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IBUPROFENE MYLAN 20 mg/ml susp buv sans sucre enfant nourrisson






suspension buvable
par 1 ml
ibuprofène20 mg
Excipients : sodium benzoate, acide citrique anhydre, sodium citrate, saccharine sodique, sodium chlorure, hypromellose, gomme xanthane, maltitol liquide, fraise arôme, azorubine, glycérol, eau purifiée.

Traitement symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles.

  • Traitement symptomatique de l’arthrite juvénile chronique.

  • Réservé au nourrisson et à l’enfant, de 3 mois à 12 ans (soit environ 40 kg).
  • * Affections douloureuses et/ou fébriles : La posologie usuelle est de 20 à 30 mg/kg/jour en 3 prises par jour (sans dépasser 30 mg/kg/jour).
  • Les prises systématiques, espacées de 8 heures, permettent d’éviter les oscillations de douleur ou de fièvre.
  • * Arthrite chronique juvénile : La posologie usuelle est de 30 à 40 mg/kg/jour en 4 prises par jour.
  • Le médicament s’administre au moyen de la seringue pour administration orale (graduée en kg) qui délivre une dose de 10 mg/kg par prise.
  • La dose à administrer pour 1 prise est obtenue en aspirant la suspension en tirant le piston de la seringue pour administration orale jusqu’à la graduation correspondant au poids de l’enfant.
  • Pour chaque prise :
    – Jusqu’à 10 kg : remplir la seringue jusqu’à la graduation indiquant le poids de l’enfant.
  • – au delà de 10 kg : remplir une première fois la seringue jusqu’à la graduation 10 kg, puis une deuxième fois jusqu’à atteindre un total égal au poids de l’enfant (exemple pour un enfant de 15 kg: remplir une première fois la seringue jusqu’à graduation 10 kg puis une deuxième fois jusqu’à 5 kg);
    – au-delà de 40 kg (soit environ 12 ans) : il existe des formes pharmaceutiques plus adaptées.Mode d’administration :
    Instruction pour l’utilisation et la manipulation de la seringue pour administration orale :
    – Bien agiter le flacon avant l’emploi.
  • – Le médicament s’administre au moyen de la seringue pour administration orale (graduée en kg) qui délivre une dose de 10 mg/kg par prise.
  • – La dose à administrer pour 1 prise est obtenue en aspirant la suspension, en tirant le piston de la seringue pour administration orale jusqu’à la graduation correspondant au poids de l’enfant.
  • Après chaque utilisation, démonter la seringue pour administration orale, la rincer et la sécher.
  • L’usage de la seringue pour administration orale est strictement réservé à l’administration de cette suspension pédiatrique d’ibuprofène.

  • Absolue(s) :
    • Grossesse, 4 derniers mois (de la)
    • Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
    • Hypersensibilité aux AINS
    • Hypersensibilité aux salicylés
    • Crise d’asthme liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Crise d’asthme liée à la prise d’aspirine, antécédent (de)
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Ulcère gastroduodénal évolutif
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance cardiaque sévère non contrôlée
    • Lupus érythémateux aigu disséminé
    • Intolérance au fructose

    • Asthme
      Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique
      et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise
      d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens plus élevé que le reste de la population.
    • L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains
      sujets allergiques à l’aspirine ou à AINS (cf. Contre-indications).
    • Risque d’hémorragie digestive
      Les hémorragies gastro-intestinales peuvent se produire à n’importe quel moment en cours de traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire.
    • En cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.
    • Risque d’ulcère digestif
      Les ulcères/perforations peuvent se produire à n’importe quel moment en cours de traitement sans qu’il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d’antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire.
    • En cas d’ulcère, interrompre immédiatement le traitement.
    • Varicelle
      La varicelle peut exceptionnellement être à l’origine de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous. A ce jour, le rôle favorisant des AINS dans l’aggravation de ces infections ne peut être écarté. Il est donc prudent d’éviter l’utilisation de d’IBUPROFENE MYLAN 20 mg/ml ENFANTS ET NOURRISSONS sans sucre, suspension buvable édulcorée au maltitol liquide et à la saccharine sodique en cas de varicelle (cf. Effets indésirables).
    • Traitement prolongé
      Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
    • Au cours des traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatiques et rénales.
    • Pathologie digestive, antécédent
      L’ibuprofène sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastro-duodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives).
    • Insuffisance cardiaque
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques.
    • Insuffisance hépatique
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants hépatiques.
    • Insuffisance rénale chronique
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les patients insuffisants rénaux chroniques.
    • Intervention chirurgicale, antécédent
      En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les patients après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie.
    • Sujet âgé
      L’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène, la posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre.
    • En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire particulièrement chez les sujets âgés.
    • Risque de trouble ophtalmique
      En cas de troubles de la vue apparaissant en cours de traitement, un examen ophtalmologique complet doit être effectué.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité à l’azorubine
      Ce médicament contient un agent colorant azoïque (Azorubine) et peut provoquer des réactions allergiques.
    • Réservé au nourrisson et à l’enfant de 3 mois à 12 ans

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Ce médicament est destiné au nourrisson et à l’enfant. Cependant, en cas d’utilisation dans des circonstances exceptionnelles chez les femmes en âge de procréer, il faut rappeler les points suivants :
    Aspect malformatif : premier trimestre
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.
  • En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur 2 espèces.
  • Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier, lié à une administration au cours du premier trimestre de la grossesse, n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
  • Aspect foetotoxique et néonatal : 2ème et 3ème trimestre
    II s’agit d’une toxicité de classe concernant tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
  • L’administration pendant le 2ème et le 3ème trimestre expose à :
    * une atteinte fonctionnelle rénale :
    – in utero pouvant s’observer dès 12 semaines d’aménorrhée (mise en route de la diurèse foetale) : oligoamnios (le plus souvent réversible à l’arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d’une exposition prolongée.
  • – à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister en particulier en cas d’exposition tardive et prolongée (avec un risque d’hyperkaliémie sévère retardée).
  • * un risque d’atteinte cardio-pulmonaire :
    Constriction partielle ou complète in utero du canal artériel. La constriction du canal artériel peut survenir à partir de 5 mois révolus et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite foetale ou néonatale voire une mort fœtale in utero. Ce risque est d’autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle.
  • * un risque d’allongement du temps de saignement pour la mère et l’enfant.
  • En conséquence :
    – Jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée : l’utilisation ne doit être envisagée que si nécessaire.
  • – Entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée (entre le début de la diurèse fœtale et 5 mois révolus) : une prise brève ne doit être prescrite que si nécessaire. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
  • – Au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) : toute prise même ponctuelle est contre-indiquée (cf. Contre Indications). Une prise par mégarde au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) justifie une surveillance cardiaque et rénale, fœtale et/ou néonatale selon le terme d’exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d’élimination de la molécule.
  •  Allaitement :

    Ce médicament est destiné au nourrisson et à l’enfant. Cependant, en cas d’utilisation dans des circonstances exceptionnelles chez les femmes en âge de procréer, il faut rappeler les points suivants : Les A.I.N.S. passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges et de troubles de la vue.

    • Nausée
    • Vomissement
    • Douleur épigastrique
    • Dyspepsie
    • Transit intestinal (modification)
    • Ulcère digestif
    • Hémorragie digestive
    • Hypersensibilité
    • Eruption cutanée
    • Prurit
    • Oedème
    • Urticaire chronique (aggravation)
    • Crise d’asthme
      Allergie aux ains, Allergie aux salicyles.
    • Oedème de Quincke
    • Vertige (Exceptionnel)
    • Céphalée (Exceptionnel)
    • Varicelle (complications cutanées et des tissus mous) (Exceptionnel)
    • Vision (modification) (Rare)
    • Oligurie
    • Insuffisance rénale
    • Méningite aseptique
    • Transaminases (augmentation)
    • Agranulocytose
    • Anémie hémolytique
    • Diarrhée

    • Classement ATC : 
          M01AE01 / IBUPROFENE
    • Classement Vidal : 
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : arylcarboxylique Anti-inflammatoire (Ibuprofène)
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : ibuprofène Antalgique
          Anti-inflammatoire non stéroïdien Rhumatologie (Ibuprofène)

    • CIP : 3866183 (IBUPROFENE MYLAN 20 mg/ml susp buv sans sucre enfant nourrisson : Fl/200ml+ser).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


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