nabumétone
FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
p cp | |
Nabumétone (DCI) | 500 mg |
ou | 1 g |
Nabucox 500 mg : Noyau : glycolate de carboxyméthylamidon sodique, laurylsulfate de sodium, hypromellose, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline. Pelliculage : dioxyde de titane (E 171), hypromellose, propylèneglycol, saccharine sodique. Arôme caramel (acétylméthylcarbinol, anisaldéhyde, alcool p-méthoxybenzylique, benzaldéhyde, alcool benylique, acide butyrique, diacétate de propane 1-2-3-triol, diacétyle, alcool éthylique, furfurol, héliotropine, acide isovalérique, extrait de poudre de cacao, linalol, maltol, méthyl-3 cyclopentane-dione-1-2, acide phénylacétique, alcool phényléthylique, propylèneglycol, triacétate de propane 1-2-3-triol, vanilline, aldéhyde cinnamique, huile de feuille de cannelier).
Nabucox 1 g : croscarmellose sodique, povidone, laurylsulfate de sodium, saccharine sodique, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline, arôme sec de menthe (menthol, huile essentielle de menthe poivrée adsorbée sur gomme arabique), arôme sec de vanille (vanilline, dextrine, concentré de jus de prunes).
INDICATIONS |
- Traitement symptomatique au long cours :
- des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde ;
- de certaines arthroses invalidantes et douloureuses, notamment coxarthroses et gonarthroses.
- des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde ;
- Traitement symptomatique de courte durée de poussées aiguës d’arthroses.
POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION |
- Adulte :
- La posologie quotidienne est de 1 g (en 1 à 2 prises pour Nabucox 500 mg ou en 1 prise pour Nabucox 1 g) à 2 g (en 2 prises) par jour, en fonction de la réponse clinique.
- Ne pas dépasser la posologie de 2 g par jour.
- Coût du traitement journalier : 0,45 à 0,99 euro(s).
- Sujet âgé :
- En raison d’une possible augmentation des taux sériques chez ces sujets, il est recommandé de ne pas dépasser la dose de 1 g par jour.
- Insuffisant rénal :
- En cas de clairance de la créatinine <= 30 ml/min, il est souhaitable d’exercer une surveillance plus attentive et d’adapter la posologie en conséquence.
- Par contre, en cas de clairance de la créatinine > 30 ml/min, il n’est pas nécessaire d’ajuster la posologie ; il est néanmoins recommandé de débuter le traitement par la posologie la plus faible et de l’augmenter progressivement en fonction de la réponse individuelle du patient, en surveillant plus particulièrement les sujets âgés.
Mode d’administration :
Les comprimés pelliculés à 500 mg sont à avaler entiers, sans être croqués ni mâchés, avec un peu d’eau.
Les comprimés dispersibles à 1 g sont à dissoudre dans un verre d’eau.
La prise de nabumétone peut avoir lieu indifféremment avec de la nourriture ou à distance d’un repas.
CONTRE-INDICATIONS |
- Absolues :
-
- Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise de nabumétone ou de substances d’activité proche telles que autres AINS, aspirine.
- Ulcère gastroduodénal en évolution.
- Insuffisance hépatocellulaire sévère.
- Insuffisance rénale sévère.
- Enfant de moins de 15 ans (en l’absence de données suffisantes).
- Femme enceinte (à partir du 6e mois) : cf Grossesse/Allaitement.
- Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise de nabumétone ou de substances d’activité proche telles que autres AINS, aspirine.
- Relatives :
-
- Anticoagulants oraux, autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses), héparine, lithium, méthotrexate à partir de 15 mg/semaine, ticlopidine : cf Interactions.
- Anticoagulants oraux, autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses), héparine, lithium, méthotrexate à partir de 15 mg/semaine, ticlopidine : cf Interactions.
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI |
Mises en garde :
- Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d’aspirine et/ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens plus élevé que le reste de la population.
- L’administration de cette spécialité peut entraîner une crise d’asthme.
- Comme avec tous les AINS, le traitement par la nabumétone ne pourra être instauré chez les sujets présentant des antécédents d’oesophagite, de gastrite et/ou d’ulcères gastroduodénaux qu’après s’être assuré de la guérison complète de ces affections.
- Comme avec tous les AINS, l’administration au long cours est associée à un accroissement du risque d’effets indésirables au niveau de la sphère digestive.
- Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non-rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
- Des réactions cutanées sévères et des allergies mettant en jeu le pronostic vital peuvent se produire avec tous les AINS. Il y a lieu de remettre en cause la poursuite du traitement par la nabumétone en présence d’effets indésirables cutanéomuqueux.
- La survenue de symptômes évoquant une atteinte hépatique doit faire pratiquer un dosage des transaminases. En cas d’élévation de leur concentration et, à plus forte raison, en cas d’ictère, le traitement doit être interrompu de façon définitive et la réadministration est à proscrire.
- Insuffisance rénale fonctionnelle :
- Les AINS, en inhibant l’action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose-dépendant.
- En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant les facteurs de risque suivants :
- sujets âgés,
- médicaments associés tels que IEC, sartans, diurétiques (cf Interactions),
- hypovolémie quelle qu’en soit la cause,
- insuffisance cardiaque,
- insuffisance rénale chronique,
- syndrome néphrotique,
- néphropathie lupique,
- cirrhose hépatique décompensée.
- sujets âgés,
- Rétention hydrosodée :
- Rétention hydrosodée avec possibilité d’oedèmes, d’HTA ou de majoration d’HTA, d’aggravation d’insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début de traitement en cas d’HTA ou d’insuffisance cardiaque. Une diminution de l’effet des antihypertenseurs est possible (cf Interactions).
- Hyperkaliémie :
- Hyperkaliémie favorisée par le diabète ou un traitement concomitant par des médicaments hyperkaliémiants (cf Interactions).
- Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
- Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d’infertilité secondaire anovulatoire par non-rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l’arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines.
- La survenue de crise d’asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l’aspirine ou aux AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- Les effets indésirables sont souvent plus mal tolérés chez les sujets âgés, fragilisés, qui nécessitent donc une surveillance accrue, comme avec les autres AINS. Chez les sujets âgés dont les fonctions rénale, hépatique et cardiaque sont fréquemment altérées, la prudence est de rigueur et il est conseillé de ne pas dépasser la dose de 1 g par jour.
- Le traitement par la nabumétone doit être interrompu en cas d’apparition d’ulcère gastroduodénal ou d’hémorragie digestive.
- Il convient de surveiller la diurèse, l’apparition d’oedèmes des membres inférieurs et la fonction rénale pendant le traitement, chez certains sujets à risque : sujets âgés, sujets atteints d’insuffisance cardiaque congestive, de cirrhose, de syndrome néphrotique ou d’insuffisance rénale, patients sous diurétiques, ou ayant subi une intervention chirurgicale majeure responsable d’hypovolémie.
- Il ne faut pas dépasser la dose maximale recommandée, même en cas d’effet thérapeutique insuffisant, ni associer le traitement à un autre AINS et aux salicylés en raison du risque d’augmentation de la toxicité sans avantage thérapeutique prouvé.
INTERACTIONS |
- Anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique de l’anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
- Autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses) : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
- Héparines : augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique (et biologique pour les héparines non fractionnées) étroite.
- Lithium (décrit pour le diclofénac, le kétoprofène, l’indométacine, la phénylbutazone, le piroxicam) : augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l’excrétion rénale du lithium).
- Si l’association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l’association et après l’arrêt de l’anti-inflammatoire non stéroïdien.
- Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).
- Ticlopidine : augmentation du risque hémorragique (synergie des activités antiagrégantes plaquettaires). Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite (incluant le temps de saignement).
Nécessitant des précautions d’emploi :
- Diurétiques, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs de l’angiotensine II : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire secondaire à une inhibition des prostaglandines rénales). Par ailleurs, réduction de l’effet antihypertenseur pour les IEC et les inhibiteurs de l’angiotensine II. Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
- Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires). Contrôle hebdomadaire de l’hémogramme durant les premières semaines de l’association. Surveillance accrue en cas d’altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique. Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
- Zidovudine : risque de toxicité accrue sur la lignée rouge (action sur les réticulocytes) avec anémie sévère survenant 8 jours après l’introduction de l’AINS. Contrôle de la NFS et du taux de réticulocytes 8 à 15 jours après le début du traitement par l’AINS.
A prendre en compte :
- Bêtabloquants (par extrapolation, à partir de l’indométacine) : réduction de l’effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS et rétention hydrosodée par les AINS pyrazolés).
- Ciclosporine : risque d’addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
- Dispositif intra-utérin : risque (controversé) de diminution d’efficacité du dispositif intra-utérin.
- Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
GROSSESSE et ALLAITEMENT |
Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
Au cours du 3e trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :- le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), et à un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligoamnios ;
- la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6e mois.
Allaitement :
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
- Gastro-intestinaux :
- Des manifestations gastro-intestinales bénignes à type de dyspepsies, diarrhée, nausées, douleurs abdominales ou épigastriques, flatulences, constipation sont le plus souvent observées. Plus rarement, des troubles graves à type de perforations, ulcères, saignements ont également été notifiés.
- Rénaux :
-
- Rétention hydrosodée, hyperkaliémie (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi, Interactions).
- Insuffisance rénale aiguë (IRA) fonctionnelle chez les patients présentant des facteurs de risque (cf Mises en garde/Précautions d’emploi).
- Atteintes rénales organiques pouvant se traduire par une IRA : des cas isolés de néphrite interstitielle, de nécrose tubulaire aiguë, de syndrome néphrotique, de nécrose papillaire ont été rapportés.
- Rétention hydrosodée, hyperkaliémie (cf. Mises en garde/Précautions d’emploi, Interactions).
- Neurologiques :
- Possibilité de céphalées, vertiges, troubles du sommeil.
- Réactions d’hypersensibilité :
-
- dermatologiques : rash, urticaires et possibilité d’aggravation d’urticaire chronique, prurit, réactions de photosensibilité et chute de cheveux. De rares cas d’atteintes bulleuses (syndromes de Stevens-Johnson et Lyell) ont été rapportés ;
- respiratoires : possibilité de survenue de crise d’asthme, en particulier chez les sujets allergiques à l’aspirine et aux autres AINS ;
- générales : possibilité de survenue d’oedème de Quincke.
- dermatologiques : rash, urticaires et possibilité d’aggravation d’urticaire chronique, prurit, réactions de photosensibilité et chute de cheveux. De rares cas d’atteintes bulleuses (syndromes de Stevens-Johnson et Lyell) ont été rapportés ;
- Hématologiques :
- La nabumétone est susceptible d’entraîner des anémies, des perturbations de la lignée blanche (leucopénie) et des thrombopénies.
- Hépatiques :
- Des élévations des enzymes hépatiques, le plus souvent transitoires et réversibles ont été observées. Des atteintes hépatiques plus sévères (ictère, hépatites graves ou fatales) ont été très rarement rapportées.
SURDOSAGE |
PHARMACODYNAMIE |
Anti-inflammatoire non stéroïdien (M : système locomoteur).
La nabumétone est un anti-inflammatoire non stéroïdien du groupe des naphtylalkalones, de l’ensemble des dérivés de l’acide arylcarboxylique.
- Activité anti-inflammatoire.
- Activité antalgique.
- Activité antipyrétique.
- Activité inhibitrice des fonctions plaquettaires.
L’ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines.
PHARMACOCINÉTIQUE |
- Absorption :
- La nabumétone est bien résorbée après administration orale.
- Sa biodisponibilité est de l’ordre de 80 %. Après absorption, elle subit un effet de premier passage hépatique et se transforme rapidement et quasi totalement en acide 6-méthoxy-2-naphtylacétique (6-MNA), principal métabolite actif, dont la concentration maximale est atteinte en 6 heures en moyenne.
- La résorption digestive de la nabumétone n’est influencée ni par la prise de nourriture, ni par celle d’hydroxyde d’aluminium, de salicylés et de paracétamol. Elle est augmentée avec la prise concomitante de lait. Des taux sanguins soutenus du principal métabolite actif, le 6-MNA, ont été observés avec une seule prise quotidienne de 1 g de nabumétone. Le plateau d’équilibre, selon le rythme de prise (1 ou 2 prises) est atteint en 4 à 7 jours.
- Distribution :
- La demi-vie d’élimination du 6-MNA, principal métabolite actif, se situe entre 20 et 24 heures. Elle n’est en principe pas modifiée chez le sujet âgé ni chez l’insuffisant rénal, même atteint sévèrement (Clcr 9-63 ml/min). Le 6-MNA se distribue dans le liquide synovial avec une Cmax qui survient environ 4 heures après le pic sérique. Chez l’animal, il passe la barrière placentaire et est excrété dans le lait.
- Le 6-MNA se lie fortement aux protéines plasmatiques (99 %).
- Métabolisme :
- Après absorption sous forme inchangée, la nabumétone se métabolise rapidement et quasi totalement (effet de premier passage hépatique) en acide 6-méthoxy-2-naphtylacétique (6-MNA), principal métabolite actif ; la molécule mère n’apparaît pas dans le plasma. D’autres métabolites sont également présents mais en quantité minime. Aucun phénomène d’auto-induction ni d’auto-inhibition enzymatique n’a été mis en évidence. Chez l’insuffisant hépatique, le pic plasmatique de 6-MNA est observé plus tardivement.
- Excrétion :
- L’excrétion des métabolites se fait sous forme conjuguée, principalement par voie urinaire (80 %). Seulement 2 % du métabolite principal, le 6-MNA, sont excrétés sous forme inchangée.
SÉCURITE PRÉCLINIQUE |
Les anomalies toxicologiques de la nabumétone observées lors des études précliniques sont celles habituellement rencontrées avec les AINS, notamment lésions rénales et intestinales au cours des études chroniques réalisées chez le rat. Chez le singe, aucune lésion rénale n’a été observée après un an d’administration de doses 10 fois supérieures aux doses usuelles recommandées. Les études expérimentales n’ont pas montré de pouvoir mutagène ni carcinogène.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM | 3400933271152 (1990 rév 04.10.2005) 500 mg. |
3400934650185 (1990 rév 14.06.2005) 1 g (14 cp). | |
3400933271732 (1990 rév 14.06.2005) 1 g (28 cp). |
Prix : | 6.89 euros (28 comprimés à 500 mg). |
6.89 euros (14 comprimés à 1 g). | |
12.60 euros (28 comprimés à 1 g). | |
Remb Séc soc à 65 %. Collect. |
Laboratoires MAYOLY SPINDLER
6, av de l’Europe. 78400 Chatou
Tél standard : 01 34 80 55 55
Info médic : Tél : 01 34 80 72 60
Site web : http://www.mayoly-spindler.com
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