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CELIPROLOL TEVA 200 mg cp pellic







comprimé pelliculé
par 1 comprimé
céliprolol chlorhydrate200 mg
Excipients : silice colloïdale anhydre, mannitol, cellulose microcristalline, croscarmellose sel de Na, magnésium stéarate, opadry blanc OY-LS 28900, ( lactose, titane dioxyde, hypromellose, macrogol 4000 ).

– Hypertension artérielle
– Prophylaxie des crises d’angor d’effort.


Posologie initiale : 200 mg le matin de préférence, avant le petit déjeuner.
  • Cette posologie peut être augmentée à 400 mg, voire 600 mg, en fonction de la réponse thérapeutique.
  • En outre, il n’existe pas d’obstacle à l’association aux autres thérapeutiques antihypertensives, par exemple les diurétiques. Dans ce cas, une surveillance accrue en début de traitement est nécessaire.

  • Absolue(s) :
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Choc cardiogénique
    • Bloc auriculoventriculaire de 2e degré non appareillé
    • Bloc auriculoventriculaire de 3e degré non appareillé
    • Angor de Prinzmetal
    • Maladie du sinus auriculaire non appareillé
    • Bradycardie
    • Phéochromocytome non traité
    • Hypotension artérielle
    • Hypersensibilité aux bêtabloquants
    • Accident allergique anaphylactique, antécédent (d’)
    • Intolérance génétique au galactose
    • Déficit en lactase
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)

    • Administrer à jeun
      200 mg le matin de préférence, avant le petit déjeuner.
    • Traitement à arrêter progressivement
      – Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux : l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • – Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Asthme
      Du fait de ses propriétés bêta-1 bloquant sélectif et bêta-2 agoniste, le céliprolol peut être administré avec prudence chez le patient asthmatique en dehors des poussées.
    • Insuffisance coronarienne
      Le traitement ne doit jamais être interrompu brutalement, en particulier chez les patients présentant une cardiopathie ischémique. La posologie doit être diminuée progressivement, c’est à dire sur une à deux semaines, en commençant en même temps, si nécessaire, le traitement substitutif, pour éviter une aggravation de l’angor.
    • Bronchopneumopathie chronique obstructive
      Du fait de ses propriétés bêta-1 bloquant sélectif et bêta-2 agoniste, le céliprolol peut être administré avec prudence chez le patient bronchitique chronique bien équilibré.
    • Insuffisance cardiaque
      Chez l’insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas de nécessité, le céliprolol sera administré à très faibles doses progressivement croissantes et sous surveillance médicale stricte.
    • Risque de bradycardie
      Si la fréquence s’abaisse au dessous de 50-55 pulsations par minute au repos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, la posologie doit être diminuée.
    • Bloc auriculoventriculaire du premier degré
      Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doivent être administrés avec prudence aux patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré.
    • Angor de Prinzmetal
      Les bêta-bloquants peuvent augmenter le nombre et la durée des crises chez les patients souffrant d’un angor de Prinzmetal. L’utilisation d’un bêta-bloquant bêta-1 cardiosélectif est possible, dans les formes mineures et associées, à condition d’administrer conjointement un vasodilatateur.
    • Trouble circulatoire périphérique
      Chez les patients souffrant de troubles artériels périphériques (maladie ou syndrome de Raynaud, artérites ou artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs), les bêta-bloquants peuvent entraîner une aggravation de ces troubles. Le céliprolol, à la fois bêta-1 bloquant sélectif et agoniste bêta-2, diminue les résistances périphériques totales et peut donc être utilisé, avec une surveillance accrue, chez ce type de patients.
    • Phéochromocytome
      L’utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l’hypertension due au phéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pression artérielle.
    • Sujet âgé
      Le respect absolu des contre-indications est impératif. On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer une surveillance étroite.
    • Insuffisance rénale
      Chez les patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 40 ml/min, il peut être nécessaire d’adapter la posologie. En pratique, on surveillera le rythme cardiaque, de façon à diminuer les doses s’il apparaît une bradycardie excessive (< 50-55 batt/min au repos).
    • Diabète
      Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l’autosurveillance glycémique. Les signes annonciateurs d’une hypoglycémie peuvent être masqués, en particulier tachycardie, palpitations et sueurs.
    • Psoriasis
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.
    • Sujet allergique
      Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactique sévère, quelle qu’en soit l’origine, en particulier avec des produits de contraste iodés ou la floctafénine (cf interactions) ou au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Anesthésie générale
      Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardie réflexe et une augmentation du risque d’hypotension. La poursuite du traitement par bêta-bloquant diminue le risque d’arythmie, d’ischémie myocardique et de poussées hypertensives. Il convient de prévenir l’anesthésiste que le patient est traité par un bêta-bloquant.
    • – Si l’arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de 48 heures peut être considérée comme suffisante pour permettre la réapparition de la sensiblité aux catécholamines.
    • – Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut être interrompu :
      . chez les malades atteints d’insuffisance coronarienne, il est souhaitable de poursuivre le traitement jusqu’à l’intervention, étant donné le risque lié à l’arrêt brutal des bêta-bloquants.
    • . en cas d’urgence ou d’impossibilité d’arrêt, le patient doit être protégé d’une prédominance vagale par une prémédication suffisante d’atropine renouvelée selon les besoins. L’anesthésie devra faire appel à des produits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertes sanguines devront être compensées.
    • . le risque anaphylactique devra être pris en compte.
    • Traitement de désensibilisation en cours
      Au cours de traitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner une aggravation de la réaction et une résistance à son traitement par l’adrénaline aux posologies habituelles.
    • Hyperthyroïdie
      Les bêta-bloquants sont susceptibles d’en masquer les signes cardiovasculaires.
    • Sportif
      L’attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    • Administrer le matin
      200 mg le matin de préférence, avant le petit déjeuner.
    • Angor
      Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux : l’arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctus du myocarde ou une mort subite.
    • Risque d’aggravation du psoriasis
      Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants, l’indication mérite d’être pesée.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu.
  • En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
  • En clinique, aucun effet tératogène n’a été rapporté à ce jour et les résultats d’études prospectives contrôlées avec quelques bêtabloquants n’ont pas fait état de malformations à la naissance.
  • Chez le nouveau-né de mère traitée, l’action bêtabloquante persiste plusieurs jours après la naissance et peut se traduire par une bradycardie, une détresse respiratoire, une hypoglycémie mais le plus souvent cette rémanence est sans conséquence clinique. Il peut, néanmoins, survenir par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), en évitant les solutés de remplissage (risque d’OAP).
  • En conséquence, les bêtabloquants, dans les conditions normales d’utilisation, peuvent être prescrits pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu’à l’accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.
  •  Allaitement :

    Les bêtabloquants sont excrétés dans le lait (cf Pharmacocinétique). La survenue d’hypoglycémie et de bradycardie n’a pas été évaluée. En conséquence, et par mesure de précaution, il convient d’éviter l’allaitement au cours du traitement.

    • Bradycardie sévère
    • Asthénie
    • Refroidissement des extrémités
    • Douleur épigastrique
    • Nausée
    • Vomissement
    • Impuissance
    • Bloc auriculoventriculaire
    • Bloc auriculoventriculaire (aggravation)
    • Insuffisance cardiaque
    • Hypotension artérielle
    • Bronchospasme
    • Hypoglycémie
    • Syndrome de Raynaud
    • Claudication intermittente (aggravation)
    • Dermatose
    • Eruption psoriasiforme
    • Anticorps antinucléaire (augmentation) (Rare)
    • Syndrome lupique (Exceptionnel)

    • Classement ATC : 
          C07AB08 / CELIPROLOL
    • Classement Vidal : 
          Antiangoreux : bêtabloquant (Céliprolol)
          Antihypertenseur : bêtabloquant (Céliprolol)

    Liste I
    • CIP : 3614145 (CELIPROLOL TEVA 200 mg cp pellic : B/28).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3728742 (CELIPROLOL TEVA 200 mg cp pellic : Plq/84).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Téva Santé


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