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CLAMOXYL® formes injectables

amoxicilline

FORMES et PRÉSENTATIONS

Poudre et solvant pour solution injectable IM à 1 g : Flacon de poudre + ampoule de solvant (5 ml), boîte unitaire.
  • Poudre pour solution injectable IV à 2 g, IM-IV 1 g et 500 mg :  Boîtes de 10 flacons.


  • COMPOSITION


    Poudre et solvant pour sol inj IM :
    Poudre :p flacon
    Amoxicilline (DCI) sel de sodium exprimée en amoxicilline 
    1 g

    Solvant : alcool benzylique (150 mg/amp), eau ppi.


    Poudre pour sol inj IV ou IM-IV :
    Poudre :p flacon
    Amoxicilline (DCI) sel de sodium exprimée en amoxicilline 
    2 g
    ou1 g
    ou500 mg

    Teneur en sodium : 126 mg par flacon de 2 g ; 63 mg par flacon de 1 g ; 31 mg par flacon de 500 mg.


    INDICATIONS

    Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’amoxicilline. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
  • Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles :
    • pneumopathies aiguës ;
    • surinfections de bronchites aiguës et exacerbation de bronchites chroniques ;
    • infections ORL (otite, sinusite, angine) et stomatologiques ;
    • infections urinaires ;
    • infections génitales masculines et infections gynécologiques ;
    • infections digestives et biliaires ;
    • endocardites, septicémies ;
    • méningites ;
    • maladie de Lyme : traitement de la phase primaire (érythème chronique migrant) et de la phase primosecondaire (érythème chronique migrant associé à des signes généraux : asthénies, céphalées, fièvre, arthralgies…) ;
    • prophylaxie de l’endocardite bactérienne.
    Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    La présentation 1 g IM, contenant de l’alcool benzylique dans le solvant, ne doit être utilisée que pour la voie intramusculaire.
  • La forme 2 g IV est plus particulièrement adaptée à une utilisation par voie intraveineuse chez l’adulte.
  • Posologie :
    Chez le sujet à fonction rénale normale :
    La posologie est fonction de l’indication, de la gravité et du siège de l’infection, de la sensibilité du germe en cause, et du poids du sujet.
    Voie intramusculaire :
    • Adulte : 2 g/jour, soit 1 injection de 1 g deux fois par jour.
    • Coût du traitement journalier : 3,16 euro(s).
    • Enfant et nourrisson : 50 mg/kg/jour.
    • Coût du traitement journalier : 0,08 euro(s)/kg.
    Voie intraveineuse :
    • Adulte : 2 à 12 g/jour.
    • Enfant et nourrisson (1 mois à 15 ans) : 100 à 200 mg/kg/jour.
    • Nouveau-né (0 à 1 mois) prématuré ou à terme :
      Prématuré0 à 7 j
      7 à 30 j
      100 mg/kg/jour
      100 à 150 mg/kg/jour
      voie IV directe en 3 à 4 min
      Nouveau-né à terme0 à 7 j
      7 à 30 j
      100 à 150 mg/kg/jour
      100 à 200 mg/kg/jour
    Cas particuliers :
    • Maladie de Lyme :
      • Adulte :
        • érythème chronique migrant strictement isolé : 4 g/jour ;
        • en cas de manifestations systémiques évoquant une dissémination hématogène de Borrelia burgdorferi, les posologies peuvent être augmentées jusqu’à 6 g/jour.
      • Enfant :
        • érythème chronique migrant strictement isolé : 50 mg/kg/jour ;
        • en cas de manifestations systémiques évoquant une dissémination hématogène de Borrelia burgdorferi, les posologies peuvent être augmentées jusqu’à 100 mg/kg/jour.
      La durée du traitement sera de 15 à 21 jours.
    • Prophylaxie de l’endocardite bactérienne :
      Protocole parentéral :
      • Adulte : 2 g IV (perfusion de 30 minutes) dans l’heure qui précède le geste à risque suivi d’une administration de 1 g 6 heures plus tard.
      • Enfant : 50 mg/kg IV (perfusion de 30 minutes) dans l’heure qui précède le geste à risque suivi d’une administration per os de 25 mg/kg 6 heures plus tard.
    Chez le sujet insuffisant rénal :
    Clairance de la créatinineSchéma posologique
    entre 30 et 60 ml/min2 à 4 g/jour Posologie maximale : 4 g/jour en 2 administrations
    entre 10 et 30 ml/min1 g puis 500 mg toutes les 12 h
    inférieure à 10 ml/min1 g puis 500 mg toutes les 24 h
    Dans les infections sévères, cette posologie peut être insuffisante. Il est conseillé de procéder à un contrôle des taux sériques, et éventuellement méningés, de l’amoxicilline pour un ajustement éventuel des doses.

    Mode d’administration :

    Mode de préparation : cf Modalités Manipulation/Élimination.

    Voie intramusculaire :
    • Ne pas utiliser par voie intraveineuse le solvant destiné à la voie intramusculaire.
    • Ne pas injecter plus de 1 g d’amoxicilline à la fois chez l’adulte.
    • Ne pas injecter plus de 25 mg/kg à la fois chez l’enfant.
    • Le solvant IM utilisé (alcool benzylique) rend l’injection indolore.
    • Chez le nourrisson et l’enfant de moins de 3 ans, ne pas utiliser l’ampoule de solvant IM (cf Contre-indications), mais 5 ml d’eau pour préparations injectables.
    Voie intraveineuse :
    Ce médicament peut être administré soit en :
    • Injection IV directe :
      Injecter lentement en 3 à 4 minutes :
      • chez l’adulte : ne pas injecter plus de 1 g d’amoxicilline à la fois,
      • chez l’enfant, le nourrisson et le nouveau-né : ne pas injecter plus de 25 mg/kg à la fois.
    • Perfusion discontinue rapide :
      30 à 60 minutes :
      • chez l’adulte : ne pas injecter plus de 2 g d’amoxicilline à la fois,
      • chez l’enfant et le nourrisson : ne pas injecter plus de 50 mg/kg à la fois.
    • Perfusion continue.

    CONTRE-INDICATIONS

    Absolues :
    • Allergie aux antibiotiques de la famille des bêtalactamines (pénicillines et céphalosporines), ou à l’un des autres constituants.
    • En raison de la présence d’alcool benzylique, l’ampoule de solvant IM ne doit pas être utilisée chez l’enfant de moins de 3 ans.
    Relatives :
    • Méthotrexate : cf Interactions.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI


    Mises en garde :
    • La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement et la mise en place d’un traitement adapté.
    • Des réactions immunoallergiques, dont des réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales, ont été exceptionnellement observées chez les malades traités par les bêtalactamines. Leur administration nécessite donc un interrogatoire préalable.
    • Devant des antécédents d’allergie typique à ces produits, la contre-indication est formelle.
    • L’allergie aux pénicillines est croisée avec l’allergie aux céphalosporines dans 5 à 10 % des cas. Ceci conduit à proscrire les pénicillines lorsque le sujet est un allergique connu aux céphalosporines.
    • La survenue, en début de traitement, d’un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique aiguë généralisée (cf Effets indésirables) ; elle impose l’arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration d’amoxicilline, seule ou associée.
    Précautions d’emploi :
    • Comme avec toutes les bêtalactamines, contrôler régulièrement la formule sanguine en cas d’administration de doses élevées d’amoxicilline.
    • L’administration de fortes doses de bêtalactamines, chez l’insuffisant rénal ou chez les patients présentant des facteurs prédisposants tels que des antécédents de convulsions, épilepsie traitée ou atteintes méningées, peut exceptionnellement entraîner des convulsions.
    • En cas d’insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie (cf Posologie/Mode d’administration).
    • L’existence d’un faible débit urinaire est un facteur de risque de survenue d’une cristallurie.
    • En cas d’administration de doses élevées d’amoxicilline, un apport hydrique suffisant doit être assuré, pour réduire les risques de cristallurie.
    • Traitement de la maladie de Lyme : des réactions de Jarisch-Herxheimer peuvent survenir.
    • Tenir compte de la teneur en sodium par flacon chez les personnes suivant un régime hyposodé strict (cf Composition).
    Examens paracliniques :

    Incidences sur les paramètres biologiques :

    Une positivation du test de Coombs direct a été obtenue en cours de traitement par des bêtalactamines. Ceci pourrait également survenir chez les sujets traités par l’amoxicilline.

    A de très fortes concentrations, l’amoxicilline tend à :
    • diminuer les résultats des dosages de la glycémie ;
    • interférer dans les déterminations du taux de protides totaux du sérum par réaction colorée ;
    • donner une réaction colorée faussement positive dans les dosages de la glycosurie par la méthode semi-quantitative colorimétrique.

    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Déconseillées :
    • Méthotrexate : augmentation des effets et de la toxicité hématologique du méthotrexate par inhibition de la sécrétion tubulaire rénale par les pénicillines.

    A prendre en compte :
    • Allopurinol : risque accru de réactions cutanées.
    Problèmes particuliers du déséquilibre de l’INR :

    De nombreux cas d’augmentation de l’activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l’âge et l’état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l’INR. Cependant, certaines classes d’antibiotiques sont davantage impliquées : il s’agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.


    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :

    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

    En clinique, l’analyse d’un nombre élevé de grossesses exposées n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de l’amoxicilline. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l’absence de risque.

    En conséquence, l’amoxicilline peut être prescrite pendant la grossesse si besoin.


    Allaitement :

    Le passage de l’amoxicilline dans le lait maternel est faible, et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques. En conséquence, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique.

    Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose ou d’éruption cutanée chez le nourrisson.


    EFFETS INDÉSIRABLES

    La classification des effets indésirables utilisée est la suivante : très fréquent >= 1/10 ; fréquent >= 1/100, < 1/10 ; peu fréquent >= 1/1000, < 1/100 ; rare >= 1/10 000, < 1/1000 ; très rare < 1/10 000 ; fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles.
  • Affections hématologiques et du système lymphatique :
    • Très rare : leucopénie, neutropénie, agranulocytose, thrombocytopénie et anémie hémolytique réversibles.
    • Fréquence indéterminée : éosinophilie.
    Affections du système nerveux :
    • Très rare : convulsions.
    • Fréquence indéterminée : vertiges, céphalées.
    Affections gastro-intestinales :
    • Fréquent : diarrhée, nausées.
    • Peu fréquent : vomissements.
    • Très rare : colite pseudomembraneuse, colite hémorragique.
    Affections du rein et des voies urinaires :
    • Fréquence indéterminée : néphrite interstitielle aiguë et cristallurie.
    Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
    • Fréquent : éruption cutanée.
    • Peu fréquent : urticaire et prurit.
    • Très rare : érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, dermatite bulleuse ou exfoliative. Ces manifestations cutanées peuvent être plus fréquentes et/ou plus intenses chez des patients présentant une mononucléose infectieuse ou une leucémie lymphoïde en évolution. Pustulose exanthématique aiguë généralisée (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    Infections et infestations :
    • Fréquent : candidose cutanéo-muqueuse.
    Affections du système immunitaire :
    • Très rare : anaphylaxie (dont choc anaphylactique), maladie sérique et vascularite d’hypersensibilité (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
    • Fréquence indéterminée : manifestations allergiques, dont urticaire, oedème de Quincke, gêne respiratoire.
    Affections hépatobiliaires :
    • Très rare : hépatite, ictère cholestatique.
    • Fréquence indéterminée : augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques (ALAT et/ou ASAT).

    SURDOSAGE

    Les manifestations de surdosage peuvent être neuropsychiques, rénales (cristallurie : cf Mises en garde/Précautions d’emploi) et gastro-intestinales.
  • Le traitement en est symptomatique en surveillant particulièrement l’équilibre hydro-électrolytique.
  • L’amoxicilline peut être éliminée par hémodialyse.

  • PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : pénicillines à large spectre (code ATC : J01CA04).

    L’amoxicilline est un antibiotique de la famille des bêtalactamines, du groupe des aminopénicillines.

    Spectre d’activité antibactérienne :
    Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
    • S <= 4 mg/l et R > 16 mg/l ;
    • CMI pneumocoque : S <= 0,5 mg/l et R > 2 mg/l.
    La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
    Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
    Espèces sensibles :
    • Aérobies à Gram + : Corynebacterium diphteriae, Enterococcus faecalis, Erysipelothrix rhusiopathiae, Listeria monocytogenes, Nocardia asteroides (50-80 %), streptococcus, Streptococcus bovis, Streptococcus pneumoniae (15-35 %).
    • Aérobies à Gram – : Actinobacillus actinomycetemcomitans, Bordetella pertussis, capnocytophaga, eikenella, Escherichia coli (30-50 %), Haemophilus influenzae (20-35 %), Haemophilus para-influenzae (10-20 %), Helicobacter pylori, Neisseria gonorrhoeae, Neisseria meningitidis, Pasteurella multocida, Proteus mirabilis (10-40 %), salmonella (0-40 %), shigella (0-30 %), Streptobacillus moniliformis, Vibrio cholerae.
    • Anaérobies : actinomyces, clostridium, eubacterium, fusobacterium, peptostreptococcus, porphyromonas, prevotella (60-70 %), Propionibacterium acnes, veillonella.
    • Autres : bartonella, borrelia, leptospira, treponema.
    Espèces modérément sensibles (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    • Aérobies à Gram + : Enterococcus faecium (40-80 %).
    Espèces résistantes :
    • Aérobies à Gram + : staphylococcus.
    • Aérobies à Gram – : acinetobacter, alcaligenes, Branhamella catarrhalis, campylobacter, Citrobacter freundii, Citrobacter koseri, enterobacter, Klebsiella oxytoca, Klebsiella pneumoniae, legionella, Morganella morganii, Proteus rettgeri, Proteus vulgaris, providencia, pseudomonas, serratia, Yersinia enterocolitica.
    • Anaérobies : Bacteroides fragilis.
    • Autres : chlamydia, mycobacterium, mycoplasma, rickettsia.

    PHARMACOCINÉTIQUE

    Distribution :
    Taux sériques :
    • après injection intraveineuse rapide : le pic sérique, atteint en 1 minute, est de 187 µg/ml avec 1 g d’amoxicilline et de 111 µg/ml avec 500 mg.
    • A partir de 30 minutes, les taux sériques sont 2 fois plus élevés après injection de 1 g qu’après celle de 500 mg. Les taux décroissent ensuite rapidement jusqu’à devenir inférieurs à 1 µg/ml à partir de la 6e heure ;
    • après injection intramusculaire : le produit est bien résorbé. Le pic sérique, atteint en 45 à 60 minutes, est de 22 µg/ml après injection IM de 1 g et de 11 µg/ml après injection IM de 500 mg.
    Demi-vie plasmatique :
    • chez le sujet dont les fonctions rénales sont normales : 1 heure en moyenne,
    • chez le sujet anurique : 16 heures,
    • chez le sujet sous hémodialyse : 3,6 heures.
    Diffusion dans la plupart des tissus et milieux biologiques : présence d’antibiotique à taux thérapeutiques, constatée dans les sécrétions bronchiques, les sinus, le liquide amniotique, la salive, l’humeur aqueuse, le LCR, les séreuses, l’oreille moyenne.
    L’amoxicilline traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
    Taux de liaison aux protéines : 17 %.
    Biotransformation :
    L’amoxicilline est en partie transformée dans l’organisme en l’acide pénicilloïque correspondant. On retrouve environ 20 % de la dose administrée sous cette forme dans les urines.
    Excrétion, sous forme active :
    • dans les urines, en grande partie (en 6 heures environ, 70 à 80 % de la dose absorbée),
    • dans la bile (5 à 10 %).

    INCOMPATIBILITÉS

    Ce médicament en solution est incompatible avec :
    • le succinate d’hydrocortisone (trouble dans la solution) ;
    • le sang, le plasma ;
    • les solutions d’acides aminés ;
    • les hydrolysats de protéines ;
    • les émulsions lipidiques ;
    • le chlorhydrate de néosynéphrine ;
    • les solutions de mannitol (à concentrations diurétiques).

    De façon générale, il vaut mieux ne pas mélanger ce médicament à un autre produit dans la même seringue ou le même flacon de perfusion.


    CONDITIONS DE CONSERVATION

    Poudre et solvant pour solution injectable (IM) à 1 g :
    Après reconstitution, la solution doit être utilisée immédiatement.
    Poudre pour solution injectable (IM, IV) à 1 g et à 500 mg, poudre pour solution injectable (IV) à 2 g :
    Après reconstitution :
    • après dissolution dans du sérum physiologique : 6 heures ;
    • après dissolution dans une solution glucosée : 1 heure au maximum.
    Toutefois, d’un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d’utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après reconstitution et avant utilisation relèvent de la seule responsabilité de l’utilisateur.

    MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

    Voie intramusculaire :
    Poudre et solvant pour solution injectable (IM) à 1 g :
    Dissoudre sur la base de 1 g de poudre d’amoxicilline dans 5 ml de solvant pour injection intramusculaire.
    Agiter jusqu’à dissolution complète.
    Lors de la mise en solution, on peut observer une légère coloration rosée transitoire qui vire au jaune pâle ou une faible opalescence.
    Une fois préparée, la solution pour injection intramusculaire doit être injectée immédiatement.
    Il est possible d’utiliser cette poudre pour solution injectable IM par voie intraveineuse en diluant dans l’eau pour préparations injectables la poudre contenue dans le flacon (base de dilution : 1 g dans 20 ml).
    Ne pas utiliser par voie intraveineuse le solvant destiné à la voie intramusculaire.
    Poudre pour solution injectable (IM, IV) à 1 g et à 500 mg :
    Dissoudre sur la base de 1 g ou de 500 mg de poudre d’amoxicilline dans 5 ml d’eau pour préparations injectables.
    Voie intraveineuse :
    Diluer sur la base de 1 g de poudre d’amoxicilline dans 20 ml ou de 2 g dans 40 ml d’eau pour préparations injectables.
    En perfusion discontinue, les solutions à utiliser comme véhicule de perfusion, en fonction de la stabilité de ce médicament en solution, sont le sérum physiologique (durée de stabilité : 6 h) ou les solutions glucosées (durée de stabilité : 1 h au maximum).

    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    AMM3400932332076 (1980 rév 28.11.2007) IM 1 g.
    3400955249955 (1982 rév 28.11.2007) IV 2 g.
    3400955577539 (1982 rév 28.11.2007) IM-IV 1 g.
    3400955648710 (1982 rév 28.11.2007) IM-IV 500 mg.
    Mis sur le marché en 1979 (IV) et en 1980 (IM).
      
    Prix :1.58 euros (IM 1 g).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.
    Boîtes de 10 flacons IV à 2 g, IM-IV 1 g et 500 mg : Disponibles dans les seuls hôpitaux et collectivités.


    Laboratoire GlaxoSmithKline
    100, route de Versailles. 78163 Marly-le-Roi cdx
    Tél : 01 39 17 80 00
    Info médic :
    Tél : 01 39 17 84 44. Fax : 01 39 17 84 45
    Pharmacovigilance : Tél : 01 39 17 80 16

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