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ITRACONAZOLE SANDOZ 100mg gél






gélule
par 1 gélule
itraconazole100 mg
Excipients : amidon de maïs, saccharose, poloxamère micronisé 68, poloxamère 188, hypromellose, gélatine, titane dioxyde, indigotine, jaune de quinoléine.

— Mycoses superficielles :
– Kératites fongiques, notamment à aspergillus.

  • – Pityriasis versicolor, dermatophyties cutanées : lorsque ces infections ne peuvent être traitées localement du fait de l’étendue des lésions ou de la résistance aux traitements antifongiques habituels.
  • L’efficacité de l’itraconazole n’a pas été déterminée dans les onychomycoses.
  • — Mycoses systémiques ou viscérales :
    – Aspergillomes inopérables symptomatiques.
  • – Aspergillose bronchopulmonaire et pulmonaire nécrosante, y compris chez l’immunodéprimé.
  • – Aspergillose invasive de l’immunodéprimé : l’expérience est encore trop limitée pour préciser la place de l’itraconazole par rapport à l’amphotéricine B, en particulier chez le neutropénique. Quelques observations suggèrent son intérêt en relais de l’amphotéricine B sans qu’il soit possible de préciser la durée utile du traitement d’attaque par l’amphotéricine B.
  • – Chromomycoses.
  • – Histoplasmoses.
  • – Paracoccidioïdomycoses.
  • – Sporotrichoses et autres mycoses rares à germes sensibles.

  • POSOLOGIE :
    — Mycoses superficielles :
    L’élimination de l’itraconazole des tissus est plus longue que celle du plasma ; l’effet de la thérapeutique se poursuit plusieurs jours après l’arrêt du traitement.
  • – Kératites fongiques : 2 gélules (200 mg) par jour pendant 21 jours.
  • – Pityriasis versicolor : 2 gélules (200 mg) une fois par jour pendant 5 à 10 jours.
  • – Dermatophyties cutanées : 1 gélule (100 mg) par jour pendant 15 à 30 jours.
  • — Mycoses systémiques ou viscérales :
    2 à 4 gélules par jour ; les plus fortes posologies sont notamment recommandées chez l’immunodéprimé.
  • La durée du traitement sera fonction de l’affection en cause et de la pathologie sous-jacente.
  • — Utilisation chez l’insuffisant rénal ou hépatique : cf Mises en garde/Précautions d’emploi.
  • MODE D’ADMINISTRATION :
    Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux triazolés antifongiques
    • Intolérance au fructose
    • Sucrase-isomaltase, déficit (en)
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    Relative(s) :
    • Allaitement

    • Risque d’hépatopathie sévère
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par ce médicament. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Risque d’insuffisance hépatique aiguë
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par ce médicament. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Hépatopathie
      – De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par ce médicament. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • – Chez les patients qui présentent une élévation des enzymes hépatiques ou une maladie hépatique active, ou chez qui d’autres médicaments ont déjà entraîné une toxicité hépatique, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
      De très rares cas de toxicité hépatique grave, incluant quelques cas d’insuffisance hépatique aiguë d’évolution fatale ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament. La plupart de ces cas sont survenus chez des patients ayant une maladie hépatique pré-existante, traités pour mycoses systémiques, ayant des pathologies concomitantes et/ou traités par d’autres médicaments hépatotoxiques. Quelques patients ne présentaient pas de facteurs de risque patents de maladie hépatique. Quelques cas ont été observés au cours du 1er mois de traitement, et pour certains au cours de la 1ère semaine de traitement. Il est recommandé de surveiller la fonction hépatique chez les patients traités par ce médicament. Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Information du patient
      Les patients doivent être informés qu’ils doivent avertir très rapidement leur médecin en cas d’apparition de signes et de symptômes suggérant une atteinte hépatique en particulier anorexie, nausées, vomissements, asthénie, douleurs abdominales ou urines foncées. En cas de survenue de l’un de ces symptômes, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens de la fonction hépatique doivent être réalisés.
    • Patient avec augmentation des transaminases sériques
      Chez les patients qui présentent une élévation des enzymes hépatiques, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Hépatopathie lors d’un traitement médicamenteux, antécédent
      Chez les patients chez qui d’autres médicaments ont déjà entraîné une toxicité hépatique, le traitement ne sera instauré que si l’avantage escompté l’emporte sur le risque d’atteinte hépatique. Dans ce cas, la surveillance des enzymes hépatiques est nécessaire.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Une étude réalisée chez le volontaire sain avec de l’itraconazole par voie IV a montré une diminution transitoire asymptomatique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche, se résolvant avant la perfusion suivante. La signification clinique de cette observation, pour les formes orales, n’est pas connue.
    • L’itroconazole a montré un effet inotrope négatif et ce médicament a été associé à des cas d’insuffisance cardiaque après administration par voie orale.
    • Ce médicament ne doit être utilisé chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive ou des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive que si le bénéfice est nettement supérieur aux risques.
    • L’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte des facteurs tels que la sévérité de l’indication, la posologie et les facteurs de risques individuels d’insuffisance cardiaque congestive. Ces patients doivent être informés des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive, doivent être traités avec précaution et doivent faire l’objet d’un suivi des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive au cours du traitement. Si de tels signes ou symptômes apparaissent au cours du traitement, ce médicament doit être arrêté.
    • Les inhibiteurs calciques peuvent avoir des effets inotropes négatifs qui peuvent s’ajouter à ceux de l’itraconazole ; l’itraconazole peut inhiber le métabolisme des inhibiteurs calciques. En conséquence, la prudence s’impose en cas de coadministration d’itraconazole et d’inhibiteurs calciques.
    • Antécédent d’insuffisance cardiaque congestive
      Une étude réalisée chez le volontaire sain avec de l’itraconazole par voie IV a montré une diminution transitoire asymptomatique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche, se résolvant avant la perfusion suivante. La signification clinique de cette observation, pour les formes orales, n’est pas connue.
    • L’itroconazole a montré un effet inotrope négatif et ce médicament a été associé à des cas d’insuffisance cardiaque après administration par voie orale.
    • Ce médicament ne doit être utilisé chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive ou des antécédents d’insuffisance cardiaque congestive que si le bénéfice est nettement supérieur aux risques.
    • L’évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque doit prendre en compte des facteurs tels que la sévérité de l’indication, la posologie et les facteurs de risques individuels d’insuffisance cardiaque congestive. Ces patients doivent être informés des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive, doivent être traités avec précaution et doivent faire l’objet d’un suivi des signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque congestive au cours du traitement. Si de tels signes ou symptômes apparaissent au cours du traitement, ce médicament doit être arrêté.
    • Les inhibiteurs calciques peuvent avoir des effets inotropes négatifs qui peuvent s’ajouter à ceux de l’itraconazole ; l’itraconazole peut inhiber le métabolisme des inhibiteurs calciques. En conséquence, la prudence s’impose en cas de coadministration d’itraconazole et d’inhibiteurs calciques.
    • Femme susceptible d’être enceinte
      En cas de nécessité de prescription chez la femme en âge de procréer, il est indispensable de s’assurer qu’elle n’est pas enceinte et de la soumettre préalablement à une méthode efficace de contraception.
    • Insuffisance rénale
      L’itraconazole n’est pratiquement pas extrait par hémodialyse ou dialyse rétropéritonéale.
    • Des variations importantes de la biodisponibilité ayant été observées chez de tels patients, il peut être utile d’adapter la posologie en fonction des concentrations plasmatiques.
    • Insuffisance hépatique
      La demi-vie d’élimination est prolongée chez le cirrhotique (37 +/- 5 heures).
    • Il peut être utile de surveiller la concentration plasmatique de l’itraconazole en cas de cirrhose ou d’insuffisance hépatocellulaire marquée. Il est préférable de ne pas administrer d’itraconazole aux patients présentant une pathologie hépatique lors de traitement par d’autres médicaments sauf si le rapport bénéfice/risque le justifie.
    • Cirrhose
      La demi-vie d’élimination est prolongée chez le cirrhotique (37 +/- 5 heures).
    • Il peut être utile de surveiller la concentration plasmatique de l’itraconazole en cas de cirrhose ou d’insuffisance hépatocellulaire marquée. Il est préférable de ne pas administrer d’itraconazole aux patients présentant une pathologie hépatique lors de traitement par d’autres médicaments sauf si le rapport bénéfice/risque le justifie.
    • Déficit immunitaire
      Sujets neutropéniques, Sida :
      Les concentrations à l’état stationnaire sont généralement plus faibles chez les immunodéprimés et justifient l’utilisation de posologies élevées (400 mg/jour). La surveillance des concentrations plasmatiques peut être utile en début de traitement surtout s’il existe des éléments susceptibles de modifier l’absorption (prise à jeun, réaction du greffon contre l’hôte, diarrhée, mucite), et en cas de suspicion d’échec.
    • Achlorhydrie
      L’absorption est modifiée lorsque l’acidité gastrique est réduite. Ce médicament doit être administré 2 heures avant ou 4 à 6 heures après un médicament diminuant l’acidité gastrique.
    • Chez les patients présentant une achlorhydrie, en particulier patients atteints du Sida ou patients recevant des suppresseurs de l’acidité gastrique (en particulier anti-H2, inhibiteurs de la pompe à protons), il est recommandé d’administrer ce médicament avec une boisson contenant du cola.
    • Risque de neuropathie périphérique
      En cas d’apparition d’une neuropathie qui pourrait être imputée à ce médicament, il convient d’interrompre le traitement.
    • Administrer après le repas
      Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.
    • Administrer entier
      Les gélules doivent être absorbées sans être ouvertes, immédiatement après un repas, de préférence en une seule prise.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    L’utilisation en traitement prolongé, notamment au 1er trimestre de la grossesse, sera réservé aux cas mettant en jeu le pronostic vital. Dans les autres cas il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser l’itraconazole au cours de la grossesse. En effet, bien que les données cliniques en nombre limité soient rassurantes, elles concernent majoritairement des traitements de courte durée et les données animales ont mis en évidence un effet tératogène (cf Sécurité préclinique).

     Allaitement :

    En raison du passage dans le lait, de l’itraconazole et compte-tenu de son profil d’effets secondaires, l’allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.
  • Si l’enfant d’une mère qui doit prendre de l’itraconazole est déjà traité par cisapride, l’allaitement doit être suspendu pendant toute la durée du traitement maternel en raison d’un risque potentiel d’interaction chez l’enfant (torsade de pointes) (cf Contre-indications).

  • Aucun effet n’a été observé.

    • Dyspepsie
    • Nausée
    • Vomissement
    • Diarrhée
    • Douleur abdominale
    • Constipation
    • Céphalée
    • Enzymes hépatiques (augmentation)
    • Hépatite
    • Trouble menstruel
    • Sensation de vertige
    • Hypersensibilité
    • Prurit
    • Eruption cutanée
    • Urticaire
    • Oedème de Quincke
    • Neuropathie périphérique
    • Syndrome de Stevens-Johnson
    • Alopécie
    • Hypokaliémie
    • Oedème
      Insuffisance cardiaque congestive.
    • Insuffisance cardiaque congestive
    • Oedème pulmonaire
    • Hépatopathie (Très rare)
    • Insuffisance hépatique aiguë

    • Classement ATC : 
          J02AC02 / ITRACONAZOLE
    • Classement Vidal : 
          Antifongique systémique : itraconazole

    Liste I
    • CIP : 3672941 (ITRACONAZOLE SANDOZ 100mg gél : Plq/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Sandoz


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