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EUPHYLLINE® L.A.


théophylline à libération prolongée

FORMES et PRÉSENTATIONS

Gélule à libération prolongée à 400 mg (vert transparent) :  Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.
  • Gélule à libération prolongée à 300 mg (blanche, vert transparent) :   Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.
  • Gélule à libération prolongée à 200 mg (blanche, transparent) :  Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.
    Gélule à libération prolongée à 100 mg (bleue, blanche) :  Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.
    Gélule à libération prolongée à 50 mg (blanche) :  Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.Modèles hospitaliers (tous dosages) : Boîtes de 100, sous plaquettes thermoformées.


  • COMPOSITION

     p gélule
    Théophylline  
    400 mg
    ou300 mg
    ou200 mg
    ou100 mg
    ou50 mg
    Excipients :

    Talc, méthylcellulose, cellulose microcristalline, carmellose sodique, acétate de cellulose, triéthylcitrate, lactose monohydraté.

    Enveloppe de la gélule à 400 mg : bleu patenté V, jaune de quinoléine, gélatine. Calibrage : n° 0.

    Enveloppe de la gélule à 300 mg : indigotine, jaune de quinoléine, dioxyde de titane (E 171), gélatine. Calibrage : n° 0.

    Enveloppe de la gélule à 200 mg : dioxyde de titane (E 171), gélatine. Calibrage : n° 1.

    Enveloppe de la gélule à 100 mg : indigotine, dioxyde de titane (E 171), gélatine. Calibrage : n° 4.

    Enveloppe de la gélule à 50 mg : dioxyde de titane (E 171), gélatine. Calibrage : n° 4.



    INDICATIONS

    Traitement symptomatique continu de l’asthme et des autres bronchopneumopathies chroniques obstructives.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Posologie :
    Tous dosages :
    • La posologie d’Euphylline sera adaptée individuellement en fonction de l’effet thérapeutique et des effets indésirables.
    • Le traitement sera débuté par une posologie initiale modérée afin de tester la tolérance individuelle, celle-ci sera ensuite adaptée progressivement en augmentant ou en diminuant la dose par paliers jusqu’a obtention d’un effet thérapeutique sans effet indésirable.
    • Les taux plasmatiques atteignent un état d’équilibre au minimum après 3 jours consécutifs de traitement bien conduit, ce délai minimum devra être respecté pour juger de l’effet thérapeutique avant chaque augmentation de dose.
    • En cas d’insuffisance d’effet thérapeutique et en l’absence de signe d’intolérance, la dose sera progressivement augmentée sous contrôle de la théophyllinémie, par paliers de 2 mg/kg/jour.
    • Chez l’adulte et l’enfant de plus de 30 mois, en dessous d’une dose quotidienne de 16 mg/kg/jour (adaptée en cas d’obésité au poids idéal) et ne dépassant pas, dans tous les cas, 400 mg/jour, et en l’absence de facteurs de risque de diminution de la clairance plasmatique, le contrôle de la théophyllinémie n’est pas indispensable à la sécurité d’emploi du produit.
    • Les concentrations plasmatiques efficaces de théophylline se situent entre 8 et 15 µg/ml. Les effets indésirables peuvent apparaître dès le taux plasmatique de 15 µg/ml. Celui-ci ne devra pas dépasser 20 µg/ml en raison du risque majeur de survenue d’effets toxiques.
    • Un surdosage peut résulter de doses inappropriées (au besoin, fractionner les doses), de prises répétées à intervalles trop courts, ou d’une potentialisation par des médicaments associés (cf Interactions).
    A titre indicatif :
    Dosage à 50 mg :
    Enfant de 12 mois à 30 mois :
    • Posologie initiale préconisée : 12 à 14 mg/kg/jour.
    • Posologie habituellement efficace : 16 à 20 mg/kg/jour.
    La posologie sera répartie en 2 à 3 prises en fonction de l’analyse du cycle de la théophyllinémie.
    Tous dosages :
    Enfant de 30 mois à 8 ans :
    • Posologie initiale préconisée : 10 à 14 mg/kg/jour.
    • Posologie habituellement efficace : 13 à 20 mg/kg/jour.
    La posologie quotidienne sera répartie en 2 prises.
    Enfant de 9 ans à 16 ans :
    • Posologie initiale préconisée : 10 à 12 mg/kg/jour.
    • Posologie habituellement efficace : 10 à 16 mg/kg/jour.
    La posologie quotidienne sera répartie en 2 prises.
    Adulte :
    • Posologie initiale préconisée : 5 à 8 mg/kg/jour.
    • Posologie habituellement efficace : 7 à 12 mg/kg/jour, sans dépasser 800 mg par jour.
    La posologie quotidienne sera répartie en 2 prises.
    Certains patients peuvent éventuellement bénéficier d’une seule prise par jour.
    En cas d’obésité ou de surpoids :
    La posologie sera adaptée au poids idéal (poids moyen rapporté a la taille mesurée sur les courbes de croissance staturo-pondérale standards).
    Insuffisance hépatique et/ou rénale :
    Les posologies préconisées sont diminuées en raison du risque de surdosage par diminution du métabolisme ou de l’excrétion.

    Mode d’administration :

    Voie orale.

    Les gélules d’Euphylline seront avalées avec un verre d’eau.

    Pour les patients ayant des difficultés à avaler et chez les enfants de moins de 6 ans, les gélules seront ouvertes et tout le contenu peut être avalé avec un aliment liquide ou semi-liquide (type yaourt ou compote), immédiatement après le mélange, en veillant à ce que les microgranules ne soient pas croquées.


    CONTRE-INDICATIONS

    • Enfant de moins de 12 mois (dosage à 50 mg).
    • Enfant de moins de 30 mois (dosages à 100 mg, 200 mg, 300 mg et 400 mg).
    • Hypersensibilité à la théophylline ou à l’un des constituants de ce médicament.
    • Porphyrie aiguë intermittente.
    • Association a l’énoxacine ou au millepertuis (cf Interactions).

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI


    Mises en garde :
    • En raison des grandes variations interindividuelles du métabolisme de la théophylline, en particulier chez l’enfant, il est nécessaire d’adapter les doses en fonction de l’efficacité clinique, des effets indésirables et/ou des taux sanguins (cf Posologie et Mode d’administration). Un surdosage peut résulter de doses inappropriées, de prises répétées à intervalles trop courts, ou d’une potentialisation par des médicaments associés, ou encore d’une diminution du métabolisme (cf Interactions, Pharmacocinétique).
    • La théophylline doit être utilisée avec grande prudence chez le jeune enfant qui est extrêmement sensible à l’action des bases xanthiques : des crises convulsives, des accidents neurologiques avec parfois des séquelles irréversibles et des décès ont été rapportés en cas de surdosage.
    • La théophylline per os ne constitue pas le traitement de la crise d’asthme. Un bronchodilatateur bêta-2 mimétique de courte durée d’action par voie inhalée devra être prescrit pour traiter les symptômes aigus d’asthme.
    • Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au lactose.
    Précautions d’emploi :
    Utiliser avec précaution et sous surveillance de la théophyllinémie en cas :
    • d’insuffisance cardiaque aiguë (diminuer les doses en raison du risque de surdosage) ;
    • de cardiomyopathie obstructive hypertrophique ;
    • d’insuffisance coronarienne ;
    • de tachyarythmie ;
    • d’obésité (adapter la posologie par rapport au poids idéal, cf Posologie et Mode d’administration) ;
    • de dysthyroïdie ;
    • d’insuffisance hépatique (diminuer les doses en raison du risque de surdosage) ;
    • d’épilepsie ;
    • de fièvre prolongée de plus de 24 heures, au-dessus de 38 °C, en particulier chez le jeune enfant (diminuer la posologie de moitié en raison du risque de surdosage, par diminution de la clairance de la théophylline).

    Euphylline contenant du lactose, ce produit ne doit pas être administré chez les patients souffrant de galactosémie ou du syndrome de malabsorption du glucose/galactose, ou d’un déficit en lactase.


    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses : Contre-indiquées :
    • Énoxacine : risque de surdosage en théophylline par diminution importante du métabolisme de la théophylline.
    • Millepertuis : diminution des concentrations plasmatiques de la théophylline, en raison de l’effet inducteur enzymatique du millepertuis, avec risque de baisse d’efficacité, voire d’annulation, de l’effet dont les conséquences peuvent être éventuellement graves (survenue d’un trouble ventilatoire obstructif).

    Déconseillées :
    • Érythromycine : risque de surdosage en théophylline par diminution de son élimination hépatique, plus particulièrement dangereux chez l’enfant. Il est possible d’utiliser d’autres macrolides (sauf spiramycine) dont l’interférence avec la théophylline au plan clinique est actuellement considérée comme minime ou nulle. En cas d’utilisation impérative d’érythromycine (en cas de légionellose, l’érythromycine reste l’antibiotique de référence), une surveillance clinique étroite, avec contrôle des concentrations plasmatiques de théophylline, est alors souhaitable en milieu spécialisé.
    • Viloxazine : risque de surdosage en théophylline par diminution du métabolisme de la théophylline. Si l’association ne peut être évitée, une surveillance clinique étroite avec contrôle des concentrations plasmatiques de théophylline devra être réalisée.
    • Halothane : troubles graves du rythme ventriculaire par augmentation de l’excitabilité cardiaque.

    Nécessitant des précautions d’emploi :
    • Allopurinol : en cas de posologie élevée d’allopurinol, risque d’augmentation des concentrations plasmatiques de théophylline par inhibition de son métabolisme. Surveillance clinique et contrôle de la théophyllinémie jusqu’à deux à trois semaines après la mise en route du traitement par l’allopurinol ; s’il y a lieu, adaptation de la posologie pendant le traitement par l’allopurinol.
    • Stiripentol, tacrine, thiabendazole, ticlopidine, pentoxifylline, péfloxacine, norfloxacine, mexilétine, fluvoxamine, fluconazole, ciprofloxacine, cimétidine (aux doses supérieures ou égales à 800 mg/jour) : augmentation de la théophyllinémie avec risque de surdosage par diminution du métabolisme hépatique de la théophylline. Surveillance clinique et éventuellement de la théophyllinémie ; s’il y a lieu, adaptation de la posologie de la théophylline pendant le traitement.
    • Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques, rifampicine, ritonavir : diminution des concentrations plasmatiques et de l’efficacité de la théophylline par augmentation de son métabolisme hépatique par l’inducteur.
      Surveillance clinique et, si besoin, de la théophyllinémie. Adaptation éventuelle de la posologie de la théophylline pendant le traitement par l’inducteur et après son arrêt.
    • Dipyramidole (par voie injectable) : risque de réduction de l’effet vasodilatateur du dipyramidole par la théophylline. Interrompre un traitement par théophylline au moins 5 jours avant une imagerie myocardique avec le dipyramidole.

    A prendre en compte :
    • Clarithromycine, josamycine, roxithromycine : risque d’augmentation de la théophyllinémie, particulièrement chez l’enfant.

    FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

    Grossesse :

    L’utilisation de la théophylline peut être envisagée au cours de la grossesse, si besoin. En effet, les données sur un nombre élevé de grossesses exposées sont rassurantes bien que les données animales soient insuffisantes.

    La survenue d’une tachycardie, d’une agitation, d’une irritabilité et de vomissements est décrite chez le nouveau-né de mère traitée en fin de grossesse.

    En raison des variations de la pharmacocinétique de la théophylline en cours de grossesse, une surveillance de la théophyllinémie est recommandée.


    Allaitement :

    L’allaitement est déconseillé lors d’un traitement par théophylline du fait du risque d’accumulation chez le nouveau-né et de la survenue d’effets indésirables (hyperexcitabilité, tachycardie, vomissements).


    EFFETS INDÉSIRABLES

    • Affections cardiaques : tachycardie, palpitations, hypotension.
    • Affections gastro-intestinales : nausées, vomissements, diarrhées.
      Diminution du tonus musculaire du sphincter inférieur de l’oesophage, pouvant potentialiser un reflux gastro-oesophagien.
      Rarement, des cas d’ulcérations digestives avec hémorragie et syndrome occlusif ont été rapportés avec la théophylline par voie orale.
    • Affections du système immunitaire : réactions d’hypersensibilité (allergie).
    • Troubles du métabolisme et de la nutrition : hypokaliémie, hypercalcémie, hyperglycémie et hyperuricémie.
    • Affections du système nerveux : céphalées, états d’excitation, tremblements des extrémités, agitation, insomnie.
    • Affections du rein et des voies urinaires : augmentation de la diurèse.
    L’apparition d’effets indésirables tels que nausées, vomissements, douleurs épigastriques, céphalées, excitation, insomnie, tachycardie, peuvent être les premiers signes d’un surdosage.

  • SURDOSAGE

    Chez l’enfant :
    Les signes de surdosage sont agitation, logorrhée, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, fibrillation ventriculaire, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire.
    Chez l’adulte :
    Les signes de surdosage sont variables d’un sujet à l’autre. Pour des concentrations plasmatiques thérapeutiques allant jusqu’à 20 mg/l, les effets indésirables connus tels que troubles gastro-intestinaux (nausées, douleurs épigastriques, vomissements, diarrhées), troubles neurologiques d’origine centrale à type d’agitation, céphalées, insomnie, vertiges et troubles du rythme cardiaque sont généralement légers à modérés, selon la susceptibilité individuelle du patient. Pour des concentrations thérapeutiques supérieures à 20 mg/l, les mêmes symptômes sont généralement observés, mais avec une intensité accrue. Au-dessus de 25 mg/l, les troubles du système nerveux central et cardiaques deviennent graves avec convulsions, délire, hyperthermie, arythmie ventriculaire, et un collapsus cardiovasculaire peut survenir. De telles réactions ne sont pas toujours annoncées par l’apparition d’effets plus modérés.
    Conduite à tenir :
    Lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé, charbon activé par voie orale. La possibilité de symptômes prolongés d’intoxication et d’une éventuelle augmentation ultérieure des taux plasmatiques doit être gardée en mémoire compte tenu de la forme à libération prolongée d’Euphylline.
    La théophylline est dialysable.

  • PHARMACODYNAMIE

    Classe pharmacothérapeutique : dérivés xanthiques par voie systémique (code ATC : R03DA04).

    La théophylline est la diméthyl-1,3 xanthine, inhibiteur des phosphodiestérases.

    Elle exerce un effet bronchodilatateur par relaxation des muscles lisses bronchiques.

    Par ailleurs, elle exerce d’autres actions :
    • relaxation des muscles lisses des voies urinaires et biliaires et du sphincter inférieur de l’oesophage ;
    • stimulation centrale, analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses ;
    • vasodilatation coronarienne, stimulation cardiaque avec augmentation des besoins en oxygène du coeur (coronarodilatateur dit « malin ») ;
    • action diurétique.

    Il a été observé in vitro une inhibition de la libération des cytokines impliquées dans l’inflammation bronchique à des concentrations proches des concentrations thérapeutiques (de 6 à 16 mg/l). Ces constatations n’autorisent néanmoins pas à considérer que la théophylline puisse se substituer à la corticothérapie dans le traitement des pathologies bronchiques obstructives.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Après administration orale, la théophylline est totalement absorbée.

    La fixation aux protéines plasmatiques est d’environ 50 à 60 % (40 % chez le nouveau-né et l’adulte cirrhotique).

    Le volume de distribution est de l’ordre de 0,45 à 0,50 l/kg. La théophylline n’est pas fixée dans le tissu adipeux.

    La théophylline est éliminée par le rein après biotransformation hépatique (90 % de la dose absorbée). Chez l’adulte, 7 à 13 % du produit sont éliminés sous forme inchangée dans les urines. En revanche, chez le nouveau-né, 50 % sont excrétés sous forme inchangée, ainsi qu’une quantité notable sous forme de caféine.

    Les principaux métabolites sont l’acide diméthyl-1,3 urique (environ 40 %), la méthyl-3 xanthine (environ 36 %) et l’acide méthyl-1 urique (environ 17 %). La méthyl-3 xanthine est le seul métabolite à avoir une activité pharmacologique, bien que plus faible que celle de la théophylline.

    La demi-vie plasmatique de la théophylline peut varier considérablement d’un individu à l’autre. Elle varie notamment en fonction de l’âge, elle est plus faible chez l’enfant (3-5 heures) que chez l’adulte (7-9 heures, 4-5 heures chez l’adulte fumeur). Elle est, par contre, considérablement augmentée chez le prématuré (plus de 24 heures) et le nouveau-né.

    Elle est augmentée en cas d’insuffisance hépatocellulaire sévère, de défaillance cardiaque aiguë, d’insuffisance respiratoire, d’obésité, d’infection aiguë des voies aériennes supérieures ou d’obstruction bronchique sévère, de fièvre.

    Elle est diminuée chez le fumeur, et en cas de régime riche en protides.

    La théophylline traverse la barrière foetoplacentaire. Au cours de la grossesse, au fur et à mesure de son avancement, le volume de distribution de la théophylline s’accroît, avec diminution de la fixation aux protéines et de la clairance, ce qui peut nécessiter une réduction de la dose pour éviter les effets indésirables.

    La théophylline passe dans le lait, où elle est retrouvée à des taux d’environ 75 % des taux plasmatiques, ce qui, en fonction de la clairance de l’enfant et de la concentration plasmatique maternelle, peut conduire à une accumulation chez l’enfant allaité.


    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    3 ans.

    Pas de précautions particulières de conservation.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    AMM3400932821860 (1985) 30 gél 400 mg.
    3400956045181 (1997) 100 gél 400 mg.
    3400932501861 (1981) 30 gél 300 mg.
    3400956045013 (1997) 100 gél 300 mg.
    3400932801411 (1985) 30 gél 200 mg.
    3400956045242 (1997) 100 gél 200 mg.
    3400932501632 (1981) 30 gél 100 mg.
    3400956044931 (1997) 100 gél 100 mg.
    3400932501571 (1981) 30 gél 50 mg.
    3400956036028 (1997) 100 gél 50 mg.
    RCP révisés le 10.04.2009.
      
    Prix :3.44 euros (30 gélules à 400 mg).
    3.07 euros (30 à gélules 300 mg).
    2.15 euros (30 gélules à 200 mg).
    2.06 euros (30 gélules à 100 mg).
    1.96 euros (30 gélules à 50 mg).
    Remb Séc soc à 30 %. Collect.
    Modèles hospitaliers : Collect.


    NYCOMED France SAS
    13, rue Watt. 75013 Paris
    Tél : 01 56 61 48 48. Fax : 01 56 61 48 00

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