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AVADENE 1 mg/0,025 mg cp pellic







comprimé pelliculé
par 1 comprimé
beige
estradiol hémihydrate1,033 mg
  Soit estradiol1 mg
Excipients : lactose monohydrate, amidon de maïs, amidon de maïs modifié, povidone K 25, magnésium stéarate, hypromellose, macrogol 6000, titane dioxyde, fer jaune oxyde, fer rouge oxyde, talc.
par 1 comprimé
bleu
estradiol hémihydrate1,033 mg
  Soit estradiol1 mg
gestodène0,025 mg
Excipients : lactose monohydrate, amidon de maïs, amidon de maïs modifié, povidone K 25, magnésium stéarate, hypromellose, macrogol 6000, titane dioxyde, indigotine laque aluminique, talc.

Traitement hormonal substitutif (THS) des symptômes de déficit en estrogènes chez les femmes ménopausées.

  • Prévention de l’ostéoporose post-ménopausique chez les femmes ayant un risque accru de fracture ostéoporotique et présentant une intolérance ou une contre-indication aux autres traitements indiqués dans la prévention de l’ostéoporose. L’expérience de ce traitement chez les femmes âgées de plus de 65 ans est limitée.

  • Voie orale.
  • Traitement séquentiel continu.
  • Avadène 1 mg/0,025 mg est une association séquentielle continue d’un estrogène et d’un progestatif. L’estrogène est administré tout au long du cycle. Le progestatif est associé de façon séquentielle pendant 12 jours du cycle.
  • Le schéma thérapeutique est le suivant :
    Prendre un comprimé par jour pendant 28 jours consécutifs dans l’ordre suivant :
    du 1er au 16e jour, un comprimé beige (estradiol) ;
    du 17e au 28e jour, un comprimé bleu (associant estradiol et gestodène).
  • A la fin des 28 jours, poursuivre directement le traitement avec la plaquette suivante de 28 comprimés, sans interruption de traitement entre les plaquettes.
  • Les comprimés doivent être avalés entiers, avec un peu de liquide. Ils peuvent être pris pendant ou en dehors des repas, de préférence toujours à la même heure.
  • En règle générale, le traitement des symptômes climatériques doit être commencé avec Avadène 1 mg/0,025 mg. Si, après quelques semaines de traitement, les symptômes ne sont pas contrôlés de façon satisfaisante, le traitement peut être remplacé par Avadène 2 mg/0,05 mg.
  • La prévention de l’ostéoporose postménopausique chez la femme présentant un risque accru de fracture ostéoporotique doit prendre en compte les résultats escomptés sur la masse osseuse qui sont dose-dépendants (cf Pharmacodynamie), ainsi que la tolérance individuelle du traitement.
  • S’il s’agit d’une première prescription chez les femmes n’ayant jamais pris de THS ou s’il s’agit d’un relais d’un THS combiné continu, le traitement peut être commencé n’importe quel jour du cycle.
  • Par contre, s’il s’agit d’un relais d’un THS séquentiel, le traitement doit être commencé le lendemain de la fin du traitement précédent.
  • Pour débuter ou poursuivre un traitement dans l’indication des symptômes postménopausiques, la dose minimale efficace doit être utilsée pendant la plus courte durée possible.
  • Oubli d’un comprimé :
    en cas d’oubli d’un comprimé, celui-ci doit être pris dans les 12 à 24 heures suivant l’heure habituelle de la prise. Si le traitement est interrompu pendant une période plus longue, des saignements irréguliers peuvent se produire.
  • Populations à risque :
    cf Contre-indications, Mises en garde/Précautions d’emploi.
  • Sujet âgé :
    il existe peu de données cliniques sur le traitement des femmes âgées.

  • Absolue(s) :
    • Cancer du sein hormonodépendant chez la femme
    • Cancer du sein hormonodépendant, antécédent (de)
    • Cancer estrogénodépendant
    • Hémorragie gynécologique d’étiologie inconnue
    • Hyperplasie utérine non traitée
    • Accident thromboembolique
    • Antécédent d’accident thromboembolique
    • Hépatopathie
    • Antécédent d’hépatopathie
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Porphyrie
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Evaluation individuelle du bénéfice attendu
      Dans l’indication du traitement des symptômes de la ménopause, un THS ne doit être instauré que si les troubles sont perçus par la patiente comme altérant sa qualité de vie. Dans tous les cas, une réévaluation du rapport bénéfice/risque doit être effectuée au moins une fois par an. Le THS peut être poursuivi tant que le bénéfice est supérieur au risque encouru.
    • Surveillance clinique avant et pendant le traitement
      Avant de débuter ou de recommencer un traitement hormonal substitutif (THS), il est indispensable d’effectuer un examen clinique et gynécologique complet (y compris le recueil des antécédents médicaux personnels et familiaux), en tenant compte des contre-indications et précautions d’emploi. Pendant toute la durée du traitement, des examens réguliers seront effectués, leur nature et leur fréquence étant adaptées à chaque patiente.
    • Surveillance gynécologique avant et pendant le traitement
      Avant de débuter ou de recommencer un traitement hormonal substitutif (THS), il est indispensable d’effectuer un examen clinique et gynécologique complet (y compris le recueil des antécédents médicaux personnels et familiaux), en tenant compte des contre-indications et précautions d’emploi. Pendant toute la durée du traitement, des examens réguliers seront effectués, leur nature et leur fréquence étant adaptées à chaque patiente.
    • Surveillance mammaire avant et pendant le traitement
      Les femmes doivent être informées du type d’anomalies mammaires pouvant survenir sous traitement ; ces anomalies doivent être signalées au médecin traitant. Les examens, y compris une mammographie, doivent être pratiqués selon les recommandations en vigueur, et adaptés à chaque patiente.
    • Endométriose
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Léiomyome
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Léiomyome, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Antécédent d’accident thromboembolique
      Ou facteurs de risque thrombo-embolique.
    • Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025mg.
    • Sujet à risque de tumeur estrogénodépendante
      Par exemple : 1er degré d’hérédité pour le cancer du sein.
    • Hypertension artérielle
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Hypertension artérielle, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Hépatopathie
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025mg.
    • Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Antécédent d’hépatopathie
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025mg.
    • Adénome hépatique
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025mg.
    • Diabète avec complication vasculaire
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Diabète avec complication vasculaire, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Diabète
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Diabète, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Lithiase biliaire
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Antécédent de lithiase biliaire
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Migraine
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Migraine, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Facteur de risque d’accident thrombo-embolique.
    • Hyperplasie utérine, antécédent
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Epilepsie
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Antécédent d’épilepsie
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Asthme
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Antécédent d’asthme
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Otospongiose
      Si cette affection survient, est survenue précédemment, et/ou s’est aggravée au cours d’une grossesse ou d’un précédent traitement hormonal, la patiente devra être étroitement surveillée. Cette affection peut réapparaître ou s’aggraver au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg.
    • Risque d’hépatopathie
      Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans le cas d’ictère ou altération de la fonction hépatique.
    • Ictère
      Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou en dans ce cas.
    • Insuffisance hépatique
      Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Hypertension artérielle sévère
      Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Céphalée
      De type migraine inhabituelle.
    • Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Grossesse
      Le traitement doit être arrêté immédiatement en cas de survenue d’une contre-indication ou dans ce cas.
    • Risque d’hyperplasie utérine ou de cancer de l’endomètre
      Le risque d’hyperplasie endométriale et de cancer de l’endomètre augmente en cas d’administration prolongée d’estrogènes seuls. Chez les femmes non hystérectomisées, l’association d’un progestatif pendant au moins 12 jours par cycle diminue fortement ce risque.
    • Risque de métrorragie
      Des métrorragies et des « spottings » peuvent survenir au cours des premiers mois de traitement. La survenue de saignements irréguliers plusieurs mois après le début du traitement ou la persistance de saignements après l’arrêt du traitement doivent faire rechercher une pathologie sous-jascente. Cette démarche peut nécessiter une biopsie endométriale afin d’éliminer une pathologie maligne.
    • Métrorragie
      Des métrorragies et des « spottings » peuvent survenir au cours des premiers mois de traitement. La survenue de saignements irréguliers plusieurs mois après le début du traitement ou la persistance de saignements après l’arrêt du traitement doivent faire rechercher une pathologie sous-jascente. Cette démarche peut nécessiter une biopsie endométriale afin d’éliminer une pathologie maligne.
    • Risque de cancer du sein
      Une étude randomisée versus placebo, la « Women’s Health Initiative Study (WHI) » et des études épidémiologiques, incluant la « Million Women Study (MWS) », ont montré une augmentation du risque de survenue de cancer du sein chez les femmes traitées pendant plusieurs années par des estrogènes seuls, des associations estro-progestatives, ou la tibolone.
    • Pour tous les THS, l’augmentation du risque devient significative après quelques années d’utilisation et augmente avec la durée de traitement. Le risque diminue dès l’arrêt du
      traitement pour disparaître progressivement en quelques années (au plus 5 ans).
    • Dans l’étude MWS, l’association d’un progestatif aux estrogènes conjugués équins (CEE) ou à (‘estradiol (E2) augmentait le risque relatif de cancer du sein, quels que soient la séquence d’administration (continue ou séquentielle) et le type de progestatif. Il n’a pas été mis en évidence d’influence de la voie d’administration sur le risque de cancer du sein.
    • Dans l’étude WHI, les cancers du sein observés sous estrogènes conjugués équins et acétate de médroxyprogestérone (CEE + MPA) associés en continu étaient légèrement plvolumineux et s’accompagnaient plus fréquemment de métastases locales des ganglions lymphatiques que ceux observés sous placebo.
    • Les THS, particulièrement les traitements combinés estrogène/progestatif, augmentent la densité mammaire à la mammographie, ce qui pourrait gêner le diagnostic de cancer du sein.
    • Risque d’accident thromboembolique
      Le THS est associé à un risque relatif accru d’accidents thrombo-emboliques veineux (thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire). Une étude randomisée contrôlée et des études épidémiologiques ont mis en évidence un risque deux à trois fois plus élevé chez les utilisatrices de THS par rapport aux non utilisatrices. Chez les non utilisatrices, le nombre de cas d’accidents thrombo-emboliques veineux sur une période de 5 années est estimé à 3 pour 1 000 femmes âgées de 50 à 59 ans et à 8 pour 1 000 femmes âgées de 60 à 69 ans. Chez les femmes en bonne santé utilisant un THS pendant 5 ans, le nombre de cas supplémentaires est estimé entre 2 et 6 (meilleure estimation = 4) pour 1 000 femmes âgées de 50 à 59 ans et entre 5 et 15 (meilleure estimation = 9) pour 1 000 femmes âgées de 60 à 69 ans. Cet événement survient plutôt au cours de la première année de traitement.
    • Les facteurs de risque reconnus d’accidents thrombo-emboliques veineux sont : antécédents personnels ou familiaux, obésité sévère (IMC > 30 kg/m2), lupus érythémateux disséminé (LED). En revanche, il n’existe aucun consensus sur le rôle possible des varices sur le risque thrombo-embolique veineux. Les patientes ayant des antécédents de thromboses veineuses récidivantes ou présentant une maladie thrombotique connue ont un risque accru d’accident thromboembolique veineux. Le THS pourrait majorer ce risque. Les antécédents personnels ou familiaux d’accidents thrombo-emboliques ou d’avortements spontanés à répétition doivent être recherchés afin d’éliminer toute thrombophilie sous-jascente. Chez ces patientes, l’utilisation d’un THS est contre-indiquée jusqu’à ce qu’une évaluation précise des facteurs thrombophiliques soit réalisée ou qu’un traitement anticoagulant soit instauré.
    • Chez les femmes déjà traitées par anticoagulants, le rapport bénéfice/risque d’un THS doit être évalué avec précaution.
    • Le risque d’accident thrombo-embolique veineux peut être transitoirement augmenté en cas d’immobilisation prolongée, de traumatisme important ou d’intervention chirurgicale importante. Afin de prévenir tout risque thrombo-embolique veineux post-opératoire, les mesures prophylactiques habituelles doivent être strictement appliquées.
    • En cas d’immobilisation prolongée ou en cas d’intervention chirurgicale programmée, en particulier abdominale ou orthopédique au niveau des membres inférieurs, une interruption provisoire du traitement doit être envisagée 4 à 6 semaines avant l’intervention. Le traitement ne sera réinstauré que lorsque la patiente aura repris une mobilité normale.
    • La survenue d’un accident thrombo-embolique impose l’arrêt du THS. En cas de survenue de signes évoquant une thrombose tels que gonflement douloureux d’une jambe, douleurs soudaines dans la poitrine ou dyspnée, il est conseillé aux patientes de consulter immédiatement leur médecin.
    • Accident thromboembolique, antécédent familial(d’)
      Facteur de risque d’accident thrombo-emboliques.
    • Obésité
      Sévère : IMC > 30 kg/m2.
    • Facteur de risque d’accident thrombo-embolique.
    • Maladie thromboembolique
      Les patientes ayant des antécédents de thromboses veineuses récidivantes ou présentant une maladie thrombotique connue ont un risque accru d’accident thromboembolique veineux. Le THS pourrait majorer ce risque.
    • Les antécédents personnels ou familiaux d’accidents thrombo-emboliques ou d’avortements spontanés à répétition doivent être recherchés afin d’éliminer toute thrombophilie sous-jascente. Chez ces patientes, l’utilisation d’un THS est contre-indiquée jusqu’à ce qu’une évaluation précise des facteurs thrombophiliques soit réalisée ou qu’un traitement anticoagulant soit instauré.
    • Chez les femmes déjà traitées par anticoagulants, le rapport bénéfice/risque d’un THS doit être évalué avec précaution.
    • Avortements spontanés à répétition, antécédent (d’)
      Les antécédents personnels ou familiaux d’accidents thrombo-emboliques ou d’avortements spontanés à répétition doivent être recherchés afin d’éliminer toute thrombophilie sous-jascente. Chez ces patientes, l’utilisation d’un THS est contre-indiquée jusqu’à ce qu’une évaluation précise des facteurs thrombophiliques soit réalisée ou qu’un traitement anticoagulant soit instauré.
    • Chez les femmes déjà traitées par anticoagulants, le rapport bénéfice/risque d’un THS doit être évalué avec précaution.
    • Sujet alité
      Le risque d’accident thrombo-embolique veineux peut être transitoirement augmenté en cas d’immobilisation prolongée, de traumatisme important ou d’intervention chirurgicale importante. Afin de prévenir tout risque thrombo-embolique veineux post-opératoire, les mesures prophylactiques habituelles doivent être strictement appliquées.
    • En cas d’immobilisation prolongée ou en cas d’intervention chirurgicale programmée, en particulier abdominale ou orthopédique au niveau des membres inférieurs, une interruption provisoire du traitement doit être envisagée 4 à 6 semaines avant l’intervention. Le traitement ne sera réinstauré que lorsque la patiente aura repris une mobilité normale.
    • Traumatisme sévère
      Le risque d’accident thrombo-embolique veineux peut être transitoirement augmenté en cas d’immobilisation prolongée, de traumatisme important ou d’intervention chirurgicale importante. Afin de prévenir tout risque thrombo-embolique veineux post-opératoire, les mesures prophylactiques habituelles doivent être strictement appliquées.
    • En cas d’immobilisation prolongée ou en cas d’intervention chirurgicale programmée, en particulier abdominale ou orthopédique au niveau des membres inférieurs, une interruption provisoire du traitement doit être envisagée 4 à 6 semaines avant l’intervention. Le traitement ne sera réinstauré que lorsque la patiente aura repris une mobilité normale.
    • Intervention chirurgicale
      Le risque d’accident thrombo-embolique veineux peut être transitoirement augmenté en cas d’immobilisation prolongée, de traumatisme important ou d’intervention chirurgicale importante. Afin de prévenir tout risque thrombo-embolique veineux post-opératoire, les mesures prophylactiques habituelles doivent être strictement appliquées.
    • En cas d’immobilisation prolongée ou en cas d’intervention chirurgicale programmée, en particulier abdominale ou orthopédique au niveau des membres inférieurs, une interruption provisoire du traitement doit être envisagée 4 à 6 semaines avant l’intervention. Le traitement ne sera réinstauré que lorsque la patiente aura repris une mobilité normale.
    • Risque d’accident cardiovasculaire
      Les études randomisées contrôlées n’ont pas mis en évidence de bénéfice cardiovasculaire lors d’un traitement continu combiné associant des estrogènes conjugués équins et de l’acétate de médroxyprogestérone (MPA). Deux grandes études cliniques : WHI et HERS (Heart and Estrogen/progestin Replacement Study) montrent une possible augmentation du risque de morbidité cardiovasculaire pendant la première année d’utilisation, et aucun bénéfice global. Peu de données issues d’études randomisées contrôlées sont disponibles sur les effets sur la morbidité et la mortalité cardiovasculaire des autres THS. De ce fait, il n’est pas certain que ces résultats s’appliquent également à ces spécialités.
    • Risque de perturbations de paramètres biologiques
      Au cours du traitement par les estrogènes, une augmentation des taux plasmatiques de laTBG (thyroïd binding globulin) est observée, elle conduit à une élévation des taux plasmatiques des hormones thyroïdiennes totales mesurés par PBI (protein-bound iodine), de la T4 totale (mesuré sur colonne ou par RIA (radioimmunoassay)) et de la T3 totale (mesuré par RIA). La fixation de la T3 sur la résine est diminuée, reflétant l’augmentation de la TBG. Les concentrations des fractions libres de T4 et de T3 restent inchangées. Les taux sériques d’autres protéines de liaison telles que la CBG (corticoid binding globulin) et la SHBG (sex-hormone binding globulin) peuvent être augmentés entraînant, respectivement, une augmentation des taux circulants de corticoïdes et de stéroïdes sexuels. Les concentrations des fractions libres ou actives des hormones restent inchangées.
    • D’autres protéines plasmatiques peuvent également être augmentées (angiotensinogène/substrat de la rénine, alpha-1 -antitrypsine, céruloplasmine).
    • Risque d’accident vasculaire cérébral
      Une importante étude clinique randomisée (étude WHI) a montré, une augmentation du risque d’accident vasculaire cérébral ischémique (critère secondaire) chez des femmes en bonne santé recevant un traitement combiné continu associant des estrogènes conjugués équins et de l’acétate de médroxyprogestérone. Chez les non utilisatrices, le nombre de cas d’accidents vasculaires cérébraux sur une période de 5 années est estimé 3 pour 1 000 femmes âgées de 50 à 59 ans et à 11 pour 1 000 femmes âgées de 60 à 69 ans. Chez les femmes recevant une association d’estrogénes conjugués équins et d’acétate de médroxyprogestérone pendant 5 ans, le nombre de cas supplémentaires est estimé entre 0 et 3 (meilleure estimation = 1) pour 1 000 femmes âgées de 50 à 59 ans et entre 1 et 9 (meilleure estimation = 4) pour 1 000 femmes âgées de 60 à 69 ans. L’effet sur le risque d’accident vasculaire cérébral des autres spécialités indiquées dans le THS est inconnu.
    • Risque présumé de cancer de l’ovaire
      Certaines études épidémiologiques ont montré qu’une utilisation prolongée (au moins 5 à 10 ans) d’un estrogène seul chez des femmes hystérectomisées était associée à un risque augmenté de cancer ovarien. L’effet d’une utilisation prolongée d’un THS estroprogestatif n’est pas connu.
    • Insuffisance rénale
      Les estrogènes pouvant provoquer une rétention hydrique, les patientes présentant une insuffisance rénale ou cardiaque doivent être étroitement surveillées.
    • Les patientes en insuffisance rénale terminale doivent également être étroitement surveillées en raison de l’augmentation possible des taux circulants des principes actifs d’Avadène.
    • Insuffisance rénale chronique terminale
      Les patientes en insuffisance rénale terminale doivent également être étroitement surveillées en raison de l’augmentation possible des taux circulants des principes actifs d’Avadene.
    • Insuffisance cardiaque
      Les estrogènes pouvant provoquer une rétention hydrique, les patientes présentant une insuffisance rénale ou cardiaque doivent être étroitement surveillées.
    • Les patientes en insuffisance rénale terminale doivent également être étroitement surveillées en raison de l’augmentation possible des taux circulants des principes actifs d’Avadène.
    • Hypertriglycéridémie
      Les femmes avec une hypertriglycéridémie préexistante doivent être étroitement surveillées pendant le traitement hormonal substitutif.
    • De rares cas d’augmentation importante du taux des triglycérides conduisant à une pancréatite ont été observés sous estrogénothérapie.
    • Risque de trouble cognitif
      II n’a pas été mis en évidence d’amélioration des fonctions cognitives sous THS. Les résultats de l’étude WHI suggèrent une augmentation du risque de probable démence chez les femmes débutant un traitement combiné continu de CEE et MPA après 65 ans. Les effets chez des femmes plus jeunes ou d’autres THS ne sont pas connus.
    • Sujet âgé
      Sujet âgé :
      il existe peu de données cliniques sur le traitement des femmes âgées.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Avadène 1 mg/0,025 mg n’est pas indiqué pendant la grossesse.
  • La découverte d’une grossesse au cours du traitement par Avadène 1 mg/0,025 mg impose l’arrêt du traitement. Les données cliniques sur un nombre limité de grossesses exposées ne montrent aucun effet indésirable du gestodène sur le foetus. A ce jour, la plupart des études épidémiologiques n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène chez les femmes enceintes exposées par mégarde aux associations d’estrogènes et de progestatifs.
  •  Allaitement :

    Avadène 1 mg/0,025 mg n’est pas indiqué au cours de l’allaitement

    • Mastopathie fibrokystique (Fréquent)
    • Dysménorrhée (Fréquent)
    • Ménorragie (Fréquent)
    • Spotting (Fréquent)
    • Métrorragie (Fréquent)
    • Hémorragie vaginale (Fréquent)
    • Leucorrhée (Fréquent)
    • Mastodynie (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Météorisme (Fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Crampe (Fréquent)
    • Douleur des membres (Fréquent)
    • Nervosité (Fréquent)
    • Dépression (Fréquent)
    • Tumeur bénigne du sein (Peu fréquent)
    • Polypose utérine (Peu fréquent)
    • Fibrome utérin (augmentation) (Peu fréquent)
    • Endométriose (Peu fréquent)
    • Candidose vulvovaginale (Peu fréquent)
    • Volume mammaire (augmentation) (Peu fréquent)
    • Vomissement (Peu fréquent)
    • Constipation (Peu fréquent)
    • Diarrhée (Peu fréquent)
    • Accident vasculaire cérébral (Peu fréquent)
    • Migraine (Peu fréquent)
    • Vertige (Peu fréquent)
    • Douleur articulaire (Peu fréquent)
    • Thrombophlébite (Peu fréquent)
    • Hypertension artérielle (Peu fréquent)
    • Angor (Peu fréquent)
    • Oedème périphérique (Peu fréquent)
    • Poids (augmentation) (Peu fréquent)
    • Asthénie (Peu fréquent)
    • Appétit (augmentation) (Peu fréquent)
    • Acné (Peu fréquent)
    • Eruption cutanée (Peu fréquent)
    • Prurit (Peu fréquent)
    • Alopécie (Peu fréquent)
    • Séborrhée (Peu fréquent)
    • Lithiase biliaire (Peu fréquent)
    • Bilan hépatique (anomalie) (Peu fréquent)
    • Cancer du sein
    • Cancer de l’endomètre
    • Thrombophlébite profonde
    • Embolie pulmonaire
    • Infarctus du myocarde
    • Affection de la vésicule biliaire
    • Chloasma
    • Erythème polymorphe
    • Erythème noueux
    • Purpura vasculaire
    • Démence

    • Classement ATC : 
          NON RENSEIGNE
    • Classement Vidal : 
          Estroprogestatif non contraceptif Gynécologie Obstétrique
          Traitement de la ménopause : estroprogestatif (Voie orale)

    Liste I
    • CIP : 3583947 (AVADENE 1 mg/0,025 mg cp pellic : B/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Bayer Santé


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