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BECLO RHINO 50 µg susp p pulv nasal en flacon







suspension pour pulvérisation nasale
par 1 dose(s)
béclométasone dipropionate50 µg
Excipients : glucose anhydre, avicel RC 581, carmellose sodique, alcool phényléthylique, polysorbate 80, eau purifiée, benzalkonium chlorure.

– Rhinites allergiques perannuelles ou saisonnières .

  • – Rhinites inflammatoires à éosinophiles.

  • Voie nasale.
  • 1 pulvérisation délivre 50 microgrammes de dipropionate de béclométasone.
  • – Adultes:
    La dose quotidienne est en moyenne de 400 microgrammes par jour soit 2 pulvérisations dans chaque narine 2 fois par jour ou 1 pulvérisation dans chaque narine 4 fois par jour.
  • Elle sera adaptée à l’état clinique du patient et ne devra habituellement pas dépasser 1 mg par jour (soit 10 pulvérisations dans chaque narine par jour).
  • Dans les formes chroniques on s’efforcera d’abaisser progressivement les doses à 200 microgrammes par jour, soit une pulvérisation dans chaque narine matin et soir.
  • – Enfants de plus de 3 ans:
    La dose quotidienne est en moyenne de 200 à 400 microgrammes par jour (6 à 13 microgrammes/kg/jour) soit 1 à 2 pulvérisations dans chaque narine matin et soir. Elle sera adaptée à l’état clinique du patient et ne devra habituellement pas dépasser 600 microgrammes chez l’enfant de moins de 12 ans (soit 6 pulvérisations dans chaque narine par jour).
  • Dans la rhinite allergique, la mise en route et la durée du traitement sont fonction de l’exposition allergénique.
  • Le traitement sera poursuivi en s’efforçant d’abaisser progressivement les doses dès l’amélioration des symptômes.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux ammoniums quaternaires
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Trouble de la coagulation
    • Epistaxis
    • Herpès buccal
    • Kératite herpétique
    • Herpès nasal

    • Enfant de moins de 15 ans
      Chez l’enfant, en cas de traitement prolongé, il convient de rester vigilant sur les risques de retentissement sur la croissance.
    • Le risque d’effets systémiques, de freination cortico-surrénalienne et de retentissement sur la croissance est majoré en cas d’administration concomitante d’une corticothérapie par voie inhalée ou à fortiori par voie systémique.
    • Traitement prolongé par corticoïde en cours
      L’administration conjointe de corticoïdes par voie nasale chez les patients sous corticothérapie orale au long cours ne dispense pas des précautions nécessaires lors d’une réduction des doses de corticoïdes par voie orale. Celles-ci seront diminuées très progressivement et le sevrage devra être effectué sous surveillance médicale attentive (à la recherche de l’apparition de signes d’insuffisance surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l’arrêt de la corticothérapie générale.
    • Risque de syndrome de sevrage
      L’administration conjointe de corticoïdes par voie nasale chez les patients sous corticothérapie orale au long cours ne dispense pas des précautions nécessaires lors d’une réduction des doses de corticoïdes par voie orale. Celles-ci seront diminuées très progressivement et le sevrage devra être effectué sous surveillance médicale attentive (à la recherche de l’apparition de signes d’insuffisance surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l’arrêt de la corticothérapie générale.
    • Traumatisme nasal
      L’administration locale par voie nasale de corticoïdes n’est pas recommandée chez les patients ayant présenté récemment une ulcération de la cloison nasale, ou ayant subi une intervention ou un traumatisme au niveau du nez, tant que la guérison n’est pas complète.
    • Information du patient
      Avertir le patient qu’il s’agit d’un traitement régulier et qu’un délai de plusieurs jours de traitement peut être nécessaire avant d’observer les effets sur les symptômes de la rhinite.
    • Il conviendra d’assurer la perméabilité des fosses nasales pour une diffusion optimale du produit. En avertir le patient en lui conseillant de les assécher par mouchage avant l’instillation.
    • Obstruction nasale
      En cas d’obstruction nasale majeure, un examen détaillé de la sphère ORL doit être pratiqué.
    • Tuberculose pulmonaire
      En cas de tuberculose pulmonaire l’instauration d’une surveillance étroite et d’un traitement adapté s’impose.
    • Mycose pulmonaire
      En cas d’infection mycosique pulmonaire, l’instauration d’une surveillance étroite et d’un traitement adapté s’impose.
    • Traitement prolongé
      En cas de traitement prolongé, des examens répétés de la muqueuse nasale sont recommandés afin d’évaluer le retentissement éventuel de la corticothérapie sur la muqueuse nasale. Si une atrophie de la muqueuse nasale est constatée, il conviendra d’envisager la diminution des doses de corticoïdes locaux.
    • Pathologie intercurrente
      Le risque d’insuffisance corticotrope latente après administration prolongée devra être considéré en cas d’infection intercurrente, d’accident ou d’intervention chirurgicale.
    • Intervention chirurgicale
      Le risque d’insuffisance corticotrope latente après administration prolongée devra être considéré en cas d’infection intercurrente, d’accident ou d’intervention chirurgicale.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Chez l’animal, l’expérimentation met en évidence un effet tératogène, variable selon les espèces.
  • Chez l’homme, les études épidémiologiques n’ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes per os lors du premier trimestre.
  • Lors de maladies chroniques nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénalienne néonatale a été exceptionnellement observée après corticothérapie à doses élevées.
  • Il peut être justifié d’observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique (glycémie) du nouveau-né.
  • En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin.
  •  Allaitement :

    Le passage dans le lait de la béclométasone n’a pas été étudié. Néanmoins, les autres corticoïdes sont excrétés dans le lait.
  • Les données disponibles semblent montrer une bonne tolérance chez l’enfant ; cependant, le retentissement biologique ou clinique d’un traitement maternel de longue durée n’est pas évalué à ce jour.
  • En conséquence, l’allaitement est possible en cas de traitement bref. En cas de traitement chronique, par mesure de précaution, l’allaitement est à éviter.

    • Epistaxis
    • Irritation nasale
    • Hyposécrétion nasale
    • Candidose
    • Perforation du septum nasal (Rare)
    • Hypertonie oculaire (Rare)
    • Effets systémiques
      Traitement prolonge.

    • Classement ATC : 
          R01AD01 / BECLOMETASONE
    • Classement Vidal : 
          Rhinite allergique : corticoïde

    Liste I
    • CIP : 3417812 (BECLO RHINO 50 µg susp p pulv nasal en flacon : Fl pulv/100doses).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 30 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3417829 (BECLO RHINO 50 µg susp p pulv nasal en flacon : Fl pulv/200doses).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 30 %, Agréé aux collectivités


    Meda Pharma


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