliculé sécable
par 1 comprimé
aténolol100 mg
Excipients : silice colloïdale anhydre, magnésium stéarate, sodium carboxyméthylamidon, phosphate dicalcique anhydre, magnésium carbonate lourd, amidon de maïs, opadry blanc Y-1-7000, ( hypromellose, titane dioxyde, macrogol 400 ).

– Hypertension artérielle
– Prophylaxie des crises d’angor d’effort
– Infarctus du myocarde en phase aiguë: relais de la forme injectable I.V. de l’aténolol (l’aténolol réduit la mortalité à la phase aiguë de l’infarctus du myocarde. Le traitement est institué au plus tard avant la douzième heure.

  • – Arythmies supraventriculaires :
    . tachycardies supraventriculaires paroxystiques (en traitment préventif ou curatif) ;
    . fibrillation ou flutter auriculaires en cas de réponse insuffisante aux digitaliques à doses maximales et dans les cas où les digitaliques sont contre-indiqués ou présentent un rapport bénéfice:risque défavorable.
  • – Arythmies ventriculaires :
    . extrasystoles ventriculaires (traitement préventif ou curatif) en cas d’extrasystoles résultant d’une augmentation de l’activité sympathique ;
    . tachycardies ventriculaires et fibrillations ventriculaires (traitement préventif), en particulier lorsque l’anomalie ventriculaires résulte d’une activité sympathique importante.

  • — Hypertension artérielle :
    Un comprimé à 100 mg par jour, de préférence le matin.
  • L’activité antihypertensive de l’aténolol justifie son utilisation en monothérapie à un comprimé par jour.
  • Cependant, dans les cas d’hypertension sévère, une posologie supérieure pourra être nécessaire.
  • L’association aux autres thérapeutiques antihypertensives, par exemple aux diurétiques est possible.
  • — Prophylaxie des crises d’angor d’effort :
    La posologie moyenne est d’un comprimé à 100 mg par jour, elle peut être portée à 2 comprimés par jour si nécessaire.
  • — Infarctus du myocarde en phase aiguë :
    Relais de la forme IV. Le relais est pris par 50 mg per os 15 minutes après l’injection. Cette dose est renouvelée 12 heures après. A la24e heure, puis une fois par jour jusqu’au 10e jour, administrer 100 mg par voie orale (un comprimé).
  • — Troubles du rythme: après contrôle des troubles du rythme par l’aténolol administré par voie intraveineuse (si indiqué), l’aténolol sera administré par voie orale et la dose d’entretien recommandée est de 50 à 100 mg/jour.
  • Posologie particulière :
    — Insuffisance rénale : la posologie est ajustée aux valeurs de la créatinine sérique ou de la clairance de la créatinine :
     Créatinine sérique en mg/ml   Créatinine sérique en mmol/l   Clairance de la créatinine (Clcr) (ml/min/1,73 m2)   Posologie 
     < 25   < 0,3   > ou = 35   Inchangée (2 x 50 mg) en 1 prise 
     25-50   0,3 – 0,6   Clcr entre 15 et 35   1 x 50 mg/j. 
     > 50   > 0,6   < 15   1 x 25 mg/j soit 1/2 cp à 50 mg ou 1 x 50 mg tous les 2 j 
     Hémodialyse chronique : traitement initié en milieu hospitalier         50 mg après chaque séance 

    Le comprimé dosé à 50 mg devra être, selon le cas, priviligié par rapport à celui dosé à 100 mg.

  • Absolue(s) :
    • Asthme sévère
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive sévère
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Choc cardiogénique
    • Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
    • Angor de Prinzmetal
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
    • Bradycardie
    • Syndrome de Raynaud
    • Trouble circulatoire périphérique sévère
    • Phéochromocytome non traité
    • Hypotension artérielle
    • Hypersensibilité aux bêtabloquants
    • Accident allergique anaphylactique, antécédent (d’)

    • Traitement à arrêter progressivement
      – Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • – Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Asthme
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible (c’est à dire en utilisant une forme conventionnelle, plus faiblement dosée). Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive
      Les bêta-bloquants ne peuvent être administrés qu’en cas de formes légères en choisissant un bêta-1 sélectif à posologie initiale faible (c’est à dire en utilisant une forme conventionnelle, plus faiblement dosée). Il est recommandé de faire pratiquer des épreuves fonctionnelles respiratoires avant la mise en route du traitement.
    • En cas de crise survenant sous traitement, on pourra utiliser des bronchodilatateurs bêta-mimétiques.
    • Insuffisance cardiaque
      Chez l’insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas de nécessité, l’aténolol sera administré à très faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance médicale stricte.
    • Risque de bradycardie
      Si la fréquence s’abaisse au dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
    • Bloc auriculoventriculaire du premier degré
      Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
    • Angor de Prinzmetal
      Les bêta-bloquants peuvent augmenter le nombre et la durée des crises chez les patients souffrant d’un angor de Prinzmetal. L’utilisation d’un bêta-bloquant cardiosélectif est possible, dans les formes mineures et associées, à condition d’administrer conjointement un vasodilatateur.
    • Trouble circulatoire périphérique
      Chez les patients souffrant de troubles artériels périphériques (maladie ou syndrome de Raynaud ou artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs), les bêta-bloquants peuvent entraîner une aggravation de ces troubles. Dans ces situations, il convient de privilégier un bêta-bloquant cardiosélectif et doté d’un pouvoir agoniste partiel, que l’on administrera avec prudence.
    • Phéochromocytome
      L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
    • Sujet âgé
      Le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite.
    • Insuffisance rénale
      Il convient d’adapter la posologie à l’état de la fonction rénale : en pratique, il suffit de surveiller le rythme cardiaque, de façon à diminuer les doses s’il apparaît une bradycardie excessive (< 50-55 battements/minute au repos).
    • Diabète
      Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
    • Psoriasis
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.
    • Sujet allergique
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine (cf interactions) ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Anesthésie générale
      Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d’hypotension. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
    • – Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures est considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensiblité aux catécholamines.
    • – Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
      . chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants.
    • . en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
    • . le risque anaphylactique devra être pris en compte.
    • Hyperthyroïdie
      Les bêta-bloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires.
    • Sportif
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Angor
      Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • Insuffisance coronarienne
      Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est-à-dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêta-bloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
  • Chez le nouveau-né de mère traitée, l’action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance et peut se traduire par une bradycardie, une détresse respiratoire une hypoglycémie mais le plus souvent cette rémanente est sans conséquence clinique. II peut, néanmoins, survenir par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), en évitant les solutés de remplissage (risque d’OAP).
  • En conséquence, les bêta-bloquants, dans les conditions normales d’utilisation, peuvent être prescrits pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu’à l’accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.
  •  Allaitement :

    Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait.
  • Le risque de survenue d’hypoglycémie et de bradycardie n’a pas été évalué. En conséquence et par précaution, il convient d’éviter de l’administrer chez la femme qui allaite.

    • Asthénie
    • Refroidissement des extrémités
    • Douleur épigastrique
    • Nausée
    • Vomissement
    • Impuissance
    • Bloc auriculoventriculaire
    • Bloc auriculoventriculaire (aggravation)
    • Insuffisance cardiaque
    • Hypotension artérielle
    • Bronchospasme
    • Hypoglycémie
    • Syndrome de Raynaud
    • Claudication intermittente (aggravation)
    • Dermatose
    • Eruption psoriasiforme
    • Anticorps antinucléaire (augmentation)
    • Syndrome lupique
    • Transaminases (augmentation) (Exceptionnel)
    • Cholestase
    • Bradycardie sévère

    • Classement ATC : 
          C07AB03 / ATENOLOL
    • Classement Vidal : 
          Antiangoreux : bêtabloquant (Aténolol)
          Antiarythmique : groupe II : bêtabloquant (Aténolol)
          Antihypertenseur : bêtabloquant (Aténolol)

    Liste I
    • CIP : 3593443 (ATENOLOL QUALIMED 100 mg cp pellic séc : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3729575 (ATENOLOL QUALIMED 100 mg cp pellic séc : Plaq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 % (Extrasystole ventriculaire, Hypertension artérielle, Angor, traitement préventif (de l’), Tachycardie supraventriculaire paroxystique, Tachycardie supraventriculaire paroxystique, traitement préventif (de la), Fibrillation auriculaire, traitement de deuxième intention (de la), Flutter auriculaire, traitement de deuxième intention (du), Tachycardie ventriculaire, traitement préventif (de la), Fibrillation ventriculaire, traitement préventif (de la), Extrasystole ventriculaire, traitement préventif (de la)), Agréé aux collectivités


    Qualimed


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