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BETAMETHASONE BIOGARAN 2 mg cp dispers séc







comprimé dispersible sécable
par 1 cp dispersible
bétaméthasone2 mg
Excipients : lactose monohydrate, cellulose poudre, crospovidone, aspartam, magnésium stéarate.

Affections ou maladies :
* Collagénoses et connectivites :
– Poussées évolutives de maladies systémiques, notamment : lupus érythémateux disséminé, vascularite, polymyosite, sarcoïdose viscérale.

  • * Dermatologiques :
    – Dermatoses bulleuses auto-immunes sévères, en particulier pemphigus et pemphigoïde bulleuse.
  • – Formes graves des angiomes du nourrisson.
  • – Certaines formes de lichen plan.
  • – Certaines urticaires aiguës.
  • – Formes graves de dermatoses neutrophiliques.
  • * Digestives :
    – Poussées évolutives de la rectocolite hémorragique et de la maladie de Crohn.
  • – Hépatite chronique active auto-immune (avec ou sans cirrhose).
  • – Hépatite alcoolique aiguë sévère, histologiquement prouvée.
  • * Endocriniennes :
    – Thyroïdite subaiguë de De Quervain sévère.
  • – Certaines hypercalcémies.
  • * Hématologiques :
    – Purpuras thrombopéniques immunologiques sévères.
  • – Anémies hémolytiques auto-immunes.
  • – En association avec diverses chimiothérapies dans le traitement d’hémopathies malignes lymphoïdes.
  • – Erythroblastopénies chroniques, acquises ou congénitales.
  • * Infectieuses :
    – Péricardite tuberculeuse et formes graves de tuberculose mettant en jeu le pronostic vital.
  • – Pneumopathie à Pneumocystis carinii avec hypoxie sévère.
  • * Néoplasiques :
    – Traitement antiémétique au cours des chimiothérapies antinéoplasiques.
  • – Poussée oedémateuse et inflammatoire associée aux traitements antinéoplasiques (radio et chimiothérapie).
  • * Néphrologiques :
    – Syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes.
  • – Syndrome néphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives.
  • – Stades III et IV de la néphropatie lupique.
  • – Sarcoïdose granulomateuse intrarénale.
  • – Vascularites avec atteinte rénale.
  • – Glomérulonéphrites extracapillaires primitives.
  • *Neurologiques :
    – Myasthénie.
  • – oedème cérébral de cause tumorale.
  • – Polyradiculonévrite chronique, idiopathique, inflammatoire.
  • – Spasme infantile (syndrome de West), syndrome de Lennox-Gastaut.
  • – Sclérose en plaques en poussée, en relais d’une corticothérapie intraveineuse.
  • *Ophtalmologiques :
    – Uvéite antérieure et postérieure sévère.
  • – Exophtalmies oedémateuses.
  • – Certaines neuropathies optiques, en relais d’une corticothérapie intraveineuse (dans cette indication, la voie orale en première intention est déconseillée).
  • * ORL :
    – Certaines otites séreuses.
  • – Polypose nasosinusienne.
  • – Certaines sinusites aiguës ou chroniques.
  • – Rhinites allergiques saisonnières en cure courte.
  • – Laryngite aiguë striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l’enfant.
  • * Respiratoires :
    – Asthme persistant, de préférence en cure courte, en cas d’échec du traitement par voie inhalée à fortes doses.
  • – Exacerbations d’asthme, en particulier asthme aigu grave.
  • – Bronchopneumopathie chronique obstructive en évaluation de la réversibilité du syndrome obstructif.
  • – Sarcoïdose évolutive.
  • – Fibroses pulmonaires interstitielles diffuses.
  • * Rhumatologiques :
    – Polyarthrite rhumatoïde et certaines polyarthrites.
  • – Pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton.
  • – Rhumatisme articulaire aigu.
  • – Névralgies cervicobrachiales sévères et rebelles.
  • * Transplantation d’organe et de cellules souches hématopoïétiques allogéniques :
    – Prophylaxie ou traitement du rejet de greffe.
  • – Prophylaxie ou traitement de la réaction du greffon contre l’hôte.

  • Réservé à l’adulte :
    Ce médicament est plus particulièrement adapté aux traitements d’attaque ou aux traitements de courte durée nécessitant des doses moyennes ou fortes chez l’adulte.
  • En traitement d’entretien, il existe des dosages plus appropriés.
  • Chez l’enfant, il existe des dosages et des formes pharmaceutiques plus adaptés.
  • – La posologie est variable en fonction du diagnostic, de la sévérité de l’affection, du pronostic, de la réponse du patient et de la tolérance au traitement.
  • * Traitement d’attaque : 0.05 à 0.2 mg par kilo/jour (soit 0.35 à 1.2 mg par kilo/jour équivalent prednisone). A titre indicatif : 1.5 comprimé à 6 comprimés chez un adulte de 60 kg.
  • * Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0.1 à 0.2 mg par kilo/jour de bétaméthasone (0.75 mg à 1.2 mg par kg/jour équivalent prednisone). A titre indicatif : 3 à 6 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg.
  • En général :
    Le traitement à la dose d’attaque doit être poursuivi jusqu’au contrôle durable de la maladie. La décroissance doit être lente. L’obtention d’un sevrage est le but recherché. Le maintien d’une dose d’entretien (dose minimale efficace) est un compromis parfois nécessaire.
  • Pour un traitement prolongé et à fortes doses, les premières doses peuvent être réparties en deux prises quotidiennes. Par la suite, la dose quotidienne peut être administrée en prise unique, de préférence le matin au cours du repas.
  • – Arrêt du traitement :
    Le rythme du sevrage dépend principalement de la durée du traitement, de la dose de départ et de la maladie.
  • Le traitement entraîne une mise au repos des sécrétions d’ACTH et de cortisol avec parfois une insuffisance surrénalienne durable. Lors du sevrage, l’arrêt doit se faire progressivement, par paliers, en raison du risque de rechute : réduction de 10 % tous les 8 à 15 jours en moyenne.
  • Pour les cures courtes de moins de 10 jours, l’arrêt du traitement ne nécessite pas de décroissance.
  • Lors de la décroissance des doses (cure prolongée) : à la posologie de 5 à 7 mg d’équivalent prednisone, lorsque la maladie causale ne nécessite plus de corticothérapie, il est souhaitable de remplacer le corticoïde de synthèse par 20 mg/jour d’hydrocortisone jusqu’à la reprise de la fonction corticotrope. Si une corticothérapie doit être maintenue à une dose inférieure à 5 mg d’équivalent prednisone par jour, il est possible d’y adjoindre une petite dose d’hydrocortisone pour atteindre un équivalent d’hydrocortisone de 20 à 30 mg par jour. Lorsque le patient est seulement sous hydrocortisone, il est possible de tester l’axe corticotrope par des tests endocriniens. Ces tests n’éliminent pas, à eux seuls, la possibilité de survenue d’insuffisance surrénale au cours d’un stress.
  • Sous hydrocortisone ou même à distance de l’arrêt, le patient doit être prévenu de la nécessité d’augmenter la posologie habituelle ou de reprendre un traitement substitutif (par exemple 100 mg d’hydrocortisone en intramusculaire toutes les 6 à 8 heures) en cas de stress : intervention chirurgicale, traumatisme, infection.Mode d’administration :
    Equivalence anti-inflammatoire (équipotence) pour 5 mg de prednisone : 0.75 mg de bétaméthasone.
  • Les comprimés peuvent être avalés tels quels avec un peu d’eau ou dissous dans un peu d’eau, de préférence au cours des repas.

  • Absolue(s) :
    • Hépatite virale
    • Herpès
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Infection contre-indiquant l’usage des corticoïdes
    • Psychose non contrôlée
    • Varicelle
    • Zona
    • Aucune contre-indication absolue en cas d’indication vitale
    • Phénylcétonurie
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Ulcère gastroduodénal évolutif
      En cas d’ulcère gastroduodénal, la corticothérapie n’est pas contre-indiquée si un traitement anti-ulcéreux est associé.
    • Ulcère gastroduodénal, antécédent (d’)
      En cas d’antécédents ulcéreux, la corticothérapie peut être prescrite, avec une surveillance clinique et, au besoin, après fibroscopie.
    • Risque d’infection
      La corticothérapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment à des bactéries, des levures et des parasites.
    • Sujet venant d’une zone d’endémie de l’anguillulose
      La survenue d’une anguillulose maligne est un risque important.
    • Tous les sujets venant d’une zone d’endémie (régions tropicales, subtropicales, sud de l’Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement éradicateur systématique avant la corticothérapie.
    • Infection
      Les signes évolutifs d’une infection peuvent être masqués par la corticothérapie.
    • Il importe, avant la mise en route du traitement, d’écarter toute possibilité de foyer viscéral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l’apparition de pathologies infectieuses.
    • Tuberculose, antécédent
      En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est nécessaire, s’il existe des séquelles radiologiques importantes et si l’on ne peut s’assurer qu’un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a été donné.
    • Sujet âgé
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment chez les sujets âgés.
    • Rectocolite hémorragique
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas de colites ulcéreuses (risque de perforation).
    • Antécédent récent d’anastomose intestinale
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’anastomoses intestinales récentes.
    • Insuffisance rénale
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’insuffisance rénale.
    • Insuffisance hépatique
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’insuffisance hépatique.
    • Ostéoporose
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas d’ostéoporose.
    • Myasthénie sévère
      L’emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment en cas de myasthénie grave.
    • Respecter un régime alimentaire particulier en cas de traitement prolongé
      – Un régime pauvre en sucres d’absorption rapide et hyperprotidique doit être associé, en raison de l’effet hyperglycémiant et du catabolisme protidique avec négativation du bilan azoté.
    • – Le patient doit avoir systématiquement un apport en calcium et en vitamine D.
    • Assurer une supplémentation en calcium et vitamine D en cas de traitement prolongé
      – Le patient doit avoir systématiquement un apport en calcium et en vitamine D.
    • Respecter un régime hyposodé en cas de traitement prolongé
      Une rétention hydrosodée est habituelle, responsable en partie d’une élévation éventuelle de la pression artérielle. L’apport sodé sera réduit pour des posologies quotidiennes supérieures à 15 ou 20 mg d’équivalent prednisone et modéré dans les traitements au long cours à doses faibles.
    • Patient traité à posologie élevée
      La supplémentation potassique n’est justifiée que pour des traitements à fortes doses.
    • Assurer une supplémentation potassique en cas de traitement prolongé
      La supplémentation potassique n’est justifiée que pour des traitements prescrits pendant une longue durée.
    • Arythmie
      La supplémentation potassique n’est justifiée qu’en cas de risque de troubles du rythme.
    • Diabète
      Lorsque la corticothérapie est indispensable, le diabète n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraîner son déséquilibre. Il convient de réévaluer sa prise en charge.
    • Hypertension artérielle
      Lorsque la corticothérapie est indispensable, l’hypertension artérielle n’est pas une contre-indication mais le traitement peut entraîner son déséquilibre. Il convient de réévaluer sa prise en charge.
    • Présence d’un cas de varicelle ou rougeole dans l’entourage du patient
      Les patients doivent éviter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole.
    • Sportif
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Administrer à la fin du repas
      Les comprimés doivent être avalés avec un verre d’eau, de préférence à la fin du repas.
    • Réservé à l’adulte
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Chez l’animal, l’expérimentation met en évidence un effet tératogène variable selon les espèces.
  • Dans l’espèce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les études épidémiologiques n’ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre.
  • Lors de maladies chroniques, nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observée après corticothérapie à doses élevées.
  • Il est justifié d’observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né.
  • En conséquence, les corticoïdes peuvent être prescrits pendant la grossesse, si besoin.
  •  Allaitement :

    En cas de traitement à des doses importantes et de façon chronique, l’allaitement est déconseillé.

    • Hypokaliémie
      Forte dose, Traitement prolonge.
    • Alcalose métabolique
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Rétention hydrosodée
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Hypertension artérielle
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Syndrome de Cushing
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Insuffisance hypophysosurrénale
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Atrophie corticosurrénalienne
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Intolérance au glucose
      Forte dose, Traitement prolonge.
    • Diabète
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Retard de croissance
      Enfant, Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Irrégularité menstruelle (Rare)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Atrophie musculaire
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Ostéoporose
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Fracture pathologique
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Tassement vertébral
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Ostéonécrose aseptique des têtes fémorales
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Hoquet
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Ulcère gastroduodénal
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Ulcère de l’intestin grêle
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Perforation digestive
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Hémorragie digestive
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Pancréatite aiguë
      Doses elevees, Enfant, Traitement prolonge.
    • Acné
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Purpura
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Ecchymose
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Hypertrichose
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Retard de cicatrisation
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Euphorie (Fréquent)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Insomnie (Fréquent)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Agitation (Fréquent)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Accès maniaque (Rare)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Confusion mentale (Rare)
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Etat confuso-onirique (Rare)
      Fortes doses, Traitement prolonge.
    • Convulsions (Rare)
      Doses elevees, Traitement prolonge, Voie generale, Voie intra-thecale.
    • Dépression
      Arret du traitement, Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Glaucome
      Doses elevees, Traitement prolonge.
    • Cataracte
      Doses elevees, Traitement prolonge.

    • Classement ATC : 
          H02AB01 / BETAMETHASONE
    • Classement Vidal : 
          Antiasthmatique : corticoïde (Bétaméthasone)
          Anti-inflammatoire stéroïdien : corticoïde (Bétaméthasone)

    Liste I
    • CIP : 3887541 (BETAMETHASONE BIOGARAN 2 mg cp dispers séc : Fl/20).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Biogaran


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