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CAPTOPRIL HYDROCHLOROTHIAZIDE EG 50 mg/25 mg cp séc






comprimé sécable
par 1 comprimé
captopril50 mg
hydrochlorothiazide25 mg
Excipients : cellulose microcristalline, lactose monohydrate, amidon de maïs modifié, acide stéarique, magnésium stéarate.

Traitement de l’hypertension artérielle essentielle.

  • Cette association à dose fixe est indiquée chez les patients dont la pression artérielle n’est pas suffisamment contrôlée par le captopril seul ou l’hydrochlorothiazide seul.

  • Ce médicament peut être administré en une ou deux prises par jour avec ou sans nourriture chez les patients dont la pression artérielle n’est pas suffisamment contrôlée par le captopril seul ou l’hydrochlorothiazide seul.
  • La posologie maximum quotidienne de 100 mg de captopril/30 mg d’hydrochlorothiazide ne doit pas être dépassée.
  • Si une baisse satisfaisante de la pression artérielle n’a pas été obtenue, un autre traitement antihypertenseur peut être associé.
  • — Adultes :
    L’administration d’une association fixe de captopril et d’hydrochlorothiazide est habituellement recommandée après titration des composants pris individuellement. La dose d’entretien habituelle est 50/25 mg une fois par jour, le matin. Lorsque cela est cliniquement justifié, un passage direct de la monothérapie à l’association fixe peut être envisagé.
  • Le dosage 25/25 mg peut être utilisé en une prise par jour chez les patients dont la pression artérielle n’est pas suffisamment contrôlée par l’hydrochlorothyazide 25 mg en monothérapie et avant titration du captopril.
  • Les dosages 50/25 mg et 25/25 mg sont destinés à être utilisés en dose quotidienne unique puisque deux comprimés donneraient une forte dose inappropriée d’hydrochlorothiazide (50 mg/jour).
  • Le dosage 50/15 mg peut être administré pour initier le traitement par l’association fixe chez les patients dont la pression artérielle n’est pas suffisamment contrôlée par 50 mg de captopril en monothérapie, et/ou lorsqu’une plus faible dose d’hydrochlorothiazide est préférable.
  • — Insuffisance rénale :
    Clairance de la créatinine entre 30 et 80 ml/min : la posologie initiale est habituellement de 25/12,5 mg en une prise par jour, le matin.
  • L’association captopril/hydrochlorothiazide est contre-indiquée chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min).
  • — Populations particulières :
    Chez les patients présentant une déplétion hydrosodée, les patients âgés et les patients diabétiques, la posologie initiale habituelle est 25/12,5 mg en une prise par jour.
  • — Enfants :
    La sécurité d’emploi et l’efficacité de ce médicament n’ont pas été établies chez l’enfant.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion
    • Hypersensibilité aux dérivés thiazidiques
    • Hypersensibilité aux sulfamides
    • Oedème de Quincke lié à la prise d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion, antécédent (d’)
    • Oedème angioneurotique héréditaire
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Grossesse, 6 derniers mois (de la)
    • Allaitement
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Oedème de Quincke

    • Risque d’hypotension artérielle
      Lié au captopril :
      De rares cas d’hypotension ont été observés chez des patients présentant une hypertension non compliquée. Une hypotension symptomatique peut survenir plus particulièrement chez des patients hypertendus en état de déplétion hydrosodée suite à un traitement diurétique important, un régime hyposodé, une diarrhée, des vomissements ou une hémodialyse. La déplétion hydrosodée doit être corrigée avant d’administrer un inhibiteur de l’enzyme de conversion et une dose initiale plus faible doit être envisagée.
    • Comme avec tout antihypertenseur, une baisse excessive de la pression artérielle peut augmenter le risque d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral chez les patients présentant une cardiopathie ischémique ou une pathologie vasculaire cérébrale.
    • Si une hypotension se développe, le patient doit être placé en position allongée. Un remplissage volémique par une solution saline administrée par voie intraveineuse peut être nécessaire.
    • Déplétion hydrosodée
      Liée au captopril :
      De rares cas d’hypotension ont été observés chez des patients présentant une hypertension non compliquée. Une hypotension symptomatique peut survenir plus particulièrement chez des patients hypertendus en état de déplétion hydrosodée suite à un traitement diurétique important, un régime hyposodé, une diarrhée, des vomissements ou une hémodialyse. La déplétion hydrosodée doit être corrigée avant d’administrer un inhibiteur de l’enzyme de conversion et une dose initiale plus faible doit être envisagée.
    • Comme avec tout antihypertenseur, une baisse excessive de la pression artérielle peut augmenter le risque d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral chez les patients présentant une cardiopathie ischémique ou une pathologie vasculaire cérébrale.
    • Si une hypotension se développe, le patient doit être placé en position allongée. Un remplissage volémique par une solution saline administrée par voie intraveineuse peut être nécessaire.
    • Insuffisance coronarienne
      Liée au captopril :
      Comme avec tout antihypertenseur, une baisse excessive de la pression artérielle peut augmenter le risque d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral chez les patients présentant une cardiopathie ischémique.
    • Cérébro-vasculaire, maladie
      Liée au captopril :
      Comme avec tout antihypertenseur, une baisse excessive de la pression artérielle peut augmenter le risque d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral chez les patients présentant une pathologie vasculaire cérébrale.
    • Sténose artérielle rénale bilatérale ou sur rein unique
      Liée au captopril :
      Le risque d’hypotension et d’insuffisance rénale augmente chez les patients avec sténose bilatérale des artères rénales ou sténose artérielle rénale sur rein fonctionnellement unique traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. La perte de la fonction rénale peut survenir même en cas de modification légère de la créatinine sérique. Chez ces patients, le traitement doit être initié sous surveillance médicale étroite avec des posologies faibles, une titration prudente et un suivi de la fonction rénale.
    • Hypertension rénovasculaire
      Liée au captopril :
      Le risque d’hypotension et d’insuffisance rénale augmente chez les patients avec sténose bilatérale des artères rénales ou sténose artérielle rénale sur rein fonctionnellement unique traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion. La perte de la fonction rénale peut survenir même en cas de modification légère de la créatinine sérique. Chez ces patients, le traitement doit être initié sous surveillance médicale étroite avec des posologies faibles, une titration prudente et un suivi de la fonction rénale.
    • Risque d’oedème de Quincke
      Lié au captopril :
      Un angiooedème des extrémités, de la face, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte ou du larynx peut apparaître chez les patients traités par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, particulièrement lors des premières semaines du traitement. Cependant, dans de rares cas, un angioedème sévère peut survenir après un traitement de longue durée par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • En cas de survenue d’un angioedème, le traitement doit être interrompu immédiatement. Un angioedème affectant la langue, la glotte ou le larynx peut être fatal. Un traitement d’urgence doit être initié. Le patient doit être hospitalisé et gardé sous observation pendant au moins 12 à 24 heures et ne doit pas sortir de l’hôpital avant complète résolution des symptômes.
    • Risque de toux
      Lié au captopril :
      Une toux a été rapportée suite à l’utilisation d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion. Elle est non productive et caractérisée par sa persistance ainsi que par sa disparition à l’arrêt du traitement.
    • Risque d’hépatopathie
      – Lié au captopril :
      Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion ont été rarement associés à un syndrome débutant par un ictère cholestatique et progressant vers une nécrose hépatique fulminante et parfois une issue fatale. On ignore le mécanisme de ce syndrome. Les patients sous traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion présentant un ictère ou une augmentation marquée des enzymes hépatiques doivent arrêter le traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion et recevoir une surveillance médicale appropriée.
    • – Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Les thiazidiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique, des altérations même discrètes de l’équilibre hydro-électrolytique pouvant déclencher la survenue d’un coma hépatique (cf Contre-indications).
    • Insuffisance rénale
      — Liée au captopril :
      – Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients recevant un traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont le captopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie comprennent les patients insuffisants rénaux.
    • – Une protéinurie peut survenir, notamment chez les patients présentant une insuffisance rénale pré-existante ou recevant des doses relativement élevées d’inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • Une protéinurie totale excédant 1 g par jour a été observée chez environ 0,7 % des patients traités par captopril.
    • La majorité des patients avait une pathologie rénale préexistante ou avait reçu des doses relativement élevées de captopril (plus de 150 mg/jour) ou les deux. Un cinquième des patients protéinuriques ont présenté un syndrome néphrotique. Dans la plupart des cas, la protéinurie a diminué ou totalement régressé en six mois, que le traitement par captopril ait été poursuivi ou non.
    • Les patients atteints de protéinurie ont rarement présenté des altérations des paramètres de la fonction rénale, tels que l’urée ou la créatinine.
    • Une estimation de la protéinurie (« test-bandelette » sur les premières urines du matin) doit être effectuée, avant le début du traitement et périodiquement par la suite, chez les patients avec antécédents de pathologie rénale.
    • — Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Chez les patients atteints d’une maladie rénale, les thiazidiques peuvent provoquer une augmentation de l’urémie. Des effets liés à l’accumulation du produit peuvent survenir chez les insuffisants rénaux. En cas de survenue d’une insuffisance rénale évolutive, révélée par une augmentation de l’urémie, le traitement sera soigneusement réévalué et l’arrêt du traitement diurétique sera discuté (cf Contre-indications).
    • Diabète
      — Lié au captopril :
      – Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients recevant un traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont le captopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie comprennent les patients diabétiques.
    • – La glycémie fera l’objet d’une surveillance particulière chez les patients diabétiques préalablement traités par antidiabétiques oraux ou par insuline, notamment pendant le premier mois de traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • — Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Les thiazidiques sont susceptibles d’entraîner une intolérance au glucose. Chez les patients diabétiques, une adaptation de la posologie de l’insuline ou des hypoglycémiants oraux peut s’avérer nécessaire. Un diabète sucré latent peut se révéler pendant un traitement par thiazidiques.
    • Risque d’hyperkaliémie
      Lié au captopril :
      Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients recevant un traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont le captopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie comprennent les patients insuffisants rénaux, les patients diabétiques, et ceux recevant un traitement associé à des diurétiques d’épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou les patients prenant d’autres médicaments hyperkaliémiants (par exemple, l’héparine). Si l’administration concomitante de ces produits est considérée comme nécessaire, il est recommandé de surveiller la kaliémie régulièrement.
    • Rétrécissement mitral
      Lié au captopril :
      Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant un rétrécissement valvulaire ou un obstacle à l’éjection ventriculaire gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction hémodynamique significative.
    • Rétrécissement aortique
      Lié au captopril :
      Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant un rétrécissement valvulaire ou un obstacle à l’éjection ventriculaire gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction hémodynamique significative.
    • Choc cardiogénique
      Lié au captopril :
      Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant un rétrécissement valvulaire ou un obstacle à l’éjection ventriculaire gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction hémodynamique significative.
    • Cardiomyopathie obstructive
      Liée au captopril :
      Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant un rétrécissement valvulaire ou un obstacle à l’éjection ventriculaire gauche et évités en cas de choc cardiogénique et d’obstruction hémodynamique significative.
    • Connectivite
      Liée au captopril :
      Le captopril doit être utilisé avec une prudence extrême chez les patients ayant une collagénose, chez ceux recevant un traitement immunosuppresseur, en cas de traitement par allopurinol ou procaïnimide ou en cas d’association de ces facteurs de risque, particulièrement en présence d’une insuffisance rénale pré-existante. Certains de ces patients ont présenté des infections graves qui, dans un petit nombre de cas, n’ont pas répondu à une antibiothérapie intensive.
    • Si le captopril est administré à ces patients, il est conseillé d’effectuer une numération des globules blancs et de la formule leucocytaire avant le début du traitement, puis toutes les deux semaines pendant les trois premiers mois du traitement par captopril et périodiquement par la suite. Pendant le traitement, chaque patient doit recevoir comme consigne de signaler tout signe d’infection (par exemple, maux de gorge, fièvre) et une numération de la formule leucocytaire doit être effectuée. Le captopril et tout autre traitement concomitant en cause seront interrompus si une neutropénie (granulocytes neutrophiles < 1000/mm3) est détectée ou suspectée.
    • Chez la plupart des patients, la numération des neutrophiles revient rapidement à la normale après arrêt du captopril.
    • Déficit immunitaire
      Lié au captopril :
      Le captopril doit être utilisé avec une prudence extrême chez les patients ayant une collagénose, chez ceux recevant un traitement immunosuppresseur, en cas de traitement par allopurinol ou procaïnimide ou en cas d’association de ces facteurs de risque, particulièrement en présence d’une insuffisance rénale pré-existante. Certains de ces patients ont présenté des infections graves qui, dans un petit nombre de cas, n’ont pas répondu à une antibiothérapie intensive.
    • Si le captopril est administré à ces patients, il est conseillé d’effectuer une numération des globules blancs et de la formule leucocytaire avant le début du traitement, puis toutes les deux semaines pendant les trois premiers mois du traitement par captopril et périodiquement par la suite. Pendant le traitement, chaque patient doit recevoir comme consigne de signaler tout signe d’infection (par exemple, maux de gorge, fièvre) et une numération de la formule leucocytaire doit être effectuée. Le captopril et tout autre traitement concomitant en cause seront interrompus si une neutropénie (granulocytes neutrophiles < 1000/mm3) est détectée ou suspectée.
    • Chez la plupart des patients, la numération des neutrophiles revient rapidement à la normale après arrêt du captopril.
    • Patient traité à posologie élevée
      Lié au captopril :
      Une protéinurie peut survenir, notamment chez les patients présentant une insuffisance rénale pré-existante ou recevant des doses relativement élevées d’inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • Une protéinurie totale excédant 1 g par jour a été observée chez environ 0,7 % des patients traités par captopril.
    • La majorité des patients avait une pathologie rénale préexistante ou avait reçu des doses relativement élevées de captopril (plus de 150 mg/jour) ou les deux. Un cinquième des patients protéinuriques ont présenté un syndrome néphrotique. Dans la plupart des cas, la protéinurie a diminué ou totalement régressé en six mois, que le traitement par captopril ait été poursuivi ou non.
    • Les patients atteints de protéinurie ont rarement présenté des altérations des paramètres de la fonction rénale, tels que l’urée ou la créatinine.
    • Une estimation de la protéinurie (« test-bandelette » sur les premières urines du matin) doit être effectuée, avant le début du traitement et périodiquement par la suite, chez les patients avec antécédents de pathologie rénale.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Lié au captopril :
      Des réactions anaphylactoïdes prolongées, menaçant le pronostic vital ont rarement été rapportées chez des patients suivant un traitement de désensibilisation au venin d’hyménoptère alors qu’ils recevaient un traitement par un autre inhibiteur de l’enzyme de conversion. Chez les mêmes patients, l’arrêt temporaire de l’inhibiteur de l’enzyme de conversion a permis d’éviter ces réactions mais celles-ci sont réapparues suite à une reprise involontaire. Par conséquent, une surveillance particulière doit être exercée chez les patients traités par inhibiteur de l’enzyme de conversion qui suivent ce type de désensibilisation.
    • Patient en hémodialyse
      Lié au captopril :
      Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées chez des patients hémodialysés avec des membranes de dialyse à haut débit ou soumis à une aphérèse des lipoprotéines de faible densité par absorption sur dextrane sulfate. Chez ces patients, un changement de type de membrane de dialyse ou de classe de médicament doit être envisagé.
    • Intervention chirurgicale
      Liée au captopril :
      Une hypotension peut survenir chez des patients subissant une intervention chirurgicale majeure ou traités par un agent anesthésique. En cas d’hypotension celle-ci pourra être corrigée par un remplissage volémique.
    • Anesthésie
      Liée au captopril :
      Une hypotension peut survenir chez des patients subissant une intervention chirurgicale majeure ou traités par un agent anesthésique. En cas d’hypotension celle-ci pourra être corrigée par un remplissage volémique.
    • Sujet noir
      Lié au captopril :
      Comme observé avec d’autres inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, ce médicament est apparemment moins actif sur la pression artérielle chez les personnes de couleur noire que chez les autres personnes, probablement en raison d’une plus forte prévalence d’un taux de rénine bas dans la population noire hypertendue.
    • Insuffisance hépatique
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Les thiazidiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou une hépatopathie évolutive, des altérations même discrètes de l’équilibre hydro-électrolytique pouvant déclencher la survenue d’un coma hépatique (cf Contre-indications).
    • Hépatopathie
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Les thiazidiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant une hépatopathie évolutive, des altérations même discrètes de l’équilibre hydro-électrolytique pouvant déclencher la survenue d’un coma hépatique (cf Contre-indications).
    • Risque d’intolérance au glucose
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Les thiazidiques sont susceptibles d’entraîner une intolérance au glucose. Chez les patients diabétiques, une adaptation de la posologie de l’insuline ou des hypoglycémiants oraux peut s’avérer nécessaire. Un diabète sucré latent peut se révéler pendant un traitement par thiazidiques.
    • Risque d’hyperlipidémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des augmentations des taux de cholestérol et triglycérides ont été associées au traitement par diurétiques thiazidiques.
    • Risque d’hyperuricémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Chez certains patients, un traitement thiazidique peut précipiter la survenue d’une hyperuricémie ou d’une goutte.
    • Surveillance de l’ionogramme plasmatique pendant le traitement
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Comme pour tout patient suivant un traitement diurétique, un dosage des électrolytes sériques doit être effectué à intervalles appropriés.
    • Les thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent provoquer un déséquilibre hydroélectrolytique (hypokaliémie, hyponatrémie et alcalose hypochlorémique). Les signes d’alerte d’un déséquilibre hydroélectrolytique sont les suivants : sécheresse de la bouche, soif, faiblesse, léthargie, somnolence, agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et troubles gastriques tels que nausées ou vomissements. Alors que l’utilisation des diurétiques thiazidiques peut entraîner une hypokaliémie, le traitement concomitant par captopril peut réduire l’hypokaliémie provoquée par les diurétiques. Le risque d’hypokaliémie est plus important chez les patients atteints d’une cirrhose hépatique, chez les patients présentant une diurèse importante, chez les patients dont l’apport oral électrolytique est inadéquat.
    • Par temps chaud une hyponatrémie de dilution peut survenir chez les patients présentant des oedèmes. En règle générale, le déficit en chlore est modéré et ne nécessite habituellement pas de traitement.
    • Les thiazidiques peuvent réduire l’excrétion urinaire de calcium et provoquer une élévation légère et transitoire de la calcémie en l’absence de désordre connu du métabolisme calcique. Une hypercalcémie importante peut révéler une hyperparathyroïdie masquée. Le traitement par thiazidiques doit être interrompu avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Une augmentation de l’élimination urinaire du magnésium a été montrée avec les thiazidiques et peut entraîner une hypomagnésémie.
    • Cirrhose
      Liée à l’hydrochlorothiazide :
      Comme pour tout patient suivant un traitement diurétique, un dosage des électrolytes sériques doit être effectué à intervalles appropriés.
    • Les thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent provoquer un déséquilibre hydroélectrolytique (hypokaliémie, hyponatrémie et alcalose hypochlorémique). Les signes d’alerte d’un déséquilibre hydroélectrolytique sont les suivants : sécheresse de la bouche, soif, faiblesse, léthargie, somnolence, agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et troubles gastriques tels que nausées ou vomissements. Alors que l’utilisation des diurétiques thiazidiques peut entraîner une hypokaliémie, le traitement concomitant par captopril peut réduire l’hypokaliémie provoquée par les diurétiques. Le risque d’hypokaliémie est plus important chez les patients atteints d’une cirrhose hépatique, chez les patients présentant une diurèse importante, chez les patients dont l’apport oral électrolytique est inadéquat.
    • Risque d’hypercalcémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Par temps chaud une hyponatrémie de dilution peut survenir chez les patients présentant des oedèmes. En règle générale, le déficit en chlore est modéré et ne nécessite habituellement pas de traitement. Les thiazidiques peuvent réduire l’excrétion urinaire de calcium et provoquer une élévation légère et transitoire de la calcémie en l’absence de désordre connu du métabolisme calcique. Une hypercalcémie importante peut révéler une hyperparathyroïdie masquée. Le traitement par thiazidiques doit être interrompu avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Risque d’hypomagnésémie
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Une augmentation de l’élimination urinaire du magnésium a été montrée avec les thiazidiques et peut entraîner une hypomagnésémie.
    • Oedème périphérique
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Par temps chaud une hyponatrémie de dilution peut survenir chez les patients présentant des oedèmes. En règle générale, le déficit en chlore est modéré et ne nécessite habituellement pas de traitement.
    • Sportif
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      L’hydrochlorothiazide contenu dans ce médicament peut induire une réaction positive lors d’un contrôle anti-dopage.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir chez des patients avec ou sans antécédents d’allergie ou d’asthme bronchique.
    • Antécédent d’asthme
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir chez des patients avec ou sans antécédents d’allergie ou d’asthme bronchique.
    • Sujet allergique
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir chez des patients avec ou sans antécédents d’allergie ou d’asthme bronchique.
    • Risque de lupus érythémateux disséminé
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La possibilité d’exacerbation ou d’activation de lupus érythémateux disséminé a été rapportée.
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      La possibilité d’exacerbation ou d’activation de lupus érythémateux disséminé a été rapportée.
    • Grossesse, 3 premiers mois (de la)
      Liée à l’association :
      Ce médicament est déconseillé durant le premier trimestre de la grossesse (cf Grossesse et allaitement). Si le traitement est arrêté en raison d’une grossesse, le prescripteur doit décider si un traitement de l’hypertension doit être maintenu.
    • Risque d’hypokaliémie
      – Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Alors que l’utilisation des diurétiques thiazidiques peut entraîner une hypokaliémie, le traitement concomitant par captopril peut réduire l’hypokaliémie provoquée par les diurétiques. Le risque d’hypokaliémie est plus important chez les patients atteints d’une cirrhose hépatique, chez les patients présentant une diurèse importante, chez les patients dont l’apport oral électrolytique est inadéquat et chez les patients traités simultanément par des corticostéroïdes ou par l’ACTH.
    • – Lié à l’association :
      L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion et d’un diurétique thiazidique n’exclut pas la survenue d’une hypokaliémie. Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée.
    • Surveillance de la kaliémie pendant le traitement
      Liée à l’association :
      L’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion et d’un diurétique thiazidique n’exclue pas la survenue d’une hypokaliémie. Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée.
    • Enfant de moins de 15 ans
      La sécurité d’emploi et l’efficacité de ce médicament n’ont pas été établies chez l’enfant.
    • Administrer indépendamment de la prise des repas
      Ce médicament peut être administré en une ou deux prises par jour avec ou sans nourriture.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré d’hypokaliémie.
    • – Conduite à tenir :
      Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
    • Risque de protéinurie
      Une protéinurie peut survenir, notamment chez les patients présentant une insuffisance rénale pré-existante ou recevant des doses relativement élevées d’inhibiteur de l’enzyme de conversion.
    • Une protéinurie totale excédant 1 g par jour a été observée chez environ 0,7 % des patients traités par captopril.
    • La majorité des patients avait une pathologie rénale préexistante ou avait reçu des doses relativement élevées de captopril (plus de 150 mg/jour) ou les deux. Un cinquième des patients protéinuriques ont présenté un syndrome néphrotique. Dans la plupart des cas, la protéinurie a diminué ou totalement régressé en six mois, que le traitement par captopril ait été poursuivi ou non.
    • Les patients atteints de protéinurie ont rarement présenté des altérations des paramètres de la fonction rénale, tels que l’urée ou la créatinine.
    • Une estimation de la protéinurie (« test-bandelette » sur les premières urines du matin) doit être effectuée, avant le début du traitement et périodiquement par la suite, chez les patients avec antécédents de pathologie rénale.
    • Interaction alimentaire : aliments riches en potassium
      Lié au captopril :
      Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients recevant un traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont le captopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie comprennent les patients recevant une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium. Si l’administration concomitante de ces produits est considérée comme nécessaire, il est recommandé de surveiller la kaliémie régulièrement.
    • Traitement par un médicament hyperkaliémiant
      Lié au captopril :
      Une hyperkaliémie a été observée chez certains patients recevant un traitement par un inhibiteur de l’enzyme de conversion, dont le captopril. Les patients à risque de développer une hyperkaliémie comprennent les patients recevant un traitement associé à des diurétiques d’épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou les patients prenant d’autres médicaments hyperkaliémiants (par exemple, l’héparine). Si l’administration concomitante de ces produits est considérée comme nécessaire, il est recommandé de surveiller la kaliémie régulièrement.
    • Risque de trouble hématologique
      Lié au captopril :
      Une neutropénie/agranulocytose, une thrombopénie et une anémie ont été rapportées chez les patients recevant des inhibiteurs de l’enzyme de conversion, dont le captopril. La neutropénie survient rarement chez les patients à fonction rénale normale et ne présentant pas d’autres facteurs de risque. Le captopril doit être utilisé avec une prudence extrême chez les patients ayant une collagénose, chez ceux recevant un traitement immunosuppresseur, en cas de traitement par allopurinol ou procaïnimide ou en cas d’association de ces facteurs de risque, particulièrement en présence d’une insuffisance rénale pré-existante. Certains de ces patients ont présenté des infections graves qui, dans un petit nombre de cas, n’ont pas répondu à une antibiothérapie intensive.
    • Si le captopril est administré à ces patients, il est conseillé d’effectuer une numération des globules blancs et de la formule leucocytaire avant le début du traitement, puis toutes les deux semaines pendant les trois premiers mois du traitement par captopril et périodiquement par la suite. Pendant le traitement, chaque patient doit recevoir comme consigne de signaler tout signe d’infection (par exemple, maux de gorge, fièvre) et une numération de la formule leucocytaire doit être effectuée. Le captopril et tout autre traitement concomitant en cause seront interrompus si une neutropénie (granulocytes neutrophiles < 1000/mm3) est détectée ou suspectée.
    • Chez la plupart des patients, la numération des neutrophiles revient rapidement à la normale après arrêt du captopril.
    • Risque de trouble hydroélectrolytique
      Lié à l’hydrochlorothiazide :
      Comme pour tout patient suivant un traitement diurétique, un dosage des électrolytes sériques doit être effectué à intervalles appropriés.
    • Les thiazidiques, dont l’hydrochlorothiazide, peuvent provoquer un déséquilibre hydroélectrolytique (hypokaliémie, hyponatrémie et alcalose hypochlorémique). Les signes d’alerte d’un déséquilibre hydroélectrolytique sont les suivants: sécheresse de la bouche, soif, faiblesse, léthargie, somnolence, agitation, douleurs musculaires ou crampes, fatigue musculaire, hypotension, oligurie, tachycardie et troubles gastriques tels que nausées ou vomissements.
    • Alors que l’utilisation des diurétiques thiazidiques peut entraîner une hypokaliémie, le traitement concomitant par captopril peut réduire l’hypokaliémie provoquée par les diurétiques. Le risque d’hypokaliémie est plus important chez les patients atteints d’une cirrhose hépatique, chez les patients présentant une diurèse importante, chez les patients dont l’apport oral électrolytique est inadéquat et chez les patients traités simultanément par des corticostéroïdes ou par l’ACTH.
    • Par temps chaud une hyponatrémie de dilution peut survenir chez les patients présentant des oedèmes. En règle générale, le déficit en chlore est modéré et ne nécessite habituellement pas de traitement. Les thiazidiques peuvent réduire l’excrétion urinaire de calcium et provoquer une élévation légère et transitoire de la calcémie en l’absence de désordre connu du métabolisme calcique. Une hypercalcémie importante peut révéler une hyperparathyroïdie masquée. Le traitement par thiazidiques doit être interrompu avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
    • Une augmentation de l’élimination urinaire du magnésium a été montrée avec les thiazidiques et peut entraîner une hypomagnésémie.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Ce médicament est déconseillé durant le 1er trimestre de la grossesse.
  • Lorsqu’une grossesse est planifiée ou confirmée, un traitement alternatif doit être initié le plus tôt possible. Aucune étude contrôlée avec les inhibiteurs de l’enzyme de conversion n’a été effectuée chez l’Homme, mais un nombre limité de cas d’exposition lors du premier trimestre n’a pas montré de malformations.
  • Ce médicament est contre-indiqué pendant les 2ème et 3ème trimestres de la grossesse. Une exposition prolongée au captopril pendant les second et troisième trimestres induit une toxicité chez le foetus (atteinte de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification de la boîte crânienne) et chez le nouveau-né (insuffisance rénale néonatale, hypotension, hyperkaliémie) (cf Sécurité préclinique).
  • En cas d’exposition prolongée durant le troisième trimestre de la grossesse, l’hydrochlorothiazide peut entraîner une ischémie foeto-placentaire et un risque de retard de croissance. De plus, de rares cas d’hypoglycémie et de thrombocytopénie chez les nouveau-nés ont été rapportés en cas d’exposition proche du terme de la grossesse.
  • L’hydrochlorothiazide peut réduire le volume plasmatique et également le flux sanguin utéro-placentaire.
  • Dans le cas d’une exposition à ce médicament à partir du second trimestre de la grossesse, une surveillance échographique de la fonction rénale et de la boîte crânienne est recommandée.
  •  Allaitement :

    Ce médicament est contre-indiqué pendant l’allaitement.
  • Le captopril et l’hydrochlorothiazide sont excrétés dans le lait maternel. Les thiazidiques ont été associés à une diminution ou même une suppression de la sécrétion de lait durant l’allaitement. Une hypersensibilité aux dérivés sulfonamides, une hypokaliémie et un ictère nucléaire peuvent survenir.
  • En raison des effets indésirables sévères potentiels de ces médicaments chez les nourrissons, la décision d’arrêter l’allaitement ou de suspendre le traitement doit être prise en fonction de l’importance du traitement pour la mère.

  • Comme avec les autres antihypertenseurs, l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines peut être réduite, au début du traitement, à la modification de la posologie et lors de la prise concomitante d’alcool. Cependant, ceci est fonction de la sensibilité individuelle du patient.

    • Neutropénie
      Insuffisance rénale.
    • Agranulocytose
      Insuffisance rénale.
    • Pancytopénie
      Insuffisance rénale.
    • Anémie
    • Anémie aplastique
    • Anémie hémolytique
    • Thrombopénie
    • Lymphadénopathie (Très rare)
    • Eosinophilie (Très rare)
    • Maladie auto-immune (Très rare)
    • Anticorps antinucléaire (augmentation) (Très rare)
    • Anorexie
    • Hyperkaliémie (Très rare)
    • Hypoglycémie (Très rare)
    • Trouble du sommeil
    • Confusion mentale (Très rare)
    • Dépression
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Sensation de vertige (Fréquent)
    • Somnolence (Rare)
    • Céphalée (Rare)
    • Paresthésie
    • Trouble circulatoire cérébral (Très rare)
    • Accident vasculaire cérébral (Très rare)
    • Syncope (Très rare)
    • Vision floue
    • Tachycardie (Rare)
    • Tachyarythmie (Rare)
    • Angor (Rare)
    • Palpitation (Rare)
    • Arrêt cardiaque (Très rare)
    • Choc cardiogénique (Très rare)
    • Hypotension artérielle (Rare)
    • Syndrome de Raynaud (Rare)
    • Bouffée vasomotrice (Rare)
    • Pâleur (Rare)
    • Toux sèche (Fréquent)
    • Dyspnée (Fréquent)
    • Bronchospasme (Très rare)
    • Rhinite (Très rare)
    • Alvéolite pulmonaire (Très rare)
    • Pneumopathie à éosinophiles (Très rare)
    • Nausée (Fréquent)
    • Vomissement (Fréquent)
    • Gastrite
    • Douleur abdominale (Fréquent)
    • Diarrhée
    • Constipation
    • Hyposialie (Fréquent)
    • Stomatite (Rare)
    • Aphte (Rare)
    • Glossite (Très rare)
    • Ulcère gastroduodénal (Très rare)
    • Pancréatite
    • Insuffisance hépatique (Très rare)
    • Cholestase (Très rare)
    • Ictère cholestatique
    • Hépatite (Très rare)
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Très rare)
    • Hyperbilirubinémie (Très rare)
    • Prurit (Fréquent)
    • Eruption cutanée
    • Alopécie (Fréquent)
    • Oedème de Quincke (Rare)
    • Urticaire
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
    • Erythème polymorphe (Très rare)
    • Photosensibilisation
    • Erythrodermie (Très rare)
    • Réaction pemphigoïde (Très rare)
    • Dermatite exfoliative (Très rare)
    • Douleur musculaire (Très rare)
    • Douleur articulaire (Très rare)
    • Insuffisance rénale
    • Polyurie (Rare)
    • Oligurie (Rare)
    • Miction fréquente (Rare)
    • Syndrome néphrotique (Très rare)
    • Impuissance (Très rare)
    • Gynécomastie (Très rare)
    • Douleur thoracique (Rare)
    • Fatigue
    • Malaise (Rare)
    • Fièvre
    • Protéinurie (Très rare)
    • Hyponatrémie
    • Urémie (augmentation) (Très rare)
    • Créatininémie (augmentation) (Très rare)
    • Hémoglobinémie (diminution) (Très rare)
    • Hématocrite (diminution) (Très rare)
    • Leucopénie (Très rare)
    • Vitesse de sédimentation (augmentation) (Très rare)
    • Glandes salivaires (inflammation)
    • Aplasie médullaire
    • Hyperglycémie
    • Glycosurie
    • Hyperuricémie
    • Trouble hydroélectrolytique
    • Hypokaliémie
    • Hypercholestérolémie
    • Hypertriglycéridémie
    • Agitation
    • Sensation de tête vide
    • Xanthopsie
    • Vertige
    • Hypotension orthostatique
    • Arythmie
    • Vascularite nécrosante
    • Vascularite
    • Vascularite cutanée
    • Insuffisance respiratoire aiguë
    • Pneumopathie
    • Oedème pulmonaire
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
    • Lupus érythémateux aigu disséminé (aggravation)
    • Réaction anaphylactique
    • Syndrome de Lyell
    • Spasme musculaire
    • Néphropathie interstitielle
    • Faiblesse

    • Classement ATC : 
          C09BA01 / CAPTOPRIL ET DIURETIQUES
    • Classement Vidal : 
          Inhibiteur de l’enzyme de conversion + diurétique thiazidique : captopril + hydrochlorothiazide

    Liste I
    • CIP : 3799630 (CAPTOPRIL HYDROCHLOROTHIAZIDE EG 50 mg/25 mg cp séc : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3875667 (CAPTOPRIL HYDROCHLOROTHIAZIDE EG 50 mg/25 mg cp séc : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    EG Labo


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