poudre et solvant p solution injectable
par 1 flacon
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céfalotine sodique | |
Exprimé en céfalotine | 1 g |
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Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la céfalotine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
- Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles (cf Pharmacodynamie), notamment dans leurs manifestations :
– bronchopulmonaires,
– ORL et stomatologiques,
– septicémiques,
– endocardiques,
– génitales et urinaires,
– cutanées,
– séreuses,
– osseuses et articulaires.- En raison de la faible diffusion des céphalosporines dans le liquide céphalorachidien, la céfalotine n’est pas indiquée dans le traitement des méningites même à germes sensibles.
- Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.
- Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles (cf Pharmacodynamie), notamment dans leurs manifestations :
- – Adulte : 0,50 g à 1 g toutes les 4 à 6 heures en IM ou IV lente.
- – Enfant : 50 à 100 mg/kg/24 heures en injection IM toutes les 4 à 6 heures, soit 500 mg à 1,5 g/jour.
- – Nourrisson : 50 à 100 mg/kg/24 heures en injection IM toutes les 4 à 6 heures.
- Ces posologies peuvent être augmentées en fonction de la sévérité de l’infection.
- – Insuffisant rénal : en cas d’insuffisance rénale, la posologie est adaptée en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie.
- . Clairance de la créatinine 50 – 25 ml/min ; Posologie maximale adultes : 1,5 g toutes les 6 heures
. Clairance de la créatinine 25 – 10 ml/min ; Posologie maximale adultes : 1 g toutes les 6 heures
. Clairance de la créatinine 10 – 2 ml/min ; Posologie maximale adultes : 0,5 g toutes les 6 heures
. Clairance de la créatinine < 2 ml/min ; Posologie maximale adultes : 0,5 g toutes les 8 heures
- – Enfant : 50 à 100 mg/kg/24 heures en injection IM toutes les 4 à 6 heures, soit 500 mg à 1,5 g/jour.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité aux céphalosporines
- Hypersensibilité aux bêtalactamines
- Risque de réaction d’hypersensibilité
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement. - – L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
. l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration ;
. l’emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible. - – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
- Hypersensibilité aux pénicillines
– La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement. - – L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas :
. l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration ;
. l’emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible. - – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
- Insuffisance rénale
Adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininemie. - Sujet sous régime hyposodé ou désodé
Tenir compte de la teneur en sodium.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Chez la femme enceinte, l’innocuité de la céfalotine n’a pas été établie ; cependant, les études effectuées sur plusieurs espèces animales n’ont pas montré d’action tératogène ou foetotoxique.
Allaitement :
- Le passage de la céfalotine dans le lait n’ayant pas fait l’objet d’étude pour l’instant, il est recommandé d’éviter le traitement lors de l’allaitement si celui-ci doit être poursuivi.
- Eruption cutanée
- Fièvre
- Maladie sérique
- Choc anaphylactique
- Eosinophilie
- Leucopénie
- Thrombopénie
- Transaminases (augmentation)
- Phosphatases alcalines (augmentation)
- Encéphalopathie métabolique
- Fortes doses, Insuffisance rénale.
- Fortes doses, Insuffisance rénale.
- Néphropathie
- Thrombophlébite
- Douleur au point d’injection
- Voie intramusculaire.
- Voie intramusculaire.
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Classement ATC :
J01DB03 / CEFALOTINE
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Classement Vidal :
Antibiotique : céphalosporine de 1re génération (Céfalotine)
- Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S <= 8 mg/l et R > 32 mg/l.
- La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
- Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
- ESPECES SENSIBLES :
– Aérobies à Gram + : staphylococcus méti-S, streptococcus, Streptococcus pneumoniae (30 – 70 %).- – Aérobies à Gram – : Branhamella catarrhalis, Citrobacter koseri (0 – 20 %), Escherichia coli (20 – 30 %), Haemophilus influenzae, klebsiella (0 – 30 %), Neisseria gonorrhoeae, Proteus mirabilis (10 – 20 %).
- – Anaérobies : Clostridium perfringens (10 – 20 %), fusobacterium, peptostreptococcus, prevotella (30 – 70 %), Propionibacterium acnes, veillonella.
- ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
– Anaérobies : eubacterium.- ESPECES RESISTANTES :
– Aérobies à Gram + : entérocoques, Listeria monocytogenes, staphylococcus méti-R*.- – Aérobies à Gram – : Acinetobacter baumannii, bordetella, campylobacter, Citrobacter freundii, enterobacter, legionella, Morganella morganii, Proteus vulgaris, providencia, pseudomonas, serratia, vibrio, Yersinia enterocolitica.
- – Anaérobies : bacteroides, Clostridium difficile.
- – Autres : chlamydia, mycobactéries, mycoplasma, rickettsia.
- * La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
- La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
Liste I
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CIP : 3337349 (CEFALOTINE PANPHARMA 1 g pdre/solv p sol inj : B/25).
- Disponibilité : hôpitaux
Agréé aux collectivités
Panpharma
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