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KETOPROFENE RANBAXY 50 mg gél






gélule
par 1 gélule
kétoprofène50 mg
Excipients : magnésium stéarate, gélatine, titane dioxyde, fer jaune oxyde, lactose monohydrate.

Elles procèdent de l’activité anti-inflammatoire du kétoprofène, de l’importance des manifestations d’intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l’éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.

  • Elles sont limitées, chez l’adulte et l’enfant à partir de 15 ans, au :
    – Traitement symptomatique au long cours :
    * des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoide, spondylarthrite ankylosante (ou syndromes apparentés, tels que syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique).
  • * de certaines arthroses douloureuses et invalidantes.
  • – Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
    * rhumatismes abarticulaires tels que périathrites scapulo-humérales, tendinites, bursites,
    * arthrites microcristallines,
    * arthroses,
    * lombalgies,
    * radiculalgies.
  • * affections aiguës post-traumatiques bénigmes de l’appareil locomoteur.

  • Posologie :
    La survenue d’effets indésirables peut être minimisée par l’utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes (voir Mises en garde et précautions d’emploi).
  • La dose maximale journalière est de 200 mg par jour. Le rapport bénéfice / risque doit être attentivement évalué avant de commencer un traitement à une dose quotidienne de 200 mg et l’utilisation de doses supérieures n’est pas recommandée (voir également Mises en garde et précautions d’emploi)
    – Traitement symptomatique au long cours : 3 gélules à 50 mg par jour, soit 150 mg par jour.
  • – Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës : 4 gélules à 50 mg par jour, soit 200 mg par jour.Fréquence d’administration :
    Les gélules sont à prendre au cours des repas.
  • La posologie quotidienne est à répartir en 2 à 3 prises par jour.
  • Populations à risque :
    – Insuffisants rénaux et sujets âgés : il est recommandé de réduire la posologie initiale puis d’adapter si nécessaire celle-ci en fonction de la tolérance rénale.
  • – Patients hypovolémiques : voir Mises en garde et précautions d’emploi.Mode d’administration :
    Voie orale.
  • Les gélules sont à avaler telles quelles, avec un grand verre d’eau.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Hypersensibilité aux arylcarboxyliques
    • Hypersensibilité aux AINS
    • Hypersensibilité aux salicylés
    • Grossesse, 4 derniers mois (de la)
    • Crise d’asthme liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Crise d’asthme liée à la prise d’aspirine, antécédent (de)
    • Hémorragie gastro-intestinale liée à la prise d’AINS, antécédent (d’)
    • Perforation gastro-intestinale liée à la prise d’AINS, antécédent (de)
    • Hémorragie gastro-intestinale
    • Accident vasculaire cérébral hémorragique
    • Hémorragie interne évolutive
    • Ulcère gastro-intestinal évolutif
    • Ulcère gastro-intestinal, antécédent (d’)
    • Hémorragie récurrente, antécédent (d’)
    • Insuffisance hépatique sévère
    • Insuffisance rénale sévère : clairance de la créatinine < 30 ml/min
    • Insuffisance cardiaque sévère
    • Intolérance génétique au galactose
    • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
    • Déficit en lactase

    • Rechercher la posologie minimale efficace
      La survenue d’effets indésirables peut être minimisée par l’utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes (voir Posologie et paragraphes « Effets gastro-intestinaux » et « Effets cardiovasculaires et cérébro-vasculaires » ci-dessous).
    • Asthme
      Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, plus élevé que le reste de la population. L’administration de cette spécialité peut entraîner la survenue de crise d’asthme ou de bronchospasme, notamment chez les sujets allergiques à l’aspirine ou à un AINS (voir Contre-indications).
    • Sujet âgé
      Les sujets âgés présentent un risque accru d’effets indésirables aux AINS, en particulier d’hémorragie gastro-intestinale et de perforations pouvant être fatales (voir Posologie et ci-dessous).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible.
    • En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les sujets âgés.
    • Risque d’hémorragie digestive
      Des hémorragies gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les AINS, à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Certaines données épidémiologiques ont suggéré que le kétoprofène pourrait être associé à un risque plus élevé de toxicité gastro-intestinale grave par rapport à d’autres AINS, en particulier à dose élevée (voir également les Posologie et Contre-indications).
    • Le risque d’hémorragie gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (voir Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faible dose d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (voir ci dessous).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • Une attention particulière doit être portée aux patients recevant des traitements associés susceptibles d’augmenter le risque d’hémorragie, comme les glucocorticoïdes, les anticoagulants oraux tels que la warfarine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et les antiagrégants plaquettaires comme l’aspirine.
    • En cas d’apparition d’hémorragie survenant chez un patient recevant KETOPROFENE RANBAXY, le traitement doit être arrêté.
    • Risque d’ulcère digestif
      Des ulcérations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les AINS, à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Certaines données épidémiologiques ont suggéré que le kétoprofène pourrait être associé à un risque plus élevé de toxicité gastro-intestinale grave par rapport à d’autres AINS, en particulier à dose élevée (voir également les Posologie et Contre-indications).
    • Le risque d’ulcération gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (voir Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faible dose d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (voir ci dessous).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • Une attention particulière doit être portée aux patients recevant des traitements associés susceptibles d’augmenter le risque d’ulcération, comme les glucocorticoïdes, les anticoagulants oraux tels que la warfarine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et les antiagrégants plaquettaires comme l’aspirine.
    • En cas d’apparition d’ulcération survenant chez un patient recevant KETOPROFENE RANBAXY, le traitement doit être arrêté.
    • Risque de perforation gastro-intestinale
      Des perforations gastro-intestinales parfois fatales, ont été rapportées avec tous les AINS, à n’importe quel moment du traitement, sans qu’il y ait eu nécessairement de signes d’alerte ou d’antécédents d’effets indésirables gastro-intestinaux graves.
    • Certaines données épidémiologiques ont suggéré que le kétoprofène pourrait être associé à un risque plus élevé de toxicité gastro-intestinale grave par rapport à d’autres AINS, en particulier à dose élevée (voir également les Posologie et Contre-indications).
    • Le risque de perforation gastro-intestinale augmente avec la dose utilisée chez les patients présentant des antécédents d’ulcère, en particulier en cas de complication à type d’hémorragie ou de perforation (voir Contre-indications) ainsi que chez le sujet âgé. Chez ces patients, le traitement doit être débuté à la posologie la plus faible possible. Un traitement protecteur de la muqueuse (par exemple misoprostol ou inhibiteur de la pompe à protons) doit être envisagé pour ces patients, comme pour les patients nécessitant un traitement par de faible dose d’aspirine ou traités par d’autres médicaments susceptibles d’augmenter le risque gastro-intestinal (voir ci dessous).
    • Les patients présentant des antécédents gastro-intestinaux, surtout s’il s’agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), notamment en début de traitement.
    • Pathologie digestive, antécédent
      Les AINS doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (recto-colite hémorragique, maladie de Crohn), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (voir Effets indésirables).
    • Antécédent de rectocolite hémorragique
      Les AINS doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (recto-colite hémorragique), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (voir Effets indésirables).
    • Antécédent de maladie de Crohn
      Les AINS doivent être administrés avec prudence et sous étroite surveillance chez les malades présentant des antécédents de maladies gastro-intestinales (maladie de Crohn), en raison d’un risque d’aggravation de la pathologie (voir Effets indésirables).
    • Hypertension artérielle, antécédent
      Une surveillance adéquate et des recommandations sont requises chez les patients présentant des antécédents d’hypertension, des cas de rétention hydrosodée et d’œdème ayant été rapportés en association au traitement par AINS.
    • Antécédent d’insuffisance cardiaque
      Une surveillance adéquate et des recommandations sont requises chez les patients présentant des antécédents d’insuffisance cardiaque légère à modérée, des cas de rétention hydrosodée et d’œdème ayant été rapportés en association au traitement par AINS.
    • Patient traité à posologie élevée
      Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l’utilisation de certains AINS (surtout lorsqu’ils sont utilisés à dose élevée) peut être associée à une légère augmentation du risque d’événement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral). Les données sont actuellement insuffisantes pour écarter cette augmentation du risque pour le kétoprofène.
    • Traitement prolongé
      Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l’utilisation de certains AINS (surtout lorsqu’ils sont utilisés sur une longue durée de traitement) peut être associée à une légère augmentation du risque d’événement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral). Les données sont actuellement insuffisantes pour écarter cette augmentation du risque pour le kétoprofène.
    • Avant toute initiation d’un traitement à long terme, les patients présentant des facteurs de risques pour les pathologies cardiovasculaires (comme une hypertension, une hyperlipidémie, un diabète ou une consommation tabagique), ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
    • Au cours de traitement prolongé, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale.
    • Hypertension artérielle non contrôlée
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Insuffisance cardiaque congestive
      Les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Insuffisance coronarienne
      Les patients présentant une cardiopathie ischémique ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Trouble circulatoire périphérique
      Les patients présentant une maladie artérielle périphérique ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Antécédent d’accident vasculaire cérébral
      Les patients présentant un antécédent d’accident vasculaire cérébral (y compris l’accident ischémique transitoire) ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Accident ischémique transitoire, antécédent (d’)
      Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive, une cardiopathie ischémique, une maladie artérielle périphérique, et/ou un antécédent d’accident ischémique transitoire ne devront être traités par le kétoprofène qu’après un examen attentif.
    • Risque de réaction cutanée sévère
      Des réactions cutanées graves, dont certaines d’évolution fatale, incluant des dermatites exfoliatives, des syndromes de Stevens-Johnson et des syndromes de Lyell ont été très rarement rapportées lors de traitements par AINS (voir Effets indésirables).
    • L’incidence de ces effets indésirables semble plus importante en début de traitement, le délai d’apparition se situant, dans la majorité des cas, pendant le premier mois de traitement. Le traitement par KETOPROFENE RANBAXY devra être arrêté dès l’apparition d’un rash cutané, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d’hypersensibilité.
    • Risque d’insuffisance rénale aiguë fonctionnelle
      Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant.
    • Hypovolémie
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant une hypovolémie quelle qu’en soit la cause,
    • Insuffisance cardiaque
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant une insuffisance cardiaque.
    • Insuffisance rénale chronique
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique.
    • Syndrome néphrotique
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant un syndrome néphrotique.
    • Néphropathie lupique
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant une néphropathie lupique.
    • Cirrhose hépatique décompensée
      En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant une cirrhose hépatique décompensée.
    • Risque de rétention hydrosodée
      Rétention hydro-sodée avec possibilité d’oedèmes, d’HTA ou de majoration d’HTA, d’aggravation d’insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début de traitement en cas d’HTA ou d’insuffisance cardiaque. Une diminution de l’effet des antihypertenseurs est possible.
    • Risque d’hyperkaliémie
      Hyperkaliémie favorisée par le diabète ou un traitement concomitant par des médicaments hyperkaliémiants. Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
    • Surveillance de la kaliémie pendant le traitement
      Hyperkaliémie favorisée par le diabète ou un traitement concomitant par des médicaments hyperkaliémiants.
    • Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
    • Infection
      Comme les autres AINS, le kétoprofène peut masquer les signes de progression d’une infection.
    • Photosensibilité ou phototoxicité, antécédent
      Les patients présentant des antécédents de réactions de photosensibilité ou de phototoxicité devront être étroitement surveillés.
    • Hépatopathie
      Chez les patients présentant un bilan hépatique perturbé, un suivi des transaminases est recommandé.
    • Antécédent d’hépatopathie
      Chez les patients ayant des antécédents de maladie hépatique, un suivi des transaminases est recommandé.
    • Administrer entier
    • Administrer pendant le repas
    • Administrer avec une quantité suffisante d’eau

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Aspect malformatif : 1er trimestre
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.
  • En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur 2 espèces.
  • Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier, lié à une administration au cours du 1er trimestre de la grossesse, n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
  • Aspect fœtotoxique et néonatal : 2ème et 3ème trimestre
    II s’agit d’une toxicité de classe concernant tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
  • L’administration pendant le 2ème et le 3ème trimestre expose à :
    * une atteinte fonctionnelle rénale :
    – in utero pouvant s’observer dès 12 semaines d’aménorrhée (mise en route de la diurèse fœtale) :
    oligoamnios (le plus souvent réversible à l’arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d’une exposition prolongée.
  • – à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister en particulier en cas d’exposition tardive et prolongée (avec un risque d’hyperkalïémïe sévère retardée).
  • * un risque d’atteinte cardio-pulmonaire :
    – constriction partielle ou complète in utero du canal artériel. La constriction du canal artériel peut survenir à partir de 5 mois révolus et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite fœtale ou néonatale voire une mort fœtale in utero. Ce risque est d’autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle.
  • * un risque d’allongement du temps de saignement pour la mère et l’enfant.
  • En conséquence :
    * Jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée : l’utilisation de KETOPROFENE RANBAXY ne doit être envisagée que si nécessaire.
  • * Entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée (entre le début de la diurèse fœtale et 5 mois révolus) : une prise brève ne doit être prescrite que si nécessaire. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
  • * Au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) : toute prise même ponctuelle est contre-indiquée (voir Contre-indications). Une prise par mégarde au delà de 24 semaines d’aménorrhée (5 mois révolus) justifie une surveillance cardiaque et rénale, foetale et/ou néonatale selon le terme d’exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d’élimination de la molécule.
  •  Allaitement :

    Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    Prévenir les patients de l’apparition possible de vertiges, de somnolence, de convulsions ou de troubles visuels. Il est conseillé de ne pas conduire ou d’utiliser des machines si l’un de ces symptômes apparaît.

    • Nausée
    • Vomissement
    • Diarrhée
    • Constipation
    • Gêne gastro-intestinale
    • Douleur épigastrique
    • Gastrite
    • Stomatite
    • Colite (Rare)
    • Hémorragie digestive occulte
    • Ulcère gastrique
    • Perforation digestive
    • Hémorragie digestive
    • Oedème de Quincke (Très rare)
    • Choc anaphylactique (Très rare)
    • Eruption cutanée
    • Prurit
    • Urticaire
    • Urticaire chronique (aggravation)
    • Crise d’asthme
      Allergie aux ains, Hypersensibilite a l’aspirine.
    • Bronchospasme
      Allergie aux ains, Hypersensibilite a l’aspirine.
    • Céphalée
    • Vertige
    • Somnolence
    • Convulsions (Exceptionnel)
    • Trouble de l’humeur (Exceptionnel)
    • Photosensibilisation
    • Alopécie
    • Syndrome de Stevens-Johnson (Exceptionnel)
    • Syndrome de Lyell (Exceptionnel)
    • Vision floue
    • Acouphène
    • Rétention hydrosodée
    • Hyperkaliémie
    • Insuffisance rénale fonctionnelle
    • Insuffisance rénale
    • Néphropathie interstitielle (Cas isolés)
    • Nécrose tubulaire aiguë (Cas isolés)
    • Syndrome néphrotique (Cas isolés)
    • Nécrose papillaire rénale (Cas isolés)
    • Thrombopénie
    • Anémie
    • Leucopénie (Rare)
    • Agranulocytose (Rare)
    • Transaminases (augmentation)
    • Hépatite (Exceptionnel)
    • Oedème
    • Hypertension artérielle
    • Insuffisance cardiaque (aggravation)

    • Classement ATC : 
          M01AE03 / KETOPROFENE
    • Classement Vidal : 
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : arylcarboxylique Anti-inflammatoire (Kétoprofène)
          Anti-inflammatoire non stéroïdien : arylcarboxylique Rhumatologie (Kétoprofène)

    Liste II
    • CIP : 3852465 (KETOPROFENE RANBAXY 50 mg gél : Plq pvdc/24).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Ranbaxy Pharmacie Generiques


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