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HALOTHANE BELAMONT liq p inhal p vapeur






liquide pour inhalation par vapeur
par 100 ml
halothane187,4 mg
Excipients : thymol.

Anesthésie générale par inhalation, utilisable en induction et entretien, chez l’adulte et l’enfant.


Liquide volatil, ininflammable et inexplosible aux concentrations habituelles.
  • Stabilisé par la présence de thymol qui peut éventuellement se concentrer dans le vaporisateur (coloration brune), l’halothane n’est pas décomposé par la chaux sodée. Il peut être utilisé en circuit ouvert, semi-ouvert, semi-fermé ou fermé.
  • Des évaporateurs spécialement calibrés pour l’halothane doivent être utilisés afin de contrôler avec précision la concentration de l’anesthésique délivré. Il est recommandé de leur assurer un entretien régulier.
  • – Prémédication : l’administration d’atropine (0.5 mg) est indiquée dans certains cas.
  • – La concentration alvéolaire minimale de l’halothane est en moyenne de 0.76% et est abaissée en présence de protoxyde d’azote.
  • * Adultes :
    – Induction :
    L’anesthésie peut être induite en douceur avec des concentrations de 2 à 4% d’halothane dans l’oxygène ou un mélange d’oxygène et de protoxyde d’azote. Lorsque l’oxygène ou l’air sont utilisés seuls, des concentrations supérieures d’halothane de l’ordre de 4 à 5% sont souvent nécessaires. L’intubation peut être pratiquée 3 à 4 minutes après le début de l’inhalation.
  • Il est tout à fait possible de faire appel à un anesthésique intraveineux avant de commencer l’administration d’halothane.
  • – Entretien :
    Des concentrations comprises entre 0.5% et 2% d’ halothane dans l’oxygène ou un mélange d’oxygène et de protoxyde d’azote sont habituellement adéquates chez l’adulte. Ces concentrations permettent l’utilisation d’une concentration élevée d’oxygène, évitant ainsi toute hypoxie.
  • * Enfants :
    Pour l’induction, une concentration comprise entre 1.5 et 2% d’halothane dans l’oxygène ou le mélange oxygène/protoxyde d’azote est indiquée. Pour l’entretien, une concentration comprise entre 0.5 et 2% est généralement suffisante.
  • * Sujet âgé :
    La concentration alvéolaire minimale est plus faible que chez l’adulte d’âge moyen. En conséquence, les concentrations utilisées à l’induction et à l’entretien sont généralement réduites.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité aux agents anesthésiques halogénés
    • Antécédent d’hyperthermie maligne
    • Hyperthermie maligne, antécédent familial (d’)
    • Hépatopathie après administration d’un anesthésique halogéné, antécédent (d’)
    • Ictère après administration d’un anesthésique halogéné, antécédent (d’)
    • Fièvre inexpliquée après administration d’un anesthésique halogéné, antécédent (de)
    • Eosinophilie après administration d’un anesthésique halogéné, antécédent (d’)

    • Respecter les conditions d’utilisation du médicament
      Salle d’opération : une bonne ventilation de la salle d’opération est conseillée lors de toute utilisation d’anesthésique par inhalation.
    • Traitement à administrer en service spécialisé
      L’emploi d’halothane est réservé aux anesthésistes et aux médecins exerçant sous la responsabilité des anesthésistes, en clinique ou en hôpital disposant de tout le matériel d’assistance respiratoire et de réanimation nécessaire à tout acte d’anesthésie générale.
    • ECG et oxymétrie de pouls doivent être monitorés en permanence. En aucun cas, l’halothane ne doit être administré par la personne effectuant l’acte chirurgical ou de diagnostic.
    • Enfant de moins de 15 ans
      Il est recommandé de bien évaluer le rapport bénéfice/risque avant l’utilisation de l’halothane chez l’enfant pour l’anesthésie de courte durée et en chirurgie ORL du fait du risque de troubles du rythme cardiaque. En effet, des troubles du rythme cardiaque au cours de la période d’induction, du maintien de l’anesthésie ainsi qu’au cours de la période de réveil ont été signalés comme très fréquents. En particulier, des études cliniques en chirurgie dentaire et en chirurgie ORL chez l’enfant ont montré une incidence plus élevée de tachycardies ventriculaires asymptomatiques, comparativement à d’autres agents halogénés volatiles.
    • Phéochromocytome
      La prudence est requise en cas d’administration d’halothane chez les patients atteints de phéochromocytome, car le risque d’arythmie opératoire peut être augmenté.
    • Risque d’hyperthermie maligne
      L’halothane peut être à l’origine d’une hyperthermie maligne. Si celle-ci apparaît, le traitement consiste dans l’arrêt des agents ayant déclenché ce mécanisme, la dépose des évaporateurs, la purge du circuit, l’administration intraveineuse de dantrolène ainsi qu’un traitement symptomatique.
    • Il est déconseillé d’utiliser l’halothane chez les sujets susceptibles de présenter une hyperthermie maligne (antécédents d’hyperthermie maligne d’effort, myopathies telles que les dystrophies musculaires, syndrome de King, myotonie, myopathie à noyau central).
    • Ce risque est majoré en cas d’administration conjointe avec le suxaméthonium.
    • Risque d’hépatopathie
      Lors de l’utilisation des anesthésiques halogénés, des cas d’anomalie des fonctions hépatiques, d’ictère et de cytolyse hépatique massive, parfois mortelle, ont été signalés. Ces réactions orientent vers des réactions d’hypersensibilité communes aux anesthésiques halogénés.
    • Antécédent d’hépatopathie
      D’autre part, cirrhose, hépatite virale ou toute autre pathologie hépatique préexistante doivent faire préférer un autre agent anesthésique.
    • Toute répétition d’anesthésie avec un gaz halogéné avant un délai d’environ 3 mois doit être évitée chaque fois que cela est possible.
    • Risque de bradycardie
      L’anesthésie par halothane peut s’accompagner d’une bradycardie, ce qui peut augmenter son effet hypotenseur. Il convient d’envisager l’administration intraveineuse d’un anticholinergique avant l’induction ou pendant l’entretien de l’anesthésie, surtout dans les situations où le tonus vagal risque d’être prédominant ou lorsque l’halothane est utilisé avec d’autres agents bradycardisants.
    • Myasthénie
      L’halothane provoque une relaxation des muscles striés. La prudence est recommandée si l’halothane doit être administré chez des patients atteints de myasthénie.
    • Intervention neurochirurgicale
      L’halothane est un puissant vasodilatateur cérébral. Des augmentations du débit sanguin cérébral et/ou de la pression intracrânienne peuvent s’observer pendant une anesthésie par halothane. Une hyperventilation modérée est recommandée pour prévenir l’augmentation de la pression du LCR. Une augmentation plus prononcée de la pression intracrânienne peut survenir en cas de tumeur intracrânienne.
    • Anesthésie obstétricale
      En raison de la relaxation du muscle utérin due à l’halothane, il est conseillé de maintenir l’anesthésie au niveau le plus léger possible.
    • L’utilisation en obstétrique, surtout aux fortes concentrations, peut provoquer une hémorragie du post-partum.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Des études animales ont montré un potentiel tératogène chez certaines espèces.
  • Bien que ces données expérimentales ne puissent être totalement extrapolées à l’homme, il est prudent d’éviter toute anesthésie générale par inhalation pendant les premiers mois de la grossesse, à moins que cela ne soit indispensable.
  • * Obstétrique :
    En raison de la relaxation du muscle utérin due à l’halothane, il est conseillé de maintenir l’anesthésie au niveau le plus léger possible.
  • L’utilisation en obstétrique, surtout aux fortes concentrations, peut provoquer une hémorragie du post-partum.
  •  Allaitement :

    L’halothane a été retrouvé dans le lait maternel, mais ses effets chez le nouveau-né n’ont pas fait l’objet d’études contrôlées.
  • Cependant, à ce jour, la large utilisation pendant plus de 30 ans de l’halothane n’a révélé aucun effet préjudiciable sur la lactation et le nouveau-né.

  • L’attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines est attirée sur le fait qu’après une anesthésie générale, il y a persistance, pendant un certain temps, d’une altération de la vigilance qui rend dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.

    • Hépatite cytolytique (Rare)
      Adulte, Emploi iteratif, Femme.
    • Bradycardie
    • Hypotension artérielle
    • Arythmie
      Pheochromocytome.
    • Arythmie ventriculaire (Très fréquent)
    • Frisson
      Periode de reveil.
    • Nausée
      Post-operatoire.
    • Vomissement
      Post-operatoire.
    • Dépression respiratoire
      Fortes doses.
    • Hyperthermie maligne

    • Classement ATC : 
          N01AB01 / HALOTHANE
    • Classement Vidal : 
          Anesthésique général : halogéné (Halothane)

    Liste I
    • CIP : 5521583 (HALOTHANE BELAMONT liq p inhal p vapeur : Fl/250ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


    Centre Spécialités Pharmaceutiques


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