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NT 380® Standard et NT 380® Short

NT 380® Standard et NT 380® Short

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Dispositif intra-utérin :  Type Standard ou Short.
  • Prêt à l’emploi, sous sachet stérile : boîtes unitaires.
  • NT 380 se compose de 2 bras flexibles en polyéthylène partant d’un axe vertical, opaque aux rayons X, autour duquel s’enroule un fil de cuivre/argent de 380 mm2, et d’un fil de nylon monobrin attaché à la base du dispositif.
  • Contraception intra-utérine.
  • NT 380 Standard est un dispositif intra-utérin convenant pour les cavités utérines dont la hauteur est supérieure ou égale à 7 cm.
  • NT 380 Short est un dispositif intra-utérin convenant pour les cavités utérines dont la hauteur est inférieure à 7 cm.
  • NT 380 peut être posé en post-partum et post-abortum.
  • NT 380 peut être également utilisé en contraception d’urgence, cependant le risque de maladie inflammatoire pelvienne est alors plus élevé.
  • Période d’insertion :
    L’insertion doit être effectuée en 1re partie du cycle. Il est conseillé de la pratiquer en fin de règles, période la plus favorable.
    La réinsertion peut avoir lieu immédiatement ou, de préférence, après 1 ou 2 cycles.
    En post-partum et post-abortum, l’insertion peut être retardée après involution complète de l’utérus, soit 6 semaines après un avortement ou un accouchement et 12 semaines après une césarienne.
    Dans le cas d’une contraception d’urgence, NT 380 doit alors être posé dans les 5 jours suivant une relation sexuelle mal ou non protégée.
    Période de retrait :
    Le retrait peut être effectué dans les quelques jours qui suivent les règles.
    Technique de pose :
    Il est impératif que la pose soit faite par un médecin, muni des instruments appropriés, dans des conditions aseptiques.
    L’emballage de DIU ne doit pas avoir été ouvert ni endommagé.
    La pratique d’une hystérométrie soigneuse permet de déterminer la direction et la profondeur utérine.
    Après ouverture de l’emballage, manipuler le dispositif à plat ou dirigé vers le haut pour éviter les risques de chute sur le sol. Saisir l’extrémité distale du tube inserteur et ramener la bague de celui-ci au-dessus du repère gradué sur le tube, correspondant en centimètres à la profondeur utérine de la patiente. Tirer simultanément sur les 2 fils de polyamide afin de faire rentrer le corps et les bras du stérilet dans le tube inserteur. Laisser affleurer l’extrémité des bras juste au-dessus de l’extrémité du tube inserteur pour faciliter le passage atraumatique du col. Faire glisser le poussoir dans le tube inserteur le long des fils de nylon.
    Saisir fermement la lèvre antérieure du col avec une pince de Pozzi et exercer jusqu’à la fin de la pose une traction suffisante vers le bas pour redresser l’axe utérin.
    Introduire l’ensemble ainsi préparé dans le canal cervical et le pousser jusqu’à ce que la bague soit au contact du col. Dans ces conditions, le DIU ne touche pas le fond utérin. Maintenir fixe le poussoir et tirer vers soi le tube inserteur jusqu’à la partie supérieure de la marque noire du poussoir. Les bras du dispositif NT 380 sont ainsi seuls libérés. Repousser l’ensemble inserteur et poussoir jusqu’à ce que la bague vienne de nouveau au contact du col. A ce moment-là, les branches du DIU sont plaquées sur le fond utérin. Maintenir fixe le poussoir et faire glisser de nouveau le tube inserteur vers soi jusqu’au bout. Le dispositif NT 380 est alors en place hors du tube. Retirer le poussoir et le tube inserteur, couper les fils, après vérification de la bonne position du DIU, à 2 ou 3 cm de l’orifice externe du col.
    Il est recommandé de ne pas laisser le DIU plus de 5 minutes dans le tube inserteur.
    Technique de retrait :
    Le retrait peut être effectué si la patiente souhaite une grossesse ou lors d’un renouvellement. Il est nécessaire de remplacer NT 380 au bout de 5 ans. Des complications, signalées à la rubrique Effets indésirables, doivent également indiquer le retrait.
    Saisir les fils par une pince le plus près possible de l’orifice externe du col. La traction régulière sur les fils, associée à la traction vers le bas sur la pince de Pozzi, permet un retrait sans difficulté du DIU.
    En cas de difficultés importantes, il doit être envisagé de procéder au retrait sous anesthésie générale suivant la méthode la plus appropriée.
    • Anomalies de la cavité utérine, malformations utérines, affections utérines et salpingiennes, endométrite, suspicion de néoplasie, tumeurs, fibromes, polypes, antécédents d’inflammation pelvienne récente, hémorragies génitales non diagnostiquées.
    • Les DIU au cuivre sont contre-indiqués chez les patientes présentant une maladie de Wilson ou une hypersensibilité au cuivre.
    • Grossesse.
    • Utérus cicatriciel secondaire à d’autres causes qu’une césarienne.
    • Dysménorrhée, ménorragie.
    Le laboratoire engage le médecin à prendre connaissance des mentions portées sur la notice.
  • La responsabilité du laboratoire ne peut être engagée si ces mentions ne sont pas respectées.
  • La survenue d’un événement indésirable doit faire l’objet d’une notification au laboratoire.
  • La patiente doit être avertie :
    • du très faible risque de grossesse intra ou extra-utérine ;
    • de la surveillance régulière des fils, leur disparition pouvant traduire l’expulsion ;
    • de la possibilité d’effets indésirables : douleurs, leucorrhées ou métrorragies persistantes doivent évoquer une complication infectieuse nécessitant impérativement un contrôle médical ;
    • du fait que la contraception intra-utérine s’adresse aux femmes ayant une vie sexuelle stable. En cas de rapports inhabituels, le port d’un préservatif est indiqué pour prévenir les risques de maladies sexuellement transmissibles.
    Les dispositifs intra-utérins doivent être utilisés avec précaution chez les patientes recevant une thérapeutique anticoagulante ou présentant une anomalie de la coagulation.
  • Chez les nullipares, il convient de mettre en balance les avantages attendus et les éventuels risques thérapeutiques.
  • Pour les jeunes femmes, le principal risque est lié aux infections sexuellement transmissibles, notamment en cas de partenaires multiples.
  • Les AINS ne modifient pas l’efficacité des DIU en cuivre, mais une attention particulière devra être portée aux risques de saignement et infectieux.
  • Un DIU doit être bien supporté après deux cycles. Sinon, la persistance d’hémorragies et/ou de douleurs devrait faire envisager le retrait du DIU.
  • Il est recommandé de revoir la patiente après les règles qui suivent l’insertion, puis régulièrement.
  • En cas de suspicion de perforation en cours d’insertion, retirer immédiatement le DIU. Une perforation peut également survenir chez les femmes sous DIU. Il y a lieu de localiser le DIU puis d’envisager son retrait.
  • Les risques de perforations lors de la pose du DIU sont plus importants pendant la période d’allaitement.
  • Remarque importante : une radiothérapie ou une électrothérapie utilisant des courants de haute fréquence (diathermie ou ondes courtes) est contre-indiquée, surtout lorsqu’elle est appliquée sur la zone du petit bassin. En ce qui concerne l’utilisation d’un courant continu ou à basse fréquence (ionisation), il semble qu’elle ne puisse avoir d’effet nocif sur les femmes utilisant un DIU cuprocontraceptif.
  • Effets indésirables :
    Le taux de complication est peu élevé, cependant :
    • des risques infectieux (endométrite, salpingite) nécessitant l’ablation du DIU et une antibiothérapie adaptée peuvent survenir et être cause de stérilité ;
    • des contractions utérines peuvent avoir lieu, en post-insertion surtout. En général, elles cessent rapidement sous antalgique. Elles traduisent une réaction à un corps étranger ;
    • certaines femmes, en particulier les femmes nullipares, sont plus disposées aux syncopes, à la bradycardie et autres épisodes neurovasculaires durant ou immédiatement après la pose ou le retrait du DIU ;
    • des saignements intermittents et des règles abondantes ne sont pas inhabituels ;
    • des réactions inflammatoires peuvent avoir lieu ;
    • une dysménorrhée pourra se produire ou être aggravée ;
    • le taux d’expulsions, très faible, est en partie lié à la technique de pose. Quelques cas d’expulsion peuvent survenir spécialement au moment des règles et surtout au cours des trois premiers cycles.
    A conserver en atmosphère sèche.
  • Tarif LPPR : 30.50 euros (code LPPR 1158536).
    Prix public :30.50 euros.
    Remboursé sur la base du tarif LPPR.

    ACL : 439647.2 (NT 380 Standard) ; 439646.6 (NT 380 Short).
  • Marquage CE 0459 (2005).
  • Fabricant : 7 MED Industrie, Le Bioparc, 03270 Hauterive.

  • Laboratoire CCD
    48, rue des Petites-Écuries. 75010 Paris
    Tél : 01 44 95 14 95. N° Vert : 08 00 35 80 00
    Site web :  http://www.ccd-lab.com

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