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FORADIL® 12 µg poudre pour inhalation


formotérol

FORMES et PRÉSENTATIONS

Poudre pour inhalation en gélule à 12 µg :  Boîtes de 30 ou de 60 gélules, sous plaquettes thermoformées, avec inhalateur.Modèle hospitalier : Boîtes de 10 gélules, sous plaquettes thermoformées, avec inhalateur.


  • COMPOSITION

     p gélule
    Formotérol (DCI) fumarate 
    12 µg
    Excipient : lactose. Enveloppe de la gélule : gélatine. Calibrage : n° 3.

  • INDICATIONS

    • Traitement symptomatique continu de l’asthme :
      • chez des patients nécessitant des prises quotidiennes de bêta-2 agonistes à action rapide et de courte durée,
      • et/ou en cas de symptômes nocturnes,
      en association avec un traitement anti-inflammatoire continu comme les corticoïdes inhalés.
    • Traitement préventif de l’asthme induit par l’effort.
      NB : Le formotérol n’est pas un traitement de la crise d’asthme. En cas de crise d’asthme, utiliser un bêta-2 mimétique d’action rapide de courte durée par voie inhalée ou, en fonction de la gravité, par voie injectable.
    • Traitement symptomatique de l’obstruction bronchique au cours de la bronchopneumopathie chronique obstructive.
    Cette spécialité est particulièrement adaptée aux sujets chez qui il a été mis en évidence une mauvaise synchronisation main/poumon, nécessaire pour une utilisation correcte des aérosols doseurs classiques sans chambre d’inhalation.

  • POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION

    Posologie :

    1 inhalation (soit 1 gélule) contient 12 µg de fumarate de formotérol.

    Asthme :
    Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 5 ans.
    Traitement symptomatique continu de l’asthme :
    • dose usuelle : 12 µg 2 fois par jour (soit 1 gélule à inhaler matin et soir) ;
    • dose maximale : 24 µg 2 fois par jour (soit 2 gélules à inhaler matin et soir).
    Coût du traitement journalier :  1,08 à 2,16 euro(s) (bte de 30) ; 1,01 à 2,02 euro(s) (bte de 60).
    Traitement préventif de l’asthme induit par l’effort :
    12 à 24 µg (soit 1 à 2 gélules) à inhaler environ 15 à 30 minutes avant l’effort.
    Coût du traitement journalier :  0,54 à 1,08 euro(s) (bte de 30) ; 0,50 à 1,01 euro(s) (bte de 60).
    Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) :
    Adulte (âgé de 18 ans et plus).
    La dose usuelle est de 12 µg 2 fois par jour (soit 1 gélule à inhaler matin et soir).
    En traitement continu, la dose journalière ne doit pas dépasser 2 gélules par jour.
    Si besoin, des inhalations supplémentaires peuvent néanmoins être prises occasionnellement pour soulager les symptômes, sans toutefois dépasser une dose totale maximum de 4 gélules par jour (soit 48 µg par jour, traitement continu et inhalations supplémentaires compris), sans dépasser 2 gélules à chaque prise.

    Mode d’administration :

    Inhalation par distributeur avec embout buccal.

    Les gélules ne doivent pas être avalées.

    Elles doivent être administrées par voie inhalée à l’aide de l’appareil adéquat réservé à cet effet.

    Pour une utilisation correcte, il est souhaitable que le médecin s’assure par lui-même du bon usage de l’appareil par le patient.

    • Retirer le capuchon de protection.
    • Tenir fermement le socle et faire pivoter l’embout buccal dans le sens de la flèche.
    • Placer la gélule dans le logement prévu à cet effet. Important : sortir la gélule de son emballage au dernier moment.
    • Refermer l’inhalateur en remettant l’embout buccal dans sa position initiale.
    • Appuyer sur les 2 boutons-poussoir en maintenant l’inhalateur en position verticale, puis relâcher.
    • Expirer à fond.
    • Placer l’embout dans la bouche et serrer les lèvres, incliner la tête en arrière, inspirer rapidement et très profondément par la bouche.
    • Retirer l’inhalateur de la bouche en retenant sa respiration aussi longtemps que possible, puis respirer normalement. Ouvrir l’inhalateur pour vérifier qu’il ne reste plus de poudre. S’il reste de la poudre, renouveler l’inhalation.
    • Après utilisation, sortir la gélule vide, replacer l’embout buccal et remettre le capuchon de protection.
    • Entretien : nettoyer l’embout buccal et le logement de la gélule avec un linge sec afin d’enlever tout résidu de poudre.

    CONTRE-INDICATIONS

    Antécédent d’allergie au formotérol ou à l’un des composants.

    MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI


    Mises en garde :
    • Le formotérol est un bronchodilatateur de longue durée d’action.
    • Il ne constitue pas le traitement de la crise d’asthme et doit être réservé au traitement continu de fond. Si, en dépit d’un traitement bien conduit, une dyspnée paroxystique survient, il sera recommandé au patient de recourir à un bronchodilatateur bêta-2 mimétique par voie inhalée d’action rapide et de courte durée pour traiter les symptômes. Le médecin devra l’informer qu’une consultation médicale immédiate est nécessaire si le soulagement habituellement obtenu n’est pas rapidement observé après inhalation du bronchodilatateur de courte durée d’action.
    • Si un patient développe en quelques jours une augmentation rapide de sa consommation en bronchodilatateur bêta-2 mimétique d’action rapide et de courte durée par voie inhalée, on doit craindre (surtout si les valeurs du débit-mètre de pointe s’abaissent et/ou deviennent irrégulières) une décompensation de sa maladie et la possibilité d’une évolution vers un état de mal asthmatique. Le médecin devra donc prévenir le patient de la nécessité, dans ce cas, d’une consultation immédiate, sans avoir au préalable dépassé les doses maximales prescrites. La conduite thérapeutique devra alors être réévaluée.
    • Chez les patients asthmatiques adultes, l’association à un traitement anti-inflammatoire continu doit être envisagée dès qu’il est nécessaire de recourir plus d’une fois par semaine aux bêta-2 mimétiques. Le formotérol, indiqué en traitement continu chez des patients nécessitant des prises quotidiennes de bêta-2 mimétiques et/ou en cas d’asthme nocturne, doit être associé à un traitement anti-inflammatoire continu comme les corticoïdes par voie inhalée et ne doit en aucun cas s’y substituer.
    • Le patient doit, par ailleurs, être averti que l’amélioration de son état clinique ne doit pas conduire à une modification de son traitement, en particulier à l’arrêt de la corticothérapie par voie inhalée sans avis médical.
    • La dose maximale journalière préconisée ne doit pas être dépassée. La sécurité à long terme d’un traitement quotidien à des doses supérieures à 48 µg par jour chez les adultes asthmatiques, 24 µg par jour chez les enfants asthmatiques et 24 µg par jour chez les patients atteints de BPCO n’a pas été établie.
    • Bronchospasme paradoxal : comme avec tout produit inhalé, la possibilité d’un bronchospasme doit être prise en compte. Dans ce cas, il conviendra d’arrêter le traitement et de prescrire d’autres thérapeutiques ou d’autres formes d’administration.
    • L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage.
    Précautions d’emploi :

    En cas d’infection bronchique ou de bronchorrhée abondante, un traitement approprié est nécessaire afin de favoriser la diffusion optimale du produit dans les voies respiratoires.

    Le formotérol devra être administré avec prudence en cas d’hyperthyroïdie, de phéochromocytome, ou chez les patients atteints d’insuffisance coronarienne, de cardiopathie ischémique, de troubles du rythme, d’insuffisance cardiaque sévère, de cardiomyopathie obstructive, ou de toute affection cardiaque, d’hypertension artérielle sévère non contrôlée.

    Le formotérol peut entraîner un allongement de l’intervalle QTc. La prudence est recommandée chez les patients présentant un allongement de l’intervalle QTc et chez les patients traités avec des médicaments ayant un effet sur l’intervalle QTc (cf Interactions).

    En raison des effets hyperglycémiants des bêta-2 sympathomimétiques, une surveillance accrue de la glycémie est conseillée en début de traitement chez les patients diabétiques.

    Le traitement par bêta-2 sympathomimétiques peut entraîner une hypokaliémie potentiellement grave. Une prudence particulière est conseillée dans l’asthme aigu sévère, car les risques associés peuvent être augmentés par l’hypoxie. L’effet hypokaliémiant peut être potentialisé par l’administration concomitante de dérivés xanthiques, de stéroïdes et de diurétiques. Dans ces situations, il convient donc de surveiller la kaliémie.

    Le formotérol ne doit pas être administré chez l’enfant de moins de 5 ans en l’absence d’études cliniques.

    Cette spécialité n’est pas adaptée aux enfants dont le débit inspiratoire est inférieur à 16 litres par minute en raison de l’aspiration inefficace de la poudre à travers le dispositif.


    INTERACTIONS

    Interactions médicamenteuses :
    • Un traitement concomitant avec d’autres agents sympathomimétiques tels que les autres bêta-2 sympathomimétiques ou l’éphédrine peut potentialiser les effets indésirables et nécessiter une diminution de la dose de Foradil.
    • Un traitement concomitant par dérivés xanthiques, stéroïdes ou diurétiques, tels que les thiazidiques ou les diurétiques de l’anse, peut potentialiser le risque d’effet indésirable rare d’hypokaliémie des bêta-2 agonistes.
    • Il existe un risque théorique qu’un traitement concomitant avec d’autres substances connues pour prolonger l’intervalle QTc puisse entraîner une interaction pharmacodynamique avec le formotérol et augmenter le risque potentiel d’arythmie ventriculaire. Ces substances peuvent être, par exemple, certains antihistaminiques (comme la terfénadine, l’astémizole, la mizolastine), certains antiarythmiques (comme la quinidine, le disopyramide, le procaïnamide), l’érythromycine et les antidépresseurs tricycliques.
    • Le risque d’arythmie est augmenté chez les patients recevant un anesthésique volatil halogéné.
    • Les bêtabloquants non cardiosélectifs peuvent diminuer ou inhiber l’effet du formotérof. Foradil ne doit donc pas être utilisé en même temps que les bêtabloquants non cardiosélectifs (même en collyres), sauf si nécessité absolue.

    GROSSESSE et ALLAITEMENT

    Grossesse :

    Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

    Il n’existe pas actuellement de données cliniques pertinentes sur un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du formotérol lorsqu’il est administré pendant la grossesse.

    En conséquence, l’utilisation du formotérol ne sera envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.


    Allaitement :

    Le formotérol administré par voie orale peut être retrouvé dans le lait maternel. Le retentissement de ce passage chez le nouveau-né n’est pas connu.


    CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

    Le formotérol par voie inhalée à la dose thérapeutique n’a pas montré d’influence sur la capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.

  • EFFETS INDÉSIRABLES

    Exacerbations sévères :
    Des études cliniques contrôlées contre placebo, menées pendant au moins 4 semaines, ont montré une augmentation de l’incidence des exacerbations sévères dans le groupe traité par Foradil (0,9 % pour une dose de 10 à 12 µg 2 fois/j ; 1,9 % pour une dose de 24 µg 2 fois/j) par rapport au groupe de patients sous placebo (0,3 %).
    Expérience clinique chez l’adolescent et l’adulte :
    Dans 2 études pivot contrôlées menées pour l’enregistrement aux États-Unis, incluant un effectif total de 1095 patients de 12 ans et plus, des exacerbations sévères (aggravation aiguë de l’asthme menant à l’hospitalisation) sont survenues plus fréquemment dans le groupe de patients sous Foradil 24 µg 2 fois/j (9/271 – 3,3 %) que dans le groupe de patients sous Foradil 12 µg 2 fois/j (1/275 – 0,4 %), le groupe placebo (2/277 – 0,7 %) ou le groupe salbutamol (2/272 – 0,7 %). Les patients ne recevaient pas de traitement corticoïdes concomitants.
    Une étude complémentaire a été ensuite menée chez 2085 patients afin de comparer la survenue d’événements indésirables graves liés à l’asthme dans chacun des groupes (faible et forte dose de Foradil). Les résultats de cette étude de 16 semaines n’ont pas montré de relation dose-effet. Le pourcentage de patients ayant présenté des exacerbations sévères dans cette étude a été un peu plus élevé dans le groupe Foradil que dans le groupe placebo (pour les 3 groupes traités en double aveugle : Foradil 24 µg 2 fois/j (2/527 – 0,4 %), Foradil 12 µg 2 fois/j (3/527 – 0,6 %) et placebo (1/514 – 0,2 %) et, pour le groupe traité en ouvert : Foradil 12 µg 2 fois/j et jusqu’à 2 inhalations supplémentaires (1/517 – 0,2 %).
    Expérience clinique chez l’enfant de plus de 5 ans :
    La tolérance de Foradil 12 µg 2 fois/j versus 24 µg 2 fois/j et le placebo a été évaluée dans une large étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle, de 52 semaines incluant 518 enfants asthmatiques (5 à 12 ans) nécessitant un traitement quotidien par bronchodilatateur et anti-inflammatoire. Les enfants sous Foradil 24 µg 2 fois/j (11/271 – 6,4 %) et Foradil 12 µg 2 fois/j (8/171 – 4,7 %) ont eu plus d’exacerbations sévères que les enfants sous placebo (0/176 – 0 %).
    Les effets indésirables sont rangés par fréquence, du plus fréquent au moins fréquent, selon les critères suivants : très fréquent (>= 1/10) ; fréquent (>= 1/100 et < 1/10) ; peu fréquent (>= 1/1000 et < 1/100) ; rare (>= 1/10 000 et < 1/1000) ; très rare (< 1/10 000), cas isolés inclus.
    Troubles du système immunitaire :
    • Très rare : réaction d’hypersensibilité (incluant hypotension, urticaire, oedème angioneurotique, prurit, exanthème, réactions cutanées).
    Troubles psychiatriques :
    • Peu fréquent : agitation, anxiété, nervosité, insomnie.
    Troubles du système nerveux :
    • Fréquent : céphalées, tremblements.
    • Peu fréquent : sensations vertigineuses, dysgueusie.
    Troubles cardiaques :
    • Fréquent : palpitations.
    • Peu fréquent : tachycardie.
    • Fréquence indéterminée : allongement de l’intervalle QT.
    • Très rare : oedèmes périphériques.
    Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux :
    • Rare : bronchospasme, irritation de la gorge (avec toux et enrouement).
    Troubles gastro-intestinaux :
    • Très rare : nausées.
    Troubles musculosquelettiques et des tissus annexes :
    • Peu fréquent : crampes musculaires, myalgies.
    Troubles du métabolisme et de la nutrition :
    • Fréquence indéterminée : hypokaliémie, hyperglycémie.

    SURDOSAGE

    La répétition abusive des inhalations peut favoriser l’apparition des effets indésirables tels que tremblements, tachycardie, troubles du rythme, céphalées, nausées, hypokaliémie, hyperglycémie, variation tensionnelle.
  • Conduite à tenir :
    Traitement symptomatique des troubles.

    PHARMACODYNAMIE

    Bronchodilatateur bêta-2 mimétique de longue durée d’action par voie inhalée.

    Après inhalation, le formotérol exerce une action stimulante sur les récepteurs bêta-2 du muscle lisse bronchique.

    Après inhalation d’une dose unique, il entraîne une bronchodilatation rapide (1 à 3 minutes), maximale en 2 heures, persistant environ 12 heures.


    PHARMACOCINÉTIQUE

    Le formotérol agissant localement au niveau du poumon, les taux plasmatiques ne sont pas corrélés à l’effet thérapeutique. Aux doses thérapeutiques, les concentrations plasmatiques du formotérol, après inhalation, sont inférieures aux limites de sensibilité des méthodes d’analyse.

    Absorption :
    Le formotérol est rapidement absorbé après inhalation. Les pics plasmatiques sont atteints 5 à 10 minutes environ après l’inhalation. Il est probable que la majeure partie du formotérol administré soit dégluti et donc absorbé au niveau du tractus digestif.
    Distribution et métabolisme :
    La liaison aux protéines plasmatiques est de 61 à 64 % (albumine : 34 %).
    Le formotérol est essentiellement métabolisé par glucuronisation directe et est entièrement éliminé. Une autre voie de métabolisation consiste en une O-déméthylation suivie d’une glucuronisation puis élimination complète.
    L’enzyme responsable de l’O-déméthylation n’a pas été identifiée. La clairance plasmatique totale et le volume de distribution n’ont pas été déterminés.
    Élimination :
    La substance active et ses métabolites sont entièrement éliminés, les deux tiers d’une dose orale étant éliminés dans les urines et un tiers dans les selles. La clairance rénale du formotérol est de 150 ml/min.
    La majeure partie d’une dose de formotérol est éliminée par métabolisation. Après inhalation, 6 à 9 % de la dose (en moyenne) sont éliminés sous forme inchangée dans les urines. Près de 20 % d’une dose intraveineuse sont excrétés sous forme intacte dans les urines. La demi-vie terminale après inhalation est estimée à 17 heures.
    Populations spécifiques :
    Le retentissement d’une diminution de la fonction rénale ou hépatique sur la pharmacocinétique du formotérol chez le sujet âgé n’est pas connu. Compte tenu du métabolisme essentiellement hépatique du formotérol, une diminution de l’exposition systémique est attendue chez les patients insuffisants hépatiques sévères.

    SÉCURITE PRÉCLINIQUE

    Les effets du formotérol observés dans les essais de toxicité chez le rat et le chien étaient surtout d’ordre cardiovasculaire et consistaient en une hyperémie, une tachycardie, des arythmies et des lésions myocardiques. Ce sont des effets pharmacologiques connus après l’administration de fortes doses de bêta-2 sympathomimétiques.

    Une certaine réduction de la fécondité a été observée chez les rats mâles après une forte exposition systémique au formotérol.

    Le formotérol n’a eu aucun effet génotoxique lors des tests in vitro et in vivo. Chez le rat et la souris, une légère augmentation d’incidence des léiomyomes utérins bénins a été observée. Cela est considéré comme un effet de classe observé chez les rongeurs après une exposition prolongée à de fortes doses de bêta-2 sympathomimétiques.


    MODALITÉS DE CONSERVATION

    Durée de conservation :
    2 ans.

    A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.

    A conserver dans le conditionnement primaire d’origine, à l’abri de l’humidité.


    PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

    LISTE I
    AMM3400957067793 (2007, RCP rév 24.02.2010) 10 gél + inhalateur.
    3400933773373 (1994, RCP rév 24.02.2010) 30 gél + inhalateur.
    3400933773434 (1994 rév 24.02.2010 ) 60 gél + inhalateur.
    Mis sur le marché en 1995 (boîtes de 30 et de 60) et en 2007 (boîte de 10).
      
    Prix :16.17 euros (30 gélules).
    30.29 euros (60 gélules).
    Remb Séc soc à 65 %. Collect.

    Modèle hospitalier : Collect.



    Novartis Pharma SAS
    2-4, rue Lionel-Terray. 92500 Rueil-Malmaison
    Tél : 01 55 47 60 00
    Information et Communication Médicales :
    Tél : 01 55 47 66 00 E-mail : icm.phfr@novartis.com
    Site web : http://www.novartis.fr

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