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DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml sol diluer p perf






solution à diluer pour perfusion
par 1 ml
docétaxel10 mg
Excipients : acide citrique anhydre, éthanol anhydre, macrogol 300, polysorbate 80.

Cancer du sein
DOCETAXEL HOSPIRA en association à la doxorubicine et au cyclophosphamide est indiqué dans le traitement adjuvant du cancer du sein opérable, chez des patients présentant un envahissement ganglionnaire.

  • DOCETAXEL HOSPIRA en association à la doxorubicine est indiqué dans le traitement du cancer du sein localement avancé ou métastatique chez les patients n’ayant pas reçu de chimiothérapie cytotoxique antérieure dans cette indication.
  • DOCETAXEL HOSPIRA est indiqué en monothérapie dans le traitement des patients atteintes d’un cancer du sein localement avancé ou métastatique après échec d’une chimiothérapie cytotoxique, ayant comporté une anthracycline ou un agent alkylant.
  • DOCETAXEL HOSPIRA en association au trastuzumab est indiqué dans le traitement du cancer du sein métastatique avec sur-expression tumorale de HER2, chez les patients non prétraités par chimiothérapie pour leur maladie métastatique.
  • DOCETAXEL HOSPIRA en association à la capecitabine est indiqué dans le traitement du cancer du sein localement avancé ou métastatique après échec d’une chimiothérapie cytotoxique ayant comporté une anthracycline.
  • Cancer du poumon non à petites cellules
    DOCETAXEL HOSPIRA est indiqué dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules localement avancé ou métastatique, après échec d’une chimiothérapie antérieure.
  • DOCETAXEL HOSPIRA en association au cisplatine est indiqué dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules non résécable, localement avancé ou métastatique, chez les patients n’ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure dans cette indication.
  • Cancer de la prostate
    DOCETAXEL HOSPIRA en association à la prednisone ou à la prednisolone est indiqué dans le traitement du cancer de la prostate métastatique hormono-résistant.
  • Cancer gastrique
    DOCETAXEL HOSPIRA en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile est indiqué dans le traitement de l’adénocarcinome gastrique métastatique, y compris l’adénocarcinome de la jonction oesogastrique, chez les patients non prétraités par chimiothérapie pour leur maladie métastatique.
  • Cancer des voies aéro-digestives supérieures
    DOCETAXEL HOSPIRA en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile est indiqué dans le traitement d’induction des carcinomes épidermoïdes localement avancés des voies aéro-digestives supérieures.

  • DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml, solution à diluer pour perfusion s’administre par voie intraveineuse uniquement.
  • L’utilisation du docétaxel doit être réservée aux unités spécialisées dans l’administration de cytotoxiques et doit être administré sous contrôle d’un médecin qualifié dans l’utilisation des chimiothérapies anticancéreuses (voir ci-après Précautions particulières d’élimination et de manipulation)Posologie recommandée
    Dans les cancers du sein, du poumon non à petites cellules, gastrique et des voies aéro-digestives supérieures, et sauf contre-indication, une prémédication par un corticoïde oral peut être utilisée, tel que la dexaméthasone à la dose de 16 mg par jour (par exemple 8 mg 2 fois par jour) pendant 3 jours en commençant la veille de la perfusion du docétaxel (voir Mises en garde et précautions d’emploi). Une prophylaxie par G-CSF peut être utilisée pour diminuer le risque de toxicité hématologique.
  • Dans le cancer de la prostate, compte tenu de l’utilisation concomitante de prednisone ou de prednisolone, la prémédication orale de dexaméthasone recommandée est de 8 mg, 12 heures, 3 heures et 1 heure avant la perfusion de docétaxel (voir Mises en garde et précautions d’emploi).
  • Le docétaxel est administré en perfusion d’une heure toutes les trois semaines.Cancer du sein
    Dans le traitement adjuvant du cancer du sein opérable présentant un envahissement ganglionnaire, la posologie recommandée du docétaxel est de 75 mg/m² administrée 1 heure après 50 mg/m² de doxorubicine et 500 mg/m² de cyclophosphamide, toutes les 3 semaines pendant 6 cycles (voir  » Ajustement posologique « ).
  • Pour le traitement des patientes atteintes d’un cancer du sein localement avancé ou métastatique, la posologie recommandée du docétaxel en monothérapie est de 100 mg/m². En première ligne, le docétaxel à la dose de 75 mg/m² est administré en association à la doxorubicine (50 mg/m²).
  • En association au trastuzumab, la posologie recommandée du docétaxel est de 100 mg/m² toutes les 3 semaines, le trastuzumab étant administré toutes les semaines. Dans une étude pivotale, la première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée. Pour la posologie et le mode d’administration du trastuzumab, voir le Résumé des Caractéristiques du Produit.
  • En association à la capécitabine, la posologie recommandée du docétaxel est de 75 mg/m² toutes les 3 semaines, associée à la capécitabine à la dose de 1250 mg/m², 2 fois par jour (dans les 30 minutes qui suivent un repas) pendant 2 semaines, suivie d’une période sans traitement d’une semaine. Pour le calcul de la dose de capécitabine en fonction de la surface corporelle, voir le Résumé des Caractéristiques du Produit.Cancer du poumon non à petites cellules
    Chez les patients traités pour un cancer du poumon non à petites cellules et n’ayant reçu aucune chimiothérapie antérieure, les doses recommandées sont de 75 mg/m² de docétaxel, suivi immédiatement par 75 mg/m² de cisplatine en 30 à 60 minutes. Après échec d’une chimiothérapie à base de sels de platine, la dose recommandée est de 75 mg/m² de docétaxel en monothérapie.Cancer de la prostate
    La posologie recommandée de docétaxel est de 75 mg/m². La prednisone ou la prednisolone orale est administrée en continu, à raison de 5 mg, 2 fois par jour (voir rubrique 5.1).Cancer gastrique
    La posologie recommandée du docétaxel est de 75 mg/m² en perfusion de 1 heure suivie le même jour par une perfusion de 1 à 3 heures de cisplatine à la posologie de 75 mg/m² (les deux à J1 uniquement).
  • Immédiatement après la fin de la perfusion de cisplatine, débute la perfusion continue sur 24 heures pendant 5 jours de 5-fluorouracile à la posologie de 750 mg/m²/j.
  • Le traitement est répété toutes les 3 semaines. Les patients doivent recevoir une prémédication par des antiémétiques et une hydratation adéquate pour l’administration du cisplatine Une prophylaxie par G-CSF devra être utilisée pour diminuer le risque de toxicité hématologique (voir  » ajustement posologique « ).Cancer des voies aéro-digestives supérieures
    Les patients doivent recevoir une prémédication par des antiémétiques et une hydratation adéquate (avant et après administration du cisplatine). Une prophylaxie par G-CSF peut être utilisée pour diminuer le risque de toxicité hématologique. Tous les patients du bras docétaxel des études TAX 323 et TAX 324 ont reçu une prophylaxie antibiotique.
  • o Chimiothérapie d’induction suivie de radiothérapie (TAX 323) :
    Dans le traitement d’induction des carcinomes épidermoïdes localement avancés et inopérables des voies aéro-digestives supérieures, la posologie recommandée de docétaxel est de 75 mg/m² en perfusion de 1 heure, suivi de cisplatine à la posologie de 75 mg/m² en perfusion de 1 heure à J1, suivi de 5-fluorouracile à la posologie de 750 mg/m²/j en perfusion continue sur 5 jours.
  • Ce schéma est répété toutes les 3 semaines pendant 4 cycles. Après la chimiothérapie, les patients doivent être traités par radiothérapie.
  • o Chimiothérapie d’induction suivie de chimio-radiothérapie (TAX 324) :
    Dans le traitement d’induction des patients présentant un carcinome épidermoïde localement avancé des voies aéro-digestives supérieures (VADS ; non techniquement résécable, à faible probabilité de curabilité chirurgicale avec préservation d’organe), la posologie recommandée de docétaxel est de 75 mg/m² en perfusion intraveineuse de 1 heure à J1, suivi de cisplatine à la posologie de 100 mg/m² en perfusion de 30 minutes à 3 heures, suivi de 5-fluorouracile 1 000 mg/m²/j en perfusion continue de J1 à J4. Ce schéma est administré toutes les 3 semaines à raison de 3 cycles. Après la chimiothérapie, les patients doivent être traités par chimio-radiothérapie.
  • Pour les ajustements posologiques du cisplatine et du 5-fluorouracile, se référer au Résumé des
    Caractéristiques du Produit correspondant.Ajustement posologique
    Généralités
    Le docétaxel doit être administré lorsque le nombre des polynucléaires neutrophiles est ¡Ý1 500/mm3. Chez les patients ayant présenté pendant le traitement par le docétaxel une neutropénie fébrile ou un nombre de polynucléaires neutrophiles <500/mm3 pendant plus d’une semaine ou des réactions cutanées sévères ou répétées ou une neuropathie périphérique sévère, la dose de docétaxel doit être réduite de 100 mg/m² à 75 mg/m² et/ou de 75 mg/m² à 60 mg/m². Si ces réactions persistent à la dose de 60 mg/m², le traitement doit être interrompu.Traitement adjuvant du cancer du sein
    Dans l’étude pivotale, chez les patientes qui ont reçu un traitement adjuvant pour leur cancer du sein et qui ont présenté une neutropénie compliquée (incluant une neutropénie prolongée, une neutropénie fébrile ou une infection), il a été recommandé d’utiliser le G-CSF à titre prophylactique (par exemple, du 4e au 11e jour) pour tous les cycles suivants. Les patientes qui ont continué à présenter cet effet devaient rester sous G-CSF et la dose de docétaxel devait être diminuée à 60 mg/m².
  • Toutefois, en pratique clinique, une neutropénie peut survenir plus tôt. De ce fait, l’utilisation de G-CSF devrait donc être considérée en fonction du risque neutropénique de la patiente et des recommandations en vigueur.
  • Pour les patientes présentant une stomatite de grade 3 ou 4, la dose de docétaxel devrait être diminuée à 60 mg/m².En association avec le cisplatine
    Chez les patients ayant reçu une dose initiale de docétaxel à 75 mg/m² en association au cisplatine, pour lesquels le nadir du nombre des plaquettes lors de la cure précédente était < 25 000/mm3, ou présentant une neutropénie fébrile, ou des toxicités sévères non hématologiques, la dose de docétaxel doit être réduite à 65 mg/m² lors des cycles suivants. Pour l’ajustement posologique du cisplatine, se reporter au Résumé des Caractéristiques du Produit correspondant.En association avec la capécitabine
    o Pour l’ajustement posologique de la capécitabine, voir le Résumé des Caractéristiques du Produit.
  • o Chez les patients qui présentent une première apparition de toxicité de grade 2 qui persiste jusqu’à l’administration suivante de docétaxel/capécitabine, retarder le traitement jusqu’au retour au grade 0-1, puis reprendre le traitement à 100% de la posologie initiale.
  • o Chez les patients qui présentent une 2ème apparition de toxicité de grade 2 ou une 1ère apparition de toxicité de grade 3, quel que soit le stade du cycle de traitement, retarder le traitement jusqu’au retour au grade 0-1, puis reprendre le traitement à la dose de 55 mg/m² de docétaxel.
  • o Pour toute apparition ultérieure de toxicité, ou toute toxicité de grade 4, arrêter le traitement par docétaxel.En association avec le trastuzumab
    Pour l’ajustement posologique du trastuzumab : voir le Résumé des Caractéristiques du Produit.En association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile
    Si un épisode de neutropénie fébrile, de neutropénie prolongée ou d’infection neutropénique survient malgré l’utilisation de G-CSF, la posologie de docétaxel devra être réduite de 75 à 60 mg/m². Si des épisodes de neutropénie compliquée surviennent ultérieurement, la posologie de docétaxel devra être réduite de 60 à 45 mg/m². En cas de thrombopénie de grade 4, la posologie de docétaxel devra être réduite de 75 à 60 mg/m².
  • Les administrations suivantes de docétaxel ne devront reprendre que si le nombre de polynucléaires neutrophiles redevient >1 500/mm3 et le nombre de plaquettes >100 000/mm3. Si ces toxicités hématologiques persistent, le traitement devra être arrêté (voir Mises en garde et précautions d’emploi).
  • En cas de toxicité gastro-intestinale, les ajustements posologiques chez des patients recevant du docétaxel en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile (5-FU) sont les suivants :
     Toxicité – grade   Ajustements posologiques 
     Diarrhée – grade 3   1er épisode : réduction de 20 % de la dose de 5-FU
    2e épisode : réduction de 20 % de la dose de docétaxel 
     Diarrhée – grade 4   1er épisode : réduction de 20 % de la dose de docétaxel et de 5-FU
    2e épisode : arrêt du traitement 
     Stomatites/mucites –
    grade 3 
     1er épisode : réduction de 20 % de la dose de 5-FU
    2e épisode : arrêt définitif du 5-FU seulement
    3e épisode : réduction de 20 % de la dose de docétaxel 
     Stomatites/mucites –
    grade 4 
     1er épisode : arrêt définitif du 5-FU seulement
    2e épisode : réduction de 20 % de la dose de docétaxel 

    Pour les ajustements posologiques du 5-fluorouracile et du cisplatine, se référer aux Résumés des
    Caractéristiques des Produits.
  • Dans les études pivotales chez les patients traités par chimiothérapie d’induction pour un cancer, localement avancé des VADS, inopérable, et ayant présenté une neutropénie compliquée (incluant neutropénie prolongée, neutropénie fébrile ou infection), une prophylaxie par G-CSF (exemple : du 6e au 15e jour) était recommandée pour les cycles suivants.Populations à risque :Patients atteints d’insuffisance hépatique : D’après les données pharmacocinétiques relatives au docétaxel à 100 mg/m² administré en monothérapie, la dose de docétaxel recommandée chez les patients ayant des transaminases (ALAT et/ou ASAT) supérieures à 1,5 fois la LSN, ainsi que des phosphatases alcalines supérieures à 2,5 fois la LSN, est de 75 mg/m² (voir rubriques 4.4 et 5.2). Chez les patients ayant une bilirubinémie supérieure à la LSN et/ou des ASAT et ALAT supérieures à 3,5 fois la LSN, associées à des phosphatases alcalines supérieures à 6 fois la LSN, aucune réduction de dose ne peut être recommandée et le docétaxel ne doit pas être administré, sauf s’il est strictement indiqué.
  • Dans le traitement de l’adénocarcinome gastrique, en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile, l’étude pivotale a exclu les patients présentant un taux de transaminases (ASAT et/ou ALAT) supérieur à 1,5 fois la LSN associé à des phosphatases alcalines supérieures à 2,5 fois la LSN et un taux de bilirubine supérieur à 1 fois la LSN. En conséquence pour ces patients, aucune réduction de dose ne peut être recommandée et le docétaxel ne doit pas être administré sauf s’il est strictement indiqué.
  • On ne dispose d’aucune donnée sur les insuffisants hépatiques traités par le docétaxel en association dans les autres indications.Enfants et adolescents : On dispose d’une expérience limitée de l’utilisation de ces médicaments chez l’enfant et l’adolescent.Sujets âgés : Au vu des données de pharmacocinétique de population, aucune précaution d’utilisation particulière n’est à prendre chez le sujet âgé.
  • En association avec la capécitabine, il est recommandé de réduire à 75% la dose initiale de capécitabine chez les sujets âgés de 60 ans ou plus (se reporter au Résumé des Caractéristiques du Produit).Précautions particulières d’élimination et de manipulation
    DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml, solution à diluer pour perfusion est un agent antinéoplasique et, comme tous les autres composés potentiellement toxiques, il doit être manipulé et préparé avec précaution.
  • Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.Recommandations relatives à la manipulation sans danger et à l’élimination des agents antinéoplasiquesPréparation
    Les directives locales relatives à la préparation et à la manipulation sans danger doivent être suivies.
  • La préparation des solutions injectables d’agents cytotoxiques doit être confiée à un personnel spécialisé et entraîné à manipuler sans danger de telles préparations. Les femmes enceintes ne doivent pas manipuler de cytotoxiques.
  • L’ensemble du personnel manipulant des cytotoxiques doit être parfaitement protégé par le port d’un équipement de protection personnelle approprié comprenant gants de protection jetables, protections oculaires, masque facial et blouse à longues manches. La préparation et la manipulation des solutions doit s’effectuer dans des locaux conçus à cet effet.Contamination
    En cas de contact cutané, il convient de rincer immédiatement et soigneusement la surface concernée à l’eau et au savon en prenant soin de ne pas irriter la peau. Une crème protectrice peut être utilisée pour atténuer la sensation de brûlure transitoire de la peau. En cas de contact avec les yeux, il convient d’irriguer à grande eau ou avec du chlorure de sodium à 0,9%. Consulter un médecin.
  • En cas de fuite de médicament, le personnel formé portant un équipement de protection personnelle approprié devra éliminer le maximum de solution à l’aide d’un kit spécifique aux produits cytotoxiques ou autres produits absorbants appropriés. La zone contaminée devra être rincée à grande eau. Tout le matériel de nettoyage contaminé devra être détruit selon les instructions ci-dessous.Élimination
    Tout matériel contaminé (y compris aiguilles, contenants, produits absorbants, solutions inutilisées, etc.) doit être placé dans un sac de déchets imperméable réservé à cet usage, scellé et étiqueté ou dans un récipient rigide approprié, et incinéré conformément aux procédures locales de destruction des déchets dangereux.Instructions pour la préparation
    Inspecter visuellement avant utilisation. Seules les solutions limpides, exemptes de particules visibles doivent être utilisées.
  • Doit être dilué avant utilisation.
  • Injecter la quantité de volume nécessaire dans une poche ou un flacon pour perfusion de 250 ml contenant :
    – du chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%)
    ou
    – du glucose à 50 mg/ml (5%).
  • Si une dose supérieure à 185 mg de docétaxel est nécessaire, utiliser une quantité plus importante de solvant de manière à ne pas dépasser une concentration de 0,74 mg/ml de docétaxel.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Neutropénie < 1500 neutrophiles/mm3
    • Allaitement
    • Insuffisance hépatique sévère

    • Traitement à administrer en service spécialisé
      L’utilisation du docétaxel doit être réservée aux unités spécialisées dans l’administration de cytotoxiques et le docétaxel doit être administré sous contrôle d’un médecin qualifié dans l’utilisation des chimiothérapies anticancéreuses.
    • Surveillance par un médecin spécialisé pendant le traitement
      L’utilisation du docétaxel doit être réservée aux unités spécialisées dans l’administration de cytotoxiques et le docétaxel doit être administré sous contrôle d’un médecin qualifié dans l’utilisation des chimiothérapies anticancéreuses.
    • Administrer une prémédication
      Pour les cancers du sein et du poumon non à petites cellules, une prémédication par un corticoïde oral, tel que la dexaméthasone à raison de 16 mg par jour (par exemple: 8 mg 2 fois par jour) pendant 3 jours en commençant la veille de la perfusion du docétaxel, sauf contre-indication, peut réduire l’incidence et la sévérité de la rétention hydrique et la sévérité des réactions d’hypersensibilité. Pour le cancer de la prostate, la prémédication orale par la dexaméthasone est de 8 mg, 12 heures, 3 heures et 1 heure avant la perfusion de docétaxel (voir Posologie et mode d’administration).
    • Surveillance de la formule sanguine pendant le traitement
      La neutropénie est l’effet indésirable le plus fréquent observé avec le docétaxel. Le nadir a été observé en médiane 7 jours après le traitement, mais cet intervalle peut être plus court chez les patients prétraités. Une surveillance fréquente de la formule sanguine doit être exercée chez tous les patients traités par le docétaxel. Le traitement par le docétaxel ne doit pas être repris tant que le nombre de neutrophiles n’est pas remonté >= 1500/mm3 (voir Posologie et mode d’administration).
    • En cas de neutropénie sévère (< 500/mm3 durant 7 jours ou plus) pendant une cure de docétaxel, il est recommandé de réduire la dose lors des cures suivantes ou de prendre les mesures symptomatiques appropriées (voir Posologie et mode d’administration).
    • Risque de neutropénie
      La neutropénie est l’effet indésirable le plus fréquent observé avec le docétaxel. Le nadir a été observé en médiane 7 jours après le traitement, mais cet intervalle peut être plus court chez les patients prétraités. Une surveillance fréquente de la formule sanguine doit être exercée chez tous les patients traités par le docétaxel. Le traitement par le docétaxel ne doit pas être repris tant que le nombre de neutrophiles n’est pas remonté >= 1500/mm3 (voir Posologie et mode d’administration).
    • En cas de neutropénie sévère (< 500/mm3 durant 7 jours ou plus) pendant une cure de docétaxel, il est recommandé de réduire la dose lors des cures suivantes ou de prendre les mesures symptomatiques appropriées (voir Posologie et mode d’administration).
    • Chez les patients traités par docétaxel en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile (protocole TCF), l’administration de G-CSF en prophylaxie permet de réduire la fréquence des neutropénies fébriles et des infections neutropéniques. Les patients traités selon le protocole TCF devront recevoir du G-CSF en prophylaxie pour diminuer le risque de survenue de neutropénies compliquées (neutropénie fébrile, prolongée ou infection neutropénique).
    • Les patients traités selon le protocole TCF devront faire l’objet d’une surveillance attentive (voir Posologie et mode d’administration, Effets indésirables).
    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      Les patients doivent être strictement surveillés en raison du risque de réactions d’hypersensibilité, particulièrement pendant la première et la seconde perfusion. Des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir dans les minutes qui suivent le début d’une perfusion du docétaxel ; pour cette raison, le matériel médical approprié doit être disponible pour traiter l’hypotension et le bronchospasme. Les manifestations mineures, comme les bouffées vasomotrices ou les réactions cutanées localisées, ne justifient pas l’interruption du traitement. En revanche, les réactions sévères, telles qu’une hypotension sévère, un bronchospasme ou un rash/érythème généralisé, imposent l’arrêt immédiat du docétaxel et l’instauration d’un traitement symptomatique. Le docétaxel ne doit pas être réadministré aux patients ayant présenté des réactions d’hypersensibilité sévères.
    • Surveillance médicale avec disponibilité de matériel de réanimation pendant le traitement
      Les patients doivent être strictement surveillés en raison du risque de réactions d’hypersensibilité, particulièrement pendant la première et la seconde perfusion. Des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir dans les minutes qui suivent le début d’une perfusion du docétaxel ; pour cette raison, le matériel médical approprié doit être disponible pour traiter l’hypotension et le bronchospasme. Les manifestations mineures, comme les bouffées vasomotrices ou les réactions cutanées localisées, ne justifient pas l’interruption du traitement. En revanche, les réactions sévères, telles qu’une hypotension sévère, un bronchospasme ou un rash/érythème généralisé, imposent l’arrêt immédiat du docétaxel et l’instauration d’un traitement symptomatique. Le docétaxel ne doit pas être réadministré aux patients ayant présenté des réactions d’hypersensibilité sévères.
    • Risque de réaction cutanée
      Des cas d’érythèmes cutanés localisés aux extrémités (paumes des mains et plantes des pieds), accompagnés d’oedème et suivis de desquamation ont été observés. Des symptômes sévères, tels que des éruptions suivies de desquamation conduisant à l’interruption temporaire ou définitive du traitement par le docétaxel, ont été rapportés (voir Posologie et mode d’administration).
    • Inflation hydrique
      Les patients présentant une rétention hydrique sévère, telle que pleurésie, péricardite et ascite, devront être particulièrement surveillés.
    • Insuffisance hépatique
      – Chez les patients traités par le docétaxel à 100 mg/m² en monothérapie et présentant des taux de transaminases (ALAT et/ou ASAT) supérieurs à 1,5 fois la LSN, ainsi que des taux sériques de phosphatases alcalines supérieurs à 2,5 fois la LSN, le risque de développer des effets indésirables sévères tels que décès toxiques (incluant septicémies et hémorragies gastro-intestinales qui peuvent être fatales), neutropénie fébrile, infections, thrombocytopénies, stomatites et asthénie, est augmenté. En conséquence, la dose recommandée de docétaxel chez les patients ayant un bilan de la fonction hépatique élevé (BFH) est de 75 mg/m², et un bilan de la fonction hépatique (BFH) doit être fait en début du traitement et avant chaque cure (voir Posologie et mode d’administration).
    • Chez les patients avec une bilirubinémie supérieure à la LSN et/ou des ALAT et ASAT 3,5 fois supérieures à la LSN avec des phosphatases alcalines supérieures à 6 fois la LSN, aucune réduction de dose ne peut être recommandée et le docétaxel ne devrait pas être administré, sauf s’il est strictement indiqué.
    • Dans le traitement de l’adénocarcinome gastrique en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile, l’étude pivotale a exclu les patients présentant un taux de transaminases (ASAT et/ou ALAT) > 1,5 fois la LSN associé à des phosphatases alcalines > 2,5 fois la LSN et un taux de bilirubine > 1 fois la LSN : en conséquence pour ces patients, aucune réduction de dose ne peut être recommandée et le docétaxel ne devrait pas être administré sauf s’il est strictement indiqué.
    • On ne dispose d’aucune donnée sur les insuffisants hépatiques traités par le docétaxel en association dans les autres indications.
    • – Ce médicament contient 23% vol d’éthanol (alcool), i.e. 182 mg/ml, à prendre en compte dans les populations à risque tels que les patients soufrant d’insuffisance hépatique.
    • Insuffisance rénale sévère
      Il n’existe aucune donnée disponible chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère traités par docétaxel.
    • Risque de neuropathie périphérique
      L’apparition d’une neurotoxicité périphérique sévère impose une réduction de la dose (voir Posologie et mode d’administration).
    • Cancer du sein métastasé
      Une insuffisance cardiaque a été observée chez des patientes recevant du docétaxel en association avec du trastuzumab, en particulier après une chimiothérapie contenant une anthracycline (doxorubicine ou épirubicine). Celle-ci peut être modérée à sévère, voire même d’issue fatale (voir Effets indésirables).
    • Quand les patients sont susceptibles d’être traitées par le docétaxel en association avec le trastuzumab, ils doivent bénéficier d’une évaluation cardiaque avant traitement. La fonction cardiaque doit être surveillée pendant le traitement (ex : tous les trois mois) pour permettre d’identifier les patientes susceptibles de développer un dysfonctionnement cardiaque. Pour plus de détails, voir le résumé des caractéristiques du produit de trastuzumab.
    • Femme susceptible d’être enceinte
      Les femmes en âge de procréer sous docétaxel doivent éviter toute grossesse et informer immédiatement leur médecin traitant si une grossesse survenait.
    • Utiliser une contraception efficace pdt le traitement puis pdt 3 mois après l’arrêt du traitement
      Une méthode de contraception efficace doit être utilisée pendant le traitement et jusqu’à 3 mois après le traitement.
    • Homme en âge de procréer
      Le docétaxel peut avoir des effets génotoxiques. Par conséquent, il est conseillé aux hommes traités par le docétaxel de ne pas avoir d’enfant pendant le traitement et jusqu’à 6 mois après le traitement et de se renseigner sur la conservation du sperme avant le traitement en raison de la possibilité de stérilité irréversible due au traitement par le docétaxel.
    • Risque de perturbation de la fécondité
      Des effets indésirables affectant les testicules observés dans des études de toxicité chez des rongeurs suggèrent que le docétaxel pourrait altérer la fécondité masculine.
    • Cancer du sein
      Précautions particulières pour l’utilisation en traitement adjuvant du cancer du sein :
      * Neutropénie compliquée :
      Chez les patientes ayant présenté une neutropénie compliquée (une neutropénie prolongée, une neutropénie fébrile ou une infection), l’utilisation de G-CSF et une réduction de dose devraient être envisagées (voir Posologie et mode d’administration).
    • * Effets gastro-intestinaux :
      Des symptômes tels que douleurs et sensibilité abdominales précoces, fièvre, diarrhée, avec ou sans neutropénie, peuvent être des manifestations précoces d’une toxicité gastro-intestinale sévère et doivent être évalués et traités rapidement.
    • * Insuffisance cardiaque congestive :
      Les patientes doivent être surveillées pour des symptômes d’insuffisance cardiaque congestive pendant le traitement et pendant la période de suivi.
    • * Leucémie :
      Chez les femmes traitées par docétaxel, doxorubicine et cyclophosphamide (TAC), le risque de développer une myélodysplasie secondaire ou une leucémie myéloïde nécessite un suivi hématologique.
    • * Patientes présentant au moins 4 ganglions envahis :
      Le rapport bénéfice/risque de TAC chez les patientes ayant au moins 4 ganglions envahis n’a pas été complètement déterminé par l’analyse intermédiaire (voir Propriétés pharmacodynamiques).
    • * Sujets âgés :
      Il existe des données limitées sur l’utilisation du docétaxel en association avec la doxorubicine et le cyclophosphamide chez des patientes de plus de 70 ans.
    • Sujet âgé
      – Au vu des données de pharmacocinétique de population, aucune précaution particulière n’est à prendre chez le sujet âgé. En association avec la capécitabine, il est recommandé de réduire à 75 % la dose initiale de capécitabine chez les sujets âgés de 60 ans ou plus (se reporter au Résumé des caractéristiques du produit de capécitabine) (voir Posologie et mode d’administration).
    • – Précautions particulières pour l’utilisation en traitement adjuvant du cancer du sein chez le sujet âgé : Il existe des données limitées sur l’utilisation du docétaxel en association avec la doxorubicine et le cyclophosphamide chez des patientes de plus de 70 ans.
    • – Dans une étude dans le cancer de la prostate sur les 333 patients traités avec docétaxel toutes les 3 semaines, 209 patients étaient âgés de 65 ans ou plus et 68 patients étaient âgés de plus de 75 ans. Chez les patients traités par docétaxel toutes les 3 semaines, le taux d’incidence d’altérations des ongles attribués au médicament était supérieur, d’au moins 10 % chez les patients âgés de 65 ans ou plus, au taux observé chez les sujets plus jeunes. Les taux d’incidence des cas de fièvre, diarrhée, anorexie et oedème périphérique attribués au médicament étaient supérieurs, d’au moins 10 % chez les patients de 75 ans et plus, aux taux observés chez les sujets de moins de 65 ans.
    • Dans une étude sur le cancer gastrique, sur les 300 patients (221 patients en phase III et 79 patients en phase II) traités par docétaxel en association avec le cisplatine et le 5-fluorouracile, 74 patients étaient âgés de 65 ans ou plus et 4 patients étaient âgés de 75 ans ou plus. L’incidence des effets indésirables graves était supérieure chez les patients âgés comparés aux patients plus jeunes. L’incidence des effets indésirables suivants (quel que soit le grade) léthargie, stomatites, infections était supérieure d’au moins 10 % chez les patients âgés de 65 ans ou plus par rapport à celle observée chez les sujets plus jeunes.
    • Les patients âgés traités avec le protocole TCF feront l’objet d’une surveillance attentive.
    • Sujet de moins de 18 ans
      – Ce médicament contient 50% (en volume) d’éthanol (alcool), c.-à-d. jusqu’à 0,395 g (0,5 ml) par flacon, équivalent à 10 ml de bière ou 4 ml de vin par flacon.
    • A prendre en compte chez les enfants.
    • – Docetaxel Ebewe n’est pas recommandé chez l’enfant car on ne dispose pas de données de sécurité ni d’efficacité suffisantes.
    • Tenir compte de la teneur en alcool
      Ce médicament contient 23% vol d’éthanol (alcool), i.e. 182 mg/ml.
    • Alcoolisme
      Ce médicament contient 23% vol d’éthanol (alcool), i.e. 182 mg/ml, à prendre avec précaution pour les patients souffrant d’alcoolisme.
    • Epilepsie
      – Ce médicament contient 23% vol d’éthanol (alcool), i.e. 182 mg/ml, à prendre en compte dans les populations à risque tels que les patients soufrant d’affections touchant le système nerveux central (ex épilepsie).
    • Compatibilité avec certains solvants
      La solution à perfusion doit être préparée avec une solution de chlorure de sodium 0,9% ou avec une solution glucosée à 5% à administrée par voie intraveineuse.
    • Incompatibilité avec tous les médicaments
      Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments à l’exception de ceux mentionnés dans « modalités de manipulation ».
    • Recommandations relatives à la manipulation de médicaments cytotoxiques
      DOCETAXEL EBEWE est un agent antinéoplasique et, comme tous les autres composés potentiellement toxiques, doit être manipulé et préparé avec précautions. Elle nécessite un local de préparation réservé à cet usage. La surface de travail doit être couverte de papier absorbant plastifié et jetable.
    • Les manipulateurs doivent disposer d’un ensemble de matériel approprié à la manipulation notamment blouses à manches longues, masques de protection, calot, lunettes de protection, gants à usage unique stériles,
      champs de protection du plan de travail, conteneurs et sacs de collecte des déchets. En cas de contact cutané avec la préparation à diluer, le prémélange ou la solution à perfuser, il convient de rincer immédiatement et soigneusement la peau à l’eau et au savon. En cas de contact d’une muqueuse avec la préparation à diluer, le prémélange ou la solution à perfuser, il convient de laver immédiatement la région souillée, à grande eau. En cas de contamination accidentelle des yeux, ils doivent être lavés abondamment et immédiatement.
    • Utiliser des systèmes Luer-lock sur toutes les seringues et sets. Des aiguilles de grand diamètre sont recommandées pour minimiser la pression et la possibilité de formation d’aérosols. Ce dernier peut également être réduit en utilisant une prise d’air.
    • Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé. Les précautions adéquates doivent être prises dans l’élimination des résidus d’éléments utilisés pour diluer Docetaxel Ebewe. Tout produit inutilisé ou tout matériel contaminé doit être placé dans un sac poubelle spécifique. Les objets coupants (aiguilles, seringues, flacons…) doivent être placés dans des conteneurs rigides. Le personnel concerné par la collecte et l’élimination de ces déchets doit être prévenu des risques. Tout produit non utilisé ou tout déchet doit être traité avec les mêmes procédures que celles applicables aux agents cytotoxiques. Tout excès de solution doit être éliminé avec une quantité importante d’eau.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    On ne dispose d’aucune information sur l’utilisation du docétaxel chez la femme enceinte. Le docétaxel s’est révélé à la fois embryotoxique et fœtotoxique chez le lapin et le rat (voir Données de sécurité préclinique). Comme d’autres agents cytotoxiques, le docétaxel peut entraîner des dommages fœtaux quand il est administré à la femme enceinte.
  • Par conséquent, le docétaxel ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf si l’état de santé de la patiente nécessite un traitement avec du docétaxel.
  • Fécondité
    Des effets indésirables affectant les testicules observés dans des études de toxicité chez des rongeurs suggèrent que le docétaxel pourrait altérer la fécondité masculine.
  •  Allaitement :

    Le docétaxel est une substance lipophile mais son passage dans le lait maternel n’est pas connu. Par conséquent, étant donné les risques d’effets indésirables chez le nourrisson, l’allaitement devra être arrêté durant le traitement par le docétaxel.

    Ce médicament contient 27% vol d’éthanol (alcool) i.e. 160 mg (dose moyenne) contient 4 100 mg d’alcool, équivalent de 100 ml de bière.
  • Cette quantité d’alcool dans le médicament peut avoir une influence sur la capacité de conduire des véhicules ou des machines.

    • Hypersensibilité
    • Bouffée vasomotrice
    • Eruption cutanée (Très fréquent)
    • Prurit
    • Sensation d’oppression thoracique
    • Douleur lombaire
    • Dyspnée
    • Fièvre
    • Frisson
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Bronchospasme
    • Erythème généralisé
    • Neuropathie
    • Paresthésie (Très fréquent)
    • Faiblesse musculaire (Fréquent)
    • Dermatose
    • Erythrodysesthésie palmoplantaire
    • Desquamation cutanée
    • Ongle (modification) (Très fréquent)
    • Décoloration de l’ongle
    • Coloration de l’ongle
    • Onycholyse
    • Réaction au point d’injection
    • Hypermélanose
    • Erythème au point d’injection
    • Inflammation au site d’injection
    • Phlébite au point d’injection
    • Inflammation post-extravasation
    • Inflation hydrique (Très fréquent)
    • Oedème périphérique
    • Epanchement pleural
    • Epanchement péricardique
    • Ascite
    • Poids (augmentation)
    • Infection
    • Septicémie
    • Pneumopathie
    • Neutropénie (Très fréquent)
    • Anémie (Très fréquent)
    • Neutropénie fébrile (Fréquent)
    • Thrombopénie
    • Anorexie (Très fréquent)
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Arythmie (Fréquent)
    • Insuffisance cardiaque (Peu fréquent)
    • Hypertension artérielle (Fréquent)
    • Hémorragie
    • Stomatite (Très fréquent)
    • Diarrhée (Très fréquent)
    • Constipation (Fréquent)
    • Douleur abdominale
    • Oesophagite
    • Nausée (Très fréquent)
    • Vomissement (Très fréquent)
    • Hémorragie gastro-intestinale
    • Alopécie (Très fréquent)
    • Onychopathie
    • Douleur musculaire (Très fréquent)
    • Douleur articulaire (Fréquent)
    • Asthénie (Très fréquent)
    • Douleur (Très fréquent)
    • Douleur thoracique
    • Hyperbilirubinémie (Fréquent)
    • Phosphatases alcalines (augmentation)
    • ASAT (augmentation)
    • ALAT (augmentation)
    • Sepsis
    • Insomnie
    • Céphalée
    • Hypersécrétion lacrymale (Rare)
    • Conjonctivite
    • Lymphoedème
    • Epistaxis
    • Douleur pharyngée
    • Rhinopharyngite
    • Toux
    • Rhinorrhée
    • Douleur des extrémités
    • Douleur osseuse
    • Dorsalgie
    • Fatigue
    • Mucite
    • Syndrome pseudogrippal
    • Léthargie
    • Candidose buccale
    • Déshydratation (Rare)
    • Vertige
    • Neuropathie périphérique
    • Dyspepsie
    • Douleur épigastrique
    • Hyposialie
    • Dermatite
    • Erythème cutané
    • Poids (diminution)
    • Insuffisance ventriculaire gauche
    • Syncope
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Vasodilatation
    • Phlébite
    • Colite
    • Entérite
    • Perforation digestive
    • Aménorrhée
    • Leucémie aiguë
    • Trouble auditif
    • Dysphagie
    • Odynophagie
    • Parosmie (Très fréquent)
    • Ischémie myocardique
    • Insuffisance veineuse (Fréquent)
    • Sécheresse cutanée
    • Oedème
    • Leucémie aiguë myéloblastique (Très rare)
    • Myélodysplasie (Très rare)
    • Aplasie médullaire
    • Coagulation intravasculaire disséminée
    • Défaillance multiviscérale
    • Choc anaphylactique
    • Convulsions (Rare)
    • Perte de connaissance (Rare)
    • Vision (modification) (Très rare)
    • Scotome scintillant
    • Trouble lacrymal (Rare)
    • Acuité auditive (modification) (Rare)
    • Atteinte cochléo-vestibulaire (Rare)
    • Surdité (Rare)
    • Infarctus du myocarde (Rare)
    • Accident thromboembolique veineux (Rare)
    • Insuffisance respiratoire aiguë (Rare)
    • Pneumopathie interstitielle (Rare)
    • Fibrose pulmonaire (Rare)
    • Pneumopathie radique (Rare)
    • Colite ischémique (Rare)
    • Iléus (Rare)
    • Occlusion intestinale (Rare)
    • Hépatite (Très rare)
    • Lupus érythémateux cutané (Très rare)
    • Dermatose bulleuse (Très rare)
    • Erythème polymorphe
    • Syndrome de Stevens-Johnson
    • Syndrome de Lyell
    • Sclérodermie localisée
    • Réactivation radique (Rare)
    • Oedème pulmonaire (Rare)
    • Trouble neurosensoriel (Très fréquent)
    • Trouble neuromoteur (Fréquent)
    • Hypoesthésie
    • Trouble circulatoire périphérique
    • Douleur au siège de la tumeur (Fréquent)

    • Classement ATC : 
          L01CD02 / DOCETAXEL
    • Classement Vidal : 
          Antinéoplasique : stabilisant du fuseau

    Liste I
    • CIP : 5771191 (DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/2ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5771216 (DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/8ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités
    • CIP : 5771222 (DOCETAXEL HOSPIRA 10 mg/ml sol diluer p perf : 1Fl/16ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


    Hospira France


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