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IMIPENEM CILASTATINE MYLAN 500 mg/500 mg pdre p sol p perf






poudre pour solution pour perfusion
par flacon(s)
imipénem monohydrate534,76 mg
  Soit imipénem anhydre500 mg
cilastatine sodique530,7 mg
  Soit cilastatine500 mg
Excipients : bicarbonate de sodium.

Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’imipenem. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament, et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

  • Elles sont limitées aux infections sévères dues aux germes sensibles à l’imipénème, notamment dans les manifestations :
    – abdominales,
    – bronchopulmonaires,
    – gynécologiques,
    – septicémiques,
    – génito-urinaires,
    – ostéoarticulaires,
    – cutanées et des parties molles,
    – endocarditiques,
    à l’exclusion des méningites.
  • Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l’utilisation appropriée des antibactériens.

  • POSOLOGIE :
    Les recommandations concernant la posologie de ce médicament correspondent à la dose d’imipénèm à administrer, associée à une même quantité de cilastatine.
  • La posologie quotidienne dépend du type et de la sévérité de l’infection, de la sensibilité du/des germe(s) en cause, de la fonction rénale et du poids du patient.
  • — Chez l’adulte :
    Les posologies ci-dessous correspondent à un poids corporel de 70 kg.
  • – Chez les sujets ayant une fonction rénale normale :
    1 à 2 g, répartis en 3 ou 4 perfusions par jour.
  • Dans certains cas, la posologie peut être augmentée jusqu’à 50 mg/kg/jour, sans dépasser cependant 4 g par jour.
  • – Chez les insuffisants rénaux :
    . Insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine comprise entre 70 et 31 ml/min/1,73 m2) : 0,50 g 3 à 4 fois par jour, soit en moyenne 1,5 à 2 g/jour, avec une posologie maximale de 30 mg/kg/jour.
  • . Insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine comprise entre 30 et 11 ml/min/1,73 m2) : 0,50 g 2 à 3 fois par jour, soit en moyenne 1 à 1,5 g/jour, avec une posologie maximale de 20 mg/kg/jour.
  • . Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min/1,73 m2) : 0,25 g à 0,50 g 2 fois par jour, soit en moyenne 0,5 à 1 g/jour, sans dépasser la posologie maximale de 12,5 mg/kg/jour.
  • Pour les patients dont la clairance de la créatinine est <= 5 ml/min/1,73 m2, il est préférable de n’utiliser ce médicament que lorsqu’une hémodialyse est envisagée (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
  • . Patients hémodialysés : compte tenu de l’épuration par la dialyse de l’imipénèm et de la cilastatine, le médicament doit être administré après chaque séance de dialyse, puis toutes les 12 heures. Ces patients, et plus particulièrement ceux qui ont des antécédents neurologiques, doivent être surveillés avec attention.
  • Les données sont insuffisantes actuellement pour recommander l’utilisation de ce médicament chez les malades sous dialyse péritonéale.
  • — Chez l’enfant :
    Les posologies recommandées chez l’enfant et le nourrisson sont les suivantes :
    – chez les enfants pesant 40 kg ou plus : la posologie recommandée est celle de l’adulte.
  • – chez les enfants ou nourrissons pesant moins de 40 kg : la posologie recommandée est de 60 mg/kg par jour, répartie en 4 perfusions. Des enfants âgés de 3 mois à 3 ans ont été traités à des posologies allant jusqu’à 100 mg/kg/j répartis en 4 perfusions, sans dépasser une posologie quotidienne de 2 g.
  • Les données cliniques sont insuffisantes pour recommander une posologie chez les enfants de moins de 3 mois ou chez les enfants ayant une insuffisance rénale (créatininémie > 20 mg/l ou 177 µmol/l).
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    – Administration IV en perfusion :
    3 ou 4 perfusions par jour, d’une durée de 20 à 30 minutes pour des doses de 250 à 500 mg et de 40 à 60 minutes pour une dose de 1 g. Le débit devra être ralenti si le patient se plaint de nausées.
  • Les perfusions seront préparées par dissolution de la poudre pour préparation injectable dans un solvant, à raison de 500 mg d’imipénèm pour 100 ml, 250 mg d’imipénèm pour 50 ml (soit 5 mg d’imipénèm par ml).
  • MODALITES D’ADMINISTRATION :
    Ce médicament doit être reconstitué puis dilué dans un solvant adapté avant perfusion.
  • La solution de perfusion devra être préparée pour obtenir un volume total de 100 ml (5 mg d’imipénèm et 5 mg de cilastatine par ml).
  • Attention : Ne pas utiliser de solvant contenant du lactate pour reconstituer ce médicament ; cependant il est possible de l’administrer simultanément à une perfusion de lactate, par l’intermédiaire d’une tubulure en Y.
  • Ne pas mélanger cette solution avec un autre antibiotique dans la même perfusion.
  • I. Pour poudre en flacon :
    1. Reconstitution :
    Dissoudre le contenu d’un flacon de ce médicament en ajoutant 10 ml d’une des solutions injectables suivantes dans le flacon : chlorure de sodium à 0,9 pour cent ; glucose à 5 pour cent ; glucose à 10 pour cent ; glucose à 5 pour cent tamponné à 0,02 pour cent de bicarbonate de sodium ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,9 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,45 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,225 pour cent ; mannitol à 2,5 pour cent ; mannitol à 5 pour cent et mannitol à 10 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de potassium à 0,15 pour cent.
  • Bien agiter le flacon.
  • Recommencer avec 10 ml supplémentaires de la solution précédemment choisie pour s’assurer de la dissolution complète.
  • Bien agiter le flacon.
  • La reconstitution complète s’obtient en moins de 3 minutes, en secouant vigoureusement le flacon.
  • La durée de stabilité de la solution reconstituée est indiquée dans le tableau ci-dessous
     Solvant   Durée de stabilité / Température ambiante (25°C)   Durée de stabilité / Réfrigérateur (4°C) 
     Chlorure de sodium à 0,9 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 10 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 % tamponné à 0,02 % de bicarbonate de sodium   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 % et chlorure de sodium à 0,9 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 % et chlorure de sodium à 0,45 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 % et chlorure de sodium à 0,225 %   4 heures   24 heures 
     Glucose à 5 % et chlorure de potassium à 0,15 %   4 heures   24 heures 
     Mannitol à 2,5 %   4 heures   24 heures 
     Mannitol à 5 et à 10 %   4 heures   24 heures 

    2. Dilution :
    Il convient de diluer la solution reconstituée dans le volume adéquat du solvant choisi pendant l’opération de reconstitution pour obtenir un volume total de 100 ml.
  • 3. Perfusion :
    La solution de perfusion ainsi obtenue doit être utilisée extemporanément.
  • II. Pour Flacon avec système de transfert pour poche de 100 ml :
    1. Vérifier qu’il n’y a aucune particule étrangère dans le flacon de poudre ; s’assurer que la bague de sécurité entre le capuchon et le flacon est intacte.
  • 2. Enlever le capuchon en le tournant d’abord et en le tirant pour briser la bague de sécurité.
  • 3. Introduire l’aiguille dans le raccord de la poche de perfusion. Pousser jusqu’à ce que l’embout aiguille perfore le flacon.
  • 4. Tenir le flacon en position verticale.
  • Presser la poche de perfusion plusieurs fois pour transférer le solvant dans le flacon. Agiter le flacon pour reconstituer la solution.
  • 5. Retourner ensuite le matériel connecté, en tenant le flacon vers le bas.
  • Presser la poche de perfusion plusieurs fois pour créer une surpression dans le flacon, Permettant à nouveau le transfert de la solution dans la poche de perfusion.
  • 6. Répéter les points 4 et 5 jusqu’à ce que le flacon soit vide.
  • 7. Remplir l’étiquette en la détachant du flacon et l’apposer sur la poche de perfusion en l’identifiant correctement.
  • 8. La solution de perfusion ainsi obtenue doit être utilisée extemporanément.
  • Toute solution de perfusion non utilisée doit être jetée.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux carbapénèmes

    • Risque de sélection de souches résistantes
      En cas d’échec thérapeutique, il faut penser à la possibilité de l’émergence de souches résistantes de Pseudomonas aeruginosa afin, le cas échéant, de modifier l’antibiothérapie.
    • Risque de réaction d’hypersensibilité
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription du médicament nécessite donc un interrogatoire préalable.
    • – Des allergies croisées avec d’autres bêtalactamines ont été décrites. L’utilisation du médicament doit être extrêmement prudente chez les patients allergiques aux bêta-lactamines : une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
    • – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec les bêta-lactamines peuvent être graves et parfois fatales.
    • Hypersensibilité aux céphalosporines
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription du médicament nécessite donc un interrogatoire préalable.
    • – Des allergies croisées avec d’autres bêtalactamines ont été décrites. L’utilisation du médicament doit être extrêmement prudente chez les patients allergiques aux bêta-lactamines : une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
    • – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec les bêta-lactamines peuvent être graves et parfois fatales.
    • Hypersensibilité aux pénicillines
      – La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.
    • – La prescription du médicament nécessite donc un interrogatoire préalable.
    • – Des allergies croisées avec d’autres bêtalactamines ont été décrites. L’utilisation du médicament doit être extrêmement prudente chez les patients allergiques aux bêta-lactamines : une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
    • – Les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec les bêta-lactamines peuvent être graves et parfois fatales.
    • Pathologie digestive, antécédent
      Tenir compte du risque d’apparition de colite pseudomembraneuse chez les sujets ayant un passé gastro-intestinal, et plus particulièrement s’il s’agit de colite.
    • Colite, antécédent
      Tenir compte du risque d’apparition de colite pseudomembraneuse chez les sujets ayant un passé gastro-intestinal, et plus particulièrement s’il s’agit de colite.
    • Nourrisson de moins de 3 mois
      Les données cliniques sont insuffisantes pour recommander l’utilisation de ce médicament chez les enfants de moins de 3 mois et chez les enfants ayant une insuffisance rénale (créatininémie > 20 mg/l ou 177 µmol/l).
    • Enfant de moins de 15 ans
      Les données cliniques sont insuffisantes pour recommander l’utilisation de ce médicament chez les enfants de moins de 3 mois et chez les enfants ayant une insuffisance rénale (créatininémie > 20 mg/l ou 177 µmol/l).
    • Risque de trouble neurologique
      Des effets indésirables neurologiques ont été signalés à type d’encéphalopathie métabolique, tels que myoclonies, états confusionnels ou convulsions, en particulier lorsque les posologies recommandées, adaptées au poids, ont été dépassées. Dans la plupart des cas, ces effets sont survenus chez des malades qui présentaient des troubles neurologiques (par exemple : lésions cérébrales ou antécédents de convulsions), et/ou qui, du fait d’une insuffisance rénale, avaient des concentrations sériques trop élevées.
    • Insuffisance rénale
      – Des effets indésirables neurologiques ont été signalés à type d’encéphalopathie métabolique, tels que myoclonies, états confusionnels ou convulsions, en particulier lorsque les posologies recommandées, adaptées au poids et à la fonction rénale, ont été dépassées. Dans la plupart des cas, ces effets sont survenus chez des malades qui présentaient des troubles neurologiques (par exemple : lésions cérébrales ou antécédents de convulsions), et/ou qui, du fait d’une insuffisance rénale, avaient des concentrations sériques trop élevées.
    • – Chez les patients ayant une clairance de la créatinine <= 5 ml/min/1,73 m2, notamment s’ils sont hémodialysés, il convient d’évaluer les avantages thérapeutiques escomptés par rapport au risque potentiel de convulsions.
    • – Les données cliniques sont insuffisantes pour recommander l’utilisation de ce médicament chez les enfants ayant une insuffisance rénale (créatininémie > 20 mg/l ou 177 µmol/l).
    • Sujet sous régime hyposodé ou désodé
      Quantité de sodium pour une dose l.V. correspondant à 1 g d’imipénèm : 3,28 mEq.
    • Patient en dialyse péritonéale
      Les données sont insuffisantes actuellement pour recommander l’utilisation de ce médicament chez les malades sous dialyse péritonéale.
    • Compatibilité avec certains solvants
      Dissoudre le contenu d’un flacon de ce médicament en ajoutant 10 ml d’une des solutions injectables suivantes dans le flacon : chlorure de sodium à 0,9 pour cent ; glucose à 5 pour cent ; glucose à 10 pour cent ; glucose à 5 pour cent tamponné à 0,02 pour cent de bicarbonate de sodium ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,9 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,45 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de sodium à 0,225 pour cent ; mannitol à 2,5 pour cent ; mannitol à 5 pour cent et mannitol à 10 pour cent ; glucose à 5 pour cent et chlorure de potassium à 0,15 pour cent.
    • Incompatibilité avec certains solvants
      Il y a incompatibilité chimique entre cette association et les lactates. On ne doit donc pas utiliser de solution contenant du lactate pour dissoudre ce médicament.
    • Incompatibilité avec certains médicaments
      Ne pas mélanger cette solution avec un autre antibiotique dans la même perfusion.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser l’association imipénèm/cilastatine au cours de la grossesse.
  • En effet, les données cliniques sont insuffisantes et les données animales ont mis en évidence un effet embryoléthal chez le singe (cf Sécurité préclinique).
  •  Allaitement :

    Le passage dans le lait maternel n’est pas connu. En conséquence, par mesure de prudence, l’allaitement est à éviter en cas de traitement par ce médicament.

    • Erythème au point d’injection
    • Douleur au point d’injection
    • Induration au point d’injection
    • Thrombophlébite au point d’injection
    • Eruption cutanée
    • Prurit
    • Urticaire
    • Erythème polymorphe
    • Syndrome de Stevens-Johnson
    • Syndrome de Lyell (Rare)
    • Erythrodermie (Rare)
    • Dermatite exfoliative (Rare)
    • Fièvre
    • Réaction anaphylactique
    • Oedème de Quincke
    • Dyspnée
    • Nausée
    • Vomissement
    • Diarrhée
    • Entérocolite pseudomembraneuse
    • Eosinophilie
    • Leucopénie
    • Neutropénie
    • Agranulocytose
    • Thrombopénie
    • Thrombocytose
    • Hémoglobinémie (diminution)
    • Pancytopénie
    • Aplasie médullaire
    • Hypoprothrombinémie
    • Transaminases (augmentation)
    • Hyperbilirubinémie
    • Phosphatases alcalines (augmentation)
    • Hépatite (Rare)
    • Oligurie
    • Anurie
    • Polyurie
    • Insuffisance rénale aiguë (Rare)
    • Créatininémie (augmentation)
    • Urémie (augmentation)
    • Couleur de l’urine (modification)
    • Convulsions
      Surdosage.
    • Myoclonie
      Surdosage.
    • Hallucination
      Surdosage.
    • Confusion mentale
      Surdosage.
    • Paresthésie (Exceptionnel)
    • Hypoacousie
    • Dysgueusie
    • Candidose
    • Coloration des dents
    • Coloration de la langue

    • Classement ATC : 
          J01DH51 / IMIPENEM ET INHIBITEUR D’ENZYME
    • Classement Vidal : 
          Antibiotique : bêta-lactamine + inhibiteur enzymatique rénal

    La cilastatine n’a pas d’activité antibactérienne.
  • Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
    S <= 4 mg/l et R > 8 mg/l ;
    CMI pneumocoque : S <= 0,5 mg/l et R > 2 mg/l.
  • La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’une orientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienne à cet antibiotique.
  • Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses.
  • ESPECES SENSIBLES :
    – Aérobies à Gram + : corynébactéries sauf Corynebacterium jeikeium et Corynebacterium urealyticum, entérocoques sauf Enterococcus faecium, Listeria monocytogenes, Nocardia asteroïdes, staphylococcus méti-S, streptococcus, Streptococcus pneumoniae.
  • – Aérobies à Gram – : Acinetobacter baumannii, entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa (10 – 30 %), autres bacilles à Gram – sauf Aeromonas hydrophila, Burkholderia cepacia, Chryseobacterium meningosepticum, Chryseobacterium odoratum et Stenotrophomonas maltophilia.
  • – Anaérobies strictes sauf Clostridium difficile.
  • ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
    – Aérobies à Gram + : Enterococcus faecium (40 – 80 %).
  • – Aérobies à Gram – : Burkholderia cepacia.
  • – Anaérobies strictes : Clostridium difficile.
  • ESPECES RESISTANTES :
    – Aérobies à Gram + : Corynebacterium jeikeium, Corynebacterium urealyticum, staphylococcus méti-R*.
  • – Aérobies à Gram – : Aeromonas hydrophila, Chryseobacterium meningosepticum, Chryseobacterium odoratum, legionella, Stenotrophomonas maltophilia.
  • – Autres : chlamydia, mycobactéries, mycoplasma, rickettsia.
  • * La fréquence de résistance à la méticilline est d’environ 30 à 50 % de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

  • Liste I
    • CIP : 3880734 (IMIPENEM CILASTATINE MYLAN 500 mg/500 mg pdre p sol p perf : Fl pdre/1).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3897172 (IMIPENEM CILASTATINE MYLAN 500 mg/500 mg pdre p sol p perf : Fl pdre/10).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 4917296 (IMIPENEM CILASTATINE MYLAN 500 mg/500 mg pdre p sol p perf : 10Fl pdre/30ml).
    • Disponibilité : hôpitaux
      Agréé aux collectivités


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