logo news copy.webp
Search
Close this search box.

METFORMINE MYLAN 500 mg cp pellic






comprimé pelliculé
par 1 comprimé
metformine chlorhydrate500 mg
  Soit metformine390 mg
Excipients : povidone K 30, magnésium stéarate, hypromellose.

1) Diabète non acido-cétosique, non insulinodépendant de l’adulte (diabète de type II), en particulier avec surcharge pondérale, lorsque le régime prescrit n’est pas suffisant pour rétablir à lui seul l’équilibre glycémique.

  • 2) Diabète insulinotraité en complément de l’insulinothérapie :
    – dans le diabète de type I (DID),
    – dans le diabète de type II, en particulier en cas de surcharge pondérale importante associée à une résistance secondaire à l’action de l’insuline.

  • Diabète non insulinodépendant de type II :
    – la posologie moyenne est de 2 à 3 comprimés par jour (administrés au cours ou à la fin des repas).
  • Au bout de 10 à 15 jours, la posologie sera adaptée en fonction des résultats biologiques. La posologie maximale recommandée est de 2 à 3 g par jour de metformine.
  • – Pour renforcer l’activité antidiabétique si nécessaire, remplacer la metformine dosée à 500 mg par de la metformine dosée à 850 mg selon le schéma :
    * 1 comprimé de metformine 850 mg pour 2 comprimés de metformine 500 mg;
    * 2 comprimés de metformine 850 mg pour 3 à 4 compnmés de metformine 500 mg.
  • Adapter ensuite en fonction des résultats.
  • – Association aux sulfamides hypoglycémiants : associer la metfornine 500 mg à la posologie de 2 comprimés/jour, 1 le matin et 1 le soir. Augmenter à 3 compnmés /jour si nécessaire en ajoutant 1 comprimé à midi.
  • Diabète insulinotraité :
    Dans le diabète insulinodépendant, la metformine ne remplace jamais l’insuline mais son association avec elle permet d’en réduire les doses et d’obtenir une meilleure stabilisation de la glycémie. La mesure de la glycémie capillaire permet une adaptation quotidienne de la posologie d’insuline.
  • Lorsque le pancréas est encore fonctionnel, la substitution totale par la metformine peut parfois être réalisée :
    – si la dose d’insuline est inférieure à 40 unités : ce médicament est administré à la posologie habituelle de 2 comprimésljour. Simultanément, l’insuline est réduite à raison de 2 à 4 unités, puis adaptée en fonction de la glycémie capillaire.
  • – si la dose d’insuline dépasse 40 unitésljour, il est préférable d’hospitaliser le malade pour réaliser l’association. Les glycémies capillaires obtenues guideront la diminution progressive des doses d’insuline.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’un des composants
    • Insuffisance rénale
    • Déshydratation
    • Fièvre
    • Infection urinaire
    • Etat de choc
    • Septicémie
    • Pneumopathie
    • Injection de produit de contraste iodé
    • Acidocétose
    • Précoma diabétique
    • Hypoxie
    • Insuffisance cardiaque
    • Insuffisance respiratoire
    • Antécédent récent d’infarctus du myocarde
    • Insuffisance hépatique
    • Intoxication alcoolique aiguë
    • Alcoolisme
    • Allaitement
    • Infection sévère

    • Risque d’acidose lactique
      La metformine peut entraîner ou favoriser la survenue d’un état d’acidose lactique, complication
      métabolique entraînant une mortalité élevée en l’absence de traitement précoce. Son incidence
      peut et doit être réduite par une bonne surveillance des facteurs de risque.
    • – Circonstances :
      * l’insuffisance rénale aiguë, organique ou fonctionnelle, joue un rôle prédominant, elle explique l’accumulation de metfornine par défaut d’élimination urinaire ;
      * le diabète mal équilibré, la cétose, le jeûne prolongé, l’éthylisme, l’insuffisance hépatocellulaire ainsi que tout état d’hypoxémie sont des facteurs prédisposants.
    • – Signes prémonitoires :
      La survenue de crampes musculaires accompagnées de troubles digestifs, de douleurs
      abdominales et d’une grande asthénie chez un malade traité doit attirer l’attention du médecin.
    • Une lactacidémie veineuse supérieure à la normale accompagnée d’une élévation de la
      créatininémie doit entraîner l’anêt du traitement.
    • Nota : prélèvement pour dosage de lactacidémie à effectuer au repos sans garrot, dosage
      immédiat ou transport sur glace.
    • – Diagnostic :
      L’acidose lactique est caractérisée par une dyspnée acidosique, des douleurs abdominales, une
      hypothermie puis un état comateux. Le diagnostic biologique comporte un abaissement du pH
      sanguin, une lactacidémie supérieure à 5 mmol/l, une élévation du rapport lactates/pyruvates.
    • Devant toute suspicion d’acidose métabolique, il convient d’arrêter la metformine et d’hospitaliser d’urgence le malade.
    • – Incidence :
      En France, l’incidence apparente de l’acidose lactique chez les diabétiques traités par metformine
      est de un cas pour 40 000 années/malade.
    • Surcharge pondérale
      L’utilisation de ce médicament ne dispense pas du régime hypoglucidique dans tous les cas, ou
      hypocalorique et hypoglucidique en cas de surpoids.
    • Surveillance de la glycosurie pendant le traitement
      Les contrôles biologiques habituels du diabète doivent être régulièrement pratiqués.
    • Surveillance de la glycémie pendant le traitement
      Les contrôles biologiques habituels du diabète doivent être régulièrement pratiqués.
    • Surveillance de l’hémoglobine glycosylée pendant le traitement
      Les contrôles biologiques habituels du diabète doivent être régulièrement pratiqués.
    • Surveillance de la fonction rénale avant et pendant le traitement
      La créatinine sérique doit être mesurée avant l’établissement du traitement (créatininémie normale < 135 µmol/l chez l’homme et < 110 µmol/l chez la femme) et ensuite régulièrement surveillée :
      * une fois par an chez les sujets à fonction rénale normale,
      * deux à quatre fois par an lorsque la créatininémie est à la limite supérieure de normalité,
      particulièrement chez les sujets âgés pour lesquels cette limite est abaissée.
    • Sujet âgé
      Chez le sujet âgé, la survenue d’une insuffisance rénale est fréquente et asymptomatique, il convient d’utiliser la metformine sous couvert d’un contrôle régulier de la créatininémie.
    • Une élévation de la créatininémie, par exemple au début d’un traitement diurétique antihypertenseur, impose la prudence.
    • Intervention chirurgicale
      En cas d’intervention chirurgicale ou d’autres causes de décompensation du diabète, la mise à
      l’insuline doit être envisagée.
    • Ne pas absorber d’alcool pendant le traitement
      Risque majoré d’acidose lactique lors d’intoxication alcoolique aiguë, en particulier en cas :
      – de jeûne ou de dénutrition,
      – d’insuffisance hépato-cellulaire.
    • Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
    • Interaction alimentaire : alcool
      Risque majoré d’acidose lactique lors d’intoxication alcoolique aiguë, en particulier en cas :
      – de jeûne ou de dénutrition,
      – d’insuffisance hépato-cellulaire.
    • Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool.
    • Administrer pendant le repas
      Au cours ou à la fin des repas.
    • Injection de produit de contraste iodé, antécédent récent
      L’administration intravasculaire de produits de contraste iodés au cours d’explorations
      radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale. En conséquence, la metformine doit être arrêtée avant ou au moment de l’examen, pour n’être réintroduite que 48 heures après, et après s’être assuré de la normalité de la fonction rénale.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    – Risque lié au diabète
    Le diabète (gestationnel ou permanent), lorsqu’il n’est pas équilibré, est à l’origine d’une augmentation des malformations congénitales et de la mortalité périnatale.
  • En période périconceptionnelle, un équilibre aussi bon que possible du diabète doit être réalisé, afin de réduire le risque malformatif.
  • – Risque lié à la metformine
    Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces. En clinique, quelques séries portant sur de faibles effectifs n’ont pas montré d’effet malformatif propre de la metformine.
  • – Conduite à tenir
    La rééquilibration du diabète permet de normaliser le déroulement de la grossesse dans cette catégorie de patientes. Elle fait appel impérativement à l’insuline, quel que soit le type de diabète, I ou II ou gestationnel. Dans ce dernier cas, il est recommandé d’effectuer le relais d’un traitement oral par l’insuline dès l’instant où une grossesse est envisagée ou en cas de découverte fortuite d’une grossesse exposée à ce médicament : dans ce cas, ceci ne constitue pas l’argument systématique pour conseiller une interruption de grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale orientée. Une surveillance néonatale de la glycémie est recommandée chez les nouveaux-nés de mère diabétique.
  •  Allaitement :

    En l’absence de données concernant le passage dans le lait maternel, ce médicament est contre- indiqué en cas d’allaitement.

    Metformine Mylan 500 mg en monothérapie n’entraîne pas d’hypoglycémie et n’a donc pas d’effet sur l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
  • Par contre, en association avec d’autres antidiabétiques (sulfamides, insuline, répaglinide), il convient d’attirer l’attention sur les risques de survenue d’hypoglycémie.

    • Nausée (Très fréquent)
      Debut de traitement.
    • Vomissement (Très fréquent)
      Debut de traitement.
    • Diarrhée (Très fréquent)
      Debut du traitement.
    • Acidose lactique (Très rare)
      Cetose, Diabete mal equilibre, Ethylisme, Hypoxemie, Insuffisance hepatocellulaire, Insuffisance rénale, Jeun.

    • Classement ATC : 
          A10BA02 / METFORMINE
    • Classement Vidal : 
          Antidiabétique oral : biguanide Cardiologie Angéiologie
          Antidiabétique oral : biguanide Métabolisme Diabète Nutrition

    Liste I
    • CIP : 3524442 (METFORMINE MYLAN 500 mg cp pellic : B/30).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités
    • CIP : 3723383 (METFORMINE MYLAN 500 mg cp pellic : Plq/90).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 65 %, Agréé aux collectivités


    Mylan


    Liste Des Sections Les Plus Importantes :

    Facebook Page Medical Education ——Website Accueil —— Notre Application
  • Pour plus des conseils sur cette application et developpement de cette dernier contacter avec moi dans ma emaile support@mededuct.com
  • Articles Similaires

    SYNOCROM®

    SYNOCROM® Synocrom est une solution aqueuse stérile, apyrogène, isotonique et viscoélastique à usage intra-articulaire.

    Read More »

    APHTORAL®

    chlorhexidine, tétracaïne, acide ascorbique FORMES et PRÉSENTATIONS Comprimé à sucer (orange) :  Étui de 24, sous

    Read More »