comprimé
par 1 comprimé
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amiloride chlorhydrate | 5,68 mg |
Soit amiloride chlorhydrate anhydre | 5 mg |
hydrochlorothiazide | 50 mg |
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– Oedèmes d’origine cardiaque.
- – Hypertension artérielle.
- – Ascite et oedèmes des cirrhotiques.
- – Hypertension artérielle.
- Réservé à l’adulte
— Oedèmes cardiaques : on doit commencer le traitement Amiloride Hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg, à raison de 1 ou 2 comprimés par jour.- Cette posologie peut être augmentée mais ne doit pas dépasser 4 comprimés par jour. La posologie optimale est déterminée en fonction de la réponse diurétique et du taux de potassium sérique. Une fois la diurèse déclenchée on peut tenter de réduire la posologie en vue d’un traitement d’entretien et administrer le médicament sur un mode discontinu.
- — Hypertension artérielle : la posologie habituelle est de 1 ou 2 comprimés par jour en une ou plusieurs prises. La dose quotidienne peut être augmentée mais ne doit pas dépasser 4 comprimés.
- Lorsqu’il est associé à d’autres antihypertenseurs, Amiloride Hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg peut avoir un effet additif ou potentialiser leur action, il peut alors être nécessaire de réduire la posologie de ces derniers.
- — Ascite des cirrhotiques (cf Mises en garde/Précautions d’emploi) : on doit commencer le traitement par de petites doses d’Amiloride Hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg (1 comprimé une fois par jour). La posologie peut être augmentée progressivement jusqu’au déclenchement d’une diurèse efficace. La posologie d’Amiloride Hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg ne doit pas dépasser 4 comprimés par jour.
- La posologie du traitement d’entretien peut être plus faible que celle nécessaire au déclenchement de la diurèse. On peut donc tenter une réduction des doses quotidiennes lorsque le poids du malade s’est stabilisé.
- Une progression graduelle de la perte de poids est particulièrement souhaitable chez les cirrhotiques afin de diminuer le risque d’effets secondaires induits par le traitement diurétique.
- Cette posologie peut être augmentée mais ne doit pas dépasser 4 comprimés par jour. La posologie optimale est déterminée en fonction de la réponse diurétique et du taux de potassium sérique. Une fois la diurèse déclenchée on peut tenter de réduire la posologie en vue d’un traitement d’entretien et administrer le médicament sur un mode discontinu.
Absolue(s) :
- Hyperkaliémie
- Encéphalopathie hépatique
- Hypersensibilité aux dérivés thiazidiques
- Hypersensibilité aux sulfamides
- Hypersensibilité à l’un des composants
- Intolérance génétique au galactose
- Déficit en lactase
- Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
- Insuffisance rénale
- Risque d’hyperkaliémie
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Sujet de plus de 70 ans
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Insuffisance rénale
– Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - – Les diurétiques thiazidiques ne sont pleinement efficaces que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à des valeurs de l’ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l).
- – La valeur de la créatininémie peut être faussement rassurante quant à la fonction rénale ; celle-ci peut être mieux évaluée par un ionogramme ou une formule comme celle de Cockroft qui tient compte de l’âge, du poids et du sexe :
Clcr = (140 – âge) x poids/0,814 x créatininémie
avec l’âge exprimé en années, le poids en kg, la créatininémie en micromol/l
Cette formule est valable pour les sujets de sexe masculin, et doit être corrigée pour les femmes en multipliant le résultat par 0,85. - Diabète
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Traitement par un médicament hyperkaliémiant
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Interaction alimentaire : aliments riches en potassium
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Déshydratation
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Insuffisance cardiaque congestive
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Acidose métabolique
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Altération de l’état général
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Surveillance de la kaliémie avant et pendant le traitement
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Surveillance de la natrémie avant et pendant le traitement
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Surveillance de la fonction rénale avant et pendant le traitement
Toute prescription d’un médicament agissant sur le système rénine-angiotensine-aldostérone est susceptible de provoquer une hyperkaliémie. Ce risque, potentiellement mortel, est majoré chez les sujets âgés, les insuffisants rénaux et les diabétiques, et/ou en cas d’association de plusieurs médicaments hyperkaliémiants, et/ou lors de la survenue d’évènements intercurrents. - Avant d’envisager une association de plusieurs médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque et l’existence d’alternatives éventuelles.
- Les principaux facteurs de risque d’hyperkaliémie à prendre en considération sont :
. diabète, altération de la fonction rénale, âge (> 70 ans) ;
. association avec un ou plusieurs autres médicaments bloquant le système rénine-angiotensine-aldostérone et/ou d’autres médicaments hyperkaliémiants et/ou de suppléments potassiques. Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont en effet susceptibles de favoriser la survenue d’une hyperkaliémie : sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), antagonistes de l’angiotensine II (ARA II), anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris inhibiteurs sélectifs de la COX 2), héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), immunosuppresseurs comme la ciclosporine ou le tacrolimus, le triméthoprime. - . événements intercurrents, en particulier : déshydratation, décompensation cardiaque aiguë, acidose métabolique, altération de la fonction rénale, altération importante et soudaine de l’état général (par exemple lors de maladies infectieuses), souffrance et lyse cellulaire (par exemple : ischémie aiguë d’un membre, rhabdomyolyse, traumatismes étendus).
- Le suivi des patients, et notamment des patients à risque, devra comporter un ionogramme sanguin, avec en particulier un contrôle de la kaliémie, de la natrémie, et de la fonction rénale :
. avant l’instauration du traitement puis une semaine à 15 jours après,
. de même (avant et après) chaque augmentation de dose ou modification de traitement,
Puis en traitement d’entretien, les contrôles devront être réalisés régulièrement ou lors de la survenue d’un événement intercurrent. - Sportif
L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. - Risque de photosensibilisation
Des cas de réaction de photosensibilité ont été rapportés lors de l’utilisation des diurétiques thiazidiques (cf Effets secondaires). - En cas de survenue de réaction de photosensibilité sous traitement, il est recommandé d’interrompre le traitement. Si une réadministration du traitement est indispensable il est recommandé de protéger les zones exposées au soleil ou aux UVA artificiels.
- Exposition au soleil ou aux rayonnements UV
Des cas de réaction de photosensibilité ont été rapportés lors de l’utilisation des diurétiques thiazidiques (cf Effets secondaires). - En cas de survenue de réaction de photosensibilité sous traitement, il est recommandé d’interrompre le traitement. Si une réadministration du traitement est indispensable il est recommandé de protéger les zones exposées au soleil ou aux UVA artificiels.
- Hépatopathie
En cas d’atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques peuvent induire une encéphalopathie hépatique. En cas de survenue d’une telle encéphalopathie, le diurétique doit immédiatement être interrompu. - Risque d’hyponatrémie
Déshydratation extracellulaire ; possibilité d’hyponatrémie et d’hypochlorémie avec insuffisance rénale fonctionnelle (cf Effets indésirables). - Dans ce cas, surveiller le taux des électrolytes sériques et de l’urée sanguine ; cesser l’administration de chlorhydrate d’amiloride/hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg, comprimé et/ou apporter du sel.
- Risque d’alcalose hypochlorémique
Déshydratation extracellulaire ; possibilité d’hyponatrémie et d’hypochlorémie avec insuffisance rénale fonctionnelle (cf Effets indésirables). - Dans ce cas, surveiller le taux des électrolytes sériques et de l’urée sanguine ; cesser l’administration de chlorhydrate d’amiloride/hydrochlorothiazide RPG 5 mg/50 mg, comprimé et/ou apporter du sel.
- Cirrhose hépatique décompensée
Les effets indésirables sont plus fréquents chez les cirrhotiques ascitiques, car ces malades supportent mal les modifications de l’équilibre électrolytique et ont déjà souvent une hypokaliémie par hyperaldostéronisme secondaire. On a signalé occasionnellement l’apparition d’une encéphalopathie hépatique, avec tremblements, confusion et coma, chez des malades traités par le chlorhydrate d’amiloride seul. - Chez les cirrhotiques, sous chlorhydrate d’amiloride seul, un ictère associé à l’affection hépatique sous jacente s’est aggravé dans quelques cas, mais la relation de cause à effet avec le médicament n’est pas certaine.
- Risque de dysthyroïdie
Les thiazidiques peuvent réduire les taux sériques de P.B.I. en dehors de tout signe de dysfonction thyroïdienne. - Interrompre le traitement par des thiazidiques avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
- Risque d’hypercalcémie
L’excrétion du calcium est diminuée par l’hydrochlorothizide. - Risque d’hypomagnésémie
Les thiazidiques peuvent réduire les taux sériques de P.B.I. en dehors de tout signe de dysfonction thyroïdienne. - L’excrétion du calcium est diminuée par l’hydrochlorothizide, l’excrétion du magnésium augmente.
- Chez les malades porteurs d’un adénome parathyroïdien, les diurétiques thiazidiques peuvent entraîner une hypercalcémie.
- Interrompre le traitement par des thiazidiques avant d’explorer la fonction parathyroïdienne. Chez certains malades traités par les thiazidiques, on peut voir une hyperuricémie ou une crise de goutte.
- Dysthyroïdie
Les thiazidiques peuvent réduire les taux sériques de P.B.I. en dehors de tout signe de dysfonction thyroïdienne. - Chez les malades porteurs d’un adénome parathyroïdien, les diurétiques thiazidiques peuvent entraîner une hypercalcémie.
- Interrompre le traitement par des thiazidiques avant d’explorer la fonction parathyroïdienne.
- Risque d’hyperuricémie
Chez certains malades traités par les thiazidiques, on peut voir une hyperuricémie ou une crise de goutte. - Réservé à l’adulte
Réservé à l’adulte. - Interaction phytothérapique : séné
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : ricin
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : rhubarbe
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : cascara
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : bourdaine
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique. - Interaction phytothérapique : boldo
– Niveau de gravité :
Précaution d’emploi
– Nature du risque :
Risque majoré d’hypokaliémie. - – Conduite à tenir :
Surveillance de la kaliémie avec si besoin correction, notamment en cas de traitement digitalique.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Il n’y a pas d’étude de tératogénèse disponible chez l’animal. Il n’existe pas actuellement de données pertinentes sur un éventuel effet malformatif ou foetotoxique del’association amiloride/hydrochlorothiazide lorsqu’elle est administrée pendant la grossesse. En conséquence, l’utilisation de l’association amiloride/hydrochlorothiazide est déconseillée pendant la grossesse.
- Toutefois, la découverte d’une grossesse sous cette association n’en justifie pas l’interruption.
- Chez la femme enceinte, l’administration de cette association ne se justifie pas dans le traitement des oedèmes et rétentions hydrosodées gravidiques, ni dans l’HTA gravidique, car elle peut entraîner une ischémie foetoplacentaire avec un risque d’hypotrophie foetale, d’ictère foetale ou néonatal, de thrombocytopénie.
- Toutefois, la découverte d’une grossesse sous cette association n’en justifie pas l’interruption.
Allaitement :
- Les thiazidiques passent dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé.
- Hyperkaliémie
- Nausée
- Anorexie
- Douleur abdominale
- Météorisme
- Eruption cutanée
- Céphalée
- Faiblesse musculaire
- Fatigue
- Asthénie
- Malaise
- Douleur thoracique
- Douleur lombaire
- Arythmie
- Tachycardie
- Hypotension orthostatique
- Angor
- Signes d’intoxication digitalique
- Vomissement
- Diarrhée
- Constipation
- Hémorragie gastro-intestinale
- Trouble de l’appétit
- Polydypsie
- Hoquet
- Goutte
- Déshydratation
- Hypovolémie
- Hyponatrémie
- Prurit
- Bouffée vasomotrice
- Douleur des membres inférieurs
- Crampe
- Douleur articulaire
- Sensation de vertige
- Vertige
- Paresthésie
- Léthargie
- Insomnie
- Nervosité
- Confusion mentale
- Dépression
- Somnolence
- Dyspnée
- Vision (modification)
- Congestion nasale
- Dysgueusie
- Impuissance
- Dysurie
- Nycturie
- Incontinence urinaire
- Trouble hépatique
- Ulcère gastroduodénal (aggravation)
- Hyposialie
- Anémie aplastique
- Neutropénie
- Bloc auriculoventriculaire complet
- Choc anaphylactique
- Fièvre
- Vascularite nécrosante
- Hépatite cholestatique
- Pancréatite
- Encéphalopathie hépatique
- Insuffisance hepatique.
- Insuffisance hepatique.
- Glycosurie
- Hyperglycémie
- Hyperuricémie
- Photosensibilisation
- Sialorrhée
- Urticaire
- Syndrome des jambes sans repos
- Insuffisance respiratoire aiguë
- Pneumopathie
- Vision floue
- Xanthopsie
- Agranulocytose
- Anémie hémolytique
- Leucopénie
- Purpura
- Thrombopénie
-
Classement ATC :
C03EA01 / HYDROCHLOROTHIAZIDE ET EPARGNEURS POTASSIQUES
-
Classement Vidal :
Antihypertenseur : diurétique thiazidique associé
Diurétique en association : hydrochlorothiazide + amiloride
Insuffisance cardiaque : diurétique thiazidique associé
Liste I
-
CIP : 3417798 (CHLORHYDRATE D’AMILORIDE/HYDROCHLOROTHIAZIDE RPG 5 mg/50 mg cp : B/30).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
-
CIP : 3768351 (CHLORHYDRATE D’AMILORIDE/HYDROCHLOROTHIAZIDE RPG 5 mg/50 mg cp : Plq/90).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 65 % (Hypertension artérielle en cas d’échec d’une monothérapie par 12.5 mg d’hydrochlorothiazide), Agréé aux collectivités
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