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HALOPERIDOL RENAUDIN 0,05 % sol buv en goutte






solution buvable
par 1 ml
par 1 gte(s)
halopéridol0,5 mg25 µg
Excipients : p-hydroxybenzoate de méthyle sodique, p-hydroxybenzoate de propyle sodique.

Chez l’adulte :
– Traitement symptomatique de courte durée de l’anxiété de l’adulte en cas d’échec des thérapeutiques habituelles.

  • Chez l’adulte et l’enfant de plus de 3 ans :
    – Chorées, maladie des tics de Gilles de la Tourette.
  • Chez l’enfant :
    -Troubles graves du comportement (agitation, automutilations, stéréotypies)
    notamment dans le cadre des syndromes autistiques.

  • Voie orale.
  • 40 gouttes contiennent 1 mg d’halopéridol
    La posologie minimale efficace sera toujours recherchée. Si l’état clinique du patient le permet, le traitement sera instauré à dose faible, puis augmenté progressivement par paliers.
  • Chez l’adulte :
    – Traitement symptomatique de courte durée de l’anxiété de l’adulte en cas d’échec des thérapeutiques habituelles :
    La posologie est de 1 mg par jour.
  • La durée du traitement est limitée à 4 semaines.
  • Chez l’adulte et l’enfant de plus de 3 ans :
    – Chorées, maladie des tics de Gilles de la Tourette.
  • Chez l’adulte, la posologie est de 6 à 15 mg /jour.
  • Chez l’enfant de plus de 3 ans la posologie est de 0,02 à 0,2 mg/kg/jour
    Chez l’enfant :
    -Troubles graves du comportement (agitation, automutilations, stéréotypies) notamment dans le cadre des syndromes autistiques.
  • La posologie est de 0,02 à 0,2 mg/kg/jour.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux parabènes
    • Coma
    • Dépression du système nerveux central
    • Lésions des noyaux gris centraux
    Relative(s) :
    • Allaitement

    • Risque de syndrome malin des neuroleptiques
      En cas d’hyperthermie inexpliquée, il est impératif de suspendre le traitement, car ce signe peut être l’un des éléments du syndrome malin décrit avec les neuroleptiques (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs, altération de la conscience, rigidité musculaire).
    • Les signes de dysfonctionnement végétatif tels que sudation et instabilité artérielle peuvent précéder l’apparition de l’hyperthermie et constituer des signes d’appel précoces.
    • Bien que cet effet des neuroleptiques puisse avoir une origine idiosyncrasique, certains facteurs de risque semblent y prédisposer, tels que la déshydratation ou des atteintes organiques cérébrales.
    • Allongement de l’espace QT
      L’halopéridol prolonge de façon dose-dépendante l’intervalle QT. Cet effet, connu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythme ventriculaire graves à type de torsade de pointes, est majoré par l’existence d’une bradycardie, d’une hypokaliémie, d’un intervalle QT long congénital ou acquis (association à un médicament augmentant l’intervalle QT). Il convient donc, lorsque la situation clinique le permet, de s’assurer avant toute administration de l’absence de facteurs pouvant favoriser la survenue de ce trouble du rythme :
      – bradycardie inférieure à 55 battements par minute,
      – hypokaliémie,
      – allongement congénital de l’intervalle QT,
      – traitement en cours par un médicament susceptible d’entraîner une bradycardie marquée (< 55 battements par minute), une hypokaliémie, un ralentissement de la conduction intracardiaque, un allongement de l’intervalle QT.
    • Hormis les situations d’urgence, il est recommandé d’effectuer un ECG dans le bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique.
    • Risque d’allongement de l’espace QT
      L’halopéridol prolonge de façon dose-dépendante l’intervalle QT. Cet effet, connu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythme ventriculaire graves à type de torsade de pointes, est majoré par l’existence d’une bradycardie, d’une hypokaliémie, d’un intervalle QT long congénital ou acquis (association à un médicament augmentant l’intervalle QT). Il convient donc, lorsque la situation clinique le permet, de s’assurer avant toute administration de l’absence de facteurs pouvant favoriser la survenue de ce trouble du rythme :
      – bradycardie inférieure à 55 battements par minute,
      – hypokaliémie,
      – allongement congénital de l’intervalle QT,
      – traitement en cours par un médicament susceptible d’entraîner une bradycardie marquée (< 55 battements par minute), une hypokaliémie, un ralentissement de la conduction intracardiaque, un allongement de l’intervalle QT.
    • Hormis les situations d’urgence, il est recommandé d’effectuer un ECG dans le bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique.
    • Maladie de Parkinson
      En dehors de situations exceptionnelles, ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de maladie de Parkinson.
    • Sujet âgé
      En raison d’une plus grande sensibilité à la sédation et à l’hypotension orthostatique, l’halopéridol doit être utilisé avec prudence.
    • Tenir compte du risque d’apparition de dyskinésie tardive, même avec de faibles doses, notamment chez le sujet âgé.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Une surveillance étroite des effets indésirables, notamment neurologiques, est recommandée.
    • Chez l’enfant, du fait du retentissement cognitif, un examen clinique annuel évaluant les capacités d’apprentissage est recommandé.
    • La posologie sera régulièrement adaptée en fonction de l’état clinique de l’enfant.
    • Enfant de moins de 6 ans
      L’utilisation chez l’enfant de moins de 6 ans est réservée à des situations exceptionnelles, en milieu spécialisé.
    • Dépression
      L’halopéridol ne doit pas être utilisé seul lorsqu’un état dépressif prédomine.
    • Lorsqu’un état dépressif et la psychose coexistent, l’halopéridol peut être associé à des antidépresseurs.
    • Schizophrénie
      Dans la schizophrénie, la réponse au traitement par les neuroleptiques peut être retardée.
    • Traitement à arrêter progressivement
      Après arrêt brusque de fortes doses de neuroleptiques, il a été très rarement rapporté des symptômes aigus de sevrage incluant nausées, vomissements et insomnie. Un arrêt progressif du traitement est donc recommandé.
    • Après arrêt du traitement, même progressif, une rechute peut être observée. La réapparition des symptômes peut ne devenir évidente que quelques semaines à quelques mois après cet arrêt.
    • Maladie cardiovasculaire sévère
    • Hyperthyroïdie
      La thyroxine peut favoriser la survenue d’effets indésirables induits par l’halopéridol. L’halopéridol sera donc utilisé avec prudence chez les patients présentant une hyperthyroïdie. La surveillance de ces patients doit être renforcée.
    • Epilepsie
      L’halopéridol peut abaisser le seuil épileptogène, notamment chez les patients épileptiques.
    • La surveillance (clinique et éventuellement électrique) doit être renforcée chez les épileptiques.
    • Sujet à risque de crise convulsive
      L’halopéridol peut abaisser le seuil épileptogène, notamment chez les sujets présentant d’autres facteurs prédisposant aux convulsions (désintoxication alcoolique, atteinte cérébrale).
    • Insuffisance hépatique
      En raison d’un risque d’accumulation, l’halopéridol doit être utilisé avec prudence.
    • Insuffisance rénale
      En raison d’un risque d’accumulation, l’halopéridol doit être utilisé avec prudence.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      L’absorption d’alcool est fortement déconseillée pendant la durée du traitement.
    • Interaction alimentaire : alcool
      L’absorption d’alcool est fortement déconseillée pendant la durée du traitement.
    • Interaction phytothérapique : séné
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
    • Interaction phytothérapique : ricin
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
    • Interaction phytothérapique : rhubarbe
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
    • Interaction phytothérapique : cascara
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
    • Interaction phytothérapique : bourdaine
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
    • Interaction phytothérapique : boldo
      – Niveau de gravité :
      Précaution d’emploi
      – Nature du risque :
      Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
    • – Conduite à tenir :
      Corriger toute hypokaliémie avant d’administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Le maintien d’un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout au long de la grossesse pour éviter toute décompensation. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse.
  • L’analyse d’un nombre élevé de grossesses exposées n’a révélé aucun effet malformatif particulier de l’halopéridol.
  • Chez le nouveau-né, l’halopéridol peut parfois être responsable de signes extrapyramidaux s’il est poursuivi en fin de grossesse, en particulier à fortes doses: hypertonie, trémulations.
  • En conséquence, l’utilisation de l’halopéridol est possible quel que soit le terme de la grossesse. La surveillance du nouveau-né tiendra compte des effets précédemment décrits.
  •  Allaitement :

    Il existe un passage des neuroleptiques butyrophénones dans le lait maternel ; par conséquent, l’allaitement est déconseillé pendant la durée du traitement.

    L’attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de diminution de la vigilance, somnolence, vertiges, confusion, troubles de la vision, liés à ce médicament.

    • Dyskinésie précoce
    • Dyskinésie tardive
      Traitement prolonge.
    • Sialorrhée (Occasionnel)
    • Brûlure épigastrique (Occasionnel)
    • Syndrome de sevrage (Rare)
      Arret brutal du traitement, Fortes doses.
    • Syndrome extrapyramidal
    • Sédation
    • Somnolence
    • Indifférence
    • Anxiété
    • Trouble de l’humeur
    • Dépression
    • Agitation
    • Sensation de vertige
    • Insomnie
    • Céphalée
    • Confusion mentale
    • Vertige
    • Etat de mal épileptique
    • Episode psychotique
    • Syndrome malin des neuroleptiques
    • Hypotension orthostatique
    • Mort subite (Rare)
    • Allongement de l’espace QT
    • Tachycardie ventriculaire (Rare)
    • Tachycardie (Occasionnel)
    • Hypotension artérielle (Occasionnel)
    • Nausée
    • Vomissement
    • Anorexie
    • Dyspepsie
    • Hyperprolactinémie
    • Dysrégulation thermique
    • Poids (augmentation)
    • Hyperglycémie
    • Intolérance au glucose
    • Sécrétion inappropriée d’ADH (Très rare)
    • Formule sanguine (anomalie) (Occasionnel)
    • Agranulocytose (Rare)
    • Hypoprothrombinémie (Rare)
    • Trouble hépatique (Cas isolés)
    • Hépatite (Cas isolés)
    • Eruption cutanée (Exceptionnel)
    • Urticaire (Exceptionnel)
    • Réaction anaphylactique (Exceptionnel)
    • Constipation (Occasionnel)
    • Vision (modification) (Occasionnel)
    • Hyposialie (Occasionnel)
    • Rétention urinaire (Occasionnel)
    • Priapisme (Occasionnel)
    • Trouble de l’érection (Occasionnel)
    • Oedème périphérique (Occasionnel)
    • Hypersudation (Occasionnel)

    • Classement ATC : 
          N05AD01 / HALOPERIDOL
    • Classement Vidal : 
          Neuroleptique : butyrophénone (durée d’action courte)

    Liste I
    • CIP : 3463700 (HALOPERIDOL RENAUDIN 0,05 % sol buv en goutte : Fl cpte-gtes/30ml).
    • Disponibilité : hôpitaux


    Renaudin


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