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CEFACLOR MYLAN 250 mg/5 ml pdre p susp buv






poudre pour suspension buvable
par 5 ml
(suspension reconstituée)
céfaclor250 mg
Excipients : siméticone émulsion à 30 %, gomme xanthane, fraise arôme, sodium laurylsulfate, sodium, sorbitol, mannitol.

Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques du céfaclor. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

  • Elles sont limitées aux infections dues aux germes sensibles lorsque ces infections autorisent une antibiothérapie orale et à l’exclusion des localisations méningées, notamment :
    – les infections ORL : angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, sinusites, otites,
    – les infections respiratoires basses :
    . surinfections des bronchites aiguës,
    . exacerbations des bronchites chroniques,
    . pneumopathies communautaires chez des sujets :
    * sans facteur de risque,
    * sans signe de gravité clinique,
    * en l’absence d’argument faisant craindre une résistance de S. pneumoniae à la pénicilline,
    * en l’absence d’argument évocateur d’une pneumopathie atypique.
  • – les infections urinaires non compliquées, exceptées les prostatites et pyélonéphrites.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE :
    Voie orale
    — Chez le sujet aux fonctions rénales normales :
    – Chez l’adulte :
    La posologie journalière habituelle est de 250 mg toutes les 8 heures, soit 750 mg/jour.
  • Pour des infections plus sévères ou celles dues à des bactéries de sensibilité intermédiaire, les doses peuvent être doublées (500 mg toutes les 8 heures, soit 1,5 g/jour).
  • – Chez l’enfant :
    La posologie usuelle journalière recommandée est de 20 mg/kg/jour, une dose toutes les 8 heures. Pour des infections plus sévères, en particulier les otites moyennes, et celles dues à des bactéries de sensibilité intermédiaire, des doses de 40 mg/kg/jour, divisées en trois prises, sont recommandées avec une dose maximale de 1 g/jour.
  • — Chez le sujet insuffisant rénal :
    En cas d’insuffisance rénale, la posologie est adaptée en fonction de la clairance de la créatinine (Clcr en ml/min/1,73 m2) ou de la créatininémie :
    . 20 < Clcr < 40 : une posologie quotidienne de 500 mg toutes les 12 heures.
  • . Clcr < 20 : une posologie quotidienne rédute au tiers de la posologie normale ou à la moitié.
  • DUREE DE TRAITEMENT :
    La durée de traitement est de 7 à 10 jours en moyenne pour l’ensemble des indications thérapeutiques, pouvant aller jusqu’à 14 jours pour les pneumopathies.
  • La durée de traitement des angines est de 10 jours.
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    L’administration se fait soit avec une seringue pour administration orale de 5 ml graduée en mg de principe actif, particulièrement adaptée au petit enfant, soit avec une cuillère-mesure de 5 ml adaptée à l’enfant.
  • En cas d’administration avec la seringue graduée, la dose se lit directement sur les graduations du piston de la seringue. Ainsi la dose indiquée correspond à la dose pour une prise.
  • En cas d’administration avec la cuillère-mesure : une mesure de 5 ml = 125 mg (Céfaclor 125 mg/5 ml) ou 250 mg (Céfaclor 250 mg/5 ml).
  • Trois prises par 24 heures sont nécessaires.
  • Par exemple, en cas de prescription d’une dose de 250 mg pour une prise, le piston de la seringue sera tiré jusqu’à la graduation 250 mg (5 ml), marquée sur le piston de la seringue, et ce, trois fois par 24 heures.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux céphalosporines
    • Hypersensibilité aux bêtalactamines
    • Intolérance au fructose

    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.
    • – L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
      . l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillinosensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration,
      . l’emploi des céphalosporines et des pénicillines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines.
    • En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible.
    • . les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
    • Hypersensibilité aux pénicillines
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.
    • – L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
      . l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillinosensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration,
      . l’emploi des céphalosporines et des pénicillines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines.
    • En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible.
    • . les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
    • Risque de colite pseudomembraneuse
      Des colites pseudo-membraneuses ont été rapportées lors d’antibiothérapie à large spectre. Ce diagnostic doit être évoqué chez des patients ayant une diarrhée persistante au cours d’un traitement antibiotique. L’arrêt du traitement entraîne la guérison des troubles mineurs. Dans les cas sévères, des mesures diagnostiques et thérapeutiques appropriées doivent être prises.
    • Insuffisance rénale
      En cas d’insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine
      ou de la créatininémie (cf Posologie/Mode d’administration).
    • Sujet sous régime hyposodé ou désodé
      Ce médicament contient 60 µg de sodium par 5 ml de suspension reconstituée : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, l’analyse d’un nombre élevé de grossesses exposées n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de cet antibiotique. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l’absence de risque.
  • En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse si besoin.
  •  Allaitement :

    Le passage dans le lait maternel est faible et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques. En conséquence, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique.
  • Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose, ou d’éruption cutanée chez le nourrisson.

    • Fièvre
    • Eruption cutanée
    • Eruption morbilliforme
    • Prurit
    • Urticaire
    • Oedème de Quincke
    • Choc anaphylactique (Rare)
      Allergie a la penicilline.
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Rare)
    • Syndrome de Lyell (Rare)
    • Maladie sérique (Rare)
    • Diarrhée
    • Nausée
    • Vomissement
    • Candidose
    • Entérocolite pseudomembraneuse
    • Trouble digestif
    • Transaminases (augmentation)
    • Phosphatases alcalines (augmentation)
    • Neutropénie (Rare)
    • Agranulocytose (Rare)
    • Prurit vaginal
    • Vaginite
    • Insuffisance rénale
      Association aux aminosides, Association aux diuretiques.
    • Néphropathie interstitielle (Rare)
    • Sélection de souche résistante

    • Classement ATC : 
          J01DC04 / CEFACLOR
    • Classement Vidal : 
          Antibiotique : céphalosporine de 1re génération (Céfaclor)

    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
    S <= 2mg/ l et R > 8mg/l
    La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
  • Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci- dessous. La fréquence de résistance acquise en France (> 10 %, valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses :
    ESPECES SENSIBLES :
    – Aérobies à Gram + : Corynebacterium diphtheriae, Propionibacterium acnes, Staphylococcus méti-S, streptococcus, Streptococcus pneumoniae (30 – 70 %)
    – Aérobies à Gram – : Branhamella catarrhalis, Citrobacter koseri, Escherichia coli (20 – 30 %), klebsiella (0 – 30 %), Neisseria gonorrhoeae, pasteurella
    – Anaérobies : fusobacterium (10 – 20 %), prevotella (60 – 70 %)
    ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    – Aérobies à Gram – : Haemophilus influenzae, Proteus mirabilis
    – Anaérobies : Clostridium perfringens, peptostreptococcus
    ESPECES RESISTANTES :
    – Aérobies à Gram + : entérocoques, Listeria monocytogenes, Staphylococcus méti-R*
    – Aérobies à Gram – : acinetobacter, Citrobacter freundii, enterobacter, Morganella morganii, Proteus vulgaris, providencia, pseudomonas, serratia
    – Anaérobies : bacteroides, Clostridium difficile
    * La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

  • Liste I
    • CIP : 3610377 (CEFACLOR MYLAN 250 mg/5 ml pdre p susp buv : Fl/60ml).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


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