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BETAMETHASONE BIOGARAN 0,05 % sol buv en gte







solution buvable en gouttes
par 1 ml
par 1 flacon
30 ml
bétaméthasone0,5 mg0,015 g
Excipients : propylèneglycol, sorbitol, saccharose solution 67 % m/m, sodium benzoate, acide édétique sel de Na, phosphate disodique anhydre, orange arôme douce, acide citrique monohydrate qs pH 4 à 5, eau purifiée.

Affections ou maladies :
* Collagénoses et connectivites :
– Poussées évolutives de maladies systémiques, notamment : lupus érythémateux disséminé, vascularite, polymyosite, sarcoïdose viscérale.

  • * Dermatologiques :
    – Dermatoses bulleuses auto-immunes sévères, en particulier pemphigus et pemphigoïde bulleuse.
  • – Formes graves des angiomes du nourrisson.
  • – Certaines formes de lichen plan.
  • – Certaines urticaires aiguës.
  • – Formes graves de dermatoses neutrophiliques.
  • * Digestives :
    – Poussées évolutives de la rectocolite hémorragique et de la maladie de Crohn.
  • – Hépatite chronique active auto-immune (avec ou sans cirrhose).
  • – Hépatite alcoolique aiguë sévère, histologiquement prouvée.
  • * Endocriniennes :
    – Thyroïdite subaiguë de de Quervain sévère.
  • – Certaines hypercalcémies.
  • * Hématologiques :
    – Purpuras thrombopéniques immunologiques sévères.
  • – Anémies hémolytiques auto-immunes.
  • – En association avec diverses chimiothérapies dans le traitement d’hémopathies malignes lymphoïdes.
  • – Erythroblastopénies chroniques, acquises ou congénitales.
  • * Infectieuses :
    – Péricardite tuberculeuse et formes graves de tuberculose mettant en jeu le pronostic vital.
  • – Pneumopathie à Pneumocystis carinii avec hypoxie sévère.
  • * Néoplasiques :
    – Traitement antiémétique au cours des chimiothérapies antinéoplasiques.
  • – Poussée oedémateuse et inflammatoire associée aux traitements antinéoplasiques (radio et chimiothérapie).
  • * Néphrologiques :
    – Syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes.
  • – Syndrome néphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives.
  • – Stades III et IV de la néphropathie lupique.
  • – Sarcoïdose granulomateuse intrarénale.
  • – Vascularites avec atteinte rénale.
  • – Glomérulonéphrites extracapillaires primitives.
  • * Neurologiques :
    – Myasthénie.
  • – Oedème cérébral de cause tumorale.
  • – Polyradiculonévrite chronique, idiopathique, inflammatoire.
  • – Spasme infantile (syndrome de West), syndrome de Lennox-Gastaut.
  • – Sclérose en plaques en poussée, en relais d’une corticothérapie intraveineuse.
  • * Ophtalmologiques :
    – Uvéite antérieure et postérieure sévère.
  • – Exophtalmies oedémateuses.
  • – Certaines neuropathies optiques, en relais d’une corticothérapie intraveineuse (dans cette indication, la voie orale en première intention est déconseillée).
  • * ORL :
    – Certaines otites séreuses.
  • – Polypose nasosinusienne.
  • – Certaines sinusites aiguës ou chroniques.
  • – Rhinites allergiques saisonnières en cure courte.
  • – Laryngite aiguë striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l’enfant.
  • * Respiratoires :
    – Asthme persistant, de préférence en cure courte, en cas d’échec du traitement par voie inhalée à fortes doses.
  • – Exacerbations d’asthme, en particulier asthme aigu grave.
  • – Bronchopneumopathie chronique obstructive en évaluation de la réversibilité du syndrome obstructif.
  • – Sarcoïdose évolutive.
  • – Fibroses pulmonaires interstitielles diffuses.
  • * Rhumatologiques :
    – Polyarthrite rhumatoïde et certaines polyarthrites.
  • – Pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton.
  • – Rhumatisme articulaire aigu.
  • – Névralgies cervicobrachiales sévères et rebelles.
  • * Transplantation d’organe et de cellules souches hématopoïétiques allogéniques :
    – Prophylaxie ou traitement du rejet de greffe.
  • – Prophylaxie ou traitement de la réaction du greffon contre l’hôte.

  • Réservé aux nourrissons et aux enfants.
  • 40 gouttes correspondent à 1 ml de solution et à 0,5 mg de bétaméthasone.
  • Equivalence anti-inflammatoire (équipotence) pour 5 mg de prednisone : 0.75 mg de bétaméthasone.
  • La posologie doit être adaptée à l’affection et au poids de l’enfant.
  • – Traitement d’attaque : 0.075 mg par kg/jour, soit 6 gouttes par kg/jour à 0.3 mg par kg/jour de bétaméthasone, soit 24 gouttes par kg/jour (0.5 à 2 mg par kg/jour équivalent prednisone).
  • A titre indicatif : 150 à 600 gouttes pour un enfant de 25 kg.
  • – Traitement d’entretien : 0.03 mg par kg/jour (3 gouttes par kg/jour).
  • A titre indicatif : 75 gouttes pour un enfant de 25 kg.
  • La prescription de la corticothérapie à jour alterné (un jour sans corticoïdes et le deuxième jour avec une posologie double de la posologie quotidienne qui aurait été requise) s’utilise chez l’enfant pour tenter de limiter le retard de croissance. Ce schéma à jour alterné ne peut s’envisager qu’après le contrôle de la maladie inflammatoire par les fortes doses de corticoïdes, et lorsqu’au cours de la décroissance aucun rebond n’est observé.
  • * En général :
    Le traitement à la dose d’attaque doit être poursuivi jusqu’au contrôle durable de la maladie. La décroissance doit être lente. L’obtention d’un sevrage est le but recherché. Le maintien d’une dose d’entretien (dose minimale efficace) est un compromis parfois nécessaire.
  • Pour un traitement prolongé et à fortes doses, les premières doses peuvent être réparties en deux prises quotidiennes. Par la suite, la dose quotidienne peut être administrée en prise unique, de préférence le matin au cours d’un repas.
  • * Arrêt du traitement :
    Le rythme du sevrage dépend principalement de la durée du traitement, de la dose de départ et de la maladie.
  • Le traitement entraîne une mise au repos des sécrétions d’ACTH et de cortisol avec parfois une insuffisance surrénalienne durable. Lors du sevrage, l’arrêt doit se faire progressivement, par paliers, en raison du risque de rechute : réduction de dix pour cent tous les 8 à 15 jours en moyenne.
  • Pour les cures courtes de moins de 10 jours, l’arrêt du traitement ne nécessite pas de décroissance.
  • Lors de la décroissance des doses (cure prolongée) : à la posologie de 5 à 7 mg d’équivalent prednisone, lorsque la maladie causale ne nécessite plus de corticothérapie, il est souhaitable de remplacer le corticoïde de synthèse par 20 mg par jour d’hydrocortisone jusqu’à la reprise de la fonction corticotrope. Si une corticothérapie doit être maintenue à une dose inférieure à 5 mg d’équivalent prednisone par jour, il est possible d’y adjoindre une petite dose d’hydrocortisone pour atteindre un équivalent d’hydrocortisone de 20 à 30 mg par jour. Lorsque le patient est seulement sous hydrocortisone, il est possible de tester l’axe corticotrope par des tests endocriniens. Ces tests n’éliminent pas, à eux seuls, la possibilité de survenue d’insuffisance surrénale au cours d’un stress.
  • Sous hydrocortisone ou même à distance de l’arrêt, le patient doit être prévenu de la nécessité d’augmenter la posologie habituelle ou de reprendre un traitement substitutif (par exemple 100 mg d’hydrocortisone en intramusculaire toutes les 6 à 8 heures) en cas de stress : intervention chirurgicale, traumatisme, infection.Mode d’administration :
    Mettre les gouttes dans un verre d’eau. L’ingestion de la solution se fait de préférence à la fin du repas.

  • Absolue(s) :
    • Hépatite virale
    • Herpès
    • Varicelle
    • Zona
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Infection contre-indiquant l’usage des corticoïdes
    • Psychose non contrôlée
    • Aucune contre-indication absolue en cas d’indication vitale
    • Intolérance au fructose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Sucrase-isomaltase, déficit (en)

    • Ulcère gastroduodénal évolutif
      En cas d’ulcère gastroduodénal, la corticothérapie n’est pas contre-indiquée si un traitement anti-ulcéreux est associé.
    • Ulcère gastroduodénal, antécédent (d’)
      En cas d’antécédents ulcéreux, la corticothérapie peut être prescrite, avec une surveillance clinique et, au besoin, après fibroscopie.
    • Réservé au nourrisson et à l’enfant
    • Administrer à la fin du repas
      L’ingestion de la solution se fait de préférence à la fin du repas.
    • Risque d’infection
      La corticothérapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment à des bactéries, des levures et des parasites.
    • Sujet venant d’une zone d’endémie de l’anguillulose
      La survenue d’une anguillulose maligne est un risque important.
    • Tous les sujets venant d’une zone d’endémie (régions tropicales, subtropicales, sud de l’Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement éradicateur systématique avant la corticothérapie.
    • Infection
      Les signes évolutifs d’une infection peuvent être masqués par la corticothérapie.
    • Il importe, avant la mise en route du traitement, d’écarter toute possibilité de foyer viscéral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l’apparition de pathologies infectieuses.
    • Tuberculose, antécédent
      En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est nécessaire, s’il existe des séquelles radiologiques importantes et si l’on ne peut s’assurer qu’un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a été donné.
    • Rectocolite hémorragique
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas de colites ulcéreuses (risque de perforation).
    • Antécédent récent d’anastomose intestinale
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’anastomoses intestinales récentes.
    • Insuffisance rénale
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’insuffisance rénale.
    • Insuffisance hépatique
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’insuffisance hépatique.
    • Ostéoporose
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’ostéoporose.
    • Myasthénie sévère
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas de myasthénie grave.
    • Risque de diarrhée
      En raison de la présence de sorbitol, ce médicament peut provoquer des troubles digestifs et un effet laxatif léger.
    • Tenir compte de la teneur en sorbitol
    • Tenir compte de la présence de propylèneglycol
      Ce médicament contient du propylène glycol et peut provoquer des symptômes semblables à ceux
      provoqués par l’alcool.
    • Respecter un régime alimentaire particulier en cas de traitement prolongé
      Un régime pauvre en sucres d’absorption rapide et hyperprotidique doit être associé, en raison de l’effet hyperglycémiant et du catabolisme protidique avec négativation du bilan azoté.
    • Respecter un régime hyposodé en cas de traitement prolongé
      Une rétention hydrosodée est habituelle, responsable en partie d’une élévation éventuelle de la pression artérielle. L’apport sodé sera réduit pour des posologies quotidiennes supérieures à 15 ou 20 mg d’équivalent prednisone et modéré dans les traitements au long cours à doses faibles.
    • Assurer une supplémentation potassique en cas de traitement prolongé
      La supplémentation potassique n’est justifiée que pour des traitements à fortes doses, prescrits pendant une longue durée, ou en cas de risque de troubles du rythme ou d’association à un traitement hypokaliémiant.
    • Patient traité à posologie élevée
      La supplémentation potassique n’est justifiée que pour des traitements à fortes doses, prescrits pendant une longue durée, ou en cas de risque de troubles du rythme ou d’associations à un traitement hypokaliémiant.
    • Arythmie
      La supplémentation potassique n’est justifiée que pour des traitements à fortes doses, prescrits pendant une longue durée, ou en cas de risque de troubles du rythme ou d’associations à un traitement hypokaliémiant.
    • Assurer une supplémentation en calcium et vitamine D en cas de traitement prolongé
      Le patient doit avoir systématiquement un apport en calcium et en vitamine D.
    • Diabète
      Lorsque la corticothérapie est indispensable, le diabète n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraîner son déséquilibre. Il convient de réévaluer sa prise en charge.
    • Hypertension artérielle
      Lorsque la corticothérapie est indispensable, l’hypertension artérielle n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraîner son déséquilibre. Il convient de réévaluer sa prise en charge.
    • Présence d’un cas de varicelle ou rougeole dans l’entourage du patient
      Les patients doivent éviter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole.
    • Sportif
      L’attention est attirée chez les sportifs, cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopages.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Chez l’animal, l’expérimentation met en évidence un effet tératogène variable selon les espèces.
  • Dans l’espèce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les études épidémiologiques n’ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre. Lors de maladies chroniques, nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observée après corticothérapie à doses élevées. Il est justifié d’observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né.
  • En conséquence, les corticoïdes peuvent être prescrits pendant la grossesse, si besoin.
  •  Allaitement :

    En cas de traitement à des doses importantes et de façon chronique, l’allaitement est déconseillé.

    • Hypokaliémie
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Alcalose métabolique
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Rétention hydrosodée
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Hypertension artérielle
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Syndrome de Cushing
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Insuffisance hypophysosurrénale
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Atrophie corticosurrénalienne
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Intolérance au glucose
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Diabète
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Retard de croissance
      Enfant, Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Irrégularité menstruelle (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Atrophie musculaire
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ostéoporose
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Fracture pathologique
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Tassement vertébral
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ostéonécrose aseptique des têtes fémorales
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Hoquet
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ulcère gastroduodénal
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ulcère de l’intestin grêle
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Perforation digestive
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Hémorragie digestive
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Pancréatite aiguë
      Enfant, Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Acné
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Purpura
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ecchymose
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Hypertrichose
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Retard de cicatrisation
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Euphorie (Fréquent)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Insomnie (Fréquent)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Agitation (Fréquent)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Accès maniaque (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Etat confuso-onirique (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Confusion mentale (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Convulsions (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge, Voie generale, Voie intra-thecale.
    • Dépression
      Arret brutal d’un traitement prolonge, Fortes doses.
    • Glaucome
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Cataracte
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Trouble digestif
    • Diarrhée

    • Classement ATC : 
          H02AB01 / BETAMETHASONE
    • Classement Vidal : 
          Antiasthmatique : corticoïde (Bétaméthasone)
          Anti-inflammatoire stéroïdien : corticoïde (Bétaméthasone)

    Liste I
    • CIP : 3894699 (BETAMETHASONE BIOGARAN 0,05 % sol buv en gte : Fl/30ml).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Biogaran


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