comprimé pelliculé
par 1 comprimé
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mycophénolate mofétil | 500 mg |
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Ce médicament est indiqué en association à la ciclosporine et aux corticoïdes, pour la prévention des rejets aigus d’organe chez les patients ayant bénéficié d’une allogreffe rénale, cardiaque ou hépatique.
- La mise en oeuvre et le suivi du traitement par mycophénolate doivent être effectués par des médecinsspécialistes des transplantations ayant les compétences appropriées.Utilisation en transplantation rénale :
* Adultes : par voie orale, le traitement par mycophénolate doit être débuté dans les 72 heures suivant la greffe. La posologie recommandée chez les transplantés rénaux est de 1 g deux fois par jour (dose quotidienne de 2 g).- * Enfants et adolescents (âgés de 2 à 18 ans) : la posologie recommandée de mycophénolate mofétil est de 600 mg/m², administrés par voie orale deux fois par jour (jusqu’à un maximum de 2 g par jour). Les comprimés de mycophénolate doivent être prescrits uniquement aux patients dont la surface corporelle est supérieure à 1,5 m², à une posologie de 1 g, deux fois par jour (dose quotidienne de 2 g). Comme la fréquence de certaines réactions indésirables est plus importante dans cette tranche d’âge que chez les adultes (cf Effets indésirables), une réduction temporaire de la posologie ou une interruption de traitement peut s’avérer nécessaire ; elle devra être mise en oeuvre en tenant compte des facteurs cliniques importants, notamment de la sévérité de la réaction.
- * Enfants (< 2 ans) : les données d’efficacité et de tolérance chez les enfants âgés de moins de 2 ans sont limitées. Elles sont insuffisantes pour recommander une posologie et, par conséquent, l’utilisation n’est pas recommandée dans cette tranche d’âge.Utilisation en transplantation cardiaque :
* Adultes : par voie orale, le traitement par mycophénolate doit être débuté dans les 5 jours suivant la greffe cardiaque. La posologie recommandée chez les transplantés cardiaques est de 1,5 g deux fois par jour (dose quotidienne de 3 g).- * Enfants : aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie.Utilisation en transplantation hépatique :
* Adultes : Le mycophénolate par voie intraveineuse doit être administré au cours des 4 premiers jours suivant la transplantation hépatique avec un relais du mycophénolate par voie orale dès qu’il peut être toléré. La dose orale recommandée chez les transplantés hépatiques est de 1,5 g deux fois par jour (dose quotidienne de 3 g).- * Enfants : Aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.Utilisation chez les personnes âgées (> ou = 65 ans) :
Les posologies recommandées de 1 g deux fois par jour chez les transplantés rénaux et de 1,5 g deux fois par jour chez les transplantés cardiaques ou hépatiques sont appropriées pour les patients âgés.Utilisation en cas d’insuffisance rénale :
Chez les transplantés rénaux atteints d’insuffisance rénale chronique sévère (débit de filtration glomérulaire < 25 ml/min/1,73 m2), il convient d’éviter d’administrer des doses supérieures à 1 g deux fois par jour, en dehors de la période immédiatement postérieure à la greffe. Ces patients doivent également faire l’objet d’une surveillance attentive. Chez les patients présentant un retard à la reprise de fonction du greffon rénal après la transplantation, aucune adaptation posologique n’est nécessaire (cf Pharmacocinétique). Aucune donnée n’est disponible chez les transplantés cardiaques ou hépatiques atteints d’insuffisance rénale chronique sévère.Utilisation en cas d’insuffisance hépatique sévère :
Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les transplantés rénaux atteints de maladie hépatique parenchymateuse sévère. Aucune donnée n’est disponible chez les transplantés cardiaques atteints de maladie hépatique parenchymateuse sévère.Traitement au cours des épisodes de rejet :
L’acide mycophénolique (MPA) est le métabolite actif du mycophénolate mofétil. Le rejet de greffe rénale n’entraîne pas de modification de la pharmacocinétique du MPA ; une réduction de la dose ou une interruption du traitement par mycophénolate n’est pas nécessaire. Il n’existe aucun élément justifiant une adaptation de la dose après un rejet de greffe cardiaque. Aucune donnée pharmacocinétique n’est disponible en cas de rejet de greffe hépatique.Modalités de manipulation :
Etant donné que le mycophénolate mofétil a démontré un effet tératogène chez le rat et le lapin, les comprimés de mycophénolate ne doivent pas être écrasés.- Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
- * Enfants et adolescents (âgés de 2 à 18 ans) : la posologie recommandée de mycophénolate mofétil est de 600 mg/m², administrés par voie orale deux fois par jour (jusqu’à un maximum de 2 g par jour). Les comprimés de mycophénolate doivent être prescrits uniquement aux patients dont la surface corporelle est supérieure à 1,5 m², à une posologie de 1 g, deux fois par jour (dose quotidienne de 2 g). Comme la fréquence de certaines réactions indésirables est plus importante dans cette tranche d’âge que chez les adultes (cf Effets indésirables), une réduction temporaire de la posologie ou une interruption de traitement peut s’avérer nécessaire ; elle devra être mise en oeuvre en tenant compte des facteurs cliniques importants, notamment de la sévérité de la réaction.
Absolue(s) :
- Hypersensibilité à l’acide mycophénolique ou à ses sels
- Allaitement
- Grossesse
- Administrer entier
Etant donné que le mycophénolate mofétil a démontré un effet tératogène chez le rat et le lapin, les comprimés de mycophénolate ne doivent pas être écrasés. - Risque de désordre lymphoprolifératif
Les patients recevant un traitement immunosuppresseur comportant des associations de médicaments, dont le mycophénolate, sont exposés à un risque accru de lymphome et d’autres tumeurs malignes, notamment cutanées (cf Effets indésirables). Le risque semble plus lié à l’intensité et à la durée de l’immunosuppression qu’à l’utilisation d’un produit donné. - Risque de cancer cutané
Les patients recevant un traitement immunosuppresseur comportant des associations de médicaments, dont le mycophénolate, sont exposés à un risque accru de lymphome et d’autres tumeurs malignes, notamment cutanées (cf Effets indésirables). Le risque semble plus lié à l’intensité et à la durée de l’immunosuppression qu’à l’utilisation d’un produit donné. - Exposition au soleil ou aux rayonnements UV
Comme recommandations générale pour limiter le risque de cancer de la peau, l’exposition au soleil et aux rayons UV doit être minimisée par le port de vêtements protecteurs et l’utilisation d’une crème solaire à indice de protection élevé. - Information du patient
Comme recommandations générale pour limiter le risque de cancer de la peau, l’exposition au soleil et aux rayons UV doit être minimisée par le port de vêtements protecteurs et l’utilisation d’une crème solaire à indice de protection élevé. - Les patients traités par mycophénolate doivent être informés de la nécessité de signaler immédiatement au médecin tout signe d’infection, toute ecchymose inattendue, tout saignement ou toute autre manifestation de myélosuppression.
- Les patients doivent être informés qu’au cours du traitement par mycophénolate, les vaccinations peuvent être moins efficaces et qu’il convient d’éviter l’utilisation de vaccins à virus vivant atténué (cf Interactions).
- Risque d’infection opportuniste
Les patients traités par immunosuppresseurs, dont le mycophénolate, ont un risque accru d’infections opportunistes (bactérienne, fongique, virale et à protozoaire), d’infections mortelles et de septicémie (cf Effets indésirables). La néphropathie associée au virus BK et la leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC comptent parmi les infections opportunistes. Ces infections sont souvent liées à un degré d’immunosuppression élevé et peuvent conduire à des affections graves ou fatales que les médecins doivent considérer dans le diagnostic différentiel des patients immunodéprimés ayant une altération de la fonction rénale ou des symptômes neurologiques. - Risque de leucoencéphalopahtie multifocale progressive
Les patients traités par immunosuppresseurs, dont le mycophénolate, ont un risque accru d’infections opportunistes (bactérienne, fongique, virale et à protozoaire), d’infections mortelles et de septicémie (cf Effets indésirables). La néphropathie associée au virus BK et la leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC comptent parmi les infections opportunistes. Ces infections sont souvent liées à un degré d’immunosuppression élevé et peuvent conduire à des affections graves ou fatales que les médecins doivent considérer dans le diagnostic différentiel des patients immunodéprimés ayant une altération de la fonction rénale ou des symptômes neurologiques. - Surveillance de la formule sanguine 1 fois par semaine pendant 1 mois puis 2 fois par mois pendant 2 mois puis 1 fois par mois pendant 9 mois
Chez les patients traités par mycophénolate mofétil, il convient de surveiller l’apparition d’une neutropénie qui peut être liée au mycophénolate lui-même, aux traitements concomitants, à des infections virales ou à une quelconque association de ces facteurs. Chez les patients traités par mycophénolate, la numération de la formule sanguine doit être contrôlée chaque semaine pendant le premier mois de traitement, deux fois par mois au cours des deuxième et troisième mois, puis une fois par mois pendant le reste de la première année. Si une neutropénie apparaît (nombre absolu de neutrophiles < 1,3 x 10³/µl), il peut être approprié de suspendre ou d’interrompre le traitement par mycophénolate. - Vaccination concomitante
Les patients doivent être informés qu’au cours du traitement par mycophénolate, les vaccinations peuvent être moins efficaces et qu’il convient d’éviter l’utilisation de vaccins à virus vivant atténué (cf Interactions). La vaccination antigrippale peut s’avérer utile. Les prescripteurs doivent se référer aux directives nationales relatives à la vaccination antigrippale. - Vaccination antigrippale bénéfique
La vaccination antigrippale peut s’avérer utile. Les prescripteurs doivent se référer aux directives nationales relatives à la vaccination antigrippale. - Risque de trouble digestif
Le traitement par mycophénolate ayant entraîné une augmentation de la fréquence des effets indésirables digestifs, dont de rares cas d’ulcération gastro-intestinale, d’hémorragie digestive ou de perforation, le mycophénolate doit être administré avec prudence chez les patients qui présentent une pathologie digestive active sévère. - Pathologie digestive sévère
Le traitement par mycophénolate ayant entraîné une augmentation de la fréquence des effets indésirables digestifs, dont de rares cas d’ulcération gastro-intestinale, d’hémorragie digestive ou de perforation, le mycophénolate doit être administré avec prudence chez les patients qui présentent une pathologie digestive active sévère. - Déficit enzymatique
Le mycophénolate est un inhibiteur de l’inosine monophosphate déshydrogénase (IMPDH). Il doit donc en théorie être évité chez les patients présentant un déficit congénital rare en hypoxanthine guanine phosphoribosyl transférase (HGPRT) tels que les syndromes de Lesch-Nyhan ou de Kelley-Seegmiller. - Nourrisson de moins de 2 ans
– Utilisation en transplantation rénale : les données d’efficacité et de tolérance chez les enfants âgés de moins de 2 ans sont limitées. Elles sont insuffisantes pour recommander une posologie et, en conséquence, l’utilisation n’est pas recommandée dans cette tranche d’âge. - – Utilisation en transplantation cardiaque : aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie.
- – Utilisation en transplantation hépatique : aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.
- Enfant de moins de 15 ans
– Utilisation en transplantation cardiaque : aucune donnée concernant la transplantation cardiaque n’est disponible en pédiatrie. - – Utilisation en transplantation hépatique : aucune donnée concernant la transplantation hépatique n’est disponible en pédiatrie.
- Insuffisance rénale chronique sévère
Chez les transplantés rénaux atteints d’insuffisance rénale chronique sévère (débit de filtration glomérulaire < 25 ml/min/1,73 m2), il convient d’éviter d’administrer des doses supérieures à 1 g deux fois par jour, en dehors de la période immédiatement postérieure à la greffe. Ces patients doivent également faire l’objet d’une surveillance attentive. Chez les patients présentant un retard à la reprise de fonction du greffon rénal après la transplantation, aucune adaptation posologique n’est nécessaire (cf Pharmacocinétique). Aucune donnée n’est disponible chez les transplantés cardiaques ou hépatiques atteints d’insuffisance rénale chronique sévère. - Utiliser une contraception efficace avant la mise en route du traitement
Une contraception efficace doit être prescrite avant le début du traitement par mycophénolate mofétil, pendant le traitement ainsi qu’au cours des six semaines suivant son arrêt (cf Interactions). - Utiliser une contraception efficace pdt le trt puis pdt 6 semaines après l’arrêt du trt
Une contraception efficace doit être prescrite avant le début du traitement par mycophénolate mofétil, pendant le traitement ainsi qu’au cours des six semaines suivant son arrêt (cf Interactions). - Surveillance par un test de grossesse avant la mise en route du traitement
Il est recommandé de ne pas instaurer un traitement par mycophénolate mofétil avant d’avoir obtenu le résultat négatif d’un test de grossesse.
- Voir banque Interactions Médicamenteuses
Grossesse :
- Il est recommandé de ne pas instaurer un traitement par mycophénolate avant d’avoir obtenu le résultat négatif d’un test de grossesse. Une contraception efficace doit être prescrite avant le début du traitement par mycophénolate, pendant le traitement ainsi qu’au cours des six semaines suivant son arrêt (cf Interactions).
- Les patientes doivent être averties de la nécessité de consulter immédiatement leur médecin en cas de grossesse.
- L’utilisation de mycophénolate n’est pas recommandée pendant la grossesse et doit être réservée aux situations dans lesquelles aucune autre alternative thérapeutique plus adaptée n’est disponible. Le mycophénolate ne doit être utilisé chez la femme enceinte que si le bénéfice potentiel est supérieur au risque potentiel encouru par le foetus. Les données concernant l’utilisation de mycophénolate chez la femme enceinte sont limitées. Néanmoins, des malformations congénitales incluant des malformations de l’oreille, c’est-à-dire oreille moyenne/externe malformée ou absente, ont été rapportées chez des enfants de patientes exposées à du mycophénolate en association avec d’autres immunosuppresseurs durant la grossesse. Des cas d’avortements spontanés ont été rapportés chez des patientes exposées au mycophénolate. Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (cf Sécurité préclinique).
- Les patientes doivent être averties de la nécessité de consulter immédiatement leur médecin en cas de grossesse.
Allaitement :
- Des études chez le rat ont montré que le mycophénolate mofétil passe dans le lait maternel. On ignore si cette substance est excrétée dans le lait humain. Le mycophénolate est contre-indiqué chez la femme qui allaite en raison d’éventuels effets indésirables sévères chez l’enfant allaité (cf Contre-indications).
- Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés. Le profil pharmacodynamique ainsi que les effets indésirables rapportés indiquent qu’un effet est peu probable.
- Infection systémique (Très fréquent)
- Syndrome lymphoprolifératif
- Lymphome malin non hodgkinien
- Infection opportuniste
- Septicémie (Très fréquent)
- Candidose digestive (Très fréquent)
- Infection urinaire (Très fréquent)
- Infection à herpès-virus (Très fréquent)
- Zona (Très fréquent)
- Pneumopathie (Fréquent)
- Syndrome pseudogrippal (Fréquent)
- Infection respiratoire (Fréquent)
- Candidose respiratoire (Fréquent)
- Candidose (Fréquent)
- Gastroentérite (Fréquent)
- Infection (Fréquent)
- Bronchite (Fréquent)
- Pharyngite (Fréquent)
- Sinusite (Fréquent)
- Mycose cutanée (Fréquent)
- Candidose cutanée (Fréquent)
- Candidose vulvovaginale (Fréquent)
- Rhinite (Fréquent)
- Cancer de la peau (Fréquent)
- Tumeur bénigne de la peau (Fréquent)
- Leucopénie (Très fréquent)
- Thrombopénie (Très fréquent)
- Anémie (Très fréquent)
- Pancytopénie (Fréquent)
- Leucocytose (Fréquent)
- Acidose (Fréquent)
- Hyperkaliémie (Fréquent)
- Hypokaliémie (Fréquent)
- Hyperglycémie (Fréquent)
- Hypomagnésémie (Fréquent)
- Hypocalcémie (Fréquent)
- Hypercholestérolémie (Fréquent)
- Hyperlipidémie (Fréquent)
- Hypophosphatémie (Fréquent)
- Hyperuricémie (Fréquent)
- Goutte (Fréquent)
- Anorexie (Fréquent)
- Agitation (Fréquent)
- Confusion mentale (Fréquent)
- Dépression (Fréquent)
- Anxiété (Fréquent)
- Trouble psychique (Fréquent)
- Insomnie (Fréquent)
- Convulsions (Fréquent)
- Hypertonie (Fréquent)
- Tremblement (Fréquent)
- Somnolence (Fréquent)
- Myasthénie (Fréquent)
- Vertige (Fréquent)
- Céphalée (Fréquent)
- Paresthésie (Fréquent)
- Dysgueusie (Fréquent)
- Tachycardie (Fréquent)
- Hypotension artérielle (Fréquent)
- Hypertension artérielle (Fréquent)
- Vasodilatation (Fréquent)
- Epanchement pleural (Fréquent)
- Dyspnée (Fréquent)
- Toux (Fréquent)
- Vomissement (Très fréquent)
- Douleur abdominale (Très fréquent)
- Diarrhée (Très fréquent)
- Nausée (Très fréquent)
- Hémorragie digestive (Fréquent)
- Péritonite (Fréquent)
- Iléus (Fréquent)
- Colite (Fréquent)
- Ulcère gastrique (Fréquent)
- Ulcère duodénal (Fréquent)
- Gastrite (Fréquent)
- Oesophagite (Fréquent)
- Stomatite (Fréquent)
- Constipation (Fréquent)
- Dyspepsie (Fréquent)
- Flatulence (Fréquent)
- Eructation (Fréquent)
- Hépatite (Fréquent)
- Ictère (Fréquent)
- Hyperbilirubinémie (Fréquent)
- Hypertrophie cutanée (Fréquent)
- Eruption cutanée (Fréquent)
- Acné (Fréquent)
- Alopécie (Fréquent)
- Douleur articulaire (Fréquent)
- Insuffisance rénale (Fréquent)
- Oedème (Fréquent)
- Fièvre (Fréquent)
- Frisson (Fréquent)
- Douleur (Fréquent)
- Malaise (Fréquent)
- Asthénie (Fréquent)
- Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
- Créatininémie (augmentation) (Fréquent)
- LDH (augmentation) (Fréquent)
- Urémie (augmentation) (Fréquent)
- Phosphatases alcalines (augmentation) (Fréquent)
- Poids (diminution) (Fréquent)
- Hyperplasie gingivale (Fréquent)
- Pancréatite (Fréquent)
- Atrophie villositaire intestinale (Cas isolés)
- Méningite
- Endocardite
- Tuberculose
- Infection à mycobactérium
- Néphropathie à virus BK
- Leucoencéphalopathie multifocale progressive
- Agranulocytose (Peu fréquent)
- Neutropénie
- Anémie aplastique (Cas isolés)
- Aplasie médullaire (Cas isolés)
- Erythroblastopénie
- Anomalie morphologique des neutrophiles (Cas isolés)
- Hypersensibilité (Très rare)
- Oedème de Quincke
- Réaction anaphylactique
- Pneumopathie interstitielle (Cas isolés)
- Fibrose pulmonaire (Cas isolés)
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Classement ATC :
L04AA06 / MYCOPHENOLIQUE ACIDE
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Classement Vidal :
Immunosuppresseur : acide mycophénolique
Liste I
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CIP : 3998950 (MYCOPHENOLATE MOFETIL MYLAN PHARMA 500 mg cp pellic : Plq/50).
- Disponibilité : officines
Remboursé à 100 %, Agréé aux collectivités
Mylan
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