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MYCOPHENOLATE MOFETIL ARROW 500 mg cp pellic






comprimé pelliculé
par 1 comprimé
mycophénolate mofétil500 mg
Excipients : cellulose microcristalline, povidone K 90, croscarmellose sel de Na, magnésium stéarate, opadry violet 20B50184, ( hypromellose, hyprolose, titane dioxyde, macrogol 400, indigotine laque aluminique, fer rouge oxyde, eau purifiée ).

Le mycophénolate est indiqué en association à la ciclosporine et aux corticostéroïdes pour la prévention du rejet aigu d’organes chez les patients ayant bénéficié d’une allogreffe rénale, cardiaque ou hépatique.


Utilisation en transplantation rénale :
Adultes : par voie orale, le traitement par mycophénolate doit être initié dans les 72 heures suivant la greffe. La posologie recommandée chez les transplantés rénaux est de 1 g deux fois par jour (posologie quotidienne de 2 g).
  • Enfants et adolescents (âgés de 2 à 18 ans) : la posologie recommandée de mycophénolate mofétil est de 600 mg/m² administrée par voie orale deux fois par jour (jusqu’à un maximum de 2 g par jour). Les comprimés de mycophénolate doivent être uniquement prescrits aux patients dont la surface corporelle est supérieure à 1,5 m², à une posologie de 1 g deux fois par jour (posologie quotidienne de 2 g). Dans cette tranche d’âge, la fréquence des effets indésirables est plus importante que chez l’adulte (voir Effets indésirables). Une réduction temporaire de la dose ou une interruption du traitement peut s’avérer nécessaire et devra être mise en œuvre en tenant compte des facteurs cliniques notamment de la sévérité de la réaction.
  • Enfants (< 2 ans) : les données d’efficacité et de tolérance chez les enfants âgés de moins de 2 ans sont limitées. Elles sont insuffisantes pour recommander une posologie et par conséquent, l’utilisation n’est pas préconisée dans cette tranche d’âge.
  • Utilisation en transplantation cardiaque :
    Adultes : par voie orale, le traitement par mycophénolate doit être initié dans les 5 jours suivant la greffe. La posologie recommandée chez les transplantés cardiaques est de 1,5 g deux fois par jour (dose quotidienne de 3 g).
  • Enfants : aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie.
  • Utilisation en transplantation hépatique :
    Adultes : le mycophénolate par voie intraveineuse doit être administré pendant les 4 premiers jours suivant la transplantation hépatique, avec un relais par mycophénolate mofétil par voie orale dès qu’il peut être toléré. La dose orale recommandée chez les transplantés hépatiques est de 1,5 g deux fois par jour (posologie quotidienne de 3 g).
  • Enfants : aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.
  • Utilisation chez les personnes âgées (65 ans ou plus) : les posologies recommandées de 1 g deux fois par jour chez les transplantés rénaux et de 1,5 g deux fois par jour chez les transplantés cardiaques ou hépatiques sont appropriées pour les patients âgés.
  • Utilisation en cas d’insuffisance rénale :
    Chez les transplantés rénaux atteints d’insuffisance rénale chronique sévère (débit de filtration glomérulaire < 25 mL/min/1,73 m²), il convient d’éviter d’administrer des doses supérieures à 1 g deux fois par jour, en dehors de la période immédiatement postérieure à la greffe. Ces patients doivent en outre faire l’objet d’une surveillance attentive.
  • Chez les patients présentant un retard à la reprise de fonction du greffon rénal après l’opération, il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie (voir Propriétés pharmacocinétiques).
  • Aucune donnée n’est disponible concernant les patients transplantés cardiaques ou hépatiques atteints d’une insuffisance rénale chronique sévère.
  • Utilisation en cas d’insuffisance hépatique sévère :
    Aucune adaptation de posologie n’est nécessaire chez les transplantés rénaux atteints de maladie hépatique parenchymateuse sévère. Aucune donnée n’est disponible concernant les transplantés cardiaques atteints de maladie hépatique parenchymateuse sévère.
  • Traitement pendant les épisodes de rejet :
    L’acide mycophénolique (MPA) est le métabolite actif du mycophénolate mofétil.
  • Le rejet de greffe rénale n’entraîne aucune modification de la pharmacocinétique du MPA ; une diminution de la dose de mycophénolate ou une interruption du traitement ne sont pas nécessaires. Il n’y a pas d’argument justifiant l’ajustement de la dose de mycophénolate en cas de rejet de greffe cardiaque. Aucune donnée pharmacocinétique n’est disponible en cas de rejet de greffe hépatique.Mode d’administration :
    La mise en œuvre et le suivi du traitement par mycophénolate doivent être effectués par des médecins spécialistes des greffes ayant les compétences correspondantes.
  • Précautions particulières d’élimination et de manipulation
    Les effets tératogènes sur les rats et les lapins du mycophénolate mofétil ayant été démontrés, les comprimés de mycophénolate ne devront pas être broyés.
  • Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

  • Absolue(s) :
    • Hypersensibilité à l’acide mycophénolique ou à ses sels
    • Allaitement
    Relative(s) :
    • Grossesse

    • Risque de désordre lymphoprolifératif
      Les patients recevant un traitement immunosuppresseur comportant plusieurs médicaments en association dont le mycophénolate sont exposés à un risque accru de lymphomes (voir Effets indésirables). Le risque semble plus lié à l’intensité et à la durée de l’immunosuppression qu’à l’utilisation d’un agent spécifique.
    • Risque de cancer cutané
      Les patients recevant un traitement immunosuppresseur comportant plusieurs médicaments en association dont le mycophénolate sont exposés à un risque accru de tumeurs malignes, en particulier cutanées (voir Effets indésirables). Le risque semble plus lié à l’intensité et à la durée de l’immunosuppression qu’à l’utilisation d’un agent spécifique. Comme recommandation générale pour limiter le risque de cancer de la peau, l’exposition au soleil et aux rayons UV doit être minimisée par le port de vêtements protecteurs et l’utilisation d’une crème solaire à indice de protection élevé.
    • Exposition au soleil ou aux rayonnements UV
      Comme recommandation générale pour limiter le risque de cancer de la peau, l’exposition au soleil et aux rayons UV doit être minimisée par le port de vêtements protecteurs et l’utilisation d’une crème solaire à indice de protection élevé.
    • Information du patient
      – Les patients traités par le mycophénolate doivent être informés de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin pour toute infection, toute ecchymose inexpliquée, tout saignement ou toute autre manifestation de myélosuppression.
    • – Les patients seront avertis que pendant le traitement par mycophénolate mofétil, les vaccins peuvent être moins efficaces et qu’il faut éviter l’utilisation de vaccins à virus vivant atténué. La vaccination antigrippale peut s’avérer utile. Les prescripteurs doivent se référer aux directives nationales relatives à la vaccination antigrippale.
    • Risque d’infection opportuniste
      Les patients traités par des immunosuppresseurs, dont le mycophénolate mofétil, présentent un risque accru d’infections opportunistes (bactériennes, fongiques, virales et protozoaires), d’infections mortelles et de septicémie (voir Effets indésirables). La néphropathie associée au virus BK et la leuco-encéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC comptent parmi ces infections opportunistes. Ces infections sont souvent liées à un degré d’immunosuppression élevé et peuvent conduire à des affections graves ou fatales que les médecins doivent considérer dans le diagnostic différentiel des patients immunodéprimés ayant une détérioration de la fonction rénale ou des symptômes neurologiques.
    • Risque de néphropathie
      Les patients traités par des immunosuppresseurs, dont le mycophénolate mofétil, présentent un risque accru d’infections opportunistes (bactériennes, fongiques, virales et protozoaires), d’infections mortelles et de septicémie (voir Effets indésirables). La néphropathie associée au virus BK compte parmi ces infections opportunistes. Ces infections sont souvent liées à un degré d’immunosuppression élevé et peuvent conduire à des affections graves ou fatales que les médecins doivent considérer dans le diagnostic différentiel des patients immunodéprimés ayant une détérioration de la fonction rénale ou des symptômes neurologiques.
    • Risque de leucoencéphalopahtie multifocale progressive
      Les patients traités par des immunosuppresseurs, dont le mycophénolate mofétil, présentent un risque accru d’infections opportunistes (bactériennes, fongiques, virales et protozoaires), d’infections mortelles et de septicémie (voir Effets indésirables). La leuco-encéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC compte parmi ces infections opportunistes. Ces infections sont souvent liées à un degré d’immunosuppression élevé et peuvent conduire à des affections graves ou fatales que les médecins doivent considérer dans le diagnostic différentiel des patients immunodéprimés ayant une détérioration de la fonction rénale ou des symptômes neurologiques.
    • Surveillance de la formule sanguine 1 fois par semaine pendant 1 mois puis 2 fois par mois pendant 2 mois puis 1 fois par mois pendant 9 mois
      Chez les patients traités par mycophénolate mofétil, il convient de surveiller l’apparition d’une neutropénie, qui peut être liée au mycophénolate mofétil lui-même, aux traitements concomitants, aux infections virales, ou à une association de ces facteurs. Chez les patients traités par mycophénolate mofétil, la numération sanguine complète doit être contrôlée chaque semaine au cours du premier mois, deux fois par mois les deuxième et troisième mois puis une fois par mois pendant le reste de la première année. Si une neutropénie apparaît (taux absolu des polynucléaires neutrophiles <1300/mm3) il peut être approprié de suspendre ou d’interrompre le traitement par mycophénolate mofétil.
    • Risque d’érythroblastopénie
      Des cas d’érythroblastopénie ont été rapportés chez des patients traités par mycophénolate mofétil en association avec d’autres traitements immunosuppresseurs. Le mécanisme par lequel le mycophénolate mofétil induit une érythroblastopénie n’est pas connu. L’érythroblastopénie peut se résoudre après diminution de la posologie ou arrêt du traitement par mycophénolate mofétil. Toute modification du traitement par mycophénolate mofétil ne sera entreprise que sous étroite surveillance chez les transplantés afin de limiter le risque de rejet du greffon (voir Effets indésirables).
    • Vaccination concomitante
      Les patients seront avertis que pendant le traitement par mycophénolate mofétil, les vaccins peuvent être moins efficaces et qu’il faut éviter l’utilisation de vaccins à virus vivant atténué.
    • Vaccination antigrippale bénéfique
      La vaccination antigrippale peut s’avérer utile. Les prescripteurs doivent se référer aux directives nationales relatives à la vaccination antigrippale.
    • Risque de trouble digestif
      Le traitement par mycophénolate mofétil ayant entraîné à une augmentation de la fréquence des effets indésirables digestifs, dont de rares cas d’ulcération gastro-intestinale, d’hémorragie ou de perforation, le mycophénolate mofétil doit être administré avec prudence chez les patients souffrant d’une affection digestive sévère évolutive.
    • Pathologie digestive sévère
      Le traitement par mycophénolate mofétil ayant entraîné à une augmentation de la fréquence des effets indésirables digestifs, dont de rares cas d’ulcération gastro-intestinale, d’hémorragie ou de perforation, le mycophénolate mofétil doit être administré avec prudence chez les patients souffrant d’une affection digestive sévère évolutive.
    • Déficit enzymatique
      Le mycophénolate mofétil est un inhibiteur de l’IMPDH (inosine monophosphate déshydrogénase). Il doit donc en théorie être évité chez les patients présentant un déficit héréditaire rare en hypoxanthine-guanine phosphoribosyl-transférase (HGPRT) tel que le syndrome de Lesch-Nyhan ou de Kelley-Seegmiller.
    • Lesch-Nyhan, syndrome (de)
      Le mycophénolate mofétil est un inhibiteur de l’IMPDH (inosine monophosphate déshydrogénase). Il doit donc en théorie être évité chez les patients présentant un déficit héréditaire rare en hypoxanthine-guanine phosphoribosyl-transférase (HGPRT) tel que le syndrome de Lesch-Nyhan ou de Kelley-Seegmiller.
    • Nourrisson de moins de 2 ans
      – Utilisation en transplantation rénale :
      Les données d’efficacité et de tolérance chez les enfants âgés de moins de 2 ans sont limitées. Elles sont insuffisantes pour recommander une posologie et, en conséquence, l’utilisation n’est pas recommandée dans cette tranche d’âge.
    • – Utilisation en transplantation cardiaque :
      Aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie.
    • – Utilisation en transplantation hépatique :
      Aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.
    • Enfant de moins de 15 ans
      – Utilisation en transplantation cardiaque :
      Aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie.
    • – Utilisation en transplantation hépatique :
      Aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.
    • Insuffisance rénale chronique sévère
      Chez les transplantés rénaux atteints d’insuffisance rénale chronique sévère (débit de filtration glomérulaire < 25 mL/min/1,73 m²), il convient d’éviter d’administrer des doses supérieures à 1 g deux fois par jour, en dehors de la période immédiatement postérieure à la greffe. Ces patients doivent en outre faire l’objet d’une surveillance attentive.
    • Chez les patients présentant un retard à la reprise de fonction du greffon rénal après l’opération, il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie (voir Propriétés pharmacocinétiques).
    • Aucune donnée n’est disponible concernant les patients transplantés cardiaques ou hépatiques atteints d’une insuffisance rénale chronique sévère.
    • Surveillance par un test de grossesse avant la mise en route du traitement
      Il est recommandé de ne pas instaurer de traitement par le mycophénolate avant de disposer d’un test de grossesse négatif.
    • Utiliser une contraception efficace avant la mise en route du traitement
      Une contraception efficace doit être prescrite avant le début du traitement par le mycophénolate,
    • Utiliser une contraception efficace pdt le trt puis pdt 6 semaines après l’arrêt du trt
      Une contraception efficace doit être prescrite pendant le traitement ainsi qu’au cours des six semaines suivant son arrêt.
    • Administrer entier
      Etant donné qu’il a été démontré que le mycophénolate mofétil a des effets tératogènes sur les rats et les lapins, les comprimés pelliculés de mycophénolate mofétil ne devront pas être écrasés.

    Voir banque Interactions Médicamenteuses

     Grossesse :

    Il est recommandé de ne pas instaurer de traitement par le mycophénolate avant de disposer d’un test de grossesse négatif. Une contraception efficace doit être prescrite avant le début du traitement par le mycophénolate, pendant le traitement ainsi qu’au cours des six semaines suivant son arrêt.
  • Les patientes doivent être averties de la nécessité de consulter immédiatement leur médecin en cas de survenue d’une grossesse.
  • L’utilisation du mycophénolate n’est pas recommandée pendant la grossesse et doit être réservée aux situations dans lesquelles il n’existe pas d’alternative thérapeutique adaptée. Le mycophénolate mofétil ne doit être utilisé chez la femme enceinte que si le bénéfice potentiel est supérieur au risque potentiel encouru par le fœtus. Les données concernant l’utilisation du mycophénolate chez la femme enceinte sont limitées. Toutefois, des malformations congénitales, incluant des malformations de l’oreille, plus précisément une oreille externe/moyenne anormalement formée ou absente, ont été rapportées chez des enfants de patientes exposées au mycophénolate en association avec d’autres immunosuppresseurs durant la grossesse. Des cas d’avortements spontanés ont été rapportés chez des patientes exposées au mycophénolate mofétil. Des études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (voir Données de sécurité préclinique).
  •  Allaitement :

    Il a été mis en évidence que le mycophénolate mofétil est excrété dans le lait de rates allaitantes. On ignore si cette substance est excrétée dans le lait maternel humain. Le mycophénolate mofétil est contre-indiqué chez la femme allaitante en raison d’éventuels effets indésirables sévères chez l’enfant allaité (voir Contre-indications).

    Aucune étude concernant les effets sur la capacité à conduire et à utiliser des machines n’a été réalisée. Le profil pharmacodynamique et les effets indésirables rapportés indiquent qu’un effet est peu probable.

    • Diarrhée (Très fréquent)
    • Leucopénie (Très fréquent)
    • Septicémie (Très fréquent)
    • Vomissement (Très fréquent)
    • Lymphome malin non hodgkinien
    • Syndrome lymphoprolifératif
    • Cancer de la peau (Fréquent)
    • Infection opportuniste
    • Candidose cutanée (Fréquent)
    • Candidose
    • Infection à cytomégalovirus (Très fréquent)
    • Zona (Très fréquent)
    • Infection à herpès-virus (Très fréquent)
    • Candidose digestive (Très fréquent)
    • Infection urinaire (Très fréquent)
    • Pneumopathie (Fréquent)
    • Syndrome pseudogrippal (Fréquent)
    • Infection respiratoire (Fréquent)
    • Candidose respiratoire (Fréquent)
    • Gastroentérite (Fréquent)
    • Infection (Fréquent)
    • Bronchite (Fréquent)
    • Pharyngite (Fréquent)
    • Sinusite (Fréquent)
    • Candidose vulvovaginale (Fréquent)
    • Rhinite (Fréquent)
    • Tumeur bénigne de la peau (Fréquent)
    • Thrombopénie (Très fréquent)
    • Anémie (Très fréquent)
    • Pancytopénie (Fréquent)
    • Leucocytose (Fréquent)
    • Acidose (Fréquent)
    • Hyperkaliémie (Fréquent)
    • Hypokaliémie (Fréquent)
    • Hyperglycémie (Fréquent)
    • Hypomagnésémie (Fréquent)
    • Hypocalcémie (Fréquent)
    • Hypercholestérolémie (Fréquent)
    • Hyperlipidémie (Fréquent)
    • Hypophosphatémie (Fréquent)
    • Hyperuricémie (Fréquent)
    • Goutte (Fréquent)
    • Anorexie (Fréquent)
    • Agitation (Fréquent)
    • Confusion mentale (Fréquent)
    • Dépression (Fréquent)
    • Anxiété (Fréquent)
    • Trouble psychique (Fréquent)
    • Insomnie (Fréquent)
    • Convulsions (Fréquent)
    • Hypertonie (Fréquent)
    • Tremblement (Fréquent)
    • Somnolence (Fréquent)
    • Myasthénie (Fréquent)
    • Vertige (Fréquent)
    • Céphalée (Fréquent)
    • Paresthésie (Fréquent)
    • Dysgueusie (Fréquent)
    • Tachycardie (Fréquent)
    • Hypotension artérielle (Fréquent)
    • Hypertension artérielle (Fréquent)
    • Vasodilatation (Fréquent)
    • Epanchement pleural (Fréquent)
    • Dyspnée (Fréquent)
    • Toux (Fréquent)
    • Douleur abdominale (Très fréquent)
    • Nausée (Très fréquent)
    • Hémorragie digestive (Fréquent)
    • Péritonite (Fréquent)
    • Iléus (Fréquent)
    • Colite (Fréquent)
    • Ulcère gastrique (Fréquent)
    • Ulcère duodénal (Fréquent)
    • Gastrite (Fréquent)
    • Oesophagite (Fréquent)
    • Stomatite (Fréquent)
    • Constipation (Fréquent)
    • Dyspepsie (Fréquent)
    • Flatulence (Fréquent)
    • Eructation (Fréquent)
    • Hépatite (Fréquent)
    • Ictère (Fréquent)
    • Hyperbilirubinémie (Fréquent)
    • Hypertrophie cutanée (Fréquent)
    • Eruption cutanée (Fréquent)
    • Acné (Fréquent)
    • Alopécie (Fréquent)
    • Douleur articulaire (Fréquent)
    • Insuffisance rénale (Fréquent)
    • Oedème (Fréquent)
    • Fièvre (Fréquent)
    • Frisson (Fréquent)
    • Douleur (Fréquent)
    • Malaise (Fréquent)
    • Asthénie (Fréquent)
    • Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
    • Créatininémie (augmentation) (Fréquent)
    • LDH (augmentation) (Fréquent)
    • Urémie (augmentation) (Fréquent)
    • Phosphatases alcalines (augmentation) (Fréquent)
    • Poids (diminution) (Fréquent)
    • Hyperplasie gingivale (Fréquent)
    • Pancréatite (Fréquent)
    • Atrophie villositaire intestinale
    • Méningite
    • Endocardite
    • Tuberculose
    • Infection à mycobactérium
    • Néphropathie à virus BK
    • Leucoencéphalopathie multifocale progressive
    • Agranulocytose (Peu fréquent)
    • Neutropénie
    • Anémie aplastique
    • Aplasie médullaire
    • Erythroblastopénie
    • Anomalie morphologique des neutrophiles (Cas isolés)
    • Hypersensibilité
    • Oedème de Quincke
    • Réaction anaphylactique
    • Pneumopathie interstitielle (Cas isolés)
    • Fibrose pulmonaire (Cas isolés)

    • Classement ATC : 
          L04AA06 / MYCOPHENOLIQUE ACIDE
    • Classement Vidal : 
          Immunosuppresseur : acide mycophénolique

    Liste I
    • CIP : 4945619 (MYCOPHENOLATE MOFETIL ARROW 500 mg cp pellic : Plq/50).
    • Disponibilité : officines
      Remboursé à 100 %, Agréé aux collectivités


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